Le film se regarde, il y a toujours les bonnes recettes qui sont utilisées, de l'action, des cascades, des effets spéciaux, ça fonctionne encore, j'ai tenu grâce à cela. C'est bien, mais ça sent le dernier round.
Les ficelles sont usées, ont nous as sorti un pot-pourri de tout ce qui avait fonctionné jadis.
Comme une bande-annonce à l'envers, une sorte de rétrospective.
Les boules qui tombent du futur et la course poursuite commence, nouveau modèle, ancien modèle, protéger la cible, on s'en débarrasse il revient, il y a du spectacle, comme d'habitude, mais rien d'inédit, c'est du recyclage.
Linda Hamilton qui ressort. Arnold Schwarzenegger qui passe dire au revoir. On arrange le scénario, quitte à ce qu'l en devienne incohérent pour faire place à la jeunesse. Terminator : Dark Fate, sert à passer la main.
Des vrais Terminator, il n'y en aura plus. James Cameron est encore là, pour nous rendre nostalgique des 2 premiers. Comme il l'avait dit si bien lui-même "Ce n'est pas la peine d'en rajouter".
Nous aurons surement d'autres suites, sans acteurs charismatiques, sans scénario solide, sans humour, ni dialogues, ni pieds de caméra, avec leurs lots de prequels, de reboot, de prequels de reboot, de reboot de prequels et de remakes jusqu'à ne plus rien y comprendre et se refaire Terminator, et Terminator 2.