Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,5
Publiée le 24 avril 2013
Franchement, déjà qu'on ma obligé d'aller le voir, je trouve que ce film et bof. On voit tout de suite que c'est un film parce que, excusez-moi, mais des sauts comme ça comme si les gens savaient voler ça n'existe pas. En bref, un film du lundi soir sur TF1 peut être.
Film à l'esthétique parfaite, aux combats parfaitement chorégraphiés... l'histoire pâti d'un certain académisme et surtout des rôles masculins trop pâles (Ip Man) ou pas assez développé (La Lame ??? Rien compris à sa présence). En revanche, chaque scène en présence de Gong Er file la chair de poule ! Notamment les dernières ! A elle seule elle justifie de voir ce film au moins une fois !
les points positifs du film : beau travail de l'image grand soin apporté à la photo Zhang Ziyi magnifique en pratiquante de Ba gua zhang magnifique travail de Yuen Woo Ping qui permet de reconnaître les styles pratiqués par les différents experts
les points négatifs : avoir un scénario cohérent eut été bien les images floues c'est lassant les longueurs aussi tony leung semble avoir deux expressions faciales pour tout le film
en conclusion : c'est le pire film sur Yip man que j'ai vu. C'est prétentieux, long, ennuyeux. le cinéaste est tellement préoccupé par l'image qu'il en oublie qu'il ne fait pas des photos mais un film. J'aurai aimé dire que l'intrigue est décousue, mais malheureusement il n'y a pas d'intrigue. Les flashbacks se croisent sans cohérence et on perd facilement le cours de la narration. Les scènes de combat si elles sont remarquables, ne masquent pas l'indigence du film apparait sporadiquement dans le récit le personnage de "la lame", pratiquant de Baji, complétement hors sol. On ne sait pas pourquoi il est là, ce qu'il fait. Il n'amène rien à l'histoire. Si l'on était dans un monthy python et qu'il fut drôle on le considérerait comme une private joke récurrente
Et comme de juste on a droit à une image suggérant bruce lee à la fin... C'est, pour mon goût propre, une pure rave, un navet de mauvaise qualité. Cela ressemble à un travail "bankable" sur un sujet à la mode (Yip man et le wing chun) ou le réalisateur s'est fait plaisir en restant dans le cadre du cahier des charges (qui doit tenir sur un ticket de métro : raconter la vie de yip man avec un amour romantique et des combats
Si vous aimez les films d'art martiaux, attendez la sorti en DVD pour ne voir que les combats. Le reste est inintéressant. Je comprends mieux l'engouement des chrocul de france inter et d'ailleurs qui ne s'étaient jamais intéressés à un film de kung fu auparavant, si ce n'est pour en dire pis que pendre.
Très beau, il n'y a rien a redire sur ce point là. Chaque image est une œuvre d'art, sublimée par une BO grandiose, un scénario certes très classique mais bien maitrisé, et aussi par un excellent jeux d'acteur. Tout cela pourrait être parfait, s'il n'y avait pas ce problème de rythme et de longueurs. En effet le film gagnerait à être plus court, la beauté de l'image a parfois du mal à nous sauver de l’ennui. L'ensemble reste néanmoins positif. "The Grandmaster" est un beau long-métrage, qui nous donne une approche de la vie de maitre Yip Man différente des films avec Donnie Yen (Plus contemplatif, plus poétique, mais aussi moins bien rythmé).
Obligée de mettre une demi étoile pour écrire la critique... Ce film ne le vaut meme pas. On est partis au milieu tellement c'était ennuyeux. L'histoire est sans intérêt, les combats tous identiques (sans parler du câblage a la tigre et dragon) et filmes de trop près le plupart du temps . Je déconseille fortement surtout aux fans des 2 premiers ip man. Rien a voir.
Visuellement bluffant , assez onirique , les asiatiques ne racontent pas les histoires comme nous c'est assez dépaysant. Pas vrmt un film de Kun Fu classique - assez proche de certains Terrence Malick dans l'approche. Parfois un peu trop contemplatif des moments on s'emmerde un peu ... Mais globalement réjouissant.
L'enfer. Aucun fil rouge, scénario aléatoire écrit sur un coin de table. Un film de kung-fu avec trop peu de kung-fu. La plupart des uniques moment de suspenses n'aboutissent jamais : l'éléphant qui accouche d'une souris, dans toute sa splendeur. Bref, n'y allez-pas, on compte les minutes.
Décevant. Les scènes d'action sont toutes les quasiment identiques et se comptent sur les doigts d'une main. Si on enlève les scènes inutiles combinées à l'effet ralenti utilisé avec abus, on peut facilement enlever 30 minutes de film. Je le déconseille fortement.
amateur de film de combat à mains nues vous aller être servi ! pas dans la quantité mais dans la qualité ! un spectacle pour les yeux !!! sinon quelque longueur et on est vite perdu mais ça fait quand meme le détour !
Connais pas trop l'univers de Wong Kar-Wai mais je suis assez fan des films de HK (Tsui Hark, John Woo, Johnny To,...) et l'occasion d'en apprendre plus sur Yip Man était tentante ... mais voilà autant certaines scènes sont magnifiques (le générique de début ainsi que le 1er combat) autant niveau scénario c'est assez la cata. On en apprend déjà pas grand chose sur le protagoniste principal et certains moments sont inintéressants à souhait... Niveau casting c'est du tout bon, les 2 persos féminins sont magnifiques et Tony Leung en impose mais quand je vois/lis qu'il a fallu 10 ans de préparation pour ça ... ça laisse rêveur.
Je dois bien le reconnaître, je ne suis déjà pas très fan de l'univers de Wong Kar-Wai à la base... Mais alors quand en plus il décide de s'investir d'une sacro-sainte lutte d'influence au sein du cinéma hongkongais, alors là, son cinéma devient un peu n'importe quoi... Parce que oui : il faut savoir replacer ce film sans son contexte. A Hong-Kong, actuellement, c'est la fête à Ip Man, cette figure sortie de nulle part que le parti communiste chinois a décidé d'ériger en véritable icône nationaliste… et le tout en utilisant la formidable machine qu'est l'industrie du cinéma hongkongais. Alors voila la riposte du Hong-Kong libéral : cela s'appelle "The Grandmaster" ; cela brasse des symbolismes cachés à tour de bras et qui rendent l'intrigue imbuvable au possible ; et pire, cela oblige Wong Kar-Wai à faire des scènes de baston qu'il ne sait absolument pas filmer (à part celle des « huit pieds » qui, je l'avoue à par contre pas mal de gueule). De temps en temps, le virus de la mélancolie Wong refait surface, mais il est vite broyée par ce mélange de style pas du tout maîtrisé. Voilà donc ce qu'est vraiment ce "Grandmaster", un film confus et malheureusement pas très personnel. Avec le recul, j'aurais encore préféré que Wong Kar-wai refasse du Wong Kar-wai plutôt qu'il ne se risque sur un terrain qu'il ne maîtrise pour des raisons autre que l'amour du cinéma... Eh oui, c'est triste...
Non désolé, grand fan de film d'art martiaux je peux dire que Ip man était un chef d'oeuvre mais "The Grandmaster" est juste beau visuellement.
Je me suis rarement autant ennuyé dans un film...On est plus proche d'une poésie que d'un à trés peu de scène de cobat et celle-ci ne sont franchement pas la auteur de ce que j'attendais.
Je ne suis pas difficile mais là faux pas abusé.Le film est fait au ralenti, on ne comprend strictement rien à qui est qui qui fait quoi.
Les acteurs joue bien par contre et la musique correcte.
Espérant un autre regard sur les films de Kung Fu traditionnel, The Grandmaster ne déçoit pas ... malheureusement. Ce huit clos (la plupart des scènes sont en intérieurs) semble s'inspirer directement d' Il était une fois en Amérique", mais pas pour les bons cotés. Les 2h du film ne suffisent pas à nous passionner pour les personnages, la faute au rythme lent de la mise en scène qui ne permet pas d'avancer dans le scénario. C'est la voix off qui se charge de le faire accélérer cette histoire couvrant 20 années d'une Chine en pleine chambardement. Won Kar-Wai bichonne son image en étant parfois limite (les effets d'images saccadées / ralenties ... bof bof) et ses combats sont bien orchestrés, mais on accroche pas trop ... Dommage. Au final, beaucoup de spectateurs se feront surprendre en voulant suivre l'affiche racontant l'histoire du maître de Bruce Lee.
Le récit n’est qu’un jeu de marionnettes, il ne laisse aucune empreinte sur le spectateur. Et derrière la pyrotechnie, derrière les masques et les postures convenus, le film manque cruellement de substance.