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Votre avis sur Sasori, la femme scorpion ?
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Sans être mauvais, cette version 2008 de la femme scorpion est loin d’égalée les trois films avec Meiko Kaji sortis au début des années 70, tant sur le plan esthétique que sur le message délivré par la trilogie de Shunya Ito.
Un film assez sombre qui est malheureusement assez mal filmé et qui manque d'inspiration. A noter la bonne bande sonore...
AMCHI
Je ne suis pas particulièrement un fanatique des différents films japonais ayant formé la saga La femme scorpion dans les années 70 mais un ou deux étaient sympas à mater par contre ce remake insipide est à éviter, c'est mal filmé et on ne ressent aucune ambiance subversive propre aux originaux. A part quelques instants fugace de violence surprenante pas grand chose à sauver dans Sasori.
NeoLain
Et si Wong Kar Wai réalise un film d'action ?... Mais bon là il se trouve que je parle du réalisateur Joe Ma, et quel réalisation, c'est alléchant à souhait. Le casting n'est pas en reste avec l'acteur Suet Lam ( PTU ) et que dire de l'apparition du Simon Yam un régal. Sasori, la femme scorpion revient sous de bonne condition, c'est simple, sur la durée du film qui est de 1h36, il y réside plus d'une heure de pure violence, puis un esthétisme qui frôle du Wong Kar Wai en bien plus speed, l'impact est bien plus grand notamment grâce à une musique des plus enivrante qui soit, on touche de près une atmosphère assez Alex Proyas du temps de The Crow sur le plan trahison et vengeance, seulement un malaise est bien présent vers la fin et ça perd légèrement en puissance. Par contre toute la demi-heure facile quand l'héroïne se retrouve en prison est d'une violence des plus rares et maitrisé en terme d'univers carcéral. Il y à du fight bandant il y à pas d'autre terme, décidément la plupart du temps dans un film Asia, tout ce qui est féminin est orgasmique pour l'oeil, les visages et les corps sous une classe visuelle sans oublier la photographie. Bref c'est à voir, je garde tout de même une déception vers la fin, le tout aurait pu être grandiose, il en demeure au final qu'excellence.
Une bonne histoire, agrémenter de passages assez violent (notament en prison) mais le rythme irrégulier m'a franchement fait décroché lors de quelques passages dans le film.
Mériterait surement d'être revu ou refait avec une homogénéité entre récit et dialogue
Mériterait surement d'être revu ou refait avec une homogénéité entre récit et dialogue
Très long à démarrer, très brouillon, un esthétisme qui ne m'a pas plu du tout. Le film se rattraperait presque par les combats, quand ils ne partent pas dans le grand guignolesque parfois, dommage. Les acteurs restent pas trop mauvais, et heureusement, sinon c'était la catastrophe.
Ce nouvel épisode de la femme scorpion est a des kilomètres des premiers opus.Car rien de se que l'on pouvait trouver dans les premiers film n'est présent ici.Tout est au niveau zéro,l'histoire,la mise en scène,et surtout cette image absolument hideuse.La femme scorpion ne devrait pas être associé a ce minable film.
Trés violent, ce film marque une certaine ressemblance avec "Kill Bill" de par son personnage féminin au sabre et de par l'histoire de vengeance. Des scénes trés dures dans la prison féminine avec des combats assez violents au corps à corps, on passe à des scénes de bastons avec câbles au fur et à mesure qu'avance le film. Certaines longueurs romantiques viennent couper le rythme mais ce n'est pas le point fort des films asiatiques (enfin selon moi). A réserver aux amateurs de film de sabres, il mérite le coup d'oeil.
le film n'a pas a rougir de la comparaison avec killbill. Ultra violent ( notement a la prison) , sans pitié, vengeance avec un grand V. Je met pas 4 etoiles car il y a quelques longueurs qui cassent le rythme a mon gout et de l'étonnante ressemblance avec killbill.
Un film de revanche un brin banal avec cependant de magnifiques actrices.
Les combats sont bien réglés et violents à souhait qui font que ce film n'est pas à mettre entre toutes les mains.
A voir mais sans plus
Les combats sont bien réglés et violents à souhait qui font que ce film n'est pas à mettre entre toutes les mains.
A voir mais sans plus
C'est bien plus un film d'exploitation qu'autre chose. Cela signifie que des filles courent nues en guise de punition pour un manque de discipline et se font violer par des gardiens de prison idiots. En regardant la prisonnière vengeresse nous comprenons très bien ses motivations mais il s'avère être un film d'action peu dense. Mais au final ce film c'est plus ou moins une démonstration de torture sadique à la fois ringarde et peu artistique. En tant que tel cette histoire n'est pas tout à fait ma tasse de thé...
Je suis vraiment déçu de ce film qui avait pourtant l’air d’être bon (avec les affiches et les images).
Le film est au fait divisé en deux : une première avec les souffrances de l’actrice principale et une deuxième avec la vengeance. Malheureusement, ces deux parties manquent énormément de rythme. On pourrait penser que la seconde est plus intéressante mais ce n’est pas le cas à cause des petites erreurs (je vais revenir après là-dessus).La première moitié se montre moyen mais devient assez bien tout compte fait après la vision de tout le film.
J’arrive maintenant à la deuxième partie du film, qui est décevante car malheureusement les scènes d’actions, on arrive quand même à s’ennuyer. Puis, bon les scènes d’actions ne sont pas non plus exceptionnelles et quelques unes ne sont pas du tout réalistes (encore un peu ça pourrait allez mais là…) comme le gars qui saute (ah ben non il ne saute pas, il vole) sur le camion ou l’héroïne qui chope le pied de la fille (en l’air) avec une main qui l’a fait tourner au dessus d’elle. Ce problème ne vient pas seulement des images mais aussi de la façon de réaliser. Tiens, en parlant de réalisation, le film est aussi un peu confus avec quelques passages qui sortent un peu de nulle part (bon on comprend mais c’est fatiguant : ça coupe le rythme).Ensuite le dénouement est trop prévisible et se montre trop basique.
Les seuls points positifs sont le mélange de couleurs sombres/fluos et le film qui se montre violent et un peu sanglant.
Sasori est donc un film ennuyeux avec en plus des défauts dans la réalisation et dont très peu de choses arrivent à le sauver.
Le film est au fait divisé en deux : une première avec les souffrances de l’actrice principale et une deuxième avec la vengeance. Malheureusement, ces deux parties manquent énormément de rythme. On pourrait penser que la seconde est plus intéressante mais ce n’est pas le cas à cause des petites erreurs (je vais revenir après là-dessus).La première moitié se montre moyen mais devient assez bien tout compte fait après la vision de tout le film.
J’arrive maintenant à la deuxième partie du film, qui est décevante car malheureusement les scènes d’actions, on arrive quand même à s’ennuyer. Puis, bon les scènes d’actions ne sont pas non plus exceptionnelles et quelques unes ne sont pas du tout réalistes (encore un peu ça pourrait allez mais là…) comme le gars qui saute (ah ben non il ne saute pas, il vole) sur le camion ou l’héroïne qui chope le pied de la fille (en l’air) avec une main qui l’a fait tourner au dessus d’elle. Ce problème ne vient pas seulement des images mais aussi de la façon de réaliser. Tiens, en parlant de réalisation, le film est aussi un peu confus avec quelques passages qui sortent un peu de nulle part (bon on comprend mais c’est fatiguant : ça coupe le rythme).Ensuite le dénouement est trop prévisible et se montre trop basique.
Les seuls points positifs sont le mélange de couleurs sombres/fluos et le film qui se montre violent et un peu sanglant.
Sasori est donc un film ennuyeux avec en plus des défauts dans la réalisation et dont très peu de choses arrivent à le sauver.
Disons-le clairement, Sasori fait partie de ces films que l’on oublie aussitôt après les avoir vus. Le film de Joe Ma correspond à une énième adaptation du manga pour adultes de Tôru Shinohara. Sauf que cette dernière n’apporte rien à l’édifice cinématographique débutée par la trilogie de Shunya Ito dans laquelle Sasori (le personnage principal est incarné par Meiko Kaji).
Suite au meurtre de la sœur de son amant qu’elle est contrainte de commettre par une bande de tueurs, Nami Matsushima (Miki Mizuno) est envoyée dans une prison pour femmes tenue par un directeur lubrique incarné par ce bon vieux Lam Suet. Elle y découvre un univers de bestialité dans lequel elle est contrainte d’apprendre le langage de la violence pour survivre. Laissée pour morte par les gardiens de la prison, elle se perfectionne dans la pratique des arts martiaux en devenant disciple d’un mystérieux maître en kung-fu (qui n’est autre que Simon Yam). Le temps est venue pour elle d’assouvir sa vengeance.
Sasori : la femme scorpion aurait pu être un simple film anonyme comme il s’en fait tant à Hong Kong et au Japon s’il n’avait pas eu la prétention de s’attaquer au monument du cinéma asiatique qu’est la trilogie de Shunya Ito. De ces trois films, il ne reste rien.
Le manifeste féministe et le nihilisme original a laissé la place à des personnages sans saveur, à un film aseptisé doté d’une fausse noirceur qui prend la forme d’une violence totalement gratuite, sans autre intérêt que d’aiguiser l’appétit du chaland en manque de sensation forte.
Des plans magnifiques tout en couleur pop à l’italienne et en profondeur de champ et du travail sur les ombres, il ne reste rien. Des combats au câble, des couleurs criardes et des effets numériques foireux ont remplacé le génie des premiers films. Vous l’aurez compris, Sasori est un film à éviter. Ni suffisamment mauvais pour être drôle, il l’est en revanche assez pour nous donner envie de revoir la trilogie d’origine et d’oublier cette version de 2008.
Suite au meurtre de la sœur de son amant qu’elle est contrainte de commettre par une bande de tueurs, Nami Matsushima (Miki Mizuno) est envoyée dans une prison pour femmes tenue par un directeur lubrique incarné par ce bon vieux Lam Suet. Elle y découvre un univers de bestialité dans lequel elle est contrainte d’apprendre le langage de la violence pour survivre. Laissée pour morte par les gardiens de la prison, elle se perfectionne dans la pratique des arts martiaux en devenant disciple d’un mystérieux maître en kung-fu (qui n’est autre que Simon Yam). Le temps est venue pour elle d’assouvir sa vengeance.
Sasori : la femme scorpion aurait pu être un simple film anonyme comme il s’en fait tant à Hong Kong et au Japon s’il n’avait pas eu la prétention de s’attaquer au monument du cinéma asiatique qu’est la trilogie de Shunya Ito. De ces trois films, il ne reste rien.
Le manifeste féministe et le nihilisme original a laissé la place à des personnages sans saveur, à un film aseptisé doté d’une fausse noirceur qui prend la forme d’une violence totalement gratuite, sans autre intérêt que d’aiguiser l’appétit du chaland en manque de sensation forte.
Des plans magnifiques tout en couleur pop à l’italienne et en profondeur de champ et du travail sur les ombres, il ne reste rien. Des combats au câble, des couleurs criardes et des effets numériques foireux ont remplacé le génie des premiers films. Vous l’aurez compris, Sasori est un film à éviter. Ni suffisamment mauvais pour être drôle, il l’est en revanche assez pour nous donner envie de revoir la trilogie d’origine et d’oublier cette version de 2008.
Déjà, à la vue de casting, chinois en majorité, ça sentait pas bon. Puis l'autocollant apposé sur le DVD, "le film qui a inspiré Kill Bill", là, je me suis dis, ça sent vraiment mauvais. Et puis le film a commencé... pas trop mal d'ailleurs, jusqu'à ce que Nami parte en prison en fait. L'histoire tenait vaguement debout, on retrouvait un peu l'aspect kitch des films originaux... mais c'est tout. Le film n'a rien à voir avec ses prédécesseurs, Joe Ma (bien connu pour son chef-d'œuvre... euh non pour rien en fait) ce permettant de leur déféquer en plein visage. Tout est prétexte à combat entre filles à fortes poitrines, le must du mauvais goût étant quand même le combat dans la boue, arrivant de nulle part.
Au final, j'ai tenu trente minutes, ce qui est déjà un exploit en soi. A coté de ça, on peut qualifier les adaptations des années 90 de petits bijoux... Allez, 1 étoile, parce Miki Mizuno est bien mignonne.
Au final, j'ai tenu trente minutes, ce qui est déjà un exploit en soi. A coté de ça, on peut qualifier les adaptations des années 90 de petits bijoux... Allez, 1 étoile, parce Miki Mizuno est bien mignonne.
Je doit être dingue j ai mis 3 étoiles pour ce film lol. Ben vi j ai adorais bien qu'il y est des longueur pas possible mais le film ce regarde par ces scènes à la fin fois poétique et manga.La chanson de fin est excellente . Les scènes de combats sont bien chorégraphiés dans le plus pur style japonais.
ps:j aime bien la scène avec la pièce de 100francs français elle est ..à couper^^
ps:j aime bien la scène avec la pièce de 100francs français elle est ..à couper^^
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