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Marjolaine A.
133 abonnés
500 critiques
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3,0
Publiée le 30 octobre 2020
C'est un peu toujours la même chose, mais les effets spéciaux sont superbes, et la première heure du film est très réussie. Après ça, le script et la direction d'acteur explosent en vol pendant vingt minutes, avant une conclusion sans surprises, mais spectaculaire. Le look "Catherine Lara" de Linda Hamilton est perturbant, mais c'est un détail qui ne touchera qu'une petite partie des spectateurs.
Hollywood et son trip féministe a encore frappé. Ce navet a anéanti une des plus grandes sagas de l'histoire du cinéma. John Connor est l'ame même de Terminator. Tuer John Connor revient à tuer Harry Potter. Et tout ça pour quoi? Pour montrer que les hommes et les femmes sont égaux et qu'elles n'ont pas besoin d'un homme pour sauver le monde. Bitch please! Moi qui suis fan depuis que je suis toute petite je n'aurai jamais imaginé que Sarah Connor et l'éternel T-800 auraient finis en papi/mamie ringards pour servir la soupe a des minettes encore plus ridicules. Et le terminator latino qui ne ressemble à rien, on en parle? Aucune présence, aucun charisme, on croirait l'épicier du coin. Robert Patrick nous donnait les frissons parcontre le bouffon qui fait le robot,mais allo quoi! Bref le film est pourri ,l'histoire est incohérante, le casting sort tout droit des chiottes et l'action est dégueu... J'aimerai m'effacer la mémoire et oublier que j'ai vu cette horreur mais le mal est fait. Après avoir été fan de Terminator pendant 25 ans, je tombe de haut. Shame Shame Shame
Ce film gomme toutes les suites qui même si elles n'étaient pas géniales avaient au moins le mérite d'être regardable. Avec les acteurs des premiers opus et James Cameron comme consultant, je m'attendais au moins à quelques chose de mieux que les suites que ce dernier a allègrement critiqué. Que Neni, au lieu de ça on a la suite la plus pitoyable de la franchise et encore je suis gentil. Linda Hamilton et Arnold Schwarzenegger sont là juste pour donner un côté légitime à cette chose, qui aurait pu être regardable, si le casting ne donnait pas l'impression d'avoir été fait dans le seul but de satisfaire un certain communautarisme ethnique et sexiste. Le résultat est un casting qui ressemble à celui d'une série télé, avec aucun acteur dont le charisme et le jeu aurait pu éviter le naufrage. Le scénario est une repompe du premier terminator, qui pioche certaines idées dans les suites allégrement critiquées. Bref ce navet ne sauvera pas la franchise du sombre destin dans lequel l'ont propulsé les précédentes suites. Cette chose aurait pu s'appeler Terminator : Le coup de grace.
Fan du T800..... Ils sont tous là! Schwarzy, Hamilton, Cameron...et Au secours ! Sans spoiler. L'histoire est rafistolée au Pattex. Le méchant robot du turfu est encore plus indestructible....John et Sarah sont des PNJ. Le T800 devient coach sportif à Marrakech et collectionne les rebuts de fonderie sans savoir pourquoi. Tristesse.....
Pfff! Quel bouse! Incroyable!!! Le premier est un film d'anticipation avec de l'action très noire d'où premier degré essentiel! Celui-ci est navrant, débile, rien ne va, dialogue inepte, personnages transparents et caricaturaux! Nazzzzze! Aller! Rien à ajouter!
"Terminator : Dark Fate est donc un film qui n’est vraiment pas terrible… J’ai noté beaucoup de défaut, en revanche, je n’ai pas retenu beaucoup de qualité… Les défauts principaux sont l’intrigue qui ne vole pas haut, le rythme mal maîtrisé en milieu de film ainsi que les effets spéciaux. Pour les qualités, très sincèrement à part le développement de Carl et les prestations d’Arnold Schwarzenegger et Gabriel Luna, je n'ai pas noté grand-chose… J’aurais donc beaucoup de mal à recommander Terminator : Dark Fate… Je le trouve plutôt inutile… Et mon ressenti, sincèrement, c’est que lorsque tu essaies à plusieurs reprises de sortir un 3ème épisode à ta trilogie et qu’à chaque fois ça ne fonctionne pas, il vaudrait mieux arrêter de faire n’importe quoi et se poser des questions…"
Ce sixième épisode de la franchise Terminator, chapeauté par James Cameron en personne, propose rien de moins que de reprendre les choses là où ‘T2 : le jugement dernier’ les avait laissé en 1992, et d’oublier les trois films précédents, dont la chose la plus aimable à mentionner à leur sujet est que leur sortie n’avait pas marqué les esprits. D’une certaine manière, il y parvient mais pas forcément pour les raisons mises en avant. L’argument-massue Pop Culturel de ce nouvel opus tient en effet à la féminisation du casting, non pas du côté de la Machine tueuse (comme dans l’épisode 3) mais de celui de la résistance et de l’humanité, entre un nouvel espoir latino pour l’humanité, une soldate augmentée et le grand retour de Sarah Connor qui, pour ressembler de plus en plus à un croisement contre-nature entre Françoise Hardy et Willem Dafoe, reste sacrément badass ! Alors, c’est sympa, c’est tout à fait dans l’air du temps, ça n’enlève évidemment rien à la qualité du film mais cette démarche a cessé depuis longtemps d’être audacieuse et pionnière pour devenir plus banalement le lapin qui sort du chapeau de chaque Blockbuster moderne. De fit, ‘Terminator : Dark fate’ laisse une impression plutôt positive, et on le doit au fait qu’il délaisse les paradoxes temporels de plus en plus embrouillés de ses prédécesseurs pour se recentrer sur l’action pure : malgré une certaine indigestion de numérique, ‘Dark fate’ assure un spectacle efficace et sans temps morts - la Main Invisible Cameronienne sans doute - et se place donc effectivement, hors considérations scénaristiques, en continuateur du deuxième opus. Au final, il faut quand même reconnaître qu’outre une suite suite, on se retrouve presque en face d’un remake qui ne dit pas son nom de ce dernier, vu la trame presque identique et le nombre d’oeillades voyantes qu’il lui adresse. ‘Dark fate’ ne laissera certes pas de mauvais souvenirs aux amateurs d’Actionners SF pétaradants, mais il est strictement impossible qu’il fasse date comme son modèle, qui fut voici près de 30 ans une révolution dans le domaine du cinéma d’action et des effets spéciaux, confronté à une concurrence alors inexistante.
Les trucage sont sympas, le scénario très médiocre. Les acteurs pas très convaincants. La poursuite du terminator au bout du 6eme film commence, scénaristiquement à devenir lourd.
Un sixième épisode qui essaie de faire oublier les 4 et 5 ème et reprenant les trames des 3 premiers . James Cameron comme producteur (et final Cut) laisse à la réalisation au réalisateur de Deadpool. On est très proche du scénario du deuxième en remplaçant John Connor par Dani Ramos. Un terminator (rev-9) qui ressemble fortement au T-1000 du jugement dernier . Mais T2 était un chef d œuvre de science fiction et il est impossible à copier.
Plusieurs défauts dans ce 6ème épisode : la présence de Sarah Connor n apporte rien à l histoire et son jeu est un peu stéréotypé. L invention de la rivalité entre Arnold et Linda Hamilton ne permet pas à l’histoire de progresser , les liens pour faire progresser l histoire sont souvent tirés par les cheveux .
Il reste les scènes d actions que je considère bien menée . Les deux heures de film passe assez bien et font remonter l intérêt de ce film même s il reste un terminator mineur.
4 480 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 23 août 2020
Terminator: Dark Fate reçoit un traitement politiquement correct similaire à celui des suites de Disney Star Wars avec la diversité raciale et le féminisme. Vous pouvez dire qu'Arnold et Linda l'ont fait sans apporter beaucoup de passion à l'écran et que les nouveaux personnages sont plats et faibles. Il n'y a pas beaucoup d'action avant les trente dernières minutes et même dans ce cas elles sont fortement caricatural et vous ne vous souciez donc pas d'aucun des personnages. Maintenant tout ce dont nous avons besoin est d'inventer une machine à remonter le temps et d'envoyer quelqu'un en 1997 et d'empêcher James Cameron de faire le Titanic afin qu'il puisse diriger la bonne conclusion de la trilogie Terminator avec un jeune Arnold et nous sauver de toutes ces terribles suites des vingt dernières années...
Il reprend la recette du premier et c'est pour moi la plus réussi des suites sans être très novatrice. Mais quelques scènes un peu bizarre s gâche le film mais au final on a un divertissement bien puissant avec une bonne tension.
Terminator genisys ayant été conçu comme un pivot vers une nouvelle trilogie, j'avais été un peu déçu... Je ne savais trop quoi attendre du dernier volet. Personnellement, j'ai adoré. Oh, bien sûr, il y des défauts... Ou ce que considèrent certains comme l'étant, mais cela ne suffit pas à mettre une mauvaise note à ce film.
Commençons! Positif : - scénario digne de terminator 2 - présence de Linda Hamilton - on retrouve LA Sarah Connor - effets spéciaux presque parfait - cet opus n'efface en rien les anciens films
Négatif : - des ralentis parfois trop présent - scène du galaxy un peu exagéré(et encore, ça se discute)
Maintenant que c'est dit, on peut aussi parler de la prévisibilité de certaines scène. Sans spoiler, on sait très bien qui sort de la maison de Carl! Mais est ce un point négatif? Pas du tout! C'est le moment où le fan cogite pour finalement pouvoir se dire : je le savais! Ah ah! Ça participe largement à une bonne expérience cinématographique.
En ce qui concerne le rapport humain/machine, rien n'est franchement déplaisant. On retrouve encore une forte proximité avec terminator 2.
Dernièrement, cet opus n'efface en rien terminator 3 et 4, certains personnages en font clairement mention!
Dark Fate sert d'étude de cas sur la difficulté de créer un suivi satisfaisant d'une paire de classiques certifiés, un processus qui semble impliquer un basculement constant entre le désespoir et l'insistance sur le fait que tout n'est pas perdu. En tant que tel, Il est difficile de rester intéressé par une franchise qui ressemble, avec chaque suite non essentielle, de plus en plus à un préparateur de fin du monde reformulant la même vieille prophétie.
J'ai vu un film... qui a fait un effort pour rendre hommage, tout en tentant de renouveler le genre, tout du moins en puisant dans l'inspiration initiale pour donner un nouveau souffle. On apprécie ce côté nostalgique que la série propose. On intègre de manière plus naturelle le voyage dans le temps, les univers parallèles et alternatifs. Les scènes d'action sont calibrées et parfaites. l'aspect "féminin" est ultra-présent et néanmoins avec une forte dose de testostérone... C'est un film qui sait se renouveler... Et quel plaisir de retrouver Schwarzy ainsi que Linda Hamilton... Et j'ai trouvé Mackenzie Davis et Gabriel Luna très convaincants... dans leurs affrontements. Quelle scénographie...