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Un visiteur
5,0
Publiée le 7 janvier 2017
J'ai vu de nombreux films, de nombreuses daubes et des supers films et je peux dire que Enemy mine fait partit des meilleurs films que j'ai pu voir. Quel dommage que sa popularité ait été dévalorisée à cause de la trilogie de Star wars car je trouve que ce film est remplit de bonne moralité, c'est toute une leçon d'humanité que l'on nous projette. Il aborde les problèmes des différences culturelles que l'on retrouve aussi bien dans notre société et l'on découvre dans ce film, qu'il est possible de vivre ensemble malgré les différences. Les paysages nous rappellent bien ceux de Star wars, tout comme les créatures. Les images sont belles et l'histoire est juste magnifique. je ne vois pas pourquoi tout le monde dit que la fin est nulle alors que c'est ce que l'on attendait! Ils sont juste trop aveuglés par les bastons et l'actions de star wars... Ce film est bien différent et j'ai justement été surprise des tournures que prenait l'histoire, j'ai été étonnée du début à la fin. J'ai eu des frisson tant j'ai trouvé ça beau. Les personnages sont attachants et les dialogues sont parfois touchant et à d'autres moments, pleins d'humour, j'ai bien ris par moment. Ce film est original et absolument parfait à mes yeux, je le conseille vivement aux personnes à l'esprit ouvert et non enfermés dans leur team star wars. Ce film méritait ses cinq étoiles et mérite aussi, d'être mieux connu que certaines daubes que l'on considère comme des bons films.
J'avais été impressionné par ce film enfant ! Je l'ai revisionné récemment et, après une introduction ayant pris un sacré coup de vieux (effets spéciaux et choix musicaux), j'ai retrouvé avec nostalgie ce qui m'avait enthousiasmé quand j'étais gosse ! Convenons qu'il est possible de trouver des films de science-fiction aux effets visuels plus impressionnants même deux décennies auparavant ! Ceci dit, la réelle force du film ne se résume pas par des effets visuels mais par une réelle pertinence dans le propos ! Le film relate une guerre future entre les Terriens et les Dracs mais surtout la confrontation de deux ennemis amenés à survivre ensemble sur une planète dont ils ignorent tout ! L'échange entre ce Drac et le Terrien qu'incarne Dennis Quaid relève d'un intérêt certain ! Toutes les guerres sont concernées par cet échange et ce n'est que parce que les deux individus sont contraints de s'entendre pour leur survie qu'ils vont apprendre à se connaître et à évoluer tous deux ! Les différences culturelles les effrayent dans un premier temps puis les intéressent et, enfin, les attirent. Tous deux se montrent rapidement avides de savoir, de connaître l'adversaire. Bien plus intéressant sur le fond que la trilogie Star Wars de l'époque... Il n'est que très regrettable que cette saga lui fasse de l'ombre. Résultat, peu de personnes se souviendront de ce film pourtant réalisé par un grand nom : Wolfgang Petersen, réalisateur qui parvient à convaincre les foules lors de plusieurs générations ! La deuxième partie de l'oeuvre se concentre sur toute autre chose : la mise en esclavage de l'espèce supposée vaincue, spoiler: les Dracs et, en parallèle, l'éducation et le lien entre le Terrien etspoiler: le fils de son défunt ami drac . Le message est somptueux et demeure d'une étonnante actualité !
Sur un thème déjà vu, le scénario « Enemy », réalisé dans les années 80 par le réalisateur allemand Wolfgang Petersen, prône la tolérance, l’amitié et le respect. Dennis Quaid et Louis Gossett Jr interprètent respectivement un humain et un alien reptilien qui n’ont pas d’autre choix que de s’entraider pour pouvoir survivre sur une planète hostile. Ce film de SF tout à fait recommandable souffre néanmoins de son âge, les effets spéciaux ayant pris un petit coup de vieux, au contraire du maquillage du Drac, vraiment réussi. Sympa et assez touchant.
Dans le futur, la race humaine a commencé à se développer à travers l'univers mais ils vont se retrouver face à une race tout aussi intelligente, les dracs et une guerre entre les deux civilisations fait rage. Mais, suite à une bataille Davidge un humain se retrouve sur la même planète inhabité qu'un dracs et ils devront cohabiter pour survivre...
Wolfgang Petersen explique très vite le contexte de l'histoire à l'aide d'une voix-off, tout le long présente, mais jamais lourde. Rapidement, le drac et l'humain se retrouvent à cohabiter ensemble et malgré des rapports d'abord très houleux, ils commencent à bien s'entendre. Et c'est là toute la réussite du film de Petersen, il livre une fable humaniste sur la tolérance et le respect sans tomber dans la niaiserie.
Il prend néanmoins son temps (peut être légèrement trop vers le milieu de film) pour développer la relation entre les deux êtres et le partage entre les deux cultures. D'ailleurs, la culture "drac" est assez bien développée. Les deux personnages sont rendus intéressants, notamment par le contexte et les enjeux. On prend plaisir à suivre les suivre et tenter de co-habiter malgré la haine enseigné depuis leur plus jeune âge envers le peuple de l'autre. La planète en elle-même est assez mystérieuse, avec ces plaines inhabités et ces quelques bêtes (dont l'une tout droit inspiré de Star Wars VI, lui rendant même hommage avec une scène similaire).
Petersen a aussi la bonne idée de ne pas utiliser énormément d'effets spéciaux et dans l'ensemble le film a plutôt bien vieilli et il garde un charme tout particulier et bien rétro. L'univers est vraiment sympathique et les images le représentant sont bien souvent superbes. La B.O. de Maurice Jarre colle aussi parfaitement à l'ensemble.
De plus, Petersen a aussi la bonne idée de donner un langage inconnu et non traduit aux Dracs, permettant de nous mettre totalement dans la peau de l'humain et de se retrouver, du moins au début, dans la même incompréhension, laissant une ambiguïté sur le personnage. D'ailleurs dans le rôle du drac, Louis Gossett Jt est très bon, et comme Dennis Quaid, il arrive à rendre son personnage touchant.
Bref, de la science-fiction originale et non dénué de sens. Captivant, on prend d'abord plaisir à suivre cette co-habitation forcé dans un univers sympathique et charmant avec deux protagonistes qui le sont tout autant.
Un pilote américain qui joue à la marelle avec son enemy... Un an après un de mes films culte (Neverending Story), Wolfgang Petersen réalise Enemy avec l'acteur Dennis Quaid. 5 minutes assez excitante et tout reste se prend un missile de risibilité et de niaiserie. Décors carton pate, relation entre le pilote et l'extra-terrestre passe moi une pelle et moi je te donne un sceau, bref on dirait deux enfants qui retombe au bac à sable, difficile de tenir réellement devant un tel manque de profondeur. Cette Enemy restera mon enemy définitivement...
Réalisé par Wolfgang Petersen (déjà réputé à l'époque pour ses deux excellents: Das Boot & L'Histoire Sans Fin), Enemy Mine (titre complet) de 1985 se présente comme une production SF assez typique des années 80, pétrie de bons sentiments, avec une vision plutôt humaniste d'un futur où l'humain et le Drac (extraterrestre), malgré la guerre les opposant en tout (ou presque) parviennent à faire front commun, contraints ou non de joindre leurs efforts face à un environnement hostile, véritable planète-piège pour l'un comme pour l'autre. On soulignera bien sûr la performance des deux acteurs principaux, à savoir Dennis Quaid (dans le rôle de Davidge), et Louis Gosset Jr. (dans celui de Jerriba/Drac), mais également celle de Brion James (Blade Runner, Le Cinquième Élément) dans une de ces apparitions qui lui allait si bien. Décors, effets, et maquillages constituent des points forts du film, et on reconnait au passage le travail d'un des maîtres en la matière, Chris Walas (La Mouche, Gremlins). La musique de Maurice Jarre assure un thème de qualité, avec des titres relativement variés. Le scénario est cohérent, rythmé, et axé en grande partie sur l'aventure. Bon long-métrage, Enemy Mine parvient à traverser le temps, témoin d'une époque du cinéma riche en évolutions tant au niveau des FX que de l'histoire de fond, et porteur d'un message d'espoir universel qui lui est intemporel.
Un pilote humain et un extra-terrestre d'une race ennemie se retrouvé coincés sur une planète hostile. Ils vont alors devoir cohabiter pour survivre. "Enemy Mine" est un film sur l'amitié et le racisme, qui porte un message de tolérance. Un sujet noble, mais traité de manière un peu niaise par moment, avec des péripéties parfois prévisibles, et quelques caricatures (notamment Brion James qui en fait des tonnes en esclavagiste cruel). Néanmoins, Wolfgang Petersen signe là un beau film, bourré de décors inventifs, malgré quelques effets datés (surtout pour les séquences de vol). Maurice Jarre nous livre une bonne BO, et Dennis Quaid et Louis Gosset Jr. sont convaincants dans leurs rôles de racistes qui vont apprendre à s'apprécier.
Un film qui m'avait fait pleuré étant môme...Il faut reconnaitre qu'il a pris un coup de vieux (je suis plutôt mort de rire aujourd'hui) cependant les décors sont toujours aussi époustouflant et le message encore d'actualité.
Bon c'est dommage, voilà ce que je peux dire. Le film part sur de bonnes bases : idées sympa bien que pompée sur le film de Boorman "duel dans le Pacifique", costumes et décors assez corrects pour ne pas être catalogué directement dans le rayon "Nanar", présence de Dennis Quaid (enfin c'est pas gage de qualité non plus) et réalisation de Wolfgang Petersen qui démarre ici sa descente vers les abysses de la nullité cinématographique atteintes depuis peu avec le pitoyable remake du "Poseïdon"... Le début du film est intéressant et laisse entrer le spectateur dans l'univers, mais la seconde partie avec l'apparition de l'enfant extra-terrestre commence à sonner le glas des dernières bonnes intentions que les spectateurs souhaitaient gentiment faire jaillir dans leurs critiques ultérieures. Et oui c'est finalement une déception et l'échec d'avoir vu un mauvais navet pas assez nul pour être un nanar rigolo.
J'aimais bien au début les effets pyro-technicolors de la mort mais malheureusement l'enthousiasme retombe très vite, le film tombant dans le n'importe quoi, les séquences émotions top chialerie s'accumulant mollement, et va y qu'on a plus qu'une chose a faire pour survivre c'est jouer au football américain, et va y que je me réveille après une balle dans le cœur et que je te sauve la galaxie déguisé en James-Bond-Jésus... Trop c'est un peu trop.
Ce film a très mal vieilli. Les effets spéciaux font trop kitsch. Pour les amateurs de SF seulement. L'histoire aussi bien soit-elle ne peut sauver ce film.
Voici un vrai message d'ouverture, de tolérance. On craint ce qu'on ne connait pas mais lorsque les circonstances obligent des gens différents à vivre ensemble, lorsque les barrières mentales tombent, on se rend compte que l'Autre n'est pas différent qu'on le supposait par ignorance. Une grande leçon d'humanisme par l'intermédiaire d'un film spectaculaire, voici ce qu'est " Enemy mine". A déguster sans modération.
NOSTALGIE QUAND TU NOUS TIENS!!Si c'est bien le film que je pense je l'ai vu en 1984-86 en vhs louée, j'étais alors agée de 8-10 ans et il m'a beaucoup plût....L'amitié qui se crée entre ces 2 ennemis, entre l'humain et l'ET, enceinte et hermahrodite si c'est bien ce film là , tente à prouver le ridicule des guerres , on se fait ennemi parce qu'on est différent, tout comme E.T ce film dénonce le racisme et le droit à la différence..... Ce film a marqué mon enfance , je vais le revissionner pou voir si c'est bien celui-là et quel effet il me fait maintenant que j'ai 30 ans! je rajouterai un commentaire pour vous donner mes impressions
AVIS AUX Dénicheurs de RARETé tout comme le film précedent, il y a un film qui a marqué mon enfance et que je ne trouve pas: c'est "Quand La Rivière Devient Noir" C'est l'histoire d'un prêtre perdu sur une barque en amazonie et qui rencontre une indienne seule au bord d'un somptueux lagon, il va lui faire un enfant et repartant pour chercher de l'aide le prêtre se fait dévorer par un anaconda...L'enfant grandit avec sa mer et des lamantins, sa mère meurt il se retrouve seul....et se débrouille jusquà ce que des missionaires amis de son père trouve sa trace et reconnaissent le crucifix qu'il porte à son cou et appartenait à son père....Les missionnaires l'enmènent et veulent le civiliser.....c'est un film de 82-88 je dirais si ça dit quelquechose à quelqu'un et comment le trouver n'hésitez pas à m'envoyer un message......Merci!! XD