AlloCiné
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Votre avis sur The Last Winter ?
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Un film d'horreur dans une station en plein grand froid sera obligatoirement comparé à The Thing. Parfois ça peut être bien mais d'autres fois c'est du the thing du pauvre. The Last Winter fait parti des films dont la bande annonce est meilleure que le film. C'est 1h30 d'ennui glacial, d'inactivité et de blabla interminable. Au final on se dit tout ça pour ça, oublié le monstre qu'il y a sur cette affiche des dents de la mer revisitée car il doit avoir maximum 45 secondes de temps d'écrans en CGI digne d'une production Syfy. Il n'y a rien à sauver dans ce film et c'est dommage car le casting reste sympa
Vinz1
Par rapport à ce que l’on en attendait, le film a beaucoup d’ambition et tient la corde sur la durée, si l’on excepte une fin exécrable car sabotée. Alors, même s’il ne peut délivrer toutes ses promesses, il vaut tellement mieux que tous ces remakes pseudo horrifiques qui sont de plus en plus nombreux chaque année sur nos écrans, que ce serait dommage de s’en passer. De bons acteurs qui savent s’effacer au profit de magnifiques paysages, une tension constante et progressive, un soupçon de mystère et surtout la paranoïa qui se dégage de certaines scènes tellement bien rendue qu’elle vous oppresse, bref, ce long-métrage, par le message qu’il véhicule, est alors à voir car c’est un petit budget tellement à part, que même sa fin ratée ne saurait vous ôter le plaisir de retrouver une ambiance proche de « The thing », référence ultime en matière d’horreur.
La critique sera courte et se fera quelques mois après le visionnage de cette... curiosité.
Fessenden s'est illustré en mécène révélateur de quelques artisans doués du cinéma fantastique et d'horreur au travers de sa boite de prod indépendante Glass Eye Pix, censée produire un cinéma de genre de qualité sur la côte est des States.
En tête de ses poulains se trouvent Ty west et Jim Mickles, deux jeunes réals bien partis pour se faire une réputation d'auteurs fantastiques sans concessions.
Mais bon sang, autant Fessenden peut-il être bon producteur, autant le gonze n'a rien des qualités d'un grand réalisateur.
Pour les plus téméraires qui souhaiteront s'en convaincre, ils devront s'infliger le visionnage de ce film, indigent au possible, dénué de tout enjeu cohérent et sans aucun fil conducteur. Un huis clos plus soporifique qu'oppressant, privilégiant une relation triangulaire au point de la faire passer au-delà de son maigre suspense. Sous couvert d'une morale écolo inepte, le propos alarmiste se dilue dans une trame nébuleuse et verbeuse sans le moindre ressort dramatique.
Le pompon reste ce climax totalement surréaliste et risible au possible où les survivants du froid se confrontent à la matérialisation dudit phénomène surnaturel dont on nous bassine des répercussions mondiales depuis le début du métrage sans qu'une seule fois on n'en ressente l'urgence et la dangerosité. Matérialisation d'un esprit qui prend l'aspect d'un caribou fantomatique carnivore (si, si, ce n'est pas une blague, osez regarder le film vous verrez !!!) plus risible qu'effrayant, vous vous en doutez.
En fin de métrage, on reste un peu KO, consterné par l'inutilité d'une telle bande et dubitatif quant à la santé mentale de ceux qui ont passé plusieurs semaines à se les geler pour tourner le truc.
Le dernier film de Fessenden, Hypothermia, est de l'avis de toutes les critiques qu'il m'ait été données de lire, un incroyable navet moche et insipide. Après avoir vu les spectres de caribous voraces de The Last Winter, je les crois volontiers.
Fessenden s'est illustré en mécène révélateur de quelques artisans doués du cinéma fantastique et d'horreur au travers de sa boite de prod indépendante Glass Eye Pix, censée produire un cinéma de genre de qualité sur la côte est des States.
En tête de ses poulains se trouvent Ty west et Jim Mickles, deux jeunes réals bien partis pour se faire une réputation d'auteurs fantastiques sans concessions.
Mais bon sang, autant Fessenden peut-il être bon producteur, autant le gonze n'a rien des qualités d'un grand réalisateur.
Pour les plus téméraires qui souhaiteront s'en convaincre, ils devront s'infliger le visionnage de ce film, indigent au possible, dénué de tout enjeu cohérent et sans aucun fil conducteur. Un huis clos plus soporifique qu'oppressant, privilégiant une relation triangulaire au point de la faire passer au-delà de son maigre suspense. Sous couvert d'une morale écolo inepte, le propos alarmiste se dilue dans une trame nébuleuse et verbeuse sans le moindre ressort dramatique.
Le pompon reste ce climax totalement surréaliste et risible au possible où les survivants du froid se confrontent à la matérialisation dudit phénomène surnaturel dont on nous bassine des répercussions mondiales depuis le début du métrage sans qu'une seule fois on n'en ressente l'urgence et la dangerosité. Matérialisation d'un esprit qui prend l'aspect d'un caribou fantomatique carnivore (si, si, ce n'est pas une blague, osez regarder le film vous verrez !!!) plus risible qu'effrayant, vous vous en doutez.
En fin de métrage, on reste un peu KO, consterné par l'inutilité d'une telle bande et dubitatif quant à la santé mentale de ceux qui ont passé plusieurs semaines à se les geler pour tourner le truc.
Le dernier film de Fessenden, Hypothermia, est de l'avis de toutes les critiques qu'il m'ait été données de lire, un incroyable navet moche et insipide. Après avoir vu les spectres de caribous voraces de The Last Winter, je les crois volontiers.
Il s'agit d'une unité d'une société de forage pétrolier envoyée dans une partie de l'Islande pour forer a la recherche de pétrole. Quand un des membres de l'équipe hallucine probablement à cause de la libération de gaz acide et meurt dans le froid, les autres réalisent qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Ce film donne un message important qui n'est pas clairement montré en fait il est caché et laissé à vous de comprendre. The Last Winter raconte comment la nature se venge de l'homme pour l'avoir abusé et pris pour acquis. Ce film teste votre niveau de pensée. Si vous ne le comprenez pas vous ne trouverez pas à quel message ce film se rapporte. Mais si vous le voyez d'une manière différente et pensez en conséquence (je veux dire réfléchissez un peu plus), vous trouverez que c'est un chef-d'œuvre. C'est l'un des meilleurs films d'horreur écologique. Et puis j'adore Ron Perlman. The Last Winter est vraiment très captivant à regarder et c'est tout simplement un film exceptionnel...
Nul!
Il n'y a rien a garder, on s'ennuie depuis le début avec l'espoir qu'il finisse par ce passer un truc en vain...
Meme le message censé être écolo n'est pas réellement suivi.
Il n'y a rien a garder, on s'ennuie depuis le début avec l'espoir qu'il finisse par ce passer un truc en vain...
Meme le message censé être écolo n'est pas réellement suivi.
Agréablement surprise par ce film regardé par hasard. Au vu des notes attribuées, je m’attendais à voir un navet. Ce ne fut pas le cas. Bien qu’un peu long à démarrer, le film ensuite nous tient assez bien en haleine. Beaucoup d’originalité et de trouvailles dans ce petit film qui ne nous emmène pas toujours dans la direction qu’on attendait. Pas un grand film, mais loin du très mauvais film que je pensais regarder.
ManoCornuta
Comme trop souvent avec ce type de productions, le sujet interpelle fortement, mais son traitement laisse un peu à désirer. Passé les considérations écologiques et l'inévitable opposition qui en découle, le film tente un semblant de suspense, plutôt habilement filmé (du moins tant que les effets spéciaux ne s'en mêlent pas), hélas desservi par un casting pas vraiment inspiré. Ron Perlman est assez égal à lui-même mais les autres n'ont que peu d'espace ou sont trop ballottés par un scénario qui enfile les images à forte portée symbolique comme autant de perles. Pas spécialement horrifique, un peu trop mou dans sa progression, le film ne tient pas toutes ses promesses.
Visuellement raté, ce long-métrage, qui n'est pas sans rappeler "The Thing" ou encore certains épisodes de la série "X-Files", possède en plus un scénario assez banal et une mise en scène beaucoup trop académique. Reste une BO réussi et un casting sympathique où l'on retrouve Ron Perlman ou encore Connie Britton, mais cela ne suffit malheureusement pas pour passer un moment agréable devant ce film d'horreur.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Un synopsis qui met l'eau à la bouche. On peut s'attendre à du lourd avec The Last Winter, ou au minima, un bon moment de cinéma. Promesse partiellement tenue pour Larry Fessenden et son dernier hivers en Alaska, là où la nature semble reprendre ses droits sur l'homme par le biais d'étranges créatures. Hormis un Ron Perlman faisant acte de présence, le casting n'a rien d’exaltant. De plus la mise en scène reste très mollassonne, manque de rebondissement, de consistance. Pourtant l'idée était géniale, mais fichtrement mal exploitée! On s’ennuie plus qu'on s’inquiète du sort des protagonistes. Il en résulte une sorte de survival plus psychologique qu'horrifique, et surtout plus vide qu’exaltant. Grosse déception. 2,5/5
Plus un thriller psychologique qu'un film d'horreur, ce huis clos recèle
quelques surprises et parvient à garder une ambiance assez angoissante.
En Alaska, à la mine de Kink, un groupe de scientifiques prépare le sol
en vue d'une exploitation pétrolière. Très vite, les conditions
climatiques deviennent de plus en plus violentes. La tension monte au
sein du groupe quand certains membres affirment voir des choses dans la
neige...
La réalisation est bonne: il y a de bonnes prises de vues et notamment
de beaux plans de coupe, la mise en scène est simple mais soignée, le
cadrage pas toujours très réussi, les mouvements assez bons dans
l’ensemble (quoique parfois un peu trop chaotiques) et la profondeur de
champ assez bien réussie.
Le scénario repose donc sur le fait que les protagonistes sont bloqués
dans la région la plus déserte du monde et commencent à devenir fous les
uns après les autres. Pas très original mais ça marche. Il y a une bonne
tension, c'est souvent très angoissant, le rythme tient bon, on n'a donc
pas beaucoup de lenteurs. On évite certains clichés, il y a
malheureusement des incohérences et le climax est un peu trop facile,
voire stupide.
Les acteurs sont crédibles, leur jeu tient la route.
Les personnages manquent trop de profondeur pour qu'on s'attache
complètement à eux.
Les dialogues ne sont pas toujours très recherchés mais fonctionnent.
La photographie est assez bonne, pas trop de surexposition malgré le
blanc permanent. Une bonne lumière et des couleurs intéressantes.
Le montage est trop simple et pas très intéressant.
Les décors sont assez bons, les costumes pas très originaux et la
musique est efficace. Les effets spéciaux ne sont, hélas, pas convaincants.
"The Last Winter" a des défauts mais ce n'est pas un mauvais film pour
autant.
quelques surprises et parvient à garder une ambiance assez angoissante.
En Alaska, à la mine de Kink, un groupe de scientifiques prépare le sol
en vue d'une exploitation pétrolière. Très vite, les conditions
climatiques deviennent de plus en plus violentes. La tension monte au
sein du groupe quand certains membres affirment voir des choses dans la
neige...
La réalisation est bonne: il y a de bonnes prises de vues et notamment
de beaux plans de coupe, la mise en scène est simple mais soignée, le
cadrage pas toujours très réussi, les mouvements assez bons dans
l’ensemble (quoique parfois un peu trop chaotiques) et la profondeur de
champ assez bien réussie.
Le scénario repose donc sur le fait que les protagonistes sont bloqués
dans la région la plus déserte du monde et commencent à devenir fous les
uns après les autres. Pas très original mais ça marche. Il y a une bonne
tension, c'est souvent très angoissant, le rythme tient bon, on n'a donc
pas beaucoup de lenteurs. On évite certains clichés, il y a
malheureusement des incohérences et le climax est un peu trop facile,
voire stupide.
Les acteurs sont crédibles, leur jeu tient la route.
Les personnages manquent trop de profondeur pour qu'on s'attache
complètement à eux.
Les dialogues ne sont pas toujours très recherchés mais fonctionnent.
La photographie est assez bonne, pas trop de surexposition malgré le
blanc permanent. Une bonne lumière et des couleurs intéressantes.
Le montage est trop simple et pas très intéressant.
Les décors sont assez bons, les costumes pas très originaux et la
musique est efficace. Les effets spéciaux ne sont, hélas, pas convaincants.
"The Last Winter" a des défauts mais ce n'est pas un mauvais film pour
autant.
Ce film aurait pu être beaucoup mieux sans ce parti pris écolo très complaisant et énervant. La fin est totalement mystérieuse et incompréhensible. Le plus affligeant est l'argumentaire écologique toujours aussi stupide. La réflexion devrait plutôt porté sur comment on fait pour vivre à 8 milliards d'individus sur une planète qui ne pourra pas supporter très longtemps cette contrainte avec le niveau d'énergie nécessaire pour assurer leur confort. J'enrage de tous ces écolos qui balancent leurs slogans imbéciles dans leur appartements chauffé et éclairé par ceux sur qui ils crachent. Pas un seul d'entre eux n'abandonneraient son confort douillet, mais réclame la fin du nuclaire, du charbon, du gaz de schiste etc .. toutes ces bêtises.
Napoléon
Une histoire pseudo-écolo pour un film d'un grand ennui où on ne voit strictement rien du début à la fin. Ca fait que discuter puis par moment il y a mort ou un pétage de cable voilà voilà.
ferdinand75
Un mélange de genres pour ce film à la limite du fantastique de la fable écolo, et de l'horreur . Le climat est assez oppressant et efficace.Mais le sénario est bien faible et improbable.De très beaux paysages de l ' Alaska. Un film qui se laisse voir.
Je m'attendais à beaucoup mieux. Beaucoup de longueurs dans ce film. Des nonsenses par-ci par-là et surtout, finalement aucune explication. Fin complètement incompréhensive.
Yannickcinéphile
Bon ben The Last Winter est un film raté, il faut le dire. Dommage. Le casting sur le papier apparait sympathique, mais finalement il est mal utilisé. Perlman ne m’ait pas apparu très à la hauteur dans ce film. Même s’il est le moins transparent du lot, il n’arrive pas à transcender un personnage versatile et sans grande cohésion. Autour de lui pas mal d’acteurs expérimentés, qui aurait pu offrir de bonnes choses eux aussi, mais là encore, des personnages moyens et un manque général d’enthousiasme finissent par être nuisible au métrage. Dans ce genre de huis clos c’est très important d’offrir des personnages tirés au cordeau, et de donner aux acteurs des rôles avec de la consistance, qui marquent quoi. Mais The Last Winter rate le coche, et c’est dommage.
Le scénario n’est pas mieux. Le film est très lent, voir excessivement lent dans sa première partie. Ca n’avance pas, dès que l’on se dit que ça va bouger, ben finalement non, le soufflé retombe, et le métrage se conclue de façon ultra-laborieuse. Pas clair pour un sou, plat, sans véritablement de scènes tendues, le film ne semble pas avoir choisi de manière claire une orientation et une tonalité. Il semble avoir constamment hésité entre le fantastique franc, le film psychologique, la fable écologiste, et le résultat est un gloubi-boulga molasse et abstrait qui n’a rien d’enthousiasmant.
On se rattrapera peut-être un peu sur quelques bons morceaux de mise en scène et des décors soignés. De ce côté-là The Last Winter ne manque pas de quelques bons atouts à faire valoir, avec visiblement un metteur en scène concerné, qui certes reprend quelques passages bien connus de The Thing (la scène d’ouverture entre autre) mais sait ajouter sa patte. Les décors, avec ses étendues de glace font toujours leur effet. Je regrette néanmoins qu’ils apparaissent trop en toile de fond, et pas comme un élément à part entière. Au final on ne sent pas vraiment le froid à travers l’écran, les acteurs sont même souvent pas très couverts, et je suis un peu dubitatif sur le fait qu’un petit feu de broussaille puisse réchauffer quelqu’un au milieu d’une étendue glacée après qu’il soit tombé à l’eau. Pour le reste ca été dit. Peu de scènes horrifiques. Une seule propose des effets un peu sanglants. Et une bande son très neutre.
En clair The Last Winter n’est pas un métrage avec de francs atouts. Très lent et sans cap précis, ce film est décevant. N’arrivant pas à transcendé son casting, et ne parvenant pas à assumer des choix clairs, le film s’enlise trop vite et manque d’intérêt après vingt minutes. J’accorde 1.
Le scénario n’est pas mieux. Le film est très lent, voir excessivement lent dans sa première partie. Ca n’avance pas, dès que l’on se dit que ça va bouger, ben finalement non, le soufflé retombe, et le métrage se conclue de façon ultra-laborieuse. Pas clair pour un sou, plat, sans véritablement de scènes tendues, le film ne semble pas avoir choisi de manière claire une orientation et une tonalité. Il semble avoir constamment hésité entre le fantastique franc, le film psychologique, la fable écologiste, et le résultat est un gloubi-boulga molasse et abstrait qui n’a rien d’enthousiasmant.
On se rattrapera peut-être un peu sur quelques bons morceaux de mise en scène et des décors soignés. De ce côté-là The Last Winter ne manque pas de quelques bons atouts à faire valoir, avec visiblement un metteur en scène concerné, qui certes reprend quelques passages bien connus de The Thing (la scène d’ouverture entre autre) mais sait ajouter sa patte. Les décors, avec ses étendues de glace font toujours leur effet. Je regrette néanmoins qu’ils apparaissent trop en toile de fond, et pas comme un élément à part entière. Au final on ne sent pas vraiment le froid à travers l’écran, les acteurs sont même souvent pas très couverts, et je suis un peu dubitatif sur le fait qu’un petit feu de broussaille puisse réchauffer quelqu’un au milieu d’une étendue glacée après qu’il soit tombé à l’eau. Pour le reste ca été dit. Peu de scènes horrifiques. Une seule propose des effets un peu sanglants. Et une bande son très neutre.
En clair The Last Winter n’est pas un métrage avec de francs atouts. Très lent et sans cap précis, ce film est décevant. N’arrivant pas à transcendé son casting, et ne parvenant pas à assumer des choix clairs, le film s’enlise trop vite et manque d’intérêt après vingt minutes. J’accorde 1.
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