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Un visiteur
1,0
Publiée le 30 décembre 2006
Franchement, j'étais content d'être arrivé au bout. J'ai même du faire plusieurs pauses dans le visionnage, tellement ce film me prenait la tête. Je suppose qu'en le regardant une deuxième fois, j'en retirerais d'autres choses, je comprendrais peut-être un peu mieux. Mais j'ai pas le courage de me le retaper en entier. . . Ou alors dans longtemps. Bon, la BO m'a bien soûlé aussi, surtout Rammstein. Les images sombres, les personnages laconiques, l'ambiance à deux sous. . . Mouais. Bof. J'accroche pas du tout. Une étoile tout de même pour le côté bizarre, et la vague impression qu'il doit y avoir dans tout ça un sens caché qui m'échappe.
Ouahou!!!!Voilà le mot qui me vient à l'esprit après avoir vu ce film."Lost Highway" est tout simplement un film exceptionel,certes assez difficile à comprendre (en même temps c'est David Lynch)mais je crois que c'est la première fois que je prend un tel pied sur un film:réalisation parfaite,scénario irréprochable et bande son impeccable,David Lynch nous emporte du début jusqu'à la fin dans l'univers de son road movie,un univers très personel,et confirme qu'il est assurément LE meilleur réalisateur de notre siècle!!!
Bizarre ? Pas seulement ! Dun film don on ne peut pas être sûr de comprendre quelques choses, on devrait par logique mettre un zéro. Lart de David Lynch est que dun zéro on se sent obligé par honnêteté den avoir une meilleure opinion, rien quavec la réussite sur tous les autres plans (atmosphère, réalisation, etc.). Car son film, je le décrirai comme une forme dimpressionnisme. Comme il peut en être de la peinture avec les images. Comme lest la musique à travers les sons. Et où, images ou sons, suivant leurs harmonisations et leurs agencements, la façon dont ils sont travaillés, les choses les plus profondes de lâme humaine remontent. Même sil faut avouer que de ne pas comprendre des choses rationnelles est frustrant Cest là mon opinion sur ce film, de limpressionnisme cinématographique, et une uvre réussit car des sens sont réellement tirés par la réalisation de ce film. Quant à lynch, entre Elephant man et les Harkonnens de Dune en passant par Lost highway, je crois quil a un penchant pour ce qui violente la psyché, à limage de lhomme qui finit crâne encastré dans sa table de verre. Il faut savoir que ce film est à la psy violente et quelques peu pervers, et quil faut donc savoir sélever un peu au-dessus, dautant plus que cest une uvre dart réussis.
Alors j'ai vu le fameux "Lost higway" du fameux David Lynch que tout cinéphile se doit d'admirer même si il n'a rien compris au film. Ne cherchez pas à comprendre car Lynch privilège plus la forme que le fond, tout comme les comédies musicals qui en mettent plein la vue mais ne proposent aucunes réfexions. La photographie est moche, noir, trés sale, vraiment quelque chose de pas agréable à voir. Les personnages sont sombres, pas une émotion humaine n'apparait sur leur visage, les scènes se succèdent sans vraiment de rhytme, les phantasmes pornographiques de Lynch sont trés clair, mais sont tout simplement malsains et dénués d'interets si ce n'est que de montrer le monde du "x". Lynch pratique se qu'on appelle: "la masturbation artistique", il se regarde mettre en scène des acteurs célèbres dans des situations grotesques et admire son pouvoir de direction. Quelque chose de vraiment pas net. L'histoire, délibérément sans que ni tête pourra en séduire certains, mais David Lynch n'a rien à dire et embelie se manque par un fourre tout trés prétentieux. En tout point détestable.
Ce film n'a pas fait le bonheur de beaucoup de spectateurs. On remarque à quel point "Lost Highway" possède une atmosphère très lourde à supporter. Dans mon cas, j'ai été littéralement écrasé par ce film. Ici, on est dans un vrai labyrinthe et on n'est pas sûr si on veut vraiment s'en sortir. Les personnages sont plus subtils que dans "Blue Velvet", de vrais caméléons. Robert Blake et Patricia Arquette sont les plus dangereux dans ce film qui m'a donné l'impression d'avoir sniffé je ne sais combien de grammes de je ne sais quelle substance.
Une leçon magistrale de cinema, un chef d'oeuvre absolu dont on ne peut ressortir indemne. On se perd dans les méandres obscurs d'une histoire protéiforme pour en sortir deboussolé, ivre d'un voyage psychologique et poétique hors norme.
Auteur du délit : David Lynch .Faits reprochés : escroqueries cinématographiques à répétition et a grande échelle, abus de confiance au dépend de personnes vulnérables. Preuve : lost highway, film pour snobs en mal de réflexions psychanalytiques niveau cours élémentaire, une « chose » qui constitue d'ailleurs plus un système de reconnaissance sociale qu'une oeuvre cinématographique, car force est de reconnaître qu'il n'y a rien à comprendre, rien à voir si ce n'est quelques scènes consternantes qui peuvent tout de même, au deuxième degré, permettre une franche rigolade devant tant de conneries prétentieuses. Oeuvre qui donne une vision prégnante et aigue du terme : « foutage » de gueule. Circonstances aggravantes : son petit commerce dure depuis plus de 10 ans au vu et au su de tous le monde, mais personne n'ose le dénoncer, du fait du risque d'exclusion que cela entrainerait : à partir d'un certain niveau social il est indispensable d'aimer Lynch, sous peine d'ostracisme, souvent sans espoir de clémence. Circonstances atténuantes : le consentement des victimes où plutôt des adeptes. Peines prononcées: aller filmer des orangs-outans a Bornéo et des manchots en antarctique pour le compte d'ARTE, attention il est précisé a Monsieur Lynch que les éthologues sont unanimes pour reconnaître que ces animaux ne souffrent pas de troubles psychiques du type schizophrénie...
Auteur du délit : David Lynch .Faits reprochés : escroqueries cinématographiques à répétition et a grande échelle et abus de confiance au dépend de personnes vulnérables.
Preuve : lost highway, film pour snobs en mal de réflexions psychanalytiques niveau cours élémentaire, une « chose » qui constitue d’ailleurs plus un système de reconnaissance sociale qu’une œuvre cinématographique, car force est de reconnaître qu’il n’y a rien à comprendre, rien à voir si ce n’est quelques scènes consternantes qui peuvent tout de même, au deuxième degré, permettre une franche rigolade devant tant de conneries prétentieuses. Œuvre qui donne une vision prégnante et aigue du terme : « foutage » de gueule.
Circonstances aggravantes : son petit commerce dure depuis plus de 10 ans au vu et au su de tous le monde, mais personne n’ose le dénoncer, du fait du risque d’exclusion que cela entrainerait : à partir d’un certain niveau social il est indispensable d’aimer Lynch, sous peine d’ostracisme, souvent sans espoir de clémence.
Circonstances atténuantes : le consentement des victimes où plutôt des adeptes.
Peines prononcées: aller filmer des orangs-outans a Bornéo et des manchots en antarctique pour le compte d’ARTE, attention il est précisé a Monsieur Lynch que les éthologues sont unanimes pour reconnaître que ces animaux ne souffrent pas de troubles psychiques du type schizophrénie…
On dit souvent des films de Lynch qu'ils sont hermétiques... Parce qu'en les regardant on se demande toujours où il veut en venir... Alors moi je me pose la question suivante : comment les américains ou les chinois trouveraient-ils Astérix et Obélix mission Cléopatre??? A leurs place je me dirais "pourquoi l'architecte a t'il un bras sous sa tunique? Les monologues du scribe doivent-ils me faire rire???" Parce que si notre pauvre spectateur non-français n'a jamais entendu parlé de Jamel ni vu une seule fois l'émission nulle part ailleurs, il va aussi trouver ce film hermétique!!! Alors qu'il est simplement franco-français... Donc pour en revenir à Lynch, ce monsieur, avec ses films "hermétiques", sans trame ni fin évidentes, permet justement à chacun de nous, de part nos sensibilités personnelles, de percevoir chacune de ses oeuvres d'une manière unique : la notre... Comme quand on regarde un tableau abstrait. Quand le cinéma devient abstrait, on le juge hermétique... C'est dommage...
Que dire de ce film si ce n'est qu'a chaque vision on en ressort encore plus passioné et intrigué. Lynch nous plonge tous aux long du film dans une vrai - fausse intrigue qui est vraie est difficile à comprendre. Les personnages sont vraiment tous distinct les uns des autres ( clin d'oeil aux parents rockers ) et l'interprétation des protagonistes laisse sur le cul. L'histoire n'est pas racontables tellement elle est complexe ; ce film nous rapel a quel point lynch est un réalisateur a part . Son génie pour nous torturé le cerveau est la tous au long du film et on en redemande tellement c'est bon. A voir sans modérantion n'y apréhension!
Je sais qu’on parle à tort et à travers de David Lynch et qu’on le présente tantôt comme un génie, tantôt comme un imposteur… A mon sens, chacun est libre d’en penser ce qu’il en veut, à condition qu’on ait pris le temps de s’ouvrir à la logique. Lynch est un manipulateur de l’esprit : il ne nous raconte rien, il nous fait ressentir quelque-chose. Je dirais même plus qu’il nous confronte à une expérience. Or, pour moi, de tous les films du maître, « Lost Highway » est celui qui incarne le mieux cette démarche. Je trouve ça intrigant, subjuguant, mais surtout diaboliquement maîtrisé. Pour moi, rien n’est gratuit ni illogique dans ce film. Il faut juste comprendre que nous, spectateur, faisons partie de l’intrigue : nous sommes le sujet à duper. Je dirais même plus, nous sommes les individus dont il faut libérer les sens. Pour moi ça marche totalement. Difficile d’en dire davantage sans écrire un roman. Je ne peux que vous renvoyer à mon blog si vous voulez en savoir davantage. En attendant, je conclurais simplement en disant qu’il s’agit là sûrement d’un de mes films préférés…
Plutôt que de s'attarder sur la question du "sens", systématiquement soulevée quand on parle de "Lost Highway", "Mulholland Drive" ou "Inland Empire", il me paraît beaucoup plus important de dire que "Lost Highway" est un film absolument magnifique, complètement envoûtant, représentant la quintessence de "l'Art Lynch" : évoluant dans des sphères de logique et de rêve totalement éloignées du cinéma traditionnel, il est en fait miraculeusement cohérent... pourvu que son spectateur ne cherche pas à "comprendre", seulement à habiter cette histoire de sexe et de mort, de perversions et de transferts (?) de personnalité. Thriller schizophrénique, divagation cauchemardesque sur le thème de la femme fatale, ruban de Möbius infernal, "Lost Highway" est une œuvre fracturée et spasmodique, mais enthousiasmante, s'apparentant autant à la musique qu'au cinéma (voici sans doute l'une des toutes meilleures bandes-son de l'Histoire du Cinéma !). Si les 40 premières minutes de "Lost Highway", très lentes, incroyablement angoissantes, sont ce que Lynch a fait de mieux, le film tout entier nous projette dans un univers où nous ne pouvons plus nous fier à nos sens, nous égare dans des mondes mentaux qui réussissent à être à la fois formidablement conceptuels et terriblement touchants : des codes du film noir - impeccablement illustrés - aux vertiges de nos pulsions les plus profondes (comment posséder vraiment une femme, comment la faire jouir, voici peut-être le seul vrai sujet du film), Lynch réussit avec "Lost Highway" ni plus ni moins que LE FILM PARFAIT.
Magnifique, ce film est MAGNIFIQUE!!!! Une oeuvre d'art que seul David Lynch pouvait signer!!!! Nous raconter l'histoire d'un homme passant sur une chaise électrique sans jamais la montrer est de l'ordre du génie!! J'avoue je n'ai pas compris la première fois mais ayant adoré l'intrigue, les personnages (tous plus torturé les uns que les autres), la musique (Rammstein, Manson, Nine Inch Nails, Badalamenti, David Bowie, etc...) ça ma poussait à le revoir et le revoir et le revoir. De toutes façons ce genre de film soit on adore, soit oin déteste il n'y a pas de milieu. Moi en tout cas j'adore!!!!
"Lost Highway", c'est le genre de film sensoriel qui divise autant qu'il déroute. A partir d'une histoire de mari saxophoniste jaloux et de VHS intrusives, David Lynch nous embarque rapidement dans un trip surréaliste mêlant néo-noir et horreur, dont lui seul a le secret ! Que l'on apprécie ou pas cet univers barré, il faut admettre en premier lieu la réussite technique. Lynch n'a pas son pareil pour créer une ambiance étrange, exploitant ici régulièrement l'obscurité d'où peut surgir une menace, des travelings inquiétants, des idées géniales de mise en scène (le fameux Mystery Man !), et un montage sonore enivrant. Lynch est également très habile pour jouer entre les genres. Entre deux séquences dignes d'un classique du film noir, ou des passages très sensuels, il nous gratifie d'un délectable humour absurde. Les acteurs ne sont pas en reste. Bill Pullman trouve sans doute là l'un de ses meilleurs rôles, bien loin du président pompeux qu'il incarnait dans "Independence Day" l'année précédente. Il est ce mari jaloux dont on comprend rapidement que le couple ne tourne pas rond, et qui cache peut-être des obsessions ou maladies profondes. Patricia Arquette, charnelle à souhait, fait éclater l'écran dès qu'elle apparait dans son double rôle de femme fatale. Robert Loggia semble beaucoup s'amuser en gangster redoutable. Tandis que Robert Blake est flippant à souhait en Mystery Man... Au-delà de cette réussite formelle et de cet univers étrange, le génie de "Lost Highway" consiste, comme dans "Mulholland Drive", en ses diverses trouvailles visuelles ou scénaristiques, qui donnent suffisamment de matière pour élaborer les théories les plus folles, mais aucune explication pour les départager ! Histoire de vengeance surnaturelle, de dédoublement de personnalité, conte sur la jalousie, trip nostalgique et correcteur en attendant la mort : les interprétations sont légions, et contribuent beaucoup à la puissance de "Lost Highway".
En privilégiant la forme sur le fond, D.Lynch nous expose au vide, à la futilité du monde artistique. Et pour ceux qui oseraient scander le fameux 'c'est nourrissant en réflexions', je ne peux m'empêcher de les plaindre de leur manque certain d'imagination, de leur besoin patent de support à la réflexion. Redoutablement insipide, seuls les véritables intellectuels y trouveront leur plaisir et force m'est de constater que l'absurde renferme des vertus cérébrales qui me font incontestablement défaut. Merci Mr Lynch de m'avoir prouver que le cinéma pouvait tomber aussi bas dans l'idiotie épidémique. Sans doute aucun, vous êtes un Maître en la matière.