Imaginez-vous une uchronie qui donne naissance à cette fiction, basée sur le roman de l'auteur de The Ghost Writer, ce n'est qu'une libre adaptation comme un futur trop lointain dont la destination est inconnue, le point de divergence et du non retour.
Ça s'appelle dans l'univers de la littérature anglo-saxonne : A alternate history pour un récit haletant, glaçant, passionnant, très intéressant, intelligent, instructif, l'éducation individuelle est gratuite et n'a nul besoin de payer, c'est de la culture, pas de la bizarrerie.
Les Alliés soudés ont perdus face à l'Axe parfumé, le débarquement à échouer sur la plage normande, pas de bac et de château de sable, réécrivant l'issue de la bataille de Stalingrad, c'est hallucinant et on est pris dans le vif du sujet alternatif, l'histoire dérivé vers cet autre point fascinant, fictif mais bien foutu.
Le papy dictateur de race germaine a vécu après le bunker, évinçant ses leaders idéologues rivaux tombés dans les oubliettes de l'histoire fictive, les parallèles non énumérés avec ses tributaires collaborationnistes fascistes.
Comme dans le scénario d'origine littéraire, il n'y aura ample renseignement, difficile à l'échelle mondiale, ce qui se passera par la suite du point, un téléfilm produit par HBO, chaîne américaine pertinemment destiné exclusivement à la télévision, projet avorté non conclu, le vase débordé n'a pu être abouti.
Entre Sliders, les mondes parallèles et Man in the high castle, le second choisi est assombri et laisser l'imagination vous transporter, avec la linéarité de son exactitude certifiée, la bande originale musicale relève la mise en scène.
Des dignitaires de la nouvelle Allemagne nazi aigle crépusculaire, le IIIe Reich est victorieux, retrouvés assassinés, la polizei politique se mêle et le major SS Xavier March est chargé de l'enquête, il découvrira la vérité criminelle contre l'humanité.
Un exécutif et des ordres reçus, c'est la purge du nazisme au sein du parti dans son histoire, regardez dans les bouquins scolaires, que vous le sachiez et que ça rentre dans les consciences, moment d'émotion pour le père et fils, la trahison est étatiste à l'image où tout est sous contrôle, surveiller vos arrières.