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fandecaoch
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5,0
Publiée le 1 septembre 2015
L’enjeu : Un thriller d’action pur et dur avec 100 % d’adrénaline et 100 % d’action. C’est simple, le film démarre au quart de tour et il ne s’arrête jamais, il y a pas une seule seconde de répit, ça bouge tous le temps, vraiment, j’ai rarement vu un film au rythme aussi soutenu grâce a un suspense qui assure le spectacle et de l’action non stop mais surtout de l’action justifier, il faut le souligné. Grace a un scénario d’une efficacité redoutable, un peu dans le même genre que Die hard car c’est un 8 clos dans un hôpital ou un dangereux criminel met la pression a tous le monde. Car, pour la petite histoire, c’est un flic mais avant tout un père qui voit son fils mourir d’un cancer, la seule solution, avoir un transfère de sang de moelleuses. Et le seul compatible est un criminel dangereux mais intelligeant qui a rien à perdre. Et malgré tous, il va accepter le don mais rien ne va ne se passer comme prévu, il va s’échapper et personne peu le tué sinon le gamin est condamné… C’est pour ça que le suspense est à son maximum à chaque fois et que les rebondissements sont nombreux. Et que dire de la fin, enfin un fin qui me fait plaisir (pour une fois que le méchant…). Sinon, le film a un casting solide, un duel des plus palpitants avec des acteurs qui crèvent l’écran : en flic endurcie qui est encore une fois très touchant en père. Mais la révélation de ce titre est Mickael Keaton qui est juste magistral et saisissant en tueur en série très futé, faut pas l’oublier. Et pour finir, la réalisation est efficace et assure le spectacle, le vrai. Donc voila, un thriller d’action riche en émotion fort, c’est que du bon.
Non pas qu un film d action se doive d être réaliste mais dans l enjeu les invraisemblances sont vraiment trop énormes (ou mal dosées) pour ne pas finir par prêter à rire. De l idée de base franchement tirée par les cheveux, à de nombreuses scènes plombée par des situations trop improbables au hasard : le personnage du flic qui fausse compagnie à ses collègues en moto mais qui prend le temps d enfiler un casque, son jeune fils victime d un cancer en phase terminale censé être extrêmement fragile et qui galope partout dans son hôpital et ne manque pas de force pour mettre un coup de barre de fer au méchant, la chirurgien du petit qui se trouve être la seule qui réussit à désarmer le super méchant et se trouve être plus dégourdie que tous les policiers présents... Au final le rythme du film est plutôt bon, mais ce qui le sauve du naufrage complet c est la prestation de Michael Keaton qui s amuse beaucoup en méchant psychopathe super vilain.
L'Enjeu est l'un de ces nombreux archétypes de films d'action des années 90, peu regardant sur les diverses incohérences scénaristiques. Andy Garcia, ex bon flic intègre, doit trouver un donneur de moëlle pour son fils atteint d'une leucémie. Le seul donneur potentiel est le dangeureux détenu de Michael Keaton. Celui-ci sera donc transféré dans un hopital pour l'opération, mais parviendra à s'échaper non sans tout y casser. Andy Garcia part alors à sa poursuite mais ne veut absolument pas qu'il soit tué au risque de ne plus pouvoir être donneur. Intrigue simple, peu réaliste mais pas moins efficace, l'Enjeu est satisfaisant dans la mesure où son rythme est haletant et dynamique; (presque) pas une seconde d'ennuis. Bien que Garcia soit un acteur sympathique, la palme revient au très très bon Keaton, ultra expressif dans un rôle sur-mesure. Il se montre en effet hyper actif dans son jeu, et joue de multiples rictus nerveux parfois assez drôles ! Son personnage est ici vraiment réussi, et si le film n'est en soit clairement pas un chef d'oeuvre, ce rôle le met parfaitement en valeur et le plaisir de le voir évoluer à l'écran est garanti. Bravo Michael Keaton !
Un thriller tout à fait original. Le scénario change complètement par rapport à ce qu'on a déjà vu car il s'agit d'un policier qui doit se mettre à la poursuite d'un dangereux psychopathe sans le tuer pour sauver un jeune garçon. Andy Garcia est pas mal du tout dans son rôle de policier mais il faut surtout saluer l'interprétation génial de Mickael Keaton dans le rôle du tueur, le reste du casting est satisfaisant. Il y a un début un peu lent et chiant, mais dès la tuerie des médecins, le film change complètement d'intensité et il reste la même jusqu'à la fin du film. On est curieux de savoir comme cela va se terminer vu que le policier doit attraper un tueur sans le tuer et doit s'allier. Des rebondissements et des retournements de situation se présentent tous les cinq minutes du film. Quelques idées bien placés et une vraie manipulation du tueur. Des décors bien faits et des costumes bien choisis. Un thriller que je vous conseille vivement.
Barbet Schroeder a certainement pris beaucoup de plaisir à tourner ce thriller à double objectif,tout à fait dans la lignée des années 90. Riche en rebondissements,peu regardant sur les incohérences. Andy Garcia a une prédilection pour les rôles de flic las,mais celui-ci est quand même bien dérangé,vu ses méthodes employées pour sauvegarder la moelle épinière de son fils. Michael Keaton est bien frappadingue aussi en criminel profitant de cette occasion inespérée pour s'échapper. Le film est donc une interminable course-poursuite dans des milieux clos. Un bon divertissement.
L'Enjeu est un très bon thriller dans lequel Andy Garcia (Connor), bon flic et père d'un enfant atteint d'une leucémie uniquement guérissable par greffe, affronte Michael Keaton (McCabe), tuer en série très dangereux qui est le seul donneur compatible qu'il ait pu trouver. Très émouvant dès le début, le film est surprenant dans sa trame scénaristique et son intrigue a de quoi clouer sur le siège les yeux et les oreilles rivés vers l'écran. Un premier parallèle avec Les silence des agneaux se fait ressentir en ce que Connor va de lui même faire sa demande à McCabe dans sa cellule bien isolée et que ce dernier se montre d'une intelligence hors norme et va finalement accepter la greffe sous conditions illégales (lui remettre dans une cellule classique, lui permettre de côtoyer les autres prisonniers et de fumer des substances douteuses). Alors que l'opération semble sur le point de se faire, il se libère une main grâce à la place gagnée en ayant cassé son pouce (la malade...), maîtrise tout le monde dans la pièce et s'enfuit discrètement dans l'hôpital où il va jouer à cache-cache avec Connor pendant une bonne partie du film. Outre la liberté, McCabe veut aussi voir jusqu'où Connor est près à aller pour sauver son fils (David Cage s'est peut-être inspiré de ce film pour Heavy Rain), lui-même ayant sous-entendu au début du film que son père n'avait pas réussi à faire de lui quelqu'un de bien. Pour cela, Connor va devoir entrer dans l'illégalité (car la tête du criminel sera ciblée pour la simple raison qu'il va vite se mettre à sacrifier des vies dans le bâtiment) en empêchant ses collègues de le tuer (sa mort rendant la greffe impossible) et donc en s'alliant quelque part avec lui afin d'instaurer un dialogue permettant de le stopper. McCabe parle même au petit au début du film et le prend en otage pendant un moment à la fin : la relation entre eux deux n'est pas très poussée mais McCabe lui avoue quand même qu'ils sont bien du même sang au vu de son caractère tenace. La tension est présente pendant tout le film à partir du moment où il est en cavale dans le bâtiment et pas une seule minute n'est ennuyeuse tant le film est bien monté. Je ne connaissais pas du tout Andy Garcia, mais son jeu d'acteur est très convaincant dans ce film. Quant à Michael Keaton, qui avait déjà eu de superbes rôles dans les films de Tim Burton, le voilà pour la première fois dans un rôle de méchant psychopathe et ça lui va comme un gant, il interprète son personnage de manière magistrale. Au final, Connor arrive à le coincer avec l'aide de ses collègues sur un pont surélevé en plein San Fransisco, le fait tomber du pont après une blessure par balle et parvient à le sauver de la noyade afin de sauver son fils. La fin est par contre assez expédiée et inattendue quand on retrouve McCabe alité pointant son flingue sur le chef de la police et lui demandant ce qu'il avait comme bagnole, ça fait un peu décalé avec le reste du film et manque de psychologie pour un final, le seul avantage est qu'on voit toute l'ingéniosité du personnage, qui est encore prêt à s'évader même après avoir perdu son duel. Un grand classique du thriller !!
Un thriller d'action symptomatique des années 1990 qui met en scène Andy Garcia dans le rôle du flic devant sauver son fils et Michael Keaton en psychopathe au QI supérieur à la moyenne. Le scénario comme souvent les films de Barbet Schroeder est classique (vu et revu). Mais la tension est présente et il nous tient en haleine jusqu'à la fin ... donc mission réussie.
Excellent ! L'Enjeu est un véritable tour de force scénaristique, un divertissement nerveux et palpitant dans lequel Michael Keaton incarne Pete Mc Cabe, l'un des méchants les plus charismatiques du cinéma des années 90 : génial et machiavélique ce criminel au sang-froid remarquable fomente l'évasion la plus diabolique dans le genre, faisant étroitement équipe avec un flic intègre brillamment interprété par Andy Garcia. Une fois encore Barbet Schroeder appréhende son film sous le signe de la dépendance reliant ses personnages, le tout dans un format policier calibré mais réellement efficace. La reconstitution intelligente du quotidien d'un hôpital, le développement méticuleux de la préparation de l'évasion de Mc Cabe, la musique ad hoc de Trevor Jones et le soin apporté au traitement des personnages font de L'Enjeu un petit sommet de suspense psychologique et spectaculaire. A noter l'influence du film de Barbet Schroeder sur le cinéma actuel, à commencer par le très bon A bout Portant de Fred Cavayé...
Un thriller d'action comme tant d'autres qui oppose Andy Garcia à Michael Keaton dans un jeu du chat et de la souris peu glorieux qui n'apporte au mieux qu'un divertissement moyen. "L'Enjeu" de Barbet Schroeder s'apparente effectivement à tout ce qui a été fait dans ce style durant les années 90. Ciblé sur l'affrontement de deux hommes, ce long-métrage se voit muni d'un scénario classique qui offre quelques bons rebondissements mais qui se cloître trop dans les sentiers balisés. Ne prenant soin de développer que trop rarement l'intérêt du spectateur pour ses personnages, Schroeder se limite à la seule présence de ses acteurs ; Choix qui se révèlera malheureusement insuffisant. Clichés oblige, "L'Enjeu" nous propose d'un côté le super-flic (Andy Garcia) et de l'autre le vilain taulard (Michael Keaton). On y découvre alors un duel aux acteurs bons mais handicapés par une mise en scène trop moyenne pour exalter un public en manque de tension.
J'adore la prestation de Keaton ! Un vrai bon rôle de méchant. Andy Garcia est très bien également. Un bon film sans vrai suspens mais qui se laisse suivre sans peine...
Excellent thriller sur fond de film d'action , même si la cote est basse , je trouve le film tres bon , il n y a pas de temps mort , content de l'avoir vu
Pour sauver la vie de son fils ayant besoin d’une greffe de moelle épinière, Franck Connor un flic modèle, se voit dans l’obligation de passer un arrangement avec un criminel au QI impressionnant qu’il a lui-même mis en prison et qui se révèle être son dernier espoir. Mais avant son transfert à l’hôpital Peter McCabe échafaude un plan ingénieux afin de s’échapper, Franck va désormais devoir le pourchasser à travers San Francisco. Si l’évasion de McCabe n’avait pas été aussi ingénieuse le film de Barbet Schroeder aurait été un nanar pur et simple. Car à côté de cela on trouve un jeu d’acteur de très mauvaise qualité, Andy Garcia en tête qui n’arrive pas à trouver le bon feeling pour interpréter son personnage, mais aussi la risible voix française de Michael Keaton qui donne l’impression d’être tout droit sortie d’une pub contre le tabagisme. Mais ce sont également les aberrations scénaristiques qui plombent complètement ce thriller d’action comme les cascades d’Andy Garcia dans les rues de San Francisco ou bien des répliques d’une débilité affligeante. "L’Enjeu" est un film d’une qualité tout à fait discutable qui fait peine à regarder.
L'Enjeu est une production signée Barbet Schroeder avec Andy Garcia et Michael Keaton, qui se base sur une histoire sympatique qui s'avèrera au final catastrophique. Et pour cause, le scénario tourne en boucle, les acteurs sont de réels clichés ambulants et l'on y retrouve les thèmes basiques des années 90, à savoir la violence et l'amour familial. Passé la moitié du film, on a déjà tout vu, c'est d'un ennui rare. C'est comme si des allers-retours incessants étaient faits d'un lieu à l'autre, sans pour autant que les choses bougent. Navrant.