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    Le jour et la nuit
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    VinceHanna
    VinceHanna

    70 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 octobre 2024
    J'ai voulu le voir pour rigoler, et je n'ai pas été déçu, qu'est-ce que c'est mauvais, c'est un pur régal de vide, à voir pour rire !
    Séance de minuit
    Séance de minuit

    14 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 septembre 2024
    "Le jour et la nuit" : où comment dilapider un budget de production très confortable dans un navet aux décors exotiques et au casting de luxe (Bacall, Delon), et avec en prime Maurice Jarre à la B.O ! Le tutoriel parfait !
    No Quarter
    No Quarter

    4 abonnés 426 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 août 2024
    Au départ ça sent le navet et puis ça monte en série B et y reste jusqu'au bout. BHL a quand même réussi à avoir Delon et Bacall pour encadrer sa petite femme. Qu'il aime bien dénudée et aguicheuse. Meme si l'on sent une trame avec du potentiel (la double histoire de l'écrivain de de la révolution latente dans cet zone du pays) on arrive à se passionner ni pour l'une ni pour l'autre. Dommage.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    35 abonnés 2 335 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 avril 2024
    Le film d'un philosophe ne peut être que chargé de sens. Celui de Bernard-Henri Lévy n'en manque sans doute pas mais il nous échappe en partie du fait d'un langage imagé et souvent verbeux, d'une construction si maladroite qu'on finit par se demander si elle n'est pas volontaire. Conséquence de ces maladresses: les personnages sont de plus en plus chiants.
    Dans une hacienda mexicaine où il vit retiré avec quelques proches, un écrivain célèbre souffre de son inspiration tarie. Une actrice, tout juste arrivée, lui rappelle une femme jadis aimée. Parallèlement, des mexicains préparent l'attentat d'un ami, ex-communiste.
    Le montage est tel que ces deux actions distinctes s'entrecroisent de façon totalement incohérente, que chaque scène semble inabouti, où les personnages donnent l'impression d'être interrompus au milieu de leur phrase... Levy explore les rapports perfides, ambigüs, entre des personnnages disparates dont la donction semble de colporter des bribes de réflexion sur la condition d'écrivain, sur l'amour. Mais les figures de l'auteur, à force de babillages et de poses philosophico-pensives, ne sont bientôt plus que des êtres théoriques et pompeux, quand ils ne sont pas caricaturaux spoiler: (le producteur interprété par Karl Zéro).
    C'est un film fourre-tout et précieux -pas au sens "à conserver d'urgence à la cinémathèque du coin"- dans lequel même l'érotisme est toc.
    Redzing
    Redzing

    1 107 abonnés 4 461 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 février 2024
    Avant de découvrir ce fabuleux film, je n'avais jamais lu la moindre ligne écrite par Bernard-Henri Lévy, ni vu ses interventions. Je ne connaissais en fait que ses célèbre entartages (!), et sa réputation. Celle d'un philosophe prétentieux et imbu de lui-même, disposant d'une certaine puissance financière, et d'un excellent réseau dans les médias et la politique.
    Le visionnage du "Jour et la Nuit" a totalement conforté cette image. Je craignais d'y voir un navet insipide, mais non, c'est un beau nanar juteux que BHL nous a diligemment fourni !
    "Le Jour et la Nuit", c'est avant tout un gros budget. 53 millions de francs, somme plus que confortable pour l'époque, a fortiori pour quelqu'un qui n'a jamais réalisé le moindre long-métrage de fiction. Mais pas de panique, papa Lévy a justement créé une société de production qui chapeautera le film. Tandis que la commission d'avances sur recettes du CNC est à ce moment présidée par... BHL.
    "Le Jour et la Nuit", c'est aussi un massacre. Un film crucifié à sa présentation au festival de Berlin, suivi d'un méga flop et d'un déluge de critiques assassines. A tel point qu'un documentaire sur le sujet a été tourné !
    Qu'en est-il exactement de l'objet filmique ?
    J'avoue que je serai incapable de vous dire exactement ce qui s'y passe... Je ne suis même pas sûr que les acteurs le savaient... Il est question d'un producteur qui débarque chez un auteur célèbre en déliquescence, pour lui proposer d'adapter son célèbre roman au cinéma. Sauf que cet auteur est entouré d'une cour de personnages excentriques, et a la manie de s'envoler en montgolfière pour mater les nénettes avec sa long-vue. Voilà voilà...
    Tout est confus en permanence. L'intrigue (ou plutôt le collage de sous-intrigues) qui ne sait pas où elle va, préférant laisser les personnages débiter des dialogues prétentieux sans queue ni tête. Les plans sont sans logiques, ceci étant aggravé par un montage qui fait du grand n'importe quoi.
    Les interprètes sont à l'ouest, en particulier Alain Delon et sa ridicule visière greffée sur le crâne. Sérieux, même dans un photo officielle dans l'univers du film, elle apparait ! L'un des meilleurs gags involontaires... Arielle Dombasle par crédible du tout en actrice de grand talent (hum hum). Notons que BHL tente de l'érotiser en permanence, en même temps c'est sa femme...
    Et bien sûr, impossible de ne pas mentionner Karl Zéro, qui joue visiblement dans un dessin animé. Toujours faux et en décalage avec le reste, s'agitant avec une énergie risible.
    Une photographie digne d'un téléfilm. Et la BO de Maurice Jarre, beaucoup trop sérieuse par rapport à la platitude de ce que l'on voit à l'écran. Peut-être était-il inspiré par les décors naturels ? (au moins un partie de budget se voit !)
    Toujours est-il que "Le Jour et la Nuit" reste très drôle à regarder. Les acteurs aux fraises, la BO en décalage total, la médiocrité technique, le scénario prétentieux et non-sensique... jusqu'à un final dont mes zygomatiques vont avoir du mal à se remettre !
    L'un des mètre-étalon du nanar made in France ?
    Leon D.
    Leon D.

    13 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 février 2023
    'tention les yeux ! BHL se prend pour Huston qui se rêverait en Godard se prenant pour Bergman. Cela donne le film le plus "comique involontaire" qu'il m'ait été donné de voir. Delon est génial (j'en chiale encore) et Karl Zéro est ... zéro. Pas une seule de ses phrases ne sonne juste, pas une ! Je passe sur le reste, insignifiant pour sauter directement sur la toute fin du: grandiose.
    Il faut le voir pour le croire.
    Audiard avait raison quand il disait de certaine engeance: "ça ose tout".
    Rangeons-le où il doit être, au panthéon des navets du cinéma français avec Alien Cristal Palace et quelque autre Robbe-Grillet.
    -Soso-
    -Soso-

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 août 2022
    Les premières minutes sont souvent décisives pour jauger et préjuger de ce que sera un film dans son ensemble : enchaînement des plans, mise en place de l'intrigue, jeu des acteurs, qualité de la photographie, rythme, cadrages, etc.
    Ici c'est encore plus simple : les 5 premiers plans du film sont déjà ratés, les variations de vues complètement déséquilibrées, le montage médiocre, donc le ton est donné : c'est déjà très, très mauvais :D
    Le premier sourire d'Arielle Dombasle suffit à le confirmer : ça sera nul. Et si vous avez le courage d'aller au-delà des 2 min 40, avec les nombreux champs/contrechamps sur les mimiques d'Arielle et Karl Zero, ridicules et joués avec la grâce d'une enclume, le doute n'est plus permis.
    En général, un film se rattrape rarement si les premiers instants sont peu crédibles : si tous les efforts ne sont pas fournis dès le départ pour accrocher le spectateur et nous faire rentrer dans le film, il y a peu de chance qu'un miracle se produise par la suite. Eh bien, devinez quoi : c'est bien le cas ici !
    Petits spoils : premier mort à 5 minutes du début seulement, et fin du générique à 6 minutes. Hélas, le générique de fin, lui, est beaucoup, beaucoup plus loin. Entre les deux ? Un vide abyssal et un véritable naufrage, cinématographiquement parlant.
    En voyant ça, j'ai pire que les yeux qui piquent, j'ai mal à mon cinéma !
    •Yuri•
    •Yuri•

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2022
    "film" sans ame,acteurs ridicules,que dire de plus?au debut j ai cru a une parodie de groland mais non c etais bien reel,sans queue ni tete,la quintessence de tous ce qu il ne faut pas faire
    Synaska Paul
    Synaska Paul

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 août 2021
    Ce n'est pas parce que l'on a accès à un outil ou une technique qu'on le ou la maîtrise. En l'occurrence, BHL dont la prétention n'a d'égal que sa mégalomanie nous assène une pénibilité sans pareille. Et que sont venus faire Lauren Bacall ou Maurice Jarre dans une telle catastrophe ... Si encore cette tentative pouvait servir d'exemple à ce qu'il ne faut pas faire, mais même pas ! Le néant est déjà un objet d'intérêt en philosophie, mais ici, on va au-delà : ce film est l'incarnation d'un esprit vide, creux, inutile ! Ah si on pouvait descendre au zéro originel ...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 517 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mars 2021
    La posture machiste de monsieur Alain Delon au début des années soixante et de monsieur Francisco Rabal à soixante-dix ans est ici extrêmement absurde. Lauren Bacall parvient à conserver un semblant de dignité. Le reste de la distribution est uniformément médiocre y compris un acteur dont le nom de famille assez justement est Zéro. Quelques corps sont exposés mais les actrices auxquelles ils appartiennent sont beaucoup moins intéressantes lorsqu'elles sont entièrement vêtues. Il existe de nombreux films tout aussi mauvais voire pire dont certains ont atteint le statut de film culte. Il faut être reconnaissant pour les petites attentions car Monsieur Levy n'a plus jamais été lâché sur un plateau de tournage. Son infiniment petit possède un orgueil infiniment grand et pour cela il mérite pleinement d'être recouvert de tartes...
    cinéman
    cinéman

    40 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mars 2020
    Au début on croit en une parodie, tellement la voix de Karl Zero semble débile et les dialogues indigents et plats. Mais non, faut s'y faire. Le ton est annoncé et ça sera comme ça tout le long du film. Alors on prend son mal en patience et on se dit qu'il faudra bien se moquer et rire de ce navet, sinon on risque de s'ennuyer ferme. Et on a de quoi rire quand ce n'est pourtant jamais le but : une histoire sans queue ni tête, des acteurs qui jouent mal, et c'est extrêmement mal tourné. Alain Delon qui a la tête plus grosse qu'une montgolfière, et Bernard-Henri Lévy aussi : autant dire qu'on est dans un univers d'extrême mégalomanie; et pour un ratage complet ! On a aussi des parties de jambes en l'air injustifiées, des femmes à poil (dont Arielle Domballes, pas plus excitante qu'un rat crevé gisant sur le sol de WC publics) dans une maison de luxe aux confins du Mexique… Toutefois, c'est pas aussi nul que j'imaginais. Il faut savoir rester objectif même si on n'aime pas BHL ou Alain Delon.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    526 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 novembre 2019
    Curieux que je suis, je ne pouvais pas rater le premier film de Bernard-Henri Lévy.
    Le genre d'œuvres précédées d'une aura si monstrueuse que sa vision devient une nécessité absolue.
    Dans mon entourage, toutes les personnes bien intentionnées m'ont déconseillé de prendre Le jour et la nuit à la légère. Parmi les critiques, même son de cloche. Le cinéma lui-même semblait se démener pour m'empêcher de glisser ce film dans le lecteur de disques. En vain, car je le regarderai, quelles qu'en soient les conséquences...
    Petite note personnelle : je n'ai pas d'aversion particulière pour le réalisateur. Je tiens à le dire. Sa vie ne m'intéresse pas, son avis ne m'intéresse pas plus. Je ne connais rien de ses productions (selon mes amis c'est heureux) et encore moins de sa personne. Bref, Bernard-Henri Levy a tourné un film, c'est avec un casting plus que prometteur. Très bien, je veux le voir.
    Alain Delon, Lauren Bacall, Xavier Beauvois, Karl Zéro et...Karl Zéro? Hum. Bon, ok pourquoi pas? Et Arielle Dombasle...Euh?...Bon, d'accord c'est un peu insolite comme cast mais justement, ça donne envie.
    Je refuse catégoriquement de m'abaisser à malmener jusqu'à plus soif Le Jour et la Nuit. Sans lui, je n'aurais jamais eu la chance de découvrir le formidable documentaire "Autopsie d'un massacre", consacrée à la réception pour le moins houleuse du film à sa sortie. Un pur délice, peu avare en moments comiques. Merci donc à lui pour ça. Si vous ne l'avez pas vu, je vous le conseille. Si vous avez zappé votre séance d'abdos de la journée, vous allez la rattraper vite fait avec ce documentaire.
    Au delà de ça, Le jour et la nuit est une pure leçon. À peu près tout ce que fait le film devrait être enseigné en école de cinéma, tant sa ferveur à se vautrer intégralement tient du pur geste artistique.
    Pour être franc, je ne sais même pas de quoi parlait le film. Et ce n'est pas faute d'avoir essayé de m'y intéresser. Tout ce que j'ai vu, c'est un Delon qui fait du mauvais Delon, une Arielle Dombasle en plein casting pour la lingerie Aubade, un Xavier Beauvois sous ébriété permanente et un Karl Zéro perdu dans un film muet. Ah si, j'y ai vu de formidables clichés sur l'Amérique du sud (où les habitants semblent tous sortir de Tintin chez les Picaros).
    Et je ne peux évidemment pas oublier de mentionner une séquence propre à devenir immortelle dans les encyclopédies du pire sur pellicule. Imaginez-donc : deux montgolfières et une tripotée de personnages qui parlent entre eux. Simple, on est d'accord.
    Mais la maestria démente de Levy parvient à annihiler toute lisibilité : découpage insensé (des plans toutes les secondes!), des dialogues invraisemblables, une lecture de l'espace jetée au fin fond du Pacifique,...Un supplice sans pareil. Et une séquence parfaite pour synthétiser l'ensemble.
    Un carnage total à tel point que j'ai dû compter les plans à peu près valables de l'ensemble. J'en compte moins d'une dizaine. Bah vous êtes gentils mais vu que je ne pouvais me rabattre ni sur l'histoire, ni sur la mise en scène, ni sur les acteurs, comment faire autrement? J'ai bien conscience que beaucoup de gens ont travaillé durement sur le film. Mais il faut croire que leur labeur a été souillé par Le Jour et la nuit.
    Que dire? Ce film n'est pas une date. Juste un titre qu'on accolera à la définition du pire au cinéma. Il ne sera pas seul, évidemment. Mais il a une place que même les plus grands cauchemars de cinéphiles n'arriveront pas à atteindre.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 octobre 2019
    J'ai été intrigué de voir un film de philosophe de plateaux télé. Pour être franc il a été impossible de finir le visionnage. Pure perte de temps. Grave déconseillé...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 avril 2019
    Un très grand film qui marquera à jamais l'histoire du cinéma mondial. Il révèle les talents d'acteur remarquable de Karl Zéro. La mise en scène signée du plus grand réalisateur-philosophe que la Terre ait jamais porté en son sein est époustouflante. On ne s’ennuie pas une seconde, sauf dans les derniers trois-quarts de ce chef d'oeuvre immortel.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    193 abonnés 2 507 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mars 2019
    Eh ben, la médiocrité de ce film n'a pas été survendue. C'est vraiment très très très très mauvais. Et le déni complet du réalisateur vis-à-vis de la nullité indéniable du film rend ce dernier assez culte. C'est d'ailleurs drôle de constater que les critiques ayant mis 5 étoiles à ce film l'ont fait car le film était incroyablement mauvais. Et au final, c'est difficile d'émettre une critique de ce film sans tirer sur une ambulance.
    Mais il faut être franc, c'est complètement raté.
    Le film est d'un ennui mortel du début à la fin ; dès les 10 premières minutes, mes paupières sont devenus très lourdes (la mini-introduction de l'arrivée en voiture de Laure et Filippi est tout simplement grotesque et pas drôle du tout).
    L'intrigue est vide. Les quelques éléments de réflexion sont mal servi et n'amènent à rien pour la simple raison que le film n'a rien à dire (à sa décharge, ce n'est pas le seul film pseudo-intellectuel qui en fait est complètement vide de sens ; c'est le cas pour bien d'autres films et certains même ont eu un succès critique et commercial). Le contexte révolutionnaire mexicain, non seulement paraît crédible mais ne sert absolument à rien.
    Les acteurs sont vraiment catastrophiques. Karl Zéro en fait des caisses, même si à sa décharge, je vois mal comment bien interpréter un personnage aussi mal écrit que le sien avec des lignes de dialogues particulièrement lourdes. Arielle Dombasle est catastrophique. BHL voulait mettre en avant les formes de son épouse mais n'avait clairement aucune personnalité à offrir à son personnage. Le film réussit même l'exploit de faire mal jouer Alain Delon (pas tout le temps, fort heureusement, il y a tout de même quelques scènes où il joue bien).
    Seule la bande-originale de Maurice Jarre tient la route.
    Bref, le seul moyen d'apprécier ce film est de le regarder comme un nanar (et encore, ce serait un nanar particulièrement ennuyeux).
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