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steevevo
8 abonnés
520 critiques
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2,0
Publiée le 2 septembre 2024
Ridley Scott en n'est pas à sa première oeuvre un tant soit peu féministe. Ici cependant c'est le sujet même de son film. Le film déroule sans accroc mais aussi sans nuance son sujet. On sait tout de suite on l'on va. Les personnages sont des images attendues. On pense à de nombreux film de guerre et la comparaison n'est pas à l'avantage de cette pâle vision. Scott passe à côté des enjeux dramatiques. Des coups de gueules et des coups inoffensifs. Un gentil divertissement au féministe de bon alois.
Comment Ridley Scott a pu pondre un truc pareil ? Du féminisme à 2 balles. avec une Demi Moore qui joue de son physique (Ah les entrainements bien au ralenti et en gros plan) On pourrait croire à une parodie. Que d'images éculées : le haut gradé avec son cigare... Scénario plus que prévisible : spoiler: la nana qui est rejetée par tous, et qui va retourner tout le monde, et finir en héros au combat
Et c'est quoi cet entrainement qui vire au pugilat proche de la torture. Les seals ont du rigoler en voyant cela. Zut Viggo Mortensen: qu'es tu venu faire dans ce bourbier ?
J'ai voulu voir à quoi ressemblait ce film, j'ai détesté. Violent, stressant, bête... Tout ce que je déteste avec ce genre d'armée, des brimades, de gens qui hurlent sans cesse, des gens traités comme des moins que rien. Une honte d'avoir des représentants comme ça dans les armées. Et elle aussi, elle, commence à parler et à agir comme eux avec cette violence absurde pour entrer dans le moule et s'intégrer et réussir. Est-ce vraiment de l'héroïsme ? Pour moi, c'est perdre toute dignité comme tous ces gens qui se soumettent à ces cinglés de commandants. Il n'est pas nécessaire d'agir comme ça pour avoir une armée de qualité. On peut faire des entraînements durs dans le respect de chacun, cela donnera moins d'abrutis, d'abruties de cette façon et une meilleure armée. L'armée, la guerre, très peu pour moi et encore moins dans une armée pareille... ça, c'est mon avis sur le contenu... Après, pour le jeu des acteurs, ça allait.
Ce film signé Ridley Scott est pas mal du tout, il nous montre ce qu'une femme peut arriver a faire dans l'armée Américaine. il y a beaucoup de scène que je nommerai de futile, cependant ca reste un bon film, j'ai mis la note de 3/5, Demi Moore est vraiment bien dans son role.
G.I. Jane est certainement l’un des films les plus impersonnels de son auteur, quoique ses thématiques et ses obsessions demeurent, plus en retrait, et ressemble davantage à une œuvre de Tony Scott : musique grandiloquente (ici épouvantable), caméra libre et expérimentale, domaine militaire que l’on retrouve à l’identique dans un Top Gun (1986) ou un Crimson Tide (1995). Le parcours de Jordan O’Neill consiste en une mutilation de l’Ève pècheresse, figure biblique de la faiblesse et de la séduction, qui passe avant toute chose par une violence qu’elle s’inflige physiquement et mentalement : elle soumet son corps aux coups, au froid et à l’usure, elle se rase elle-même les cheveux, partage le dortoir des hommes qu’elle sauve au combat, notamment son chef instructeur lors d’une mission de rapatriement qui dégénère. Sa féminité éprouve la virilité telle qu’elle se définit et se pratique dans l’armée : vantardise, répartie et vulgarités sont de mise et constituent le langage de ce microcosme extrême au sein duquel les individualités sont broyées. Si l’ouverture et la clausule souffrent de situations proches du ridicule, avec par exemple l’une des pires idées esthétiques vues chez Scott – la manie de zoomer dans l’image à chaque détonation d’arme à feu –, reconnaissons néanmoins l’efficacité de sa réalisation lorsqu’il s’agit de former les recrues, ainsi que la réflexion plutôt fine sur la place de la femme dans l’armée, articulée à ses retombées politiques. Le cinéaste sait peindre des antagonistes détestables dont les motivations demeurent vraisemblables et, en ce sens, disent quelque chose de l’humanité : la sénatrice Lillian DeHaven rappelle que les avancées de la cause des femmes sont aussi dues à des calculs électoraux et carriéristes ; elle est campée par une Anne Bancroft impériale. N’oublions pas enfin de saluer la performance de Demi Moore, métamorphosée pour son rôle, et qui livre ici une démonstration de son talent.
Juste à voir, toujours la manipulation, et la discrimination et le rabaissement des femmes alors quelles sont aussi forte voir plus que certains hommes.
Comme pour La Chute du Faucon Noir, Ridley Scott, tout comme son frère Tony avec Top Gun, nous mettent en exergue leur amour pour leur patrie adoptive. Comme d'habitude avec les films américains, de guerre, pas grand chose de crédible. Ce pseudo-entraînement des Navy Seals dépasse largement les limites de ce qui est acceptable, et ils en font table rase. J'aime Demi et Viggo, mais là ça ne colle pas. La scène de guerre finale est ce qui m'a tenu le plus en haleine, même si elle arrive comme un cheveu sur la soupe et j'ai un gros doute concernant la géographie : ils disent aller "au Sud", et à ce Sud il y a la mer, mais toute la mer de la Lybie est au Nord ! Le film est sorti pour faire plaisir aux Social Justice Warriors, en ces temps de post-post-féminisme, mais ils risque d'être bien déçus ! A oublier.
Un bon film sur la parité homme femme au sein de l'armée américaine. Ce qui était au départ, juste un coup de pub politique, devient une affaire de grosse ampleur dont l'investigatrice n'en est plus maître. L'histoire d'une femme qui intègre le programme d'entraînement des navy Seal. Si le film ne brille pas par ses répliques, il a pour but néanmoins de nous montré l'instruction et l'entraînement des futurs commandos, même si c'est poussé limite à la torture. Demi Moore est impressionnante, tant physiquement que mentalement, elle s'est quand même rasé la tête. Viggo Mortensen est excellent dans l'instructeur sadique. Un bon film qui fait le travail sans prise de tête
Incroyable : Ridley Scott qui fait du Tony Scott ! Film mineur, bourrin qui semble pouvoir s'accommoder de son pseudo discours féministe uniquement à coups de tatane. Demi Moore - plutôt investie et convaincante - n'a d'autre solution que de se faire pousser l'appendice manquant, en témoigne LA punchline (je vous laisse le soin de la découvrir par vous-même) qui signe la fin de sa métamorphose. Je ne suis pas sûr du message les gars ! Faut boire de la bière et faire des pompes sur une main pour qu'une femme soit considérée ? Alors oui, on peut se laisser divertir si on aime la boue et les pétarades mais alors, évitez la niaiserie du dernier plan, avec ce cher Viggo se retournant dans l'embrasure de la porte, d'une ringardise absolue. Allez, je m'en retourne voir Blade Runner…
Que ce soit dans la marine, l'armée de terre ou l'aviation, il n'a pas été facile pour les femmes de se faire admettre, aux USA ou ailleurs. Les pionnières ont du affronter la misogynie exacerbée des militaires qui n'admettaient pas leur présence. Le film de Ridley Scott porte sur ce thème avec, en plus, l'aspect politique sous jacent qui va interférer dans ce sujet. C'est assez habile finalement de montrer qu'une femme d'exception pouvait gagner sa place dans ce monde d'hommes si elle luttait « à armes égales ». spoiler: Sauf que justement, elle finit par comprendre que ses supérieurs ne veulent surtout pas qu'elle réussisse et que c'est un handicap insurmontable. Et donc que tous les prétextes sont bons pour la dissuader y compris la calomnie. Seulement cette combattante ne va pas lâcher le morceau si facilement et va remonter à la source. La réalisation est typiquement américaine dans ses exagérations mais le principal, c'est que ce film d'action se regarde sans ennui malgré sa longueur.
C'est pas compliqué, Ridley Scott est capable du meilleur comme du pire!! Malheureusement pour nous, cet "A armes égales" appartient à la seconde catégorie. Après avoir atteint les sommets de la stupidité l'année précédente avec "Lame de Fond", le voilà qui recommence avec l'histoire de cette femme qui entre dans les Navy Seals, le corps de l'armée américaine le plus difficile. Rempli de clichés plus débiles les uns que les autres, la première partie savait se faire regardable à défaut d'être transcendante, mais le tout est plombé par la seconde partie dont on devine chaque rebondissement à l'avance (normal, on les a déjà vu dans un million d'autres films!!). Dommage pour Demi Moore qui semble s'être pas mal impliqué dans le projet, mais quand on sait pas jouer, difficile d'y faire quelque chose. Quant à Viggo Mortensen, il livre une prestation pathétique mais lui, contrairement à sa collègue, prouvera plus tard qu'il est un grand acteur. Un Ridley Scott qu'il vaut mieux oublier!!
Quel que soit l'employeur, la ségrégation fondée sur l'appartenance ethnique, le sexe et la nationalité reste un problème majeur dans le monde entier et ce n'est pas acceptable.
Les dirigeants corrompus n'aiment pas les personnes de qualité qui ont des valeurs et refusent leurs concepts immoraux: tricherie, mensonge, escroquerie et vol, car toute personne agissant de bonne foi réaffirme son attachement à l'état de droit et est capable de tenir la distance.
Les gens bien intentionnés se battent non seulement pour eux-mêmes, mais aussi pour leurs coéquipiers et le plus grand bien / bien commun. C’est cette Force qui les fait gagner à la fin, car comme le dit Peter Parker : «Quoi qu’il arrive, quelle que soit la bataille qui fait rage en nous, nous avons toujours le choix. »
Demi Moore réalise une performance phénoménale, qu'elle qualifie justement comme sa « plus grande fierté professionnelle » dans ses mémoires « Inside Out ».
Un film d'action banal et même plutôt mauvais. On ne sait pas trop ce que Demi Moore a voulu prouver (qu'elle pouvait interpréter une femme qui peut être aussi vulgaire qu'un homme ?). De plus, pour celles qui trouvent Aragorn (Viggo Mortensen dans le Seigneur des Anneaux) sexy : ne regardez pas ce film sous peine d'avoir un choc violent, dû à un short ridicule laissant voir des jambes maigres ; de plus il porte très mal la moustache. Bref, l'histoire de ce Rambo féminin n'est vraiment pas intéressante.
Le thème abordé présente un certain intérêt, chacun aura sa propre opinion sur lui ce qui aura le mérite de capter l'attention du spectateur. Mais suivant votre opinion personnelle vous aimerez ou n'aimerez pas ce film. Il ne s'agit pas ici de goût mais de valeurs morales personnelles.
D'un point de vue purement cinématographique le film reste potable sauf pour les deux seules scènes d'actions affreusement réalisées dignes des plus gros navets ! Les explosions, les bruitages, les effets de caméras ridicules ! Une purge !
Le film le plus vulgaire, sexiste, violent, bête et sans intérêt sur l'armée. Je ne l'avais jamais vu et bien, j'aurais vraiment dû continuer à l'ignorer. Et dire que c'est Ridley Scott qui a réalisé cette magistrale et indigeste daube. A vomir.