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Votre avis sur Couvre-feu ?
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Edward Zwick a réalisé ce film avec Denzel Washington dans le rôle du chef du groupe de travail du FBI sur le contre-terrorisme qui demande l'aide d'un agent de la CIA (Annette Bening) pour lutter contre une série d'attaques terroristes qui s'intensifient dans la ville de New York après l'enlèvement par les États-Unis d'un chef religieux islamique radical. Le film est bien intentionné mais trop moralisateur il délaisse la narration dramatique au profit du discours et le résultat n'est pas particulièrement crédible non plus malgré les inévitables comparaisons avec l'horreur réelle de la journée du 11 septembre. Edward Zwick est un réalisateur très étrange il est capable du meilleur comme Blood Diamond comme du pire comme À l'épreuve du feu...
Film moyen qui n arrive pas à decoller. Ca se regarde mais sa reste sans plus.
FaRem
Un bon film qui est bien mené, bien rythmé et sympa à voir.
Ce film est excellent, et ça fait peur tellement l'histoire est choquante et réaliste. Au passage bravo aux interprétations de Denzel Washington et Bruce Willis.
stallonefan62
Un bon drame assez prémonitoire dans sa forme au vue des vrais attentats qui auront lieu 3 ans plus tard !! Une ambiance de chaos bien retranscrite , de la tension et un casting à la hauteur font de ce film un bon divertissement !!
Un Thriller Politique nerveux assez complet et prenant, parfois légèrement complexe par moment, mais intéressant et avec un casting 4 étoiles !
en 98, couvre feu est un film coup de poing. ce scénario aujourd'hui, résonne incroyablement dans l'actualité et pose bien des questions. au delà de ça, des scènes spectaculaires et un rôle fort de convictions pour D. Washington au sein d'un casting de haut vol.
Henrico
Les trente premières minutes sont passionnantes, mais hélas, l'intrigue s'englue dans un gruau peu crédible, avec des retournements incongrus. Et des questions sans réponses renforçant l'invraisemblance de l'ensemble: Quel intérêt y avait-il pour le colonel à retenir le Cheikh? Comment se fait-il que le responsable de la 4ème cellule connaissait les autres puisqu'elles étaient sensées être autonomes et dissociées les unes des autres? Edward Zwick, pour ce "couvre-feu", nous met en scène laborieusement un scénario fort médiocre, sur un plateau de brillants acteurs. Et pourquoi ne pas servir un grand champagne millésimé dans des timbales cabossées et en plastok? Non mais franchement? Bon, allez, on lui pardonne quand même! N'est-ce pas lui qui nous a gratifiés des chefs-d'oeuvre que sont: Glory, Légendes d'Automne, Le Dernier Samouraï, et surtout Blood Diamond?
2,5/5 Moyen. Ce n'est pas génial, le film est très classique dans son déroulé, lent, ça parle beaucoup pour essayer de dire pas grand chose, les personnages sont assez caricaturaux et certaines scènes clairement surjouées. Denzel Washington sauve le film du naufrage avec une performance convaincante. Moyen dans l'ensemble.
[Couvre-Feu, 2,5/5] Un film moyen avec Denzel Washington et Bruce Willis à l'affiche, c'est possible. Scénario alambiqué, personnages nébuleux, le tout sur fond de terrorisme et de lutte entre le FBI, la CIA et l'armée. Vingt ans après la sortie du film, tourné alors que les deux tours du World Trade Center étaient encore debout, les scènes d'attentats, bien qu'horribles, sont très en-dessous de ce qui s'est passé ensuite dans la réalité, malheureusement. Même pas prémonitoire. A ranger au fond du tiroir à archives cinématographiques.
Le film tente de dénoncer à sa manière deux sortes d'extrémisme, celui qui veut semer la peur et le chaos dans le peuple Américain, et celui qui veut semer la peur et le chaos dans le peuple islamique. L'opposition des uns et des autres.
Film intéressant, car il montre l'escalade, alors certes, malheureusement pour montrer les extrêmes, le film tombe dans la facilité de l'extrême, avec en apothéose ce général caricature de son fait.
Le casting est assez prestigieux, et si on arrive à passer outre les facilités et les outrances du scénario, on peut trouver un certain intérêt à cette course contre la montre.
Comme d'habitude Hollywood, montre le pire de ce qui pourrait arriver avant l'heure; car oui, ce film pré-septembre 2001, nous montre un New York attaqué et dévasté, les tours jumelles se dressent encore fièrement, et nous rappelle que la réalité rattrape parfois la fiction.
Ce film malgré ses défauts montre déjà la fracture dans le peuple Américain, c'est surprenant de voir qu'un scénario peut vite résoudre les problèmes, mais lorsque l'on sait comment s'est géré le covid 19, et spécialement à New York, on se dit que la belle vitrine des Us est belle et bien fissurée.
Film intéressant, car il montre l'escalade, alors certes, malheureusement pour montrer les extrêmes, le film tombe dans la facilité de l'extrême, avec en apothéose ce général caricature de son fait.
Le casting est assez prestigieux, et si on arrive à passer outre les facilités et les outrances du scénario, on peut trouver un certain intérêt à cette course contre la montre.
Comme d'habitude Hollywood, montre le pire de ce qui pourrait arriver avant l'heure; car oui, ce film pré-septembre 2001, nous montre un New York attaqué et dévasté, les tours jumelles se dressent encore fièrement, et nous rappelle que la réalité rattrape parfois la fiction.
Ce film malgré ses défauts montre déjà la fracture dans le peuple Américain, c'est surprenant de voir qu'un scénario peut vite résoudre les problèmes, mais lorsque l'on sait comment s'est géré le covid 19, et spécialement à New York, on se dit que la belle vitrine des Us est belle et bien fissurée.
Un film très moyen pour lequel il est difficile de se passionner. Le scénario est incohérent et la mise en scène bien trop plate. Même les personnages sont peu crédibles. Reste un Denzel Washington toujours aussi bon et quelques scènes d'action pas trop mauvaises. Un film qu'on regarde et qu'on oublie aussi vite
ferdinand75
Un bon film d'action , mené tambour battant. La délicieuse Annette Bening est impeccable ( quel dommage que l'on ne la voit pas plus souvent). Suspens très fort autour de cette histoire de terrorisme sur le sol américian( prémonitoire car tourné en 1998) . Beaucoup d'action et de suspens, Denzel Washington et Bruce Willis sont très bons. Et le film nous tient en haleine jusqu'au dénouement final.
Couvre-feu n’a pas pris à sa sortie. Accusé de racisme et de stéréotyper le monde arabe, le film a choqué par sa vision trop vivace d’un New York en proie au terrorisme. Il y a un côté presqu’histoire vraie derrière cette escalade de violence qui débouche (inévitablement, on a envie d’ajouter) sur une réaction radicale d’une nation américaine profondément atteinte dans son orgueil. J’attendais presque qu’un texte apparaisse avant le générique de fin : « ces évènements ne se sont pas produits... mais ils auraient pu ».
Cet avertissement aurait été tristement prophétique puisqu’on était trois ans avant le 11 septembre 2001, un jour où les États-Unis seront touchés comme le dépeint Zwick, en plus brusquement encore. Après la disparition des tours jumelles, le film connaîtra enfin le succès, confirmé dans la vocation sensibilisatrice qu’on lui refusait jusqu’ici.
C’est un phénomène intéressant que de voir ce film d’abord renié pour les fortes images négatives qu’il véhiculait (un New York paniqué, un FBI dépassé, une armée hors de contrôle, des diasporas ostracisées et un gouvernement pro-violence), puis remis en grâce par certains des évènements-mêmes dont il avertissait.
Tout ça ne dit pas grand-chose de sa qualité cinématographique (vous savez, toutes les images négatives ? il n'y avait pas la place pour tout), mais c’est révélateur d’une écriture qui a su s’emparer de la pierre angulaire dans l'amalgame entre Islam et terrorrisme. C'est, par contre, dans le manque de subtilité qu'on se rapproche du raccourci. Il vaudra donc mieux s'en tenir au fait que l’œuvre a su poser dans un blockbuster de divertissement beaucoup des dilemmes moraux englobant la gestion policière et judiciaire des minorités ethniques, ce qui est plutôt intéressant.
En attendant, c’est un film assez énergique pour qu’un Denzel Washington enflammé nous donne le plaisir de ne pas avoir à se poser ces questions, et à tirer avant de poser les questions... mais Zwick en pose quelques unes, en vitesse, entre deux scènes d'action.
Cet avertissement aurait été tristement prophétique puisqu’on était trois ans avant le 11 septembre 2001, un jour où les États-Unis seront touchés comme le dépeint Zwick, en plus brusquement encore. Après la disparition des tours jumelles, le film connaîtra enfin le succès, confirmé dans la vocation sensibilisatrice qu’on lui refusait jusqu’ici.
C’est un phénomène intéressant que de voir ce film d’abord renié pour les fortes images négatives qu’il véhiculait (un New York paniqué, un FBI dépassé, une armée hors de contrôle, des diasporas ostracisées et un gouvernement pro-violence), puis remis en grâce par certains des évènements-mêmes dont il avertissait.
Tout ça ne dit pas grand-chose de sa qualité cinématographique (vous savez, toutes les images négatives ? il n'y avait pas la place pour tout), mais c’est révélateur d’une écriture qui a su s’emparer de la pierre angulaire dans l'amalgame entre Islam et terrorrisme. C'est, par contre, dans le manque de subtilité qu'on se rapproche du raccourci. Il vaudra donc mieux s'en tenir au fait que l’œuvre a su poser dans un blockbuster de divertissement beaucoup des dilemmes moraux englobant la gestion policière et judiciaire des minorités ethniques, ce qui est plutôt intéressant.
En attendant, c’est un film assez énergique pour qu’un Denzel Washington enflammé nous donne le plaisir de ne pas avoir à se poser ces questions, et à tirer avant de poser les questions... mais Zwick en pose quelques unes, en vitesse, entre deux scènes d'action.
Un thriller politique choc et complexe d'Edward Zwick. Avec une bonne distribution : Denzel Washington, Annette Bening, Bruce Willis, Tony Shalhoub et Sami Bouajila. Une histoire qui traite le problème du terrorisme et qui fait réfléchir sur les pleins pouvoirs de l'armée. La paranoïa avec les attentats commis par des extrémistes musulmans, les préjugés, le racisme et les méthodes sauvages.
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