Je comprends pas l'engouement que provoque ce film. Pacino est bon, on peut pas nier une certaine ambiance, un sentiment d'atmosphère par moment.. Ce 'classique' reste au travers de son scénario de, parfaitement évitable.
Un casse de banque qui tourneà la prise d'otages, une vie personnelle expose au grand jour, c'est l'apres midi de chien d'Al Pacino qui est encore tres bon. Va t'il reussir à s'en sortir.
Comment dire...c'est une farce ce film rassurer moi?!! Certain passage sont à mourir de rire et je ne pense pas que ce soit le but du film.Sa frise l'amateurisme par moment,et ces moment sont malheureusement nombreux...C'est malheureux à dire pour un film qui je suis sûr voulez être le plus réaliste possible du fait que ce soit une hisoire vrai.A noter l'histoire d'homosexualité qui est très surprenante...je vous laisserez juger sur ce coup la.Je ne comprend vraiment pas les critiques qui cris au chef-d'oeuvre...c'est incroyable ont a pas dû voir le même film!Bref un film vraiment surprenant mais pas dans le bon sens...
Ennuyeux. Terriblement ennuyeux... Il ne se passe rien dans ce film: aucune émotion, aucune scène d'action, aucune réplique amusante, QUE DALLE!!! Et le scénario? Il se résume à ces quelques mots: braquage raté d'une banque par deux loosers qui très vite sont cernés par les flics. Voilà. C'est tout. Jugez par vous-même...
Un braquage dense et sous tension qui prend des allures médiatiques signé par le cinéaste inspiré Sidney Lumet en 1973 !! Une attaque de banque maladroite relèvant il faut le dire de l'amateurisme de deux braqueurs va se transformer en un phénomène médiatique ou la police arrive vite sur les lieux et les curieux du public encerclent les lieux. Leurs noms, Sonny et Sal, le premier sortira souvent de la banque sans arme pour négocier, parler avec les négociateurs et agitera souvent la foule qui l'acclame alors qu'à l'intérieur, les employés s'entraident sans pression (la police ne sachant pas grand chose) et les preneurs d'otages sont plutot cools mais dépassés par les événements extérieurs sous tensions. Un long métrage ménagé de suspenses riche en rebondissements qui possède aussi d'une bonne dose d'humour sur des faits qui se sont avérés vrais. Sidney Lumet a souvent fait dans sa carrière des films dans le milieu des médias comme ici ou l'antihéros et son collègue sont traités comme des stars par la foule extérieure (avec une rumeur qu'ils sont homosexuels), ils sont interprétés par Al Pacino tout en sueurs remarquable,le regretté John Cazale disparu à la fin des années 70 et le reste du casting excellent. Un sommet du genre a voir et revoir.
Voilà un film qui semble daté quand on le voit mais qui pourtant ne vieillit pas. Sydney Lumet au top de sa forme et Al Pacino au début de sa gloire. Une prestation hallucinante qui lui a valu une nomination aux Oscars. Un classique.
Un film de braquage hors du commun car il montre des braqueurs tristement communs. C'est l'histoire d'un braquage qui ne peut que mal tourner car mal préparé et exécuté par deux bras cassés (le troisième laissant tomber dès les dix premières minutes du film dans un retournement surprenant) le film ne manque pas de moment drôles tant le ridicule de certaines situations prête à rire, mais en même temps dramatique tellement les personnages très commun du film sont rapidement plongés dans une situation qui les dépasse totalement. Le film repose en grande partie sur un Al Pacino désarmant et John Cazale qui complète parfaitement le duo de braqueurs amateurs plus guidés par la peur que la détermination. Bien loin de l'héroïsme du film de gangster un après midi de chien est un film multipliant les sentiments qui le rend très vivant.
« Attica ! Attica ! Attica ! ». Le 22 août 1972, John Wojtowicz et Salvatore Naturale braquent un établissement bancaire dans une rue de Brooklyn. De ce simple fait divers, Sidney Lumet tire un film génial, à la mise en scène solide et immersive. Tragédie sociale dans un premier lieu, « Un Après-midi de Chien » est un peu plus que ça. Déjà, le ton employé est, malgré la tension constante, régulièrement propice à l’humour et nous entraîne rapidement à éprouver, à l’instar même des otages, une réelle sympathie pour ces pathétiques apprentis gangsters. Ceci est d’autant plus tangible lorsqu’on découvre la vraie motivation de Sonny à commette ce délit. Pour ce rôle - l’un des plus grands de sa carrière -, Al Pacino déroule un max et s’accapare à lui seul l’écran, relayant ses partenaires au second plan à commencer par un inquiétant John Cazale qui, loin de démériter, ne peut guère rivaliser.
Inspiré d’une incroyable histoire vraie, ce quasi huis-clos prend pour cadre une petite agence bancaire de Brooklyn par une journée d’été caniculaire typique de New-York. Le projet d’Al Pacino – l’acteur est génial du début à la fin – et de son complice John Cazale ? Braquer cette banque. Mais leur impréparation et leur amateurisme vont rapidement rendre l’entreprise ridicule : leur troisième partenaire les lâche au bout de deux minutes, les coffres sont vides, et surtout, la police va rapidement encercler le bâtiment, du fait de l’excès de zèle d’un flic qui va rendre dangereuse une situation a priori plutôt sous contrôle. Dépassant le burlesque pur de sa première demi-heure, Un après-midi de chien va se muer en un portrait implacable d’une Amérique rongée par ses excès, nous offrant la critique acerbe du sensationnalisme des chaînes de télé intéressées par le potentiel de divertissement de cette prise d’otage, et aidées par l’envie de tout à chacun de connaître son fameux quart d’heure de gloire. Développant un discours plus politique encore, Sidney Lumet évoque aussi au cours de séquences mythiques la situation des minorités noires et homosexuelles aux États-Unis. Puis, ce long-métrage au scénario plein de surprises bifurque sur un drame plus intime et absolument bouleversant, donnant des indices sur la motivation profonde des principaux protagonistes, qui à aucun moment ne sont jugés. Une mise en scène remarquable d’inventivité pour un film étonnant, détonnant et jamais manichéen.
Un classique de 1975 que je n'avais encore jamais vu : c'est maintenant chose faite. On entre directement dans l'action dès le début du film, qui est inspiré d'une histoire vraie. C'est très bien interprété (on s'en doutait), mais j'ai quand même trouvé que c'était un peu long, et soporifique sur la fin, peut-être à cause de l'absence de musique. Bon film tout de même, avec quelques scènes mémorables.
Je croyais être fan de Al Pacino avant de visionner ce film. Maintenant j'en suis certaine. Je n'ai pas encore vu tous ses films mais en comptant ceux que j'ai vu, je pense qu'il livre là sa meilleure interprétation, car c'est celle qui est la plus authentique et touchante. A la base, le scénario, tiré d'une histoire vraie, est intéressant vu qu'il s'agit là d'un braquage de banque. Ce drame psychologique de Sydney Lumet analyse avec acuité les comportements : voyeurisme de la foule, faiblesses bien humaines des otages, nervosité ou sang-froid des policiers, et surtout le désarroi et la fragilité mentale d'un paumé, Sonny, bousculé par le Viêt-Nam et par son homosexualité, qui ne résiste pas au vertige de se trouver soudain sous les projecteurs. Il y a de ces films qu'on a juste envie de revoir une fois arrivé à la fin.. "Un après-midi de chien" est un chef d'oeuvre à découvrir de toute urgence !
Un film de braquage atypique, et c’est peu de le dire. « Un après-midi de chien » est constamment surprenant et à coté des stéréotypes. Les personnages ont des réactions ordinaires, et du même coup rendues dérisoires par la gravité exceptionnelle de leur situation. La situation sentimentale du principal protagoniste, ses motivations profondes (un père de famille marié aussi à un homme et voulant lui payer son changement de sexe) sont dans la continuité, inattendues et décalées. Lumet filme avec naturel et empathie des personnages et des situations à contre courant. La mise en scène des hystéries médiatiques, spectaculaires et policières est étonnamment clairvoyante et moderne, quand on pense qu’elle date de la fin des années 70. C’est un excellent suspense en huis clos, et en même temps un film qui nettoie le regard de la bêtise conservatrice. Al Pacino y est formidable, bien entendu
Enième film puissant, efficace, intelligent comme les années 70 savaient en faire. Un braquage par deux branquent qui ne savent pas encore que c'est la journée de leur pire poisse. John Cazale stressé et apeuré, Pacino habité pour deux perdants qui s'enfoncent dans la mouise. Chef d'oeuvre pessismiste.