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Votre avis sur The Grandmaster ?
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Vraiment dommage que ce film utilise le nom d'ip man alors que ce n'est qu'un pretexte. ce film n'a rien à voir avec le kung fu, combats nullissimes, histoire incompréhensible de grosses longueurs interminables bref une pure daube... et je pèse mes mots.
trop lent, trop long, difficile de se retrouver parmi les personnages qui est qui, trop de ressemblance, je me suis ennuyée grave, même si quelques plan étaient pas mal
Christoblog
Difficile d'émettre des critiques face à une oeuvre aussi démesurée que le dernier film de Wong Kar Wai, cinéaste adulé des cinéphiles, qui sur ce terrain là ne connait que Terence Malick comme concurrent sérieux. Rappelons quelques chiffres sidérants : 10 ans pour que le film se concrétise, de nombreuses interruptions dans le tournage (Tony Leung s'est cassé le bras deux fois, en apprenant le kung-fu pendant 4 ans), la scène initiale sous la pluie a nécessité 1 mois de tournage, le combat entre Ip Man et Gong Er aussi (et plus de deux ans de montage pour cette seule scène), la construction du bordel a duré 6 mois, etc...
La somme des talents réunis sur ce film, que ce soit pour les chorégraphies, la musique ou.... la suite ici :
La somme des talents réunis sur ce film, que ce soit pour les chorégraphies, la musique ou.... la suite ici :
Une réalisation époustouflante qui nous rappelle que le cinéma est un art.
Excellent film. A la fois poétique et esthétique. Scènes de combat très réalistes. J'avais adoré la bande annonce et sincèrement le film est remarquable
La maîtrise de l'image de Wongy est bien là, et quoique ce dernier cède quelque peu à la tentation de la facilité mélodramatique et larmoyante (qui n'a eu aucun effet sur moi), les amateurs de sa photographie ne devraient pas être trop déçus. Le reste (le fond, en fait...) laisse à désirer. Passons sur le fait que le kung-fu ne peut pas passionner tout le monde. Une fois retranchés les quelques instants qui fonctionnent, on peut quand même dénoncer une intrigue faiblarde, sans grand intérêt. A ceux qui me répondraient que The Grandmaster est un biopic, et que par conséquent le cinéaste n'est guère responsable du déficit de puissance narrative de la réalité sur une histoire fictive, je répondrais que Wong Kar-Wai a péché en choisissant de mettre (joliment) en image une histoire profondément ennuyeuse et insipide.
Génialement filmé la lenteur de la caméra laisse place à la fulgurance de la rapidité des mouvements de kung fu , une magnifique histoire de transmission du savoir et de sagesse.
Ce qui me "console", c'est que même Zhang Ziyi et Tony Leung ont eu l'air de s'ennuyer quelque peu dans ce Wong- Kar- Wai qui est un peu tout et rien à la fois...
Pour un film long, on a une curieuse impression de "pas fini", sans doute dûe au fait que beaucoup de sujets, notamment historiques, ne sont que survolés.
Pour ce qui est de la forme, on est entre l'esthétique de Matrix et Le secret des poignards volants, en mille fois moins bien.
Le titre et l'affiche laissent espérer un grand film. Espoir de courte durée.
Pour un film long, on a une curieuse impression de "pas fini", sans doute dûe au fait que beaucoup de sujets, notamment historiques, ne sont que survolés.
Pour ce qui est de la forme, on est entre l'esthétique de Matrix et Le secret des poignards volants, en mille fois moins bien.
Le titre et l'affiche laissent espérer un grand film. Espoir de courte durée.
une deception que ce film qui s'adresse avant tout aux asiatiques (chinois de prefèrence) ou les combats sont pas mal mais ou la philosophie et les citations (purements asiatiques) sont innacesibles aux pauvres occidentaux que nous sommes la seule chose que j'ai compris
spoiler:
est qu'en matière d'art martiaux le nord et le sud sont rivaux
Un maitre en arts martiaux ne donne pas du sens a sa vie ; il vit.
Lorsque la décision est prise, mille montagnes ne sont pas un obstacle.
Lorsque la décision est prise, mille montagnes ne sont pas un obstacle.
Chef-d'oeuvre à ne pas manquer. Grand film initiatique, métaphysique. Une qualité exceptionnelle dans les moindres détails. Des acteurs superbes, excellents et très bien dirigés.
Magnifique soirée au cinéma mais nous n'étions que trois dans la salle.
Je vais certainement retourner le voir
Magnifique soirée au cinéma mais nous n'étions que trois dans la salle.
Je vais certainement retourner le voir
Film et histoire incomprehensible pour les non chinois. Un melange entre kung fu et veritable histoire deroutant , une lumiere blaffarde , des effets de style et de camera rates.
J'espere pour ceux qui tienne 2 heures que la fin est bien...
J'espere pour ceux qui tienne 2 heures que la fin est bien...
alors que le titre et l'affiche du film nous fais penser a un film tres mouvementé avec des combats clairs l'histoire ne nous a pas accroché nous nous attendions a ce que le wing chun prenne plus de place dans le film nous ne connaissions pas ip man peut etre estce pour ca que nous avons ete decu de l'histoire beaucoup de gens ont quitté la salle avant la fin du film ... cette mise en scene ne nous a pas plu
Je suis partagé.
D'un côté, on a un film esthétiquement très beau, sombre avec une ambiance particulière. Les prises de vue, cette façon de filmer et les ralentis sont superbes. Les acteurs sont convaincants et la musique plutôt agréable.
Et d'un autre côté, on a un film (un peu) long et ennuyeux. Le scénario est brouillon et mal expliqué. J'avoue avoir eu du mal à suivre.
C'est bien dommage. Il y avait moyen de faire un grand film.
D'un côté, on a un film esthétiquement très beau, sombre avec une ambiance particulière. Les prises de vue, cette façon de filmer et les ralentis sont superbes. Les acteurs sont convaincants et la musique plutôt agréable.
Et d'un autre côté, on a un film (un peu) long et ennuyeux. Le scénario est brouillon et mal expliqué. J'avoue avoir eu du mal à suivre.
C'est bien dommage. Il y avait moyen de faire un grand film.
vidalger
Tout près du chef d'œuvre, le grand maître Wong frôle la perfection. Sur une histoire d'arts martiaux, d'amour, d'héritage, sur fond de guerre et d'exotisme, le réalisateur nous offre une leçon de cinéma. Les qualités esthétiques de l'image, la beauté de la photo, les longs et doux travellings, la façon de filmer la pluie ou la neige ont peu d'équivalent dans le cinéma mondial. On se souviendra longtemps par exemple, de la longue scène de l'affrontement sur un quai de gare brumeux avec un train qui n'en finit pas de passer. Après "In the mood for love"et "my blueberry nights", et malgré des chefs opérateurs différents (ici Philippe Le Sourd), Wong confirme un style propre, toujours à la limite de la boursouflure discrète ou de l'emphase modeste, toujours précis, soigné, pensé. Zhang Ziyi et Tony Leung sont magnifiques. Pour ce qui concerne l'histoire proprement dite, on pardonnera au scénariste ou au monteur, quelques obscurités ou raccourcis intempestifs qui nous ont laissé perplexe, quelques fois.
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