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Ip Man : La Symphonie des Poings
Ip Man, c’est le genre de film qui te fait réévaluer tes critères de "mec badass". Parce que quand Donnie Yen enfile le costume du grand maître de Wing Chun, on n’est plus là pour rigoler. Ce mec te balance des patates avec une grâce qui ferait passer un ballet pour un combat de rue. Et on parle de chorégraphies millimétrées, où chaque coup est aussi précis qu’un tir de sniper. Kenji Kawai balance une musique qui te fait monter la tension jusqu’à ce que tu exploses avec les poings du maître. Bref, un film où le Kung Fu devient un art à part entière, loin des clichés qu’on nous sert d’habitude.
Avec un nom pareil, Ip Man pourrait être un super-héros de l’univers Marvel, et franchement, il n’aurait rien à envier à Captain America. Le gars est tellement rapide qu’on dirait qu’il a activé le mode turbo. Sauf qu’ici, pas de costumes moulants ou de gadgets high-tech. Juste des poings, des pieds et une technique millénaire qui déboîte tout sur son passage. Donnie Yen nous sort un sourire en coin qui te dit "Je vais te pulvériser, mais avec classe", et chaque combat devient un moment d’anthologie. C’est un peu comme si Bruce Lee avait trouvé son maître ultime.
Ce film, c’est aussi une plongée dans une Chine occupée, où l’honneur est une question de survie. Ip Man refuse de plier devant l’envahisseur japonais, et ça, c’est du courage à l’état brut. Ici, chaque combat n’est pas juste une démonstration de force, c’est un acte de résistance. On est loin des bastons gratuites, chaque coup porté a du sens, une signification profonde. Et quand Ip Man se lance dans l’arène, c’est tout un peuple qu’il représente, avec une dignité et un respect qui forcent l’admiration.
Je ne connaissais pas Donnie Yen avant ce film, et clairement, le mec a trouvé le rôle de sa carrière. Ce n’est plus un acteur, c’est Ip Man réincarné. Son jeu est d’une finesse et d’une sobriété qui contrastent avec la violence des combats. Et même quand il enchaîne les adversaires comme dans un jeu vidéo, il garde cette aura de calme et de sérénité. Tu sens que le gars maîtrise son art à la perfection, et tu restes scotché à chaque scène. C’est ce genre de performance qui te fait dire que certains acteurs sont nés pour un rôle précis, et ici, Donnie Yen est tout simplement magistral.
Ip Man, c’est un chef-d’œuvre que trop peu de gens connaissent. Et c’est bien dommage, parce qu’il a tout pour devenir un classique. Pas de fioritures inutiles, pas de scènes de sexe forcées, juste du pur cinéma, avec une narration fluide et des combats d’une beauté rare. Ce film m’a ouvert les yeux sur la richesse du cinéma asiatique, qui n’a rien à envier à Hollywood. Et si tu n’as jamais vu de films d’arts martiaux, c’est celui-là qu’il faut mater en premier. Car Ip Man n’est pas juste un film, c’est une expérience cinématographique à part entière.
En résumé, Ip Man est une claque monumentale. De la musique à la réalisation en passant par les scènes de combat et le jeu d’acteur, tout est calibré au millimètre pour te laisser sur le cul. C’est un film qui mérite d’être vu, revu, et encensé. Bref, un classique instantané qui devrait être dans la collection de tout cinéphile qui se respecte. Si tu ne l’as pas encore vu, tu sais ce qu’il te reste à faire.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Ip Man, c’est le genre de film qui te fait réévaluer tes critères de "mec badass". Parce que quand Donnie Yen enfile le costume du grand maître de Wing Chun, on n’est plus là pour rigoler. Ce mec te balance des patates avec une grâce qui ferait passer un ballet pour un combat de rue. Et on parle de chorégraphies millimétrées, où chaque coup est aussi précis qu’un tir de sniper. Kenji Kawai balance une musique qui te fait monter la tension jusqu’à ce que tu exploses avec les poings du maître. Bref, un film où le Kung Fu devient un art à part entière, loin des clichés qu’on nous sert d’habitude.
Avec un nom pareil, Ip Man pourrait être un super-héros de l’univers Marvel, et franchement, il n’aurait rien à envier à Captain America. Le gars est tellement rapide qu’on dirait qu’il a activé le mode turbo. Sauf qu’ici, pas de costumes moulants ou de gadgets high-tech. Juste des poings, des pieds et une technique millénaire qui déboîte tout sur son passage. Donnie Yen nous sort un sourire en coin qui te dit "Je vais te pulvériser, mais avec classe", et chaque combat devient un moment d’anthologie. C’est un peu comme si Bruce Lee avait trouvé son maître ultime.
Ce film, c’est aussi une plongée dans une Chine occupée, où l’honneur est une question de survie. Ip Man refuse de plier devant l’envahisseur japonais, et ça, c’est du courage à l’état brut. Ici, chaque combat n’est pas juste une démonstration de force, c’est un acte de résistance. On est loin des bastons gratuites, chaque coup porté a du sens, une signification profonde. Et quand Ip Man se lance dans l’arène, c’est tout un peuple qu’il représente, avec une dignité et un respect qui forcent l’admiration.
Je ne connaissais pas Donnie Yen avant ce film, et clairement, le mec a trouvé le rôle de sa carrière. Ce n’est plus un acteur, c’est Ip Man réincarné. Son jeu est d’une finesse et d’une sobriété qui contrastent avec la violence des combats. Et même quand il enchaîne les adversaires comme dans un jeu vidéo, il garde cette aura de calme et de sérénité. Tu sens que le gars maîtrise son art à la perfection, et tu restes scotché à chaque scène. C’est ce genre de performance qui te fait dire que certains acteurs sont nés pour un rôle précis, et ici, Donnie Yen est tout simplement magistral.
Ip Man, c’est un chef-d’œuvre que trop peu de gens connaissent. Et c’est bien dommage, parce qu’il a tout pour devenir un classique. Pas de fioritures inutiles, pas de scènes de sexe forcées, juste du pur cinéma, avec une narration fluide et des combats d’une beauté rare. Ce film m’a ouvert les yeux sur la richesse du cinéma asiatique, qui n’a rien à envier à Hollywood. Et si tu n’as jamais vu de films d’arts martiaux, c’est celui-là qu’il faut mater en premier. Car Ip Man n’est pas juste un film, c’est une expérience cinématographique à part entière.
En résumé, Ip Man est une claque monumentale. De la musique à la réalisation en passant par les scènes de combat et le jeu d’acteur, tout est calibré au millimètre pour te laisser sur le cul. C’est un film qui mérite d’être vu, revu, et encensé. Bref, un classique instantané qui devrait être dans la collection de tout cinéphile qui se respecte. Si tu ne l’as pas encore vu, tu sais ce qu’il te reste à faire.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Wing chun boxe danse
Magnifiques apprentissages
l'art.. wing chun boxe danse
de l'humilité d'humanité
un guerrier un peu décalé !
discrétion sécurité assurance
tous risques !
Magnifiques apprentissages
l'art.. wing chun boxe danse
de l'humilité d'humanité
un guerrier un peu décalé !
discrétion sécurité assurance
tous risques !
On parle quand même d'un film sur le maître de Bruce Lee !
J'adore l'histoire et je me plais à imaginer que tout s'est réellement passé de la sorte.
La Chine est envahie par le Japon et un haut gradé de l'armée nippone tombe sous le charme de la boxe wing chun pratiquée par le maître Ip Man, boxe réputée pour être celle que les femmes pratiquent.
Ip Man est alors défié en combat singulier par le général Miura pour une démonstration de toute beauté.
Film d'action asiatique, en total décalage avec les films d'action US mais j'aime ces différences.
Je recommande. Par contre je crois avoir vu le 2 à l'époque et je n'en ai gardé aucun souvenir.
J'adore l'histoire et je me plais à imaginer que tout s'est réellement passé de la sorte.
La Chine est envahie par le Japon et un haut gradé de l'armée nippone tombe sous le charme de la boxe wing chun pratiquée par le maître Ip Man, boxe réputée pour être celle que les femmes pratiquent.
Ip Man est alors défié en combat singulier par le général Miura pour une démonstration de toute beauté.
Film d'action asiatique, en total décalage avec les films d'action US mais j'aime ces différences.
Je recommande. Par contre je crois avoir vu le 2 à l'époque et je n'en ai gardé aucun souvenir.
Beaucoup de mal avec les notes pour ce film que je trouve un peu trop élevées ...
A chaque nouvelle scène on s'attend a ce que le film prenne cette direction et il n'y a pas réelement de surprises ...
Plutot d'ommage car les combats sont plutot bien réalisés et constituent les seuls moments du films ou l'envie de s'endormir est peu présente.
spoiler: Le "méchant" combattant qui va piller le quartier du personnage principal va etre détruit par ce dernier par vengeance avec l'aide de l'armée de son village qu'il avait entrainé pour ce combat.
Suite a la guerre opposant le Japon a la Chine, les japonais cherchent Ip Man pour consolider leurs armées, comme si un seul homme pouvait avoir un quelconque impact a l'échelle nationale... homme qui est d'ailleurs littérallement imbattable peut importe le nombre d'hommes et leurs armes ... ne pas regarder ce film premier degré evidemment surtout quand on sat qu'on peut déjà à cette période la utiliser des armes pour tuer ! Point positif la fin du film et les explications concernant la guerre et la création d'écoles d'arts martiaux.
A chaque nouvelle scène on s'attend a ce que le film prenne cette direction et il n'y a pas réelement de surprises ...
Plutot d'ommage car les combats sont plutot bien réalisés et constituent les seuls moments du films ou l'envie de s'endormir est peu présente.
spoiler: Le "méchant" combattant qui va piller le quartier du personnage principal va etre détruit par ce dernier par vengeance avec l'aide de l'armée de son village qu'il avait entrainé pour ce combat.
Suite a la guerre opposant le Japon a la Chine, les japonais cherchent Ip Man pour consolider leurs armées, comme si un seul homme pouvait avoir un quelconque impact a l'échelle nationale... homme qui est d'ailleurs littérallement imbattable peut importe le nombre d'hommes et leurs armes ... ne pas regarder ce film premier degré evidemment surtout quand on sat qu'on peut déjà à cette période la utiliser des armes pour tuer ! Point positif la fin du film et les explications concernant la guerre et la création d'écoles d'arts martiaux.
Effets spéciaux bien dépassé par rapport à ce qui se fait aujourd'hui mais l'histoire est sympa et on ne s'ennuie pas.
Dans un contexte Historique, le Japon envahit la Chine, le futur Maître de Bruce Lee tente de survivre en faisant une place à son art martiale qu'il défend et souhaite enseigner. Nous sommes aux origines de la Légende et c'est avec une grande admiration que l'on suit la véritable histoire d'IP MAN, une histoire semée d’embûches. L'homme, simple, sage, est fascinant à suivre...
Aucune fausse note, ce film est une merveille. Donnie Yen est aussi grand acteur que combattant. Film bien écrit, très bien réalisé avec de belles valeurs et des combats grandioses.
Wilson Yip/Donnie Yen nous livre un GRAND film d'arts martiaux. Avec Ip Man, le réal illustre parfaitement le contexte d'époque et magnifie Yen dans le rôle de toute une vie. L'acteur livre une prestation pleine d'émotion, d'empathie, de colère, de tendresse..
Avec une reconstitution d'époque incroyable.
Et bien sûr des chorégraphies irréprochables qui élève le long métrage d'un autre niveau. Grâce au talent de Sammo Hung et Tony Leung.
Seul petit défaut, le nationalisme souvent appuyer...
Autrement. Un uppercut. Culte.
Avec une reconstitution d'époque incroyable.
Et bien sûr des chorégraphies irréprochables qui élève le long métrage d'un autre niveau. Grâce au talent de Sammo Hung et Tony Leung.
Seul petit défaut, le nationalisme souvent appuyer...
Autrement. Un uppercut. Culte.
Ip Man retrace la vie du célèbre maître, et qu'elle claque. Bien mieux que l'adaptation the Grandmaster. Le film est une beauté sans précédente, les combats sont spectaculaire et Donnie Yen est très charismatique. Un film d'une grande ampleur, et impressionnant. Un grand film d'art martiaux qui fait renaître le genre
Un biopic des plus touchants ! Les acteurs sont excellents, l'histoire mêle biopic, drame, de l'historique et des arts martiaux à la perfection. Une ambiance prenante et émotionnellement forte. Une pure réussite !
Très bon film de Kung-fu. J’ai vu mon père en train de le regarder, je l’ai rejoint et au bout de 5 minutes, j’ai accroché. L’histoire est intéressante (en plus elle est inspirée de faits réels), les scènes de combat sont divertissantes pour les yeux, la musique est sublime et colle bien. Très bon travail de la part de Donnie Yen.
Je crois que j’ai un nouveau style de film à voir. 😁
Je crois que j’ai un nouveau style de film à voir. 😁
Ip Man est un excellent film d'arts martiaux. La paisible ville de Fonshan, dans le Guangdong, au sud de la Chine, est perturbée par l'arrivée de chinois du Nord et leur style de combat taizu chang quan qui vont se fritter avec les écoles d'arts martiaux locales pratiquant le wing chun. La ville subira ensuite l'invasion des japonais et leur style karaté, bien qu'ils soient aussi prompt à user de leurs armes à feu.
Ip Man devra affronter ces défis et se débrouiller pour mêler vie de famille, occupation japonaise et arts martiaux, et ce ne sera pas de tout repos!
Ip Man devra affronter ces défis et se débrouiller pour mêler vie de famille, occupation japonaise et arts martiaux, et ce ne sera pas de tout repos!
La vie du grand maître du Wing Chun Yip Man – Professeur de Bruce Lee
De la Chine provinciale des années 1930 à la ville de Foshan, occupée par l'empire japonais pendant la Seconde Guerre mondiale, nous suivons la vie, les enseignements et les luttes d'un homme humble qui s'est battu pour l'éducation, la justice et la sagesse, et est devenu une icône de la résistance chinoise et de l'histoire chinoise moderne.
De la Chine provinciale des années 1930 à la ville de Foshan, occupée par l'empire japonais pendant la Seconde Guerre mondiale, nous suivons la vie, les enseignements et les luttes d'un homme humble qui s'est battu pour l'éducation, la justice et la sagesse, et est devenu une icône de la résistance chinoise et de l'histoire chinoise moderne.
Loin des combats exubérants , voire comiques, de certains films , notamment de Jackie Chan (bien aussi mais sur un autre registre) , c'est une histoire toute en retenue avec un personnage central humble et humaniste... Pas de cris tonitruants ni de trucage au trampoline , on devine quelques harnais mais c'est de bon aloi .... Ip Man (drôle de nom d'ailleurs) serait-il si connu s'il n'avait été le maitre de Bruce Lee ? Ce maitre est présenté comme un notable, avec une grande maison et des serviteurs, mais on ne sait de quoi il vit puisqu'il n'a pas encore créé d'école ..... Sinon c'est caricatural : les Chinois sont bons et gentils , les Japonais foncièrement méchants et sournois.... Et il est fort peu probable que les Japs aient utilisé un Dodge WC51 de 1942 et une Jeep Willys de 1953............
ip ip ip ?
Il y a deux ans sortait Ip Man 4. J’étais plutôt étonné de voir à l’affiche le 4ème épisode d’un truc dont je n’avais jamais entendu parler. Enquête sur le terrain. Le réalisateur n’en est pas à son coup d’essai vu qu’il tourne depuis 1995. J’imagine que les fans de cinéma Hongkongais le connaissent bien.
Nous sommes dans les années 1930 à Foshan, juste au sud de Guangzhou. Cette ville est alors réputée pour sa pratique du kung fu et plus particulièrement du wing chun, une variante. Là vit un grand maître respecté. Quelques années plus tard, le Japon envahit la ville et ramène tout le monde à l’état d’esclave, le maître y compris. Mais l’envahisseur est joueur et il aimerait comparer le wing chun chinois au karaté japonais.
Le film de baston est un genre codé dont je ne suis pas spécialiste même si je l’apprécie généralement. Ici, ça bastonne comme j’aime. Les chorégraphies sont fines mais pas chichiteuses et la dimension mystique est laissée de côté. Les personnages sont très très caractérisés mais au final touchants, en particulier ce maître loin de Fu Manchu. L’aspect dramatique du film est un vrai plus, tant dans la relation entre les personnages que dans le contexte choisi. Cette occupation japonaise est décrite avec une certaine précision. On ne sera bien sûr pas dupe et au nationalisme impérial japonais d’alors répond le nationalisme chinois d’aujourd’hui. C’est probablement de bonne guerre même si la tonalité s’éloigne probablement de la réalité du conflit et de ses enjeux. L’autre point qui démarque le film d’une production occidentale, c’est le travail sur la lumière et le décor. A titre personnel, je trouve ça souvent surexposé et la lumière est parfois mal dirigée. Si l’on y ajoute un décor un peu figé, on a vite cette impression de faux. Mais rien de si grave tant le film est efficace et plaisant au visionnage. Du coup, on a hâte de lancer le deuxième.
Il y a deux ans sortait Ip Man 4. J’étais plutôt étonné de voir à l’affiche le 4ème épisode d’un truc dont je n’avais jamais entendu parler. Enquête sur le terrain. Le réalisateur n’en est pas à son coup d’essai vu qu’il tourne depuis 1995. J’imagine que les fans de cinéma Hongkongais le connaissent bien.
Nous sommes dans les années 1930 à Foshan, juste au sud de Guangzhou. Cette ville est alors réputée pour sa pratique du kung fu et plus particulièrement du wing chun, une variante. Là vit un grand maître respecté. Quelques années plus tard, le Japon envahit la ville et ramène tout le monde à l’état d’esclave, le maître y compris. Mais l’envahisseur est joueur et il aimerait comparer le wing chun chinois au karaté japonais.
Le film de baston est un genre codé dont je ne suis pas spécialiste même si je l’apprécie généralement. Ici, ça bastonne comme j’aime. Les chorégraphies sont fines mais pas chichiteuses et la dimension mystique est laissée de côté. Les personnages sont très très caractérisés mais au final touchants, en particulier ce maître loin de Fu Manchu. L’aspect dramatique du film est un vrai plus, tant dans la relation entre les personnages que dans le contexte choisi. Cette occupation japonaise est décrite avec une certaine précision. On ne sera bien sûr pas dupe et au nationalisme impérial japonais d’alors répond le nationalisme chinois d’aujourd’hui. C’est probablement de bonne guerre même si la tonalité s’éloigne probablement de la réalité du conflit et de ses enjeux. L’autre point qui démarque le film d’une production occidentale, c’est le travail sur la lumière et le décor. A titre personnel, je trouve ça souvent surexposé et la lumière est parfois mal dirigée. Si l’on y ajoute un décor un peu figé, on a vite cette impression de faux. Mais rien de si grave tant le film est efficace et plaisant au visionnage. Du coup, on a hâte de lancer le deuxième.
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