Après avoir rencontré un certain succès, ce film a connu une suite intitulée Beaux mais pauvres.
Pauvres mais beaux s'inscrit dans le courant du "néo-réalisme rose", un mélange de certains aspects du néo-réalisme avec ceux de la farce.
Il s'agit du film qui a définitivement révélé le cinéaste Dino Risi au public et aux professionnels.