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    Mary Reilly
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    48 critiques spectateurs

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    AliceL
    AliceL

    4 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2013
    Pour sa première incursion dans le fantastique, Frears propose un excellent postulat de départ (Docteur Jekyll vu par les yeux de sa servante) et articule avec son scénariste des « Liaisons dangereuses » une belle construction autour de la culpabilité et de la rédemption, de l’ambiguïté des pulsions et de la force transgressive des passions. Le choix du (relatif) huis clos, du réalisme cru et de la finesse psychologique s’avèrent payant : le film est envoûtant et inquiétant. D’autant que Julia Roberts livre une interprétation saisissante et donne une grande charge émotive à son personnage. Le cinéaste ne manque pas non plus de glisser dans son récit une belle réflexion sur les relations de domination qui sous-tendent toute relation passionnelle (renforcée ici par le rapport de classe), ainsi que sur le pouvoir libératoire de celle-ci. Le personnage de Mary Reilly est complexe et le film est avant tout un magnifique portrait de femme. Le seul bémol est la dimension fantastique du film (la transformation physique de Jekill en Hyde) qui ne prend pas : le corps du film, très réaliste et psychologique, ne la supporte pas. Pourquoi ne pas avoir uniquement joué sur la schyzophrénie du Docteur Jekill ? Toute la première partie du film fonctionne très bien sur ce registre et le film aurait gagné en puissance à y rester. Cette irruption du fantastique parasite l’intensité dramatique du récit (en particulier dans la séquence finale, à la fois très intense dans son propos, mais un peu ridicule dans sa forme). Il n’en demeure que le film est très puissant dans sa réflexion sur le désir, la culpabilité et le mystère des êtres, très convaincant dans sa tenue dramatique et bénéficiant d’une excellente direction artistique.
    Filmosaure
    Filmosaure

    124 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 juillet 2012
    A mesure que Mary, servante dans la maison du Dr Jekyll, découvre la sombre maladie dont souffre son maître, elle s’enfonce également dans les sinistres souvenirs de sa propre enfance. La dualité permanente qui hante les protagonistes nous atteint inexorablement.

    Mary, déchirée entre la peur d’en découvrir plus sur les agissements de son maître et de son alter ego et ses sentiments qui la poussent malgré elle à développer une relation complexe avec chacun d’entre eux. Tout comme elle s’est laissé martyriser lors de son enfance, elle se laisse aller à la proximité avec Mr Hyde qui, à bien des égards, lui rappelle la personnalité violente et sadique de son propre père, tandis que le Dr Jekyll, plus âgé, serait le symbole d’un père doux et au caractère mesuré qu’elle n’aurait jamais connu.

    En parallèle, alors que la jeune servante est peu à peu entraîné dans un tourbillon d’évènements dont elle contrôle à peine les enchaînements, de même, le Docteur se laisse envahir par la maladie (trouble dépressif ? bipolaire ? borderline ?) et, par conséquent, à développer son remède, Mr Hyde, personnage sombre et séduisant à la fois, que nous-mêmes ne pouvons nous résoudre à haïr.

    Comme ces deux (trois?) personnages torturés, incompris de leur entourage, nous sommes partagés entre la bonté et le mal, le jour et les tentations de la nuit, les sentiments et la sensualité. Les nombreuses métaphores et allégories présentes tout au long de l’histoire en font une œuvre passionnante à décrypter, tout comme le livre de Robert Louis Stevenson l’était en son temps.
    A noter, la performance de John Malkovitch, excellent gentil-méchant et dont le physique particulier en fait tour à tour un personnage repoussant et séduisant
    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 065 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Le mythe du Dr Jekyll et Mr Hyde revisité dans une ambiance pesante et prenante. La lutte eternelle du bien et du mal, la confrontation entre le mal désinhibé de John Malkovich, fievreux, et la bonté et le dévouement incarné par Julia Roberts, formidable pour le coup, une très belle musique, tels sont les atouts de cette adaptation auquel Stephen Frears apporte son formidable sens de la narration, notamment pour traduire le trouble du mal devant la candeur, au travers de ses deux personnages principaux.
    Estonius
    Estonius

    3 474 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2013
    Quelle idée d'aller transformer une histoire fantastique en un prétentieux mélodrame ?  Et puis qu'est-ce que ça se prend au sérieux, pas la moindre distance, pas la moindre fantaisie, et quand le réalisateur à quelques minutes de la fin veut enfin virer son film vers le fantastique, ça devient franchement grotesque. Ajoutons-y un filigrane moralisateur assez pénible et quelques clichés inutiles pour terminer le tableau. Sinon les acteurs jouent bien, les images sont belles, mais globalement ce film est un échec.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 441 abonnés 4 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 octobre 2015
    Un film pas mauvais que ce Mary Reilly, mais qui laisse un peu trop indifférent à mon sens et c’est relativement gênant, car pourtant les acteurs s’investissent réellement.
    En effet les interprètes font vraiment beaucoup et à mon avis c’est eux qui portent réellement le métrage. Julia Roberts s’empare on va dire du rôle principal, et elle se débrouille vraiment très bien, composant un personnage crédible, avec ses fragilités, et son jeu, fin et sans excès est très plaisant. Il contraste bien d’ailleurs avec le jeu beaucoup plus incisif de John Malkovich, plus tranchant, plus rude, campant deux personnages au tempérament marqué. Il est parfois pas très loin du cabotinage, mais il évite toujours l’excès. Les seconds rôles sont eux aussi prestigieux, et on reconnaitra bien sûr Glenn Close dans un rôle truculent mais un peu vain.
    Le scénario souffre pour ma part de certaines longueurs, et d’une narration pas vraiment des plus attrayantes. Mary Reilly reste un peu trop démonstratif, et ça manque curieusement de sensation, de sentiments, de vie pour reprendre le héros ! Le film à du mal à faire vibrer, a du mal à imposer de la tension, et on se retrouve du coup avec un métrage un peu empesé, aux belles images, mais à l’intrigue moins digeste. Je ne nierai pas que je me suis parfois ennuyé, peut-être à cause d’une gradation peu enthousiasmante, le film accusant une baisse en termes d’enjeu dans son milieu.
    Visuellement Mary Reilly est un film en costume de belle facture, là-dessus il n’y a rien à redire. Les décors sont beaux, l’ambiance propose quelques très bons moments dans les brumes et les rues nocturnes du Londres victorien. Ceux qui aiment ce genre d’ambiance seront satisfaits, d’autant que le film n’est pas blindé d’images numériques et c’est heureux. La bande son aussi est de qualité, et quelques effets sanglants viennent agrémenter l’ensemble. Quant au travail de Stephen Frears en lui-même ce n’est pas forcément le top du top. Je dirai que pour un réalisateur de ce calibre il livre une mise en scène un peu trop posée, un peu trop démonstrative à l’image de l’intrigue. C’est propre, mais on pouvait attendre plus de sa part.
    Mary Reilly restera donc à mon sens un petit film sympathique pour une soirée, et mérite le visionnage si on aime le genre, mais on n’est pas dans un grand Frears et on reste un peu tiède devant une intrigue qui manque de piquant. Pas déplaisant, mais c’est plus joli qu’envoutant. 3.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2021
    Stephen Frears est arrivé sur « Mary Reilly » après que Roman Polanski initialement prévu soit écarté puis Tim Burton pressenti par la Tri Star Company se soit retiré du projet suite à un désaccord avec le studio au sujet du traitement réservé à «Ed Wood ». Daniel Day Lewis et Uma Thurman qui devaient occuper les deux rôles principaux sont remplacés par John Malkovich que Frears connaît bien pour l’avoir dirigé dans « Les liaisons dangereuses » en 1988 et Julia Roberts alors au sommet de sa gloire. Cette variation innovante et fort subtile autour de « L’étrange cas du Docteur Jekyll », le célèbre roman de Robert Louis Stevenson (paru en 1886), est adaptée par Christopher Hampton, le scénariste des « Liaisons dangereuses », à partir du roman éponyme de Valerie Martin. Deux films très brillants ayant été réalisés en 1931 et 1941 par Rouben Mamoulian et Victor Fleming, il était plutôt bienvenu et à priori moins risqué d’aborder le sujet par une autre voie. Le docteur Jekyll (John Malkovich) qui a déjà éprouvé sur lui-même sa diabolique formule visant à séparer en l’homme sa face sociale de sa face animale, cherche à préserver son secret au sein de sa propre demeure. Une jeune servante Mary Reilly (Julia Roberts) est recrutée. Progressivement la sensibilité de la jeune femme au passé affectif douloureux intrigue le docteur qui jongle douloureusement avec les méfaits imprévisibles et dévastateurs de sa découverte. Elle devient sa confidente. Les sentiments se font plus troubles et tortueux avec la présence de plus en plus prégnante de Mr Hyde qui assume les pulsions sexuelles que le gentil docteur se refuse de concrétiser quand il découvre les graves blessures intimes de Mary Reilly. Magnifiquement filmée par Stephen Frears, aidé de son chef opérateur Philippe Rousselot déjà présent lui aussi sur « Les liaisons dangereuses », Julia Roberts, au visage de Piéta, livre l’une de ses plus belles interprétations, parvenant parfaitement à exprimer l’extrême fragilité de cette jeune femme brisée par la vie cherchant malgré tout à s’affirmer. L’intrigue parfaitement fluide reprend sans les trahir tous les thèmes évoqués dans le roman de Louis Stevenson. Stephen Frears alors dans sa période américaine démontre ici qu’il est un réalisateur accompli capable d'affirmer un point de vue derrière sa caméra. Ici un magnifique portrait de femme. On remarquera l’apparition très furtive de Willem Dafoe que l’on reconnaît barbu au sein d’une équipe de médecins en pleine opération. Un film a revoir régulièrement pour en apprécier toutes les subtilités.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 mai 2014
    Un chef d'œuvre du septième art Malkovich un génie !!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Dans les années 90, le cinéma avait pour ambition de revisiter les classiques de l'épouvante afin d'en proposer des versions contemporaines. Après le magnifique Bram Stocker's Dracula de Coppola (1992) et l'excellent Frankenstein de Branagh (1994), le Dr. Jekyll et Mr. Hyde n'a pas échappé à la règle et le résultat s'avère à la hauteur des espérances.
    D'une part, la grande originalité du film est de puiser sa source non pas dans l'oeuvre de Stevenson, mais dans celle - moins connue - de Valerie Martin et son Mary Reilly, publiée en 1990. Celle-ci va s'attacher à dépeindre la relation ambiguë entre le Dr Jeckyll/Mr Hyde et sa servante Mary reilly. Et c'est bien cette relation qui constitue tout l'intérêt du film qui conserve également les meilleurs éléments des adaptations passées, notamment cette idée où l'aspect le plus séduisant du personnage de Jeckyll apparaît lorsqu'il se mue en Hyde et non l'inverse (grande idée de la version Terrence Fisher de 1961).
    Dans les rôles principaux, Julia Roberts incarne avec conviction la servante tiraillée par son amour impossible, tandis que John Malkovich est fascinant et terrifiant dans le rôle schizophrène du Docteur.
    Quant à Stephen Frears, il nous offre une reconstitution majestueuse du Londres victorien du XIXe siècle.
    Une adaptation définitive en somme.
    peter W.
    peter W.

    44 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2016
    un belle réalisation en revanche Frears a du mal à donné du souffle à son trio amoureux. Il se contente trop souvent de filmer Julia Roberts seule. Dans les bonus la présence de Glenn Close en mère macrelle excellente avec hélas un rôle un peu trop raccourci.
    cylon86
    cylon86

    2 548 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2012
    L'histoire du docteur Jekyll et de Mister Hyde vue à travers les yeux de la servante de Jekyll. Le scénario part d'un point de départ intéressant et permet de rendre chacune des apparitions de John Malkovich inquiétantes, celui-ci se montrant très doué pour exprimer toute l’ambiguïté de son personnage. Si l'ensemble manque parfois de rythme et que l'on a connu Frears plus inspiré au niveau de la mise en scène, Julia Roberts est une très bonne surprise, se montrant très douée en servante loin de ses rôles glamour.
    Caine78
    Caine78

    6 798 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2009
    Reçu dans l'indifférence la pls totale lors de sa sortie en France, "Mary Reilly" s'avère être pourtant un film saisissant, certes souffrant de quelques imperfections mais compensées par tellement de talent... C'est vrai que l'on aurait peut-être aimé être un peu plus ému, envouté par ce récit ô combien tragique et douloureux. Mais reste que l'idée principale (adapté d'un roman il est vrai) n'en demeure pas moins admirablement exploitée par Stephen Frears, qui par une utilisation éblouissante du décor, de l'atmosphère et de certains dialgogues, permet de nous offrir une oeuvre comme on en voit au fond assez rarement. De plus, le réalisateur, et cela tout en affectionnant brillamment les seconds rôles, sait faire naître une relation passionnante entre les deux personnages principaux, auquels Julia Roberts et John Malkovich viennent apporter leur incroyable talent. Et tant pis si le maquillage de ce dernier est aussi peu convaicant, rendant hélas un peu moins crédible l'ensemble. Car "Mary Reilly" reste incontestablement une magnifique expérience de cinéma et, qui sait, une leçon de vie? Stupéfiant.
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2017
    La relecture du patrimoine fantastique ne date pas d'aujourd'hui, et les années 1990 avaient déjà amorcé un tel virage, à l'image du Dracula de Coppola, Frankenstein par Kenneth Branagh, Les Aventures d'un Homme Invincible par Carpenter ou encore le mythe de Docteur Jekyll et Mr Hyde par Stephen Frears.

    Ici, il va mettre en scène cette histoire par le prisme de la jeune servante du Docteur Jekyll, ce qui est plutôt intéressant, surtout que le début est assez remarquable, notamment la longue séquence d'introduction. Frears arrive plutôt bien à mettre en avant la fragilité de cette femme face à l’ambiguïté de son maître puis peu à peu de Hyde, tout en laissant un certain voile mystérieux au-dessus des événements et surtout des émotions des protagonistes.

    Un peu à l'image de l'excellente adaptation de Rouben Mamoulian, il joue sur l'aspect bestial et primitif de l'être humain, et donc la frontière très ambiguë entre l'homme et l'animal. Tout cela est plutôt bien retranscrit par une ambiance adéquate, un peu sombre, froide et mêlant fantastique et un peu de romantisme. Il joue parfaitement avec divers éléments pour la sublimer, à l'image de la bande-originale, des remarquables décors ou encore de quelques effets styles et du cadre brumeux du Londres de cette époque.

    Alors, tout n'est pas toujours parfait, à l'image du final qui, s'il reste intéressant, n'est pas forcément bien amené, ainsi qu'un ensemble pas toujours transcendant, mais Frears reste efficace et montre qu'il sait bien mener un scénario. Les personnages existent et sont intéressants, il arrive à créer des liens entre eux, et il bénéficie en plus de bonnes interprétations, notamment Julia Roberts et John Malkovich.

    Avec Mary Reilly, Stephen Frears propose une relecture du mythe de Docteur Jekyll et Mr Hyde par le prisme d'une servante, et s'il commet de légères maladresses, l'oeuvre n'en reste pas moins captivante, notamment par son ambiance, ainsi que d'excellents comédiens.
    dahbou
    dahbou

    210 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2009
    Stephen Frears s'attaque au mythe du Dr Jekyll et Mr Hyde mais du point de vue de sa servante, il s'ensuit une troublante relation entre le maitre et sa servante jusqu'à l'intrusion du brutal Hyde le tout dans un Londres Victorien brumeux et noir reprenant la dualité légendaire entre le bien et le mal. Le film est également anti-spectaculaire sans que cela soit un défaut grâce au talent de Frears et on peut même dire que la seule scènes spectaculaire est foiré à cause d'effets numériques hasardeux et bâclés. Côté casting,Julia Robert se mettait en danger en s'éloignant des comédies romantiques tandis que Malkovich retrouvait Frears pour un duo qui fonctionne toujours aussi bien.
    Tam-TheDarkness
    Tam-TheDarkness

    13 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 novembre 2010
    J'adore ce film, j'étais déjà fascinée par l'histoire du Dr Jekyll et de Mr Hyde. Là j'ai vraiment aimé, certains pourrait trouver ce film long mais pas moi ... John Malkovitch joue son rôle à merveille mais je n'ai pas trop aimé le rôle de Mary, je la trouve mièvre mais bon ça n'a pas affecté mon avis sur le film.
    Thomas Roavina
    Thomas Roavina

    25 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 février 2009
    Je crois que Julia Robert a reniée le film et elle a bien raison. Mary Reilly est un personnage ennuyant et le film l'est tout autant. Stephen Frears l'a réalisé en même temps qu'un autre film, peut-être s'était t-il désintéréssé de celui çi car tout y est morne. Excepté John Malkovich qui semble le seul à y croire. C'est une version du Dr Jekyll et Mr Hyde qui méritait bien un film (l'histoire nous est racontée du point de vue de la servante du Dr Jekyll) mais qui est tellement fade... cela ne fait pas peur, ne choque pas, il n'y aucune sorte d'ambiance, c'est seulement le récit linéaire d'une histoire déjà connue. Faisant passer ses pleures pour des sourires, Julia Robert, actrice glamour par exellence, n'est pas du tout crédible en pauvre servante soumise. Glenn Close aussi semble s'être tromper de film avec un maquillage et une voix enraillée risible au possible. J.Malkovich, le pauvre qui a peu de rôles intérréssants est le seul qui apporte quelque chose au film mais il ne peut tenir le tout sur ses épaules, dommage. Un film oublié et à raisons.
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