Derniers Avis : The Grandmaster - Page 19

Sublime, dramatique, riche d'honneurs et d'héritages... Mais l'on se perd un peu quand même au bout de ce fil tendu entre réflexion et histoire... Dommage...

Un film magnifique, des images splendides et des chorégraphies à couper le souffle: on n'en attendait pas moins de Wong Kar-Wai. Cependant, la touche poétique qui lui est propre est peut être un peu laissée de côté à cause des combats qui sont, à mon goût, trop nombreux. De plus, la fin semble très très très longue.

Chef-d'oeuvre !! Ce film est unique en son genre . La façon de filmer est exellente . les scènes de combats sont mémorables . Une fresque inoubliable !

En dessous, de la version donnie yen/wilson yip, certe les décors sont somptueux, mais il s'agit plutôt d'une fresque de la vie de Ip Man et des maîtres kung fu, on n'apprend plus sur la douleur qu'a été sa vie durant l'invasion japonaise que d'autre film sur lui. Il y a un peu trop de politique qui tourne des personnages, il est question de vengence de dignité, de respect. Les combats sont bien réaliser mais leur duré limité,on y trouve un excès de ralentis ou de pris fixe sur les personnages qui n'ont pas grand intérêt.
Pers, je ne vais pas mentir, je me suis ennuié, et cela n'est jamais arrivé devant un film de ce genre

J'avoue que comme beaucoup de personnes, je ne m'attendais pas à voir un film tel que celui-ci. Je m'attendais notamment à plus de combat et un fil rouge facile à suivre et à comprendre. Cela n'a pas été le cas. Durant 1h30, je n'ai pas compris " l'histoire". Ce n'est qu'à la fin qu'un dénouement est apparu. Ce film est à prendre à mon goût avec beaucoup de recul. Moi même en sortant, j'ai été déçu et je n'ai pas tout compris. Nous autres occidents sommes tellement habitué aux films hollywoodiens où tout explose, où deux héros lambda se rencontrent, traversent des épreuves ensemble, apprennent à se connaître, le tout entrecoupé de scène d'actions et d'un grand méchant qui veut la mort des gentils, puis ils s'aiment et gagnent ensemble et hop la fin !
The Grandmaster est complétement différent. Il revient à la base du film, le véritable 7ème art. Ce film est basé sur les émotions que peuvent ressentir les personnages durant les phases de silence, de combat, notamment dans le combat Gong Er et Ip Man. Un amour impossible ou platonique naît entre eux. Les paysages eux-mêmes servent à mieux exprimer ce que ressentent les personnages, de véritables paysages état-d'âme. Chaque scène a une fonction et est filmé suivant un plan précis pour nous faire ressentir des émotions. Ce film retrace l'âge d'or du Kung Fu, détruit ensuite par le communisme qui détruira également toute la tradition chinoise. A mon avis, The GrandMaster devrait s'appeler The GrandMasters, puisqu'il met en scène plusieurs grands maître. De même, avant de cracher sur certains films, certains devraient prendre du recul, en apprécier la poésie qui s'en dégage et méditer sur certaines phrases.

Beau mais trop long et répétitif. On s'essouffle sur le dernier tiers.

Je ne pensais pas être déçu avec ce film mais au final si... L'histoire est d'un compliqué, voilà vous êtes prévenu Ciao:-)

Déprimant... C'est vraiment le mot qui convient le mieux. Et ces combats sous la pluie... En plus des changements d'angles de vue constants on capte encore moins bien ce qu'il se passe... Et on dirait que les persos sont à deux doigts dse pendre, jcrois quyen a pas un qui rit. Et bio de yip man? Ah bon? Il passe presque au second voir troisième plan. Nul.

Un enchantement du début à la fin, mieux même qu in the mood for love
Un film d une esthétique à couper le souffle, des combats qui ressemblent à des ballets.

Scenario difficile à suivre. En revanche les scènes de combats sont incroyables et le respect des traditions martiales est intact.
À voir absolument pour les amateurs !

Une nouvelle fois de la part de ce réalisateur, la précision de l'image....de chaque image.
Une saga sur le "père" de Bruce Lee, j'ai adoré.

Vraiment pas terrible ! Etant une assez fan des films de kung fu etc, je ne m'attendais pas du tout à ça au vu de la bande-annonce.... J'étais impatiente de sa sortie et au final je l'ai trouvé nul. Que du bla-bla tout le long, les deux ou trois scènes d'actions que l'on voit dans la bande-annonce sont les seules du film et elles durent que quelques minutes... J'ai vraiment été déçue. 2 heures de film où on dirait qu'il dure 6 heures tellement qu'on s'ennuie ! Dur, dur...

Pour voir, à Marseille, capitale européenne de la culture, le dernier film de Wong Kar-wai, il faut le vouloir et d’abord le trouver. Naïvement, j’avais cru qu’une œuvre de l’auteur du somptueux In the Mood for Love serait projetée dans toutes les grandes salles de Marseille et notamment dans la grande salle de l’UGC Prado. Quelle ne fut pas ma déception lorsque je m’aperçus que The Grandmaster n’était programmé ni au Prado, ni au César, ni aux Variétés. En fait, ce film ne passe que dans trois cinémas à Marseille dont le Chambord.

Ce cinéma au charme désuet m’offrait une remontée qui était une bonne préparation au film que j’allais voir.

Dans la dernière image, WKW fait un clin d’œil au spectateur par l’intermédiaire de Tony Leung qui nous dit : « et maintenant, choisissez votre style (de Kung-fu) » que l’on peut comprendre « et maintenant, choisissez votre film ». The Grandmaster est un film d’arts martiaux, bien sûr, c’est aussi une fresque historique de la Chine des années 30 aux années 50, l’ébauche d’une histoire d’amour qui n’aura pas lieu, mais c’est avant tout, comme toutes lesœuvres majeures, une réflexion sur le temps. Le temps ce peut-être l’instant qui contient l’éternité. Dans l’Anna soror de Marguerite Yourcenar trois jours d’amour suffisent à remplir la vie d’Anna. Chez WKW ce moment est encore plus bref. Dans In the Mood for Love c’est le temps d’un frôlement de mains dans un taxi, frôlement des mains qui va traverser les âges pour resurgir en 2046. DansThe Grandmaster, Ip Man et Gong Er s’affrontent. L’image ralentit, les deux visages se frôlent à l’envers l’un de l’autre, le temps se fige en éternité. Wong Kar-wai excelle à rapprocher le rythme de l'image et celui du temps. Ainsi, on voit à plusieurs reprises, l’image et le temps se figer pour devenir une vieille photographie.

Le temps et l’éternité peuvent se contracter dans l’instant, ils peuvent aussi se détendre dans la succession des cycles, des civilisations, des générations, des Maîtres et des disciples. Il faut savoir accepter ces cycles comme le fait le père de Cong Er. Il faut savoir accepter l’imperfection de la vie qui est faite de choix, de renoncements et de regrets. Cong Er prononce une belle phrase sur les regrets nécessaires, sur la nécessaire incomplétude de la vie. De fait, Cong Er, pour rester un Grand Maître, car elle l’est certainement autant que Ip Man, renoncera à se marier, à avoir des enfants et même des disciples car, comme elle le dit, certains savoirs doivent peut-être disparaître comme les civilisations.

Les dialogues sont beaux même dans leur traduction. « C’était une femme de peu de mots » dit Ip Man en parlant de son épouse. Quant aux images c’est parmi les plus belles que j’ai vues. Chaque plan est un tableau écrit un commentateur. Je ne peux que souscrire à cette opinion. Et je pense que l’on peut voir ce film plusieurs fois sans en épuiser la richesse. Les critiques ont souvent mentionné le corps à corps entre Ip Man et Cong Er ou encore le combat devant le train qui s’en va. Ils ont raison. J’ajouterai, mais ce n’est qu’un exemple, la photo des statues du Bouddha ou encoreles ruelles, les escaliers de Hong-Kong à la lumière vacillante des lampes qui éclaireront quelques années plus tard le couple d’In the Mood for Love.

Je suis resté le dernier dans la salle, mais il y avait peu de spectateurs, pour voir le générique et écouter la musique. En sortant, dans le couloir, il y avait une vieille charrette que les marchands de glaces promenaient autrefois dans les rues de nos villages, nouvelle invitation à ressentir le temps passé, le temps perdu.
JL

Bouh c'était lent et sans grand intérêt - suis sorti avant la fin-...
Scènes de combat moyen - pas de scénario ni de dialogue - un truc très asiatique ... Très historique sans doute

Trop long + des effets à n'en plus pouvoir + plus d'histoires à 2 balles que de kungfu + le master à lames je ne vois pas trop à quoi il sert dans le film + l'histoire de la fille bon ben trop molle + je me suis endormie