Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Ciné Live
par Olivier Rajchman
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par François Forestier
(...) une odyssée très drôle, parfaitement fantaisiste, qui ne ressemble à rien, et dont on sort avec le sourire aux lèvres. Une bonne, une excellente surprise
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Louis Guichard
Ce qui manque à ce cinéaste(...) c'est l'art de doser ses excès. Une interprétation épileptique (pour le meilleur et pour le pire) et une narration délirante éclipsent la réflexion sur l'aveuglement politique.
Cahiers du Cinéma
par Gabrielle Hachard
Le film n'est pas assez moqueur et indiscipliné pour renouveler les règles du genre.
L'Express
par Sandrine Chicaud
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Sophie Bonnet
Duncan n'a pas un grand talent d'humoriste, et les détournements tournent court, par manque d'inspiration. Même Judy Davis finit par porter sur les nerfs à force de transmettre son amour du communisme sur le mode du hurlement continuel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) une odyssée très drôle, parfaitement fantaisiste, qui ne ressemble à rien, et dont on sort avec le sourire aux lèvres. Une bonne, une excellente surprise
Télérama
Ce qui manque à ce cinéaste(...) c'est l'art de doser ses excès. Une interprétation épileptique (pour le meilleur et pour le pire) et une narration délirante éclipsent la réflexion sur l'aveuglement politique.
Cahiers du Cinéma
Le film n'est pas assez moqueur et indiscipliné pour renouveler les règles du genre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Duncan n'a pas un grand talent d'humoriste, et les détournements tournent court, par manque d'inspiration. Même Judy Davis finit par porter sur les nerfs à force de transmettre son amour du communisme sur le mode du hurlement continuel.