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    New York-Miami
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    80 critiques spectateurs

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    Cadreum
    Cadreum

    3 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2024
    Féministe avant l’heure et maître en comédie,
    Capra manie les clichés de son époque et du genre, et sa magie opère.
    Les égos flambent, les dialogues s’embrasent,
    et dans la dernière scène, l’apothéose.
    Fabios Om
    Fabios Om

    50 abonnés 1 268 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2024
    Adapter d'une histoire vraie malheureusement on aurait préféré que tout cela soit une pure fiction . Avec ses faux-airs de documentaire pris sur le vif, son projet, qui est autant de retracer cet épisode que de rendre un vibrant hommage aux hommes du GIGN, est ambitieux et se veut au plus proche de la réalité. Mais par contre je n'ai jamais vue une réalisation aussi pourrie , une réalisateur qui tremble aunpoinf de faire trembler la caméra et surtout l'image pendant la'plus grand majorité du film que on en loupe certaine image car on arrive pas a les voire . Mais que c'est il passer ? Car ça tout tout le film de filmer comme sa dommage bien que l'ensemble soit bêtement court-circuité par l'intrusion de poncifs bien lourds et quelques autres faiblesses scénaristiques. N'empêche qu'en dépit de ce manque flagrant de profondeur, il s'agit là toutefois d'un divertissement à la forme impeccable, agréable à suivre, qui ne secoue du décollage à l'atterrissage. Mais sinon le film est bien réussie c'est dommage ce gros bémol quand même.
    Agedor1930-1965hollywood
    Agedor1930-1965hollywood

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    Le second doublage français est catastrophique. Une vraie honte. Il faut se faire une raison, tout comme pour " La tour infernale" elle aussi totalement râtée au second doublage, soit vous avez la chance de retrouver les pépites des 1er doublages soit il vaut vraiment mieux visionner la version originale. A bon entendeur !!!
    Michel Gillen
    Michel Gillen

    22 abonnés 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2024
    Une magnifique comédie, ce road movie entre C.Colbert et C.Gable est adorable et néanmoins très juste pour analyser les différences de culture. Le père ainsi que le fiancé éconduit sont finement montrés.
    AdriBrody
    AdriBrody

    9 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2024
    Excellente comédie bien gérée par Frank Capra avec un duo qui fait mouche Colbert-Gable qui rend vraiment bien à l'écran et qui est tant efficace que lorsqu'il n'apparaît pas à l'écran, ça devient tout de suite plus mou. Le scénario est en somme assez simple mais sublimement mis en avant par des dialogues croustillants et deux personnages hauts en couleur.
    New York-Miami s'inscrit au Panthéon des films cultes puisqu'avec Vol au-dessus d'un nid de coucou et Le silence des agneaux, il est le seul film à avoir remporté les cinq Oscars majeurs (meilleur film, meilleur scénario, réalisateur, acteur et actrice).
    Autre point positif pour un film de cette époque, il n'a quasiment pas vieilli et s'apprécie toujours aussi bien.
    Albert
    Albert

    9 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 août 2024
    C'est surjoué constamment, j'en ai ras le bol de ces films générique à souhait des années 40, toujours les mêmes mœurs et situations
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2024
    L’histoire du cinéma recèle quelques belles histoires relatives à genèse de certains films. New York-Miami fait assurément partie de ces belles histoires. Il y a au départ un scénario dont personne veut tant chez les producteurs que chez les acteurs. En 1934, Frank Capra qui sort d’un cuisant échec se charge de ce projet de comédie de mœurs. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/lumiere2023/#NYM
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juin 2022
    Non seulement les films de Capra sont parfaitement réalisés, mais aussi l'ambiance d'époque (1934) y rajoute un certain charme, tout comme le grain de la pellicule noir et blanc de l'époque, et les acteurs.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    158 abonnés 1 498 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2022
    Un petit road movie très sympa et vraiment bien, l'humour est juste et fin et les personnages ont tous une bonne évolution. Même si c'est prévisible, la réalisation nous fait oublier tout ça nous mettant à la place des voyageurs.
    Je conseille si l'occasion s'y présente.
    maxime ...
    maxime ...

    235 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2021
    25 Décembre 2021 : Premier visionnage It Happened One Night.

    J'avais coché cette date sur mon calendrier avec dans l'espoir de revivre la sensation extraordinaire d'il y'a un an avec la découverte de It's a Wonderful Life, déjà signé de la main de Frank Capra. L'expérience n'a malheureusement pas eu l'effet escompté.

    Que je développe un peu. Je reconnais à ce film touts les louanges qui lui sont faits. Il y' a de l'exubérance, de la provocation pour son époque, un couple qui en a dans le ventre et une histoire qui est au fond très jolie. Découvrir en cela cette Œuvre a du sens, il s'agit d'un Classique. Cependant, j'attendais d'être transporté, de me prendre ma dose de Magie, qui plus est en cette journée ...

    C'est regrettable. Une autre rencontre me fera peut être revoir mes impressions. Je compte d'ailleurs bien continuer cette petite tradition de Décembre dans les années à venir. Frank Capra sera donc encore du voyage.
    Charlotte28
    Charlotte28

    120 abonnés 1 982 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2021
    A la fois symbole de la screwball comedy et ancêtre du road movie cette échappée belle se distingue par son mélange des genres habilement construit, entre humour sarcastique basé sur les dialogues, situations cocasses, critique du journalisme et réflexion sociétale sur la place de la femme ainsi que les unions de classes différentes. Et quel plaisir de rencontrer en 1934 un tel personnage de père, capable de remettre en question ses préjugés et de donner pleins pouvoirs sentimentaux à sa fille, faisant taire les féministes simplistes qui croient que l'ouverture d'esprit masculine et les revendications égalitaires ne leur préexistaient pas! Un divertissement plus dense qu'attendu!
    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 307 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mars 2021
    Comédie bien maîtrisée animée par le duo Gable-Colbert, cette dernière un peu âgée pour le rôle. On y voit un voyage en bus d’époque, les débuts de la presse-people, un avion-hélico improbable et une superbe robe de satin blanc. La cérémonie du mariage avec l’argumentation du père est un morceau d’anthologie.
    Musomuse
    Musomuse

    8 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 novembre 2020
    Comme film dit classique Américain, je suis intrigué. Puisqu'il s'agit de Capra c'est très bon. J'apprécie tout particulièrement tout ce qui entoure la première partie, spoiler: Le bus étant très théâtrale, contraignant pour la caméra il y a quelque chose de vraiment unique.
    L'histoire et son scénario reste tip top qualité avec toujours ce truc de finir sur une fin moins intéressante que son développement malheureusement. Non pas que ce soit un défaut dans la scénario. Il s'agit plus d'un cliché; une facilité d'écriture. Toujours exécuté avec de l'esprit cependant.
    Autrement ça reste une comédie assez classique sur pleins d'aspect. Je ne saurais donc pas ajouter grand chose autre que Capra a eu la capacité de faire avec des dialogue très simple dans leur sens un spectacle remplie de bon sens. Toujours est-il que je ne me trouve pas très interloqué en regardant ce New York-Miami. Il y a des petites critiques et réflexion qui méritent le détour tout de même. Mais c'est en dessous de certains autres films qu'on peut voir de sa part. Là c'est gentillet. Le grand film n'est pas évident. C'est aussi peut être ça qui lui donnerai de la valeur? Surement.
    Jack G
    Jack G

    5 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2020
    Pour n’importe quelle analyse pertinente d’un objet culturel particulier, il est toujours sage de revenir à la source des évènements qui y ont donné naissance. Ce schéma est valable dans de nombreux domaines, et notamment pour le cinéma. Ainsi, pour quiconque s’intéresse à l’origine de la comédie romantique sur grand écran, New York-Miami, archétype du genre, est une étape incontournable.
    Tourné par William Heise en 1896, Le Baiser, un des premiers films connus, montre un câlin de 18 secondes. Depuis, les réalisateurs ont toujours été fascinés par représentation des sentiments amoureux au grand écran. En intégrant l’humour à la complexité de l’amour, la comédie romantique a traversé le temps par son universalité et parce qu’elle a évolué en fonction des attentes de chaque époque. Plusieurs films muets, comme La Petite Vendeuse (1927) appartiennent au genre, mais il s’imposera plutôt avec le parlant. Les décennies 1930-1940 sont l’âge d’or de la comédie dite « screwball » (loufoque), dans laquelle hommes et femmes, amourachés les uns des autres, échangent un feu roulant de mots d’esprit, et dont New York-Miami est justement un bon exemple puisque ce long-métrage est considéré comme le premier du genre. La comédie romantique est un genre indémodable grâce à sa capacité à insuffler une dose d’humour dans les tourbillons psychologiques de l’amour.
    Avec cette nouvelle réalisation, Capra aère le genre de la comédie américaine en l’emmenant à l’extérieur, entre Miami et New-York, dans une folle escapade. Mais cette entreprise ne s’est pas faite sans difficulté, comme le démontre la genèse mouvementée de ce projet sur lequel au départ personne n’aurait parié.
    C’est chez son coiffeur que Capra découvre dans la revue Cosmopolitan la nouvelle Night Bus de Samuel Hopkins Adams, connu pour avoir dévoilé des problèmes de santé publique au tournant du XXème siècle. Capra, pensant un jour en faire quelque chose, fait acheter les droits d’adaptation cinématographique à Harry Cohn, président de la Columbia Pictures depuis 1924, pour une somme dérisoire, et en confie l’écriture du scénario à Robert Riskin, scénariste attitré du cinéaste pour la majorité de ses films. Le jour où Capra décide d’en faire son nouveau film, il se heurte à une réticence généralisée.
    Malgré plusieurs tentatives, la mode des films d'autocar ne rencontre pas le succès au box-office, et les dirigeants de la Columbia tentent par tous les moyens de décourager Harry Cohn de produire ce film. En outre, aucune vedette ne veut jouer dans cette adaptation. Le scénario est initialement écrit pour Robert Montgomery qui décline la proposition, la trouvant sans intérêt.
    Quand Harry Cohn, le patron de la Columbia, se montre intéressé par le sujet, Louis B. Mayer, président de la MGM, qui ne croit pas une seule seconde au potentiel commercial de ce film, décide de punir son acteur Clark Gable, en disgrâce au sein du studio, en le poussant à aller tenir ce rôle. En dépit de ses protestations, Clark Gable doit l’accepter. Le producteur tient en effet à réprimander l’acteur, déjà victime des méfaits de l’alcool, après que celui-ci ait refusé plusieurs scénarios sous des prétextes ridicules. Son châtiment se traduit donc par son exil pour quelques semaines à la Columbia, une compagnie bien moins prestigieuse que la MGM. Pour l’instant.
    En face, on ne peut pas dire que le rôle féminin principal ait plus tenté les actrices, puisque tour à tour, ce sont Myrna Loy, Constance Bennett, Margaret Sullavan, Bette Davis, Loretta Young, Carole Lombard et Myriam Hopkins qui le refusent. Claudette Colbert n’est pas plus intéressée et pose ses conditions : son salaire doit être doublé et, voulant partir en vacances, le tournage ne doit pas dépasser un mois. Harry Cohn accepte et l’actrice, à contrecœur cependant, est donc obligée d’accepter. Pour ne pas que le terme "bus" apparaisse dans le titre, on change l’intitulé de la nouvelle en « New York-Miami », qui doit aussi être réécrite entièrement afin d’approfondir les personnages principaux et leur donner plus de consistance. Le tournage peut enfin débuter, mais Capra n’est plus du tout enthousiasmé et n’a qu’une seule envie à ce moment-là : en finir le plus vite possible. En plus de cette exaspération, Capra, desservi par la mauvaise grâce de ses acteurs principaux, ne bénéficie que d’un budget dérisoire de 325 000 dollars pour mener à bien son projet cinématographique. Il décide alors de prendre tout ceci à la légère et le tournage se déroule très vite, notamment à cause des caprices de Claudette Colbert. Mais finalement, le résultat le satisfait, en grande partie grâce au jeu du couple en tête d’affiche, les deux acteurs ne se supportant pas, ce qui rend bien service au réalisateur pour le réalisme des relations entre les personnages du film et notamment dans la scène de ménage improvisée au motel. A ce sujet, et toujours dans sa biographie, Capra écrivit cette remarque croustillante : "Tout ce que Claudette Colbert avait à faire, c’était de taper sur le système de Gable pendant le tournage comme elle me tapait sur le système en dehors du tournage."
    Lors de la première aux Etats-Unis, le 22 février 1934, New York-Miami est froidement reçu par la critique. Sa sortie sur le territoire nationale est très discrète, et le film commence même à disparaitre de certaines affiches au bout d’une semaine seulement. Mais le public répond présent et consacre très rapidement le film par un franc succès dans les salles. Ainsi, les spectateurs américains font en très peu de temps du long-métrage l’un des plus gros succès de 1935. Ce triomphe atteint son paroxysme lors de la cérémonie des Oscars 1935. Nominé dans les cinq catégories les plus prestigieuses, il en remporte chaque trophée : meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleur acteur, meilleure actrice, et, récompense suprême, le film de l’année. New York-Miami est le premier film de l’histoire à réussir cette performance, avant que ce record ne soit égalé 40 ans plus tard, en 1975, avec le sublime Vol au-dessus d’un nid de coucou, de Milos Forman.
    Dans sa biographie, Frank Capra a écrit à propos de ce succès : "Ce qui m’étonne le plus dans cette histoire, ce n’est pas en fin de compte que New York - Miami soit devenu un classique, c’est que le film ait vu le jour. Un film sur la façon dont It Happened One Night fut fait aurait été encore plus drôle que le film lui-même". Il faut dire que la genèse du long-métrage a été longtemps incertaine, mais les deux acteurs principaux, peu enclins à participer au projet, magnifient cette œuvre par leur spontanéité. Clark Gable est parfaitement convaincant dans le rôle du journaliste insolant au grand cœur, tandis que Claudette Colbert excelle dans le rôle de la jeune bourgeoise fière mais fragile.
    Capra ajoute cette belle remarque à propos de son acteur, Clark Gable : "Je crois que ce fut le seul film de Gable où il n’ait jamais eu la possibilité d’être lui-même, d’être le vrai Gable, viril, enfantin, attirant, un peu mufle sur les bords."
    Précisons à son propos, qu’à tort ou à raison, une légende vivace lui attribue une influence sur la mode masculine de l’époque, grâce à la scène où il enlève sa chemise et dévoile son torse nu. Les ventes de sous-vêtements masculins auraient alors fortement baissé à la suite de la sortie du film, et les fabricants essayèrent de poursuivre le studio Columbia. Quoiqu’il en soit, Clark Gable obtient grâce à ce film le seul Oscar de sa carrière et retrouve la MGM, qui l’avait écarté, avec le statut de grande star du cinéma. De son côté, la Columbia sort de l’ombre et s’impose définitivement comme un studio majeur d’Hollywood. Jusque-là, ses premières productions furent pour la plupart des westerns rapidement tournés.
    En conclusion, il est important de souligner les influences apportées par ce film sur la société de son temps. En plus de l’hypothétique chute des ventes de sous-vêtements masculins liée à la scène avec Clark Gable, d’après Stanley Cavell, connu pour ses travaux de philosophie sur le cinéma, New York-Miami fait partie des longs-métrages fondateurs du sous-genre des comédies américaines de remariage, un concept formulé par Cavell lui-même. Notons également que la fameuse chute du « mur de Jericho », sous-entendue à la fin du film, Code Hays oblige, choqua l’Amérique puritaine, hostile aux relations sexuelles hors mariage.
    Enfin, le dessinateur Fritz Freleng a confié s'être inspiré de New York-Miami (son film préféré), en particulier de la manière avec laquelle Clark Gable mange des carottes tout en parlant, pour créer le personnage de Bugs Bunny. Une anecdote croustillante à propos de ce film fondateur de la comédie loufoque, sous-genre mélangeant subtilement le burlesque et l’humour slapstick avec des questions liées aux mœurs, et en l’occurrence, le remariage, dont l’âge d’or perdure jusqu’au milieu des années 1940.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 avril 2020
    La modernité de ce film m’a bluffé ! Non seulement Capra invente la comédie romantique moderne, mais il l’invente sous une forme tellement parfaite qu’on n’a presque rien trouvé à lui ajouter de valable depuis. Un couple que tout oppose, l’homme-ours et la femme-enfant, des acteurs à forte personnalité, le road trip qui vire à la lune de miel, les petits détails qui rendent les personnages attachants (une miette coincée entre les dents, un crachat raté, un cours d’auto-stop... combien de films de cette époque ont eu ce genre d’idées géniales?) et surtout un scénario brillant, où les dialogues n’écrasent jamais la vérité des situations (contrairement à certaines comédies screwball que je trouve beaucoup plus datées). Bref, un modèle du genre, incontournable.
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