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    Piège à Hong Kong
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    59 critiques spectateurs

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    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 097 abonnés 3 970 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2012
    J'ai du mal avec l'appellation "nanar volontaire". Je veux dire un nanar est un mauvais film dont on peut rire à ses dépens. Mais si on fait volontairement de la merde en espérant que ça soit drôle c'est plus vraiment un nanar c'est soit une bonne comédie soit une merde immonde. Je prends l'exemple de Poultrygeist qui joue largement sur un côté nanar, mais c'est assumé de bouts en bouts le côté ultra con et ultra cheap. Du coup j'aurai tendance à considérer ça comme un bon film.
    Et c'est un peu la même chose pour ce piège à Hong-Kong. C'est le genre de film qui a une histoire particulière, une sorte de vengeance et d'humiliation constante de JCVD. Je dois dire que ça me fait rire, mais ça me fait rire parce que Tsui Hark a voulu que ça fasse rire.
    Enfin je me demande qui est le plus ridicule JCVD ou bien Rob Schneider ?
    Enfin toujours est-il que c'est un film devant lequel il ne faut pas comprendre grand chose j'ai l'impression parce que si en apparence le scénario a l'air plein de rebondissements, j'ai l'impression que c'est juste n'importe quoi, machin est un espion mais en fait non, en fait c'est bidule qui est un agent double… impossible de s'en sortir. Et chaque scène est l'occasion d'expérimenter, d'engager un combat sans raison narrative valable.
    En fait c'est n'importe quoi. Alors certes ce n'importe quoi défouloir n'est pas forcément aussi maîtrisé qu'un autre Tsui Hark, mais tout de même, on retrouve dans les scènes d'action (et même les autres) un goût pour l'expérimentation visuelle et des combats vraiment bien foutus ce qui permet d'osciller entre comédie grasse où JCVD fait une course de pousse pousse vraiment bien foutue (malgré le ridicule évident de la situation) et bien humiliante et quelques combats bien rendus et bien sentis.
    En fait Tsui Hark s'est fait plaisir aux frais de la princesse. Il devait en avoir rien à foutre du tout et il a essayé des trucs et parfois même si c'est pourri, tant pis, il a essayé. Et le film va tellement vite qu'on a pas le temps de se faire chier, finalement pour une ôde à la médiocrité ça passe plutôt bien et c'est pas si mal.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 juin 2008
    Merci à M6 d'avoir passé à plusieurs reprises ce film, véritable leçon de cinéma de la part de Tsui Hark. Leçon 1 : Comment ridiculiser un acteur (Van Damme) qui m'a fait chier sur le tournage de mon précédant film ("Double Team")? En lui collant le partenaire comique le moins comique de l'histoire du cinéma, le genre de type capable de vous fouettez le cul avec une anguille dans une course de pousse-pousse. Ou encore, pourquoi pas faire chanter à Van Damme de la variété chinoise, on est plus à une faute de goût près. Leçon 2 : J'ai plein de sous pour mon film et je sais pas quoi en faire. Pas de problème, je vais tout banquer sur la technique, avec des plans grandioses et expressionnistes. Tiens, je vais faire le 1er insert dans une chaussure de l'histoire du cinéma. Non, moi Tsui Hark, j'ai pas peur d'être novateur (ou ridicule). Et que dire de ces flammes vertes (qui on sans doute inspirer les créateurs de Matrix). Les mots me manquent. Leçon 3 : Donner à mes producteurs et acteurs un scénario tellement con et bordélique et dire que Van Damme est dedans comme ça, personne n'aura le courage de me dire qu'il n'a rien compris à un film avec JCVD et j'aurais plein de sous et des acteurs, tant pis s'ils sont mauvais.
    Vous l'aurez compris, ce "Piège à Hong Kong" est un nanar de choix, réalisé par un Tsui Hark qui assume et revendique la connerie de son film et avec un Van Damme parait-il cocaïné à mort, totalement absent c'est vrai lors de certaines scènes. A voir et à revoir car les amateurs de nanar et d'action pure et dure y trouveront sans problème leur compte.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 443 abonnés 4 467 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2013
    Piège à Hong Kong est un film un peu déconcertant. Honnêtement je suis certain qu’il doit avoir ses fans absolus, et ses détracteurs les plus vifs. Pour ma part je vais essayer d’avoir un jugement objectif.
    Niveau casting le film repose surtout sur un trio surprenant, dominé par Van Damme. Celui-ci s’en tire plutôt bien. Au niveau de l’action il a l’air un peu cuit sur ce film, mais il a le mérite de ne vraiment pas se prendre au sérieux, et de jouer, au sens propre, la comédie. Cela ne lui est pas arrivé très souvent (je me souviens de The Order) mais il est assez doué, et je pense qu’il devrait s’orienter peut-être un peu plus vers le second degré. Ensuite on a Rob Schneider. Il est sympathique ici, et livre un rôle qui n’est pas excessif. Clairement le risque avec cet acteur dans ce type de rôle, c’est de surjouer l’acolyte aux blagues à deux balles bien lourdes, voir franchement salaces. Schneider évite le problème, et donne une interprétation assez plaisante, même si on ne croit pas deux secondes qu’il est espion. Enfin Lela Rochon. Charmante, elle impose une belle présence, et arrive franchement à se frayer une place entre les muscles de Van Damme, et les discours de Schneider. Elle est probablement un des intérêts du film.
    En sommes l’interprétation est solide, pour ce qui est du trio principal du moins, car pour le reste c’est transparent.
    Le scénario relève lui du n’importe quoi. Il part sur des bases originales, aborde une thématique assez rare (celle de la contrefaçon), et semble prometteur. Pourtant non. Il vire au tiers du film au métrage d’action ultra-banal avec une sombre histoire de mini-bombes peu convaincante. D’ailleurs le film donne vraiment cette impression de cassure. La première partie est bien, mais Hark donne l’impression de ne plus savoir comment faire avancer la sauce, alors il part sur une nouvelle histoire peu intéressante. Le rythme est au rendez-vous en revanche, de ce point de vue vous ne vous ennuierez pas.
    Reste donc l’aspect formel. La mise en scène d’abord. Elle est atroce. Tsui Hark rate complètement le coche avec un travail qui se veut original, je n’en doute pas, mais qui au final ressemble à n’importe quoi. Il y a des plans qui ne riment à rien (voir la chaussure de Van Damme de l’intérieur c’est peu passionnant, pourquoi pas son caleçon tant qu’on y est !), les combats sont pour l’essentiel illisibles, et m’ont rappelé les derniers films de Seagal. Je veux bien qu’il y ait une doublure, mais faut quand même que ce qui apparait à l’écran soit un minimum compréhensible. Le montage est haché par ailleurs, avec de grosses ellipses, et je pense pas mal de faux raccords. La photographie est loin d’être extraordinaire. Elle ne rend presque rien de l’atmosphère d’Hong Kong. Les décors sont vraiment justes, et eux aussi, à quelques éléments près (dont un gigantesque Bouddha) ne donnent pas le sentiment que le film se passe en Chine, voir même en Asie. Ils ne sont pas fameux malgré les 35 millions assez confortables de la production. Les scènes d’action, hormis les combats, sont bizarres. Elles ne sont pas toutes mauvaises, et il y a notamment quelques passages sur le bateau à la fin qui valent leur pesant de cacahuètes. A la limite regardez ce passage, et vous aurez vu le meilleur du film. Par contre, les scènes pyrotechniques sont bizarres. Les explosions en effet sont vertes. Le problème c’est que ce n’est pas constant, puisque juste après elles peuvent être normales. Alors outre que cela surprend au début, d’autant que l’on n’a pas d’explication, au bout d’un moment cela devient assez risible, de voir toute cette fumée estampillée « green lantern » se dégager. Bon, comme le film est très second degré, à la limite on peut lui pardonner. Enfin, niveau musique, il n’y a rien de particulier.
    Pour conclure sur ce film, n’allez le voir que si vous aimez Van Damme dans le second degré. Si en effet Piège à Hong Kong est très dynamique, et s’avère assez généreux avec son spectateur, en revanche il est de bout en bout à la limite de la comédie d’action. Il a par ailleurs de réels défauts, et c’est vrai que les combats mal conduits ca reste un peu en travers de la gorge. Je lui mets 2 pour des acteurs pas mauvais (ils ne sont pas géniaux non plus), du dynamisme, un humour bienvenu, une idée de départ sympa, et quelques scènes d’action originales et surprenantes. Malheureusement ses défauts sont beaucoup plus sérieux que ses qualités.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 avril 2012
    Un immense nanar réalisé par un Tsui Hark un peu à l'ouest qui n'a que deux objectifs ici: humilier Jean-Claude Van Damme suite à son attitude insupportable sur le tournage de "Double Team" (1997) et tester deux-trois pirouettes de mise en scène pour voir si ça passe bien à l'écran en vue de ses prochains films. Un long-métrage aux intentions vicieuses et au résultat non seulement décevant, mais également ridicule. A zapper.

    Voir la critique de Matt en intégralité et en vidéo :
    http://www.youtube.com/watch?v=e1JRJIsucgI&list=PL178420048E64F069&index=7&feature=plcp
    pierrre s.
    pierrre s.

    443 abonnés 3 312 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2021
    La mise en scène de Tsui Hark est complètement dingue et son cocktail action /humour, réussi à nous divertir. Malgré un scénario abracadabrantesque, et des acteurs qui jouent souvent en roues libres. Pas vraiment un film calibré "Van Damme " mais plutôt une expérience cinématographique.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 août 2019
    Knock off n'a de sens dans la carrière de Tsui Hark qu'en le considérant comme un métrage de milieu de trilogie. Il faut en effet avoir vu la première escapade du réalisateur hong-kongais en Amérique, Double Team, et son retour en terres natales, Time and Tide, pour mesurer toute l'étendue du bras d'honneur qu'il a lancé au système hollywoodien, voir au cinéma en général, au travers d'une oeuvre qu'on pourrait qualifier de volontairement idiote au propos des plus intelligents.

    Se servant de la bêtise de ses personnages et de la banalité de son scénario comme principal argument de vente (avec la présence d'un Van Damme rendu, sûrement volontairement, complètement écervelé), Tsui Hark emploie un belge et un américain pour jouer les deux rôles principaux, occidentaux montrés comme hilares, simplets, incapables de piner le scénario qui se profile à l'horizon.

    Le rôle explicatif, de découverte des éléments importants de l'intrigue reviendra la plupart du temps aux natifs d'Hong Kong, essentiels à la bonne compréhension et, forcément, conclusion de l'intrigue. Nos amis américains (notamment interprété par un belge en plein surjeu, comme à l'accoutumée) serviront seulement de prétexte pour nous livrer des scènes de combats excellentes (avec une extraordinaire gestion des décors, en témoigne la superbe séquence du cargo à container, gérée de main de maître par un Tsui Hark revenu du désastre Double Team) et des coupures humoristiques pas toujours très fines (la course en pousse-pousse reste un sacré moment de vannes lourdes), à l'image de leur personnalité de magouilleurs.

    Ce n'est d'ailleurs pas pour rien si le film se nomme Knock Off : terme signifiant contre-façon en anglais, Piège à Hong Kong (de son titre français à côté de la plaque) se base, premièrement, sur les pastiches de marques célèbres, entre le mal défini et le mal orthographié, nos deux comparses américains tendant de rendre l'arnaque. On pourrait y voir une sorte d'amusement de la part de Tsui Hark, réalisateur révolutionnaire de nombreux films de sabres et de kung-fu devenus, dès leur sortie, des pierres angulaires du genre, qui va filmer un Jean Claude Van Damme la carrière en chute libre, et qu'il pourrait considérer, à juste titre, comme une contre-façon des grandes stars du combat et des films d'action qu'à pu livrer au monde le cinéma Hong-Kongais.

    Ce n'est peut-être pas pour rien si le film décide de le rendre béat, seulement bon à se battre : n'est-ce pas là tout ce que l'on demande à l'interprète, de se battre sans jouer? Van Damme n'étant pas connu à l'époque pour ses prouesses d'acteur (ni même maintenant), le recul de Tsui Hark sur la carrière et la personnalité de son acteur principal imposent le respect, au point qu'il ira jusqu'à le tacler, à mainte reprise, sur sa personnalité d'actioner à toute épreuve.

    A ce sujet, c'est au moment de l'indépendance de la ville natale de Tsui Hark que vient s'ajouter un deuxième axe d'analyse : Knock Off, s'il critique le cinéma américain, les cinéastes hong-kongais qui se vendent à l'Oncle Sam et son acteur principal, se situe également à une période charnière de la carrière de son réalisateur. Dégoûté de son expérience en Amérique avec Double Team, il livrera ici son testament outre-atlantique, avant de retourner dans son pays pour réaliser Time and Tide, et donner une nouvelle leçon de cinéma aux nouvelles générations.

    On pourrait donc considérer Kock Off comme le film de l'indépendance pour son réalisateur : livré à un monde occidental étranger, malmené par des studios incapables de baisser leur contrôle pour laisser s'exprimer toute sa personnalité de metteur en scène, il livre ici une critique fantastique d'un système de production reproduisant des pastiches de ses anciens succès, avec toujours la même recette copiant les maîtres étalons du genre, sans rien apporter d'autre au spectateur qu'un divertissement porté par une star qui leur est chère, avec un quota d'explosion écrasant le peu d'enjeux qu'on pourrait y trouver.

    Le plus dans tout ça, c'est Tsui Hark qui déclare son indépendance comme en introduction de film, se barre aux chants d'honneur pour faire, directement ensuite, l'un des meilleurs films d'action de sa carrière. Prodigieux !
    Ti Nou
    Ti Nou

    509 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2021
    La présence de Tsui Hark derrière la caméra apporte à ce film d’action un grain de folie qui le hausse au-dessus des habituelles productions portées par Jean-Claude Van Damme. Certes le réalisateur Hongkongais se fout complètement de son intrigue tarabiscotée mais, moins bridé que sur sa précédente expérience avec l’acteur, il fait preuve d’une belle inventivité et de générosité lorsque ça se castagne, quitte à expérimenter tout et n’importe quoi.
    g0urAngA
    g0urAngA

    85 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2014
    La Chine est à la veille de reprendre possession de Hong Kong. Marcus Ray (JCVD), tente de faire échouer un groupe de terroristes chinois qui veulent semer des micro-bombes à travers toute l'Amérique.

    Tsui Hark livre ici une jolie claque d'une force inédite, figurant probablement dans le top 5 des meilleurs Van Damme.

    À travers une caméra monstrueuse qui s'engouffre partout, proposant une idée par plan, le film est sans conteste un très bon divertissement ...
    NeoLain
    NeoLain

    5 067 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 décembre 2008
    Une catastrophe ! On savait que ca n'allait pas très fort pour Tsui Hark et Jean-Claude Van Damme, mais là, ca dépasse les limites de l'entendement. Un scénario idiot, un montage effectué sous cocaine et des effets spéciaux PlaySchool.
    7eme critique
    7eme critique

    540 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    C'est vraiment pensé, écrit et tourné à la va-vite. "Piège à Hong Kong" jongle entre l'enquête et la comédie pour finalement donner la recette du "ridicule". Ce n'est pas dans ce genre d'exercice que l'on attend (attendait) Van Damme même si la légèreté du film le rendra un peu plus divertissant et tout public, et encore...
    sword-man
    sword-man

    87 abonnés 1 017 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2012
    Sur un scénario assez tordu et pauvre, comme beacoup de films d'actions, Tsui Hark signe là un film expérimental ou le mauvais goût trouve son plaisir. Montage speed, idées visuels et de mise en scène s'enchainant sans cesse, même Van Damme est speed c'est dire.
    Romain Pinel
    Romain Pinel

    38 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 mars 2009
    Van damme c'est comme l'herpès , on croit s'en être débarrassé mais en fait il revient à chaque fois et toujours aussi virulent.En plus derrière la caméra on retrouve cette grosse tâche de Tsui Hark qui nous a encore concocté un scénario débile pour un film qui ne l'est pas moins.La vérité c'est que je me rappelle m'être ennuyé pendant une bonne heure et il n'y a que la fusillade finale qui m'a sortit de ma somnolence et ce juste pour constater une succession de tarte dans la gueule donné en pack de cinq par un JCVD invincible.Pas la peine de parler des acteurs ou des dialogues , ce ne serait que pure perte de temps , sachez juste que ce truc ressemble à tout sauf à un film.
    Alex styles 77
    Alex styles 77

    3 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2010
    La ribambelle de cascades dans les rues d'Hong kong est réjouissante mais ne suffit pas à masquer les insiffisance du casting et un scénario pour le moins rocambolesque.
    yoyo114
    yoyo114

    42 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 avril 2009
    Un film décousu, fait à la va vite et un scénario prétexte à une série de longues et ennuyeuses scènes d'actions, notamment à la fin. On attend que ça démarre mais c'est déjà la fin. Plutôt raté.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 octobre 2010
    Des "rumeurs" font état d'une équipe de tournage et d'acteurs (JCVD en tête) camés jusqu'au fond des yeux (qu'ils ont étrangement rouges), d'où sans doute l'espèce de folie furieuse qui se dégage de ce Knock Off jouissif et en roue libre totale. Un film pour lequel j'éprouve une tendresse particulière.
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