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    La Chute de la maison Usher
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    3,9
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    22 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 octobre 2011
    Inspirée de deux romans de Edgar Allan Poe, Jean Epstein nous transportes dans cette univers à la fois sombre et envoûtant à travers un film muet avant-gardiste de la fin des années 20.
    Sur les thèmes de l'amour, de la mort et peut-être même du deuil, le film se passe tranquillement sur une atmosphère glauque et étrange avec comme musique de fond des airs lyriques ou médiévaux qui donne un tout autre aspect à la scène.
    Le film se passe de toute énergie inutile et seul l'angoisse et l'intrigue sont les maîtres mots accompagnés de musiques qui leur sont spécifiques pour rendre le spectateur hypnotisé.
    Le film comporte aussi une photographie assez étrange, les ombres et les personnages ressortent autant que les décors.
    Question acteur, ils ont aussi des mouvements et des expressions spécifiques, le héros,lui, aux sourires de fou et aux gestes un peu maladroit nous donne l'impression d'un sentiment d'insécurité.
    Quant au personnage de Madeleine, au visage pâle et aux gestes égarés nous intrigue et en même temps arrive à nous hypnotiser, le montage et les ralenties font tout pour donner à l'actrice l'allure d'un fantôme.
    Au therme de cette histoire, une scène final difficile a percevoir dont les images pourrait être comparé a celle que l'on fait en rêve.
    Un film qui n'est pas à ignorer pour les cinéphiles et les fans de Epstein.
    benoitparis
    benoitparis

    113 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juillet 2009
    L’être effacé par sa représentation et son retour dévastateur. La vengeance de l’anima… Le film prend à l’expressionnisme les jeux de contrastes entre les ombres et les lumières, l’expressivité des visages. Le surnaturel est suggéré par le symbolisme des images et leurs traitement cinématographiques : surimpressions, ralentis et suspensions d’actions, flous vaporeux… Ça rappelle le « Vampire de Dreyer. La musique d’accompagnement de la version projetée à la Cinémathèque était non seulement belle mais très pertinente (notamment pour l’esprit très celte du film). Bref une beauté rare. Où l’on s’aperçoit que le cinéma s’est bien banalisé depuis les avant-gardes des années vingt.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    702 abonnés 3 053 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juin 2019
    Soucieux d’inscrire son cinéma dans la réalité et d’en saisir ce qu’elle peut avoir de fantastique – de la même manière qu’Honoré de Balzac recourait au fantastique dans Le Peau de Chagrin, par exemple, pour embrasser la réalité, contenant en elle-même le surnaturel –, Jean Epstein construit son adaptation de Poe comme une montée en effets : d’abord utilisé avec parcimonie, le langage cinématographique (ralentis, surimpressions, gros plans et autre mouvement de caméra) dont le cinéaste s’est rendu maître au cours de ses films précédents s’immisce peu à peu dans l’image, sortant toujours de la matière du réel. Les objets du quotidien servent d’intermédiaires au surnaturel : un tableau, une chaise posée là dans une pièce trop grande et balayée par les vents, une taverne ; tous ces éléments se chargent progressivement d’un mystère, de l’absente que l’on enterre et qui pourtant revient à la vie. On pourrait dire que La Chute de la Maison Usher suit une entrée en possession par le prisme du réalisme : la parole prédomine, comme souvent dans les premières œuvres d’Epstein, et sont rapportées, pour l’essentiel, via des intertitres. Notons d’ailleurs que Poe n’est présent ici que sous la forme de « motifs » : portrait du cinéaste en peintre capable de non seulement restituer le gothique de l’auteur, mais surtout de s’approprier son univers pour y rejouer ses thèmes de prédilection, à l’instar de la nature environnant les protagonistes et répétant, sur une échelle cosmique, la lutte que se livrent, dans le château, des énergies individuelles. La Chute de la Maison Usher impose au spectateur son identité esthétique novatrice et grave la rétine d’images aussi sublimes qu’inquiétantes. « En vérité, c’est la vie même ». Immense.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2016
    Le fantastique des nouvelles de Poe attira très tôt les cinèastes, et le metteur en scène français Jean Epstein fut l'un des premiers à tenter de recrèer au cinèma le monde et l'angoisse du nouvelliste amèricain! Rèalisèe en 1928, donc en muet, "La chute de la maison Usher" reste aujourd'hui encore l'une des plus remarquables adaptations cinèmatographiques de l'oeuvre de Poe! Ce classique du genre mèrite une mention particulière! Diverses adaptations avaient dèjà ètè faites de cette nouvelle! La plus cèlèbre, rèalisèe par Epstein, fut une des dernières oeuvres de cette première avant-garde française! Epstein fut un thèoricien ambitieux, bien que discutable, et un rèalisateur irrègulier! A cette èpoque, il commençait dèjà à èprouver les difficultès qui n'allaient pas tarder à le diriger vers le documentaire et, plus tard, le condamner à une inactivitè presque complète! il accumula dans "La chute de la maison Usher", oeuvre curieuse et surchargèe, toutes les recherches visuelles qu'il faisait à l'èpoque et que le caractère fantastique de l'intrigue lui permettait d'y introduire! Sans être un chef d'oeuvre, ce muet, visuellement fascinant dans son atmosphère lugubre, est une des dernières oeuvres significatives des inquiètudes de son auteur et des recherches du groupe français qui s'ètait alors formè autour de Delluc...
    real-disciple
    real-disciple

    85 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2012
    Le film accuse de sérieuses longueurs et l'intrigue n'est pas assez travaillée car on comprend pas tout ce qui se passe. Néanmoins il faut le voir car c'est un des premiers films fantastiques français et on a droit à des plans originaux qui renforcent vraiment le côté surnaturel.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 septembre 2008
    Des images à l'esthétique intéressante mais c'est un peu tout.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    765 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2009
    Premier film que je visionne de Jean Epstein et je dois reconnaître que je l’ai trouver vraiment très réussi. Il s’agit d’une adaptation de la nouvelle de Allan Edgar Poe que j’ai hélas lu il y a très longtemps et dont je me souviens presque rien.
    En tout les cas, la mise en scène est extrêmement brillante, la musique d’accompagnement apporte beaucoup de mélancolie et nombres de séquences nous reste en mémoire ( notamment la fameuse scène de la destruction du château ).
    L’interprétation est excellente, notamment celle de l’étonnant Jean Debucourt dans le rôle de Sir Usher Roderick.
    Bref, il s’agit d’un film vraiment magnifique et qui me donne à la fois particulièrement envie de découvrir le reste de l’œuvre de ce metteur en scène, mais aussi de redécouvrir l’œuvre de Edgar Poe.
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 décembre 2020
    Attention, cette critique révèle des éléments déterminants du long-métrage. C'est un film qui tient sur une idée magnifique : à mesure qu'un homme affine le portrait peint de sa femme, celle-ci se meurt progressivement. L'art et la destruction sont constamment liés dans "La chute de la maison Usher", une union dont la mise en évidence passe par des idées modernes, complémentaires et envoûtantes ; en effet, les choix opérés par Epstein confèrent au film une atmosphère poetico-fantastique : la musique, les ralentis, les surimpressions ou encore le contraste entre un noir charbonneux et un blanc aveuglant permettent ce mélange de lyrisme et d'inquiétude sans que l'on sache toujours pourquoi. C'est la beauté du film de tracer une ligne simple tout en maintenant des zones d'ombre qui rendent l'ensemble assez mystérieux. Ces brèches s'inscrivent notamment dans l'impossibilité de saisir dans sa totalité le retour à la vie de cette femme qui refuse d'être enterrée et la connexion opaque entre la nature et le château, D'ailleurs, si l'extérieur et l'intérieur ont d'abord une relation antinomique, les deux finissent par cohabiter ; et au fur et à mesure que les deux fusionnent, la vie (la femme peinte puis la femme réelle) et la mort (la femme réelle puis le château qui s'effondre) s'entremêlent en permanence. Le film n'est toutefois pas exempt de longueurs, notamment dans une partie centrale quelque peu redondante qui perd en inspiration – la forme du moyen-métrage aurait à ce titre été plus adaptée –, mais la puissance et la cohérence globales de sa mise en scène créent des images neuves et, encore aujourd'hui, singulières.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 août 2007
    Au risque d'en décevoir certains, je ne porte pas sur mon coeur les adaptations au cinéma de l'oeuvre d'Edgar Poe signées Roger Corman. Ce sont des films soignés, certes, mais qui pêchent du point de vue du scénario (tirer un long métrage de ce qui constitue à l'origine une nouvelle est toujours un exercice périlleux). Jean Epstein, illustre cinéaste français, et théoricien du cinéma reconnu, évite le piège de deux façons : son film ne dure qu'une heure dix et mêle habilement deux nouvelles de Poe, Le portrait ovale et La chute de la maison Usher. On devine bien l'influence de l'expressionnisme allemand, mais Epstein a tout compris de Poe. Son film s'inscrit dans un romantisme sauvage qui n'élude pas l'obsession morbide ni la torture que peut susciter l'amour fou. La maison de Roderick est le reflet extérieur de son esprit tourmenté. Bien des scènes ici mériteraient de figurer dans une anthologie de ce qu'il faut faire pour recréer une ambiance : le peintre qui peint sa femme, laquelle dépérit de jour en jour; les travellings novateurs au ras du sol dans les couloirs; la traversée hallucinante de la forêt pour porter le cercueil jusqu'au tombeau de Madeline; l'attente finale de Roderick assis sur son siège à bascule tandis qu'autour de lui la raison se dérègle jusqu'à la hantise; l'errance nocturne de Madeline après sa sortie du tombeau; la destruction du château... Il est inutile de tout citer : ce film est un chef d'oeuvre absolu. A noter la belle musique qui accompagne désormais ce film muet, et qui en décuple la mélancolie, offrant ainsi une expérience de spectateur comme on en voit rarement.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 095 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 octobre 2011
    Je ne me souviens plus si j'ai lu cette nouvelle de Poe, du coup le seul souvenir que je peux bien avoir, est l'adaptation de Corman en 1960 avec Vincent Price, qui si elle n'était pas excellent, je dirai qu'on pouvait sauver quelques trucs.
    Mais là, le film d'Epstein est un pur chef d'oeuvre. Visuellement c'est magnifique, chaque plan a une idée de cinéma, une idée pour faire sentir cette mélancolie, cette folie, cette angoisse. Les décors sont magnifiques et participent pleinement à l'ambiance.
    Mais surtout, ce sont les techniques utilisées qui marquent le spectateur (je l'espère à jamais) et leur beauté, voir une femme se faire enterrer, avec en surimpression des bougies des deux côtés du cercueil, ça me donne des frissons.
    Les acteurs sont très bons, la fille porte littéralement en elle quelque chose de sublime, sa façon de se mouvoir, de tomber. C'est un film plein d'invisible.
    Toutes ces techniques utilisées sont au service de cette ambiance macabre et rendent le film vraiment unique.
    J'ai vu le film avec une bande son choisie par Roland de Candé, et elle colle magnifiquement bien avec le film, cette musique ressemblant à du Dark Ambiant (terme sans doute anachronique pour le coup) sublime le film.
    En tous cas, c'est un très beau film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 octobre 2011
    Une des meilleurs adaptations de Poe (sauf pour la fin), Epstein mêle deux histoire: Le portrait ovale ou un peintre prenant sa femme pour modèle la peint avec une tel passion que toute la vie de sa femme passe dans le tableau, l'achèvement de celui ci ne pouvant signifier pour elle que la mort. Et la célébrissime chute de la maison Usher, chef d'oeuvre absolu de la littérature en général et de son auteur en particulier, Roderick Usher atteint d'une maladie héréditaire (ou mentale), fait appelle a un de ses amis car sa sœur Madeline va bientôt mourir. Ils vivent dans leur maison de famille, une maison ancienne, délabré, a l'athmosphere glauque et pesante.
    Là ou Corman s'intéresse principalement a des rapports de sadisme et de nécrophilie, souligne volontiers l'humour, l'aspect baroque et le sous texte sexuel de l'imaginaire poesque, Epstein lui tire de l'écrivain américain une œuvre métaphysique au romantisme morbide. Tout le film semble axer sur l'idée de représenter l'invisible l'amour passionnel et destructeur de Roderick Usher pour sa femme, le lien surnaturelle qui la lie a son portrait, la demeure des Usher également véritable personnages vivant et maléfique projection des angoisses mortifère qui hantent le maitre des lieux, le temps qui s'écoulent et qui plonge un peu plus les personnages dans la folie et la demeure dans le délabrement. Le film se rattache totalement a l'avant garde française des années 20 et n'a rien a voir avec l'expressionisme contrairement a ce qu'on peut lire un peu partout, dans l'expressionisme la lumière sert a faire ressortir les ombres, dans le film d'Epstein c'est le contraire l'ombre fait ressortir la lumière, l'utilisation des ralentis et des accélération d'image est propre a l'école française des années 20 de même que le flou. Finalement le seul point commun ce sont les surimpression, encore une fois l'école français n'a pas attendus l'expressionisme pour s'y intéresser, et l'utilisation en est quand même sensiblement différente.
    Enfin si dans l'expressionisme nous assistons a un combat entre le bien et le mal, ici ça serait plutôt entre la vie et la mort, en tout cas c'est un film magnifique.
    Plume231
    Plume231

    3 928 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2012
    Une semi-déception de la part de ce film dont j'attendais pas mal quand même. Je n'ai jamais vu de film de Jean Epstein auparavant donc ceci explique sûrement en partie cela du fait que je ne connaissais pas du tout son style. La vision de ce film m'a fait la même impression que la lecture de la nouvelle d'Edgar Allan Poe c'est-à-dire beaucoup d'écritures pour pas grand-chose de raconté (il suffit juste de remplacer tout cela par du métrage de pellicule pour le film !!!). Et même s'il a tenté de rendre plus consistant son histoire en y greffant beaucoup du contenu d'une autre nouvelle de Poe : "Le Portrait ovale", la technique donne l'impression d'être ici en partie pour bouger les trous scénaristiques. Mais paradoxalement, la technique est sans conteste le très gros point fort du film et elle ne peut laisser indifférente. L'usage que fait Epstein de la surimpression est excellente mais c'est surtout l'emploi très moderne du ralenti qui impressionne. Donc semi-déçu, déçu au niveau narratif mais agréablement surpris niveau technique.
    Gonnard
    Gonnard

    248 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 mai 2009
    Chiantissime. L'action va à deux à l'heure. Je me suis rarement autant emmerdé. Ce qui est bien dommage car le film possède une esthétique hors du commun. Le réalisateur a réussi à créer une ambiance onirique avec une ficelle et deux bouts de bois. Ces images au ralenti, avec cet espèce de voile blanc qui recouvre l'ensemble, tout simplement fascinant. Et la musique... je ne suis pas particulièrement admirateur de la cithare, mais là j'étais comme hypnotisé.
    selenie
    selenie

    6 331 abonnés 6 203 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 juillet 2020
    La plupart du temps on reste dans le manoir d'un gothique à la fois grandiloquent et parcimonieux, tandis que l'extérieur permet au cinéaste d'envelopper le manoir d'un écrin envoûtant où les éléments semblent les témoins malgré eux de la tragédie qui se dessine. On remarque alors une différence visuelle, d'un noir et blanc pour les intérieurs, et d'un bleu vaporeux pour les extérieurs ce qui accentue la sensation que le manoir est d'ores et déjà endeuillé. Par contre, la durée de 1h05 est un peu court, en celà de rôle de l'épouse est peu étoffée et on n'a pas le loisir de voir l'évolution du tableau. Jean Epstein signe un film tragique, envoûtant et poétique. En tous cas un film à voir et à conseiller.
    Site : Selenie
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 645 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 avril 2020
    C'est moins une adaptation fidèle de la nouvelle d'Edgar Allan Poe qu'une variation poétique à partir de "motifs" puisés dans différents textes de l'écrivain, dont La Chute de la maison Usher, Le Portrait Ovale et Bérénice. On y trouve quelques grands thèmes fantastiques : la maison maudite, le tableau qui prend la vie de son modèle, le retour d'outre-tombe… Jean Epstein, réalisateur et théoricien du cinéma, a trouvé dans ce registre fantastique une belle matière à expérimentations formelles. Il développe une grammaire visuelle très élaborée, très inspirée, pour illustrer voire transcender l'inquiétante étrangeté de son sujet : angles insolites, travellings mystérieux, très gros plans sur des visages hallucinés ou différents objets, surimpressions, ralentis… Une alchimie envoûtante de la mise en scène, des décors et du montage fait sourdre une mélancolie macabre et surréaliste, célèbre le haut pouvoir fantasmatique du cinéma et fait d'Epstein un digne représentant de l'avant-garde française de la fin des années 1920, en écho à l'expressionnisme allemand.
    À noter la présence dans l'équipe du film d'un certain Luis Buñuel, assistant réalisateur, qui tournera un an plus tard Le Chien andalou et deux ans plus tard L'Âge d'or…
    Parmi les autres versions de La Chute de la maison Usher au cinéma, celle de Roger Corman (1960) demeure la plus célèbre.
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