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Un bon petit téléfilm, avec des clichés et un déroulement prévisible ! Mais c'est regardable !
Difficile de noter un téléfilm de l'après-midi lorsque l'on est habitué à critiquer des films d'auteurs et des blockbusters. Si l'on en juge uniquement par son attrait, "Une célibataire à New-York" reste étonnement captivant malgré les innombrables sources de clichés et d'enfantillages que l'on constate toutes les deux minutes.
En raison d'une histoire tirée de la vie de tous les jours, le spectateur lambda se retrouve rapidement dans les différents personnages même si le jeu des acteurs et la mise en scène ne sont pas les points forts du film. Le scénario, très classique, est comme tout le reste c'est-à-dire accessible et simple ce qui n'a pas de réelle but artistique mais seulement de combler les heures vides de chaînes en manque de programme. En bref, l'archétype du téléfilm bidon que l'on regarde lorsque l'on est malade et trop fatigué pour se concentrer sur quelque chose de plus spirituel.
En raison d'une histoire tirée de la vie de tous les jours, le spectateur lambda se retrouve rapidement dans les différents personnages même si le jeu des acteurs et la mise en scène ne sont pas les points forts du film. Le scénario, très classique, est comme tout le reste c'est-à-dire accessible et simple ce qui n'a pas de réelle but artistique mais seulement de combler les heures vides de chaînes en manque de programme. En bref, l'archétype du téléfilm bidon que l'on regarde lorsque l'on est malade et trop fatigué pour se concentrer sur quelque chose de plus spirituel.
Totalement immoral et irrespectueux envers les célibataires.
Une éditrice adjointe, sous-payée et exploitée par son patron, est invitée au mariage de sa soeur - une vraie peste égoïste et mesquine, comme la tante -. L'invitation est pour deux personnes.
Jane a donc moins d'un mois pour trouver un cavalier. A aucun moment elle ne se rebelle contre le patron qui augmente sa charge de travail en refusant ses demandes d'augmentation.
A aucun moment elle ne se rebelle contre sa soeur ni contre sa tante. A aucun moment elle ne se rebelle contre la société qui cherche à "la caser" et qui la marginalise en tant que célibataire.
A la fin, le conformisme bourgeois triomphe.
Une éditrice adjointe, sous-payée et exploitée par son patron, est invitée au mariage de sa soeur - une vraie peste égoïste et mesquine, comme la tante -. L'invitation est pour deux personnes.
Jane a donc moins d'un mois pour trouver un cavalier. A aucun moment elle ne se rebelle contre le patron qui augmente sa charge de travail en refusant ses demandes d'augmentation.
A aucun moment elle ne se rebelle contre sa soeur ni contre sa tante. A aucun moment elle ne se rebelle contre la société qui cherche à "la caser" et qui la marginalise en tant que célibataire.
A la fin, le conformisme bourgeois triomphe.
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