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    Transformers 3 - La Face cachée de la Lune
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    Sebastien s
    Sebastien s

    11 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2014
    Magnifique, il est vrai que l'histoire est un peu moins sympa que les autres mais alors les images sont incroyable, le film est long mais avec un rythme soutenu on en demande encore, une heure de plus ne m'aurait pas dérrangé.
    Marco67
    Marco67

    8 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2011
    Bien que pas spécialement amateur du genre, il faut reconnaitre que le rythme est bon, les effets spéciaux réussis, les scènes d'action compréhensibles (ce qui est de moins en moins le cas!), les acteurs aussi (si on excepte la blonde qui n'a vraiment aucun intérêt dans l'histoire...) ; reste que ça reste du ciné à ados sans profondeur; à voir pour en prendre plein les yeux sans se fatiguer la cervelle...
    TiAngelique
    TiAngelique

    8 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juillet 2011
    hormis la 3D et la blondasse qui ne servent à rien,
    très bon film d'action, bien fait, divertissant
    Vincent N
    Vincent N

    3 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2013
    Introduction :
    Qu’il est difficile de placer Michael Bay au sein d’une conversation entre cinéphiles. Après avoir entendu des noms comme Spielberg, Jackson ou Fincher, dire qu’on apprécie le cinéma de Michael Bay viendrait presque à tenter d’expliquer tant bien que mal nos différentes positions politiques. Pour certains, il représente la maitrise quasi parfaite du cinéma de divertissement estivale et pour d’autre, le mal absolu, gamin immature à qui les producteurs s’amusent à confier des sommes de pognons considérables (sachant pertinemment, malgré la qualité des scénarios, l’excellent retour sur investissement), celui qui n’est bon qu’à être ranger sur une étagère aux côtés des Stephen Sommers, Roland Emmerich, j’en passe et des meilleurs. Pourtant, Michael Bay est quoi qu’on en dise bien plus que cela, pour le pire, mais au final, toujours pour le meilleur.

    Bay Touch :
    Il est d’abord l’un des rares réalisateurs à n’avoir essuyé aucun échec artistique ni même financier depuis maintenant 16 ans (même The island - qui reste sa moins bonne rentabilité - passe aisément la barre du million de spectateurs en France), arrivant toujours à mettre en place le bon projet, au bon moment. L’un des rares réalisateurs à immortaliser ses acteurs ainsi que chaque plan, les rendant iconiques comme personne ; Nicolas Cage à genoux sur les toits d’Alcatraz, Bruce Willis se sacrifiant pour sauver le monde, les couchés de soleils, les explosions, les longs travelings au ralenti après les efforts titanesques et sur-humain de ses héros... Ces éléments parmi tant d’autres seraient pour ainsi dire LE cinéma à travers le regard unique d’un petit mioche surdoué dans son domaine qui s’amuse comme quand il avait 10 ans. Toujours à inaugurer les derniers SFX et effets pyrotechniques, c’est en véritable faiseur unique et artificier que Michael Bay se distingue par rapport aux autres réalisateurs de films de divertissements. A chaque nouvelle œuvre, le metteur en scène de 47 ans pousse encore plus loin les limites de tout ce qui a été fait, vu et vécu dans le domaine des séquences d’actions à grand spectacle, contraignant ainsi les autres réalisateurs à se sortir les doigts du cul pour qui voudra / osera allez encore plus loin que lui. Tisser un portrait du petit Benjamin Bay n’est pas chose aisée. On le présente chaque fois comme un soldat investi d’une mission qui sur un tournage ne fait aucun cadeau à son équipe, ni à ses comédiens : toujours vif, toujours dans l’excès à l’image de sa filmographie placée sous le signe d’un véritable boucan sorti tout droit des enfers. En film méprisant, ne respectant pratiquement rien, Bad Boys 2 pourrait être le film qui résume parfaitement bien l’image que véhicule le réalisateur dans le monde. Parfois tendancieux envers la gente féminine, ultra patriotique (mais honnêtement, ça, on s’y est fait et c’est plutôt drôle, au final), l’homme pour qui il est tout à fait normale et crédible que Shia Leboeuf ce tape Megan Fox ou Rosie Huntington-Whiteley, l’homme pour qui le dollar et la rentabilité sont des choses plus importantes que la réflexion signe avec Transformers 3 l’apothéose de SON cinéma qui rassemble toujours autant d’admirateurs, que de profonds détracteurs.

    Réalisation :
    Avec cette Face cachée de la lune, il nous tardait de savoir si Bay allait enfin (re)trouver un juste équilibre. Après nous avoir empiffré avec Transformers 2 à cause d’une mauvaise gestion de rythme (nous y reviendrons plus tard), c’est justement l’occasion pour le metteur en scène fou de corriger quelques éléments au risque de faire passer ce 3ème volet pour l’épisode de trop.
    Un deuxième volet que Michael Bay ainsi qu’une grande partie de son équipe admet avoir raté à cause de la grève des scénaristes poussant le metteur en scène à fignoler lui-même une partie du scénario. Ce troisième volet tient ses promesses, car bien plus sombre et plus incisif d’abord, à l’image de l’aspect physique des robots. Les rayures ainsi que certaines pièces manquantes sur leurs carlingues une fois transformées représentent les blessures visibles d’une guerre qui dure depuis trop longtemps. Le « sang » qu’ils crachent lors de leurs affrontements les rendent encore plus organiques et expressifs que jamais. Leurs attitudes sont aussi plus violentes, comme cette scène où Optimus balance un violent « crève ! » en pleine face avant de déchiqueter un des Decepticons. On sent bien à travers ces détails une évolution plus mature de l’univers de la franchise, si bien que l’on se demande encore pourquoi Bay s’entête encore avec certaines scènes de comédies inutiles qui ne fait qu’alourdir le récit. Heureusement, Transformers 3 s’avère mieux équilibré que le deuxième volet. Hormis l’énorme raccourci scénaristique déjà bien connu de Transformers 2, son autre principal souci était d’avoir adopté un espèce de rythme bâtard. En effet, au lieu de gérer ses séquences d’actions comme il l’avait fait dans le premier volet, Bay choisit de plaquer couche par couche. Un pâté d’exposition, un pâté d’action. Alors que dans ce troisième opus, il a l'intelligence de parsemer ici et là durant la première heure et quart ces séquences d’action pour ainsi finir en apothéose avec pas loin de 80min d’action non-stop, MAIS entre coupé de mini-segments bien distinct. Ce qui confère à ce volet un rythme beaucoup plus soutenu, mais moins étouffant, car le tempo est mieux géré et espacé.

    Grandement aidé par l’architecture de son Chicago en ruine, la mise en scène de Michael Bay se révèle être des plus vertigineuses, car exploitant au maximum les espaces qui lui est possible d’occuper, préférant les plans larges afin de magnifier les magnifiques SFX d’ILM. Comme pour la séquence finale du premier volet, ce Transformers 3 marche bien sur les pas d’un certain Black Hawk Down. Michael Bay n’épargne rien n’y personne. La séquence de l’immeuble qui reste probablement la plus impressionnante techniquement mais aussi logistiquement parlant, transforme le métrage en l’espace de 10min en un vrai film catastrophe complètement dingue. Les humains se font jeter, désintégrer, les autobots en chient comme jamais et le tout est magnifié par des mouvements de caméra en 3D souple, lisible et parfaitement fluide.

    Parlons-en de la 3D, car comme vous le savez, pour ceux qui suivent régulièrement nos critiques, le rédacteur de ses lignes milite encore pour que les cinémas n’imposent pas aux spectateurs les films en 3D afin de pouvoir au moins avoir le choix. Or il se trouve que Transformers 3 doit en grande partie sa réussite à la 3D, une 3D qui se révèle complètement ahurissante, astucieuse et impeccablement bien utilisée. Certaines séquences comme l’introduction sur Cybertron, le vol plané des soldats à travers les immeubles, toutes les particules d’explosions, de cendres, d’éclats de verre ou de gravas nous arrivent bien en pleine poire. Michael Bay nous fait vivre bien plus qu’une simple expérience de son cinéma, il nous la fait considérablement partager avec ses héros. Jamais le procédé ne vient trahir sa mise en scène, au contraire : Bay se voit être contraint de considérablement l’adapter pour que les effets puissent être correctement appréciés. Convertir la franchise à la 3D était en fin de compte assez logique puisque l’univers s’y prête complètement. Les robots n’ont jamais paru aussi grands, les séquences d’actions sont encore mieux découpées avec des plans beaucoup plus longs laissant place à des délires visuels inédits et assez jouissifs, comme ce bureau et ses tonnes de papiers qui tombent sur la tête de Shockwave. A partir de là, Bay enterre une fois de plus la concurrence, mettant à genoux le bébé de Cameron qui, par ailleurs, lui a rendu une visite de courtoisie lors de la première du film afin de le féliciter (comprenez derrière, de s’avouer vaincu).

    On parle aussi beaucoup des deux plans repris de la séquence de l’autoroute de The Island, or il s’avère que sur le tournage, il eut un accident particulièrement grave d’une automobiliste situé près de la cascade en question. Par respect pour la victime, la Paramount et Bay ont choisi de ne pas utiliser ces fameux plans.

    Même s’il reprend quelques intrus déjà présentent dans les deux premiers volets, la bande originale de Steve Jablonsky s’avère être une fois de plus une vraie réussite. « It’s Our fight » dégage une véritable puissance épique, dramatique, accompagnant les autobots dans ce qui sera pour certains leur dernière et ultime bataille. « There Is No Plan » joue sur la fibre nostalgique des fans qui reprend l’un des thèmes principal de la franchise, sur un rythme beaucoup plus lent, rappelant bien évidemment la séquence de l’arrivé des autobots sur terre dans le premier volet. Encore une fois, il faudra remercier Newton et Zimmer pour avoir composé ensemble la bande originale de The Dark Knight qui reste une vraie référence en matière de partition musicale. Il est vrai que Jablonsky s’amuse un peu à pomper les longues notes lourdes et pesantes du Chevalier noir, mais qu’importe, il le fait très bien.

    Conclusion :
    Ce 3ème opus est bien le volet le plus équilibré de cette trilogie. La narration trouve une stabilité presque parfaite entre séquences d’actions et d’expositions, même si encore une fois, pas mal de scènes de comédies auraient pu être purement et simplement supprimées. Avec le recul, c’est un peu tout le problème de cette franchise : si seulement Michael Bay en avait fini avec ses tics d’enfants mal élevés, le bilan n’en serait que meilleur pour Transformers. Hélas, les films sont tels qu’ils sont, mais on ne peut s’empêcher de penser quel autre visage cette franchise aurait pu avoir. De même que l’absence de Megan Fox. Non pas que Rosie Huntington joue mal (elle rempli parfaitement bien son rôle de personnage féminin « Bayien »), mais les ressorts dramatiques liés au couple Sam/Carly paraissent du coup assez factices.
    Si Michael Bay dit en avoir fini avec Transformers, il nous tarde vraiment de savoir ce qu’il prépare par la suite, mais aussi et surtout de savoir jusqu’où ce type peut encore aller. Transformers était pour ainsi dire la quintessence de toute sa maîtrise en matière de création et d’action pure, prouvant une fois de plus qu’il n’existe tout bonnement aucune limite, aucune frontière ni aucun obstacle pour ce réalisateur décidément à part. On l’aime parce que malgré ses mimiques d’enfant gâté toujours aussi grasses, sans aucune pointe de finesse et son ultra patriotisme, il est bien le seul à réussir à repousser toujours plus loin le divertissement estival. Le seul à nous procurer des sensations fortes nouvelles, toujours plus folles. A une fois de plus magnifier ses personnages aux travers de séquences extraordinaires, de morceaux de bravoures unique, voir orgasmique ! En tirant vers le haut tous les autres réalisateurs qui essaient tant bien que mal de lui arriver à la cheville sur son terrain, Bay influence toujours plus considérablement l’industrie du 7ème art (Nolan & Cameron le reconnaissent eux-mêmes), jusqu’à être encore à l’heure d'aujourd’hui, LE véritable maitre artificier d’un cinéma d’action bourrin totalement assumé et décomplexé.

    Par Vincent N.Van du groupe Madealone
    Robin Pacotte
    Robin Pacotte

    25 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2011
    Encore un film énorme mais sans Megan Fox c un peu moins bien ^^, malgré sa remplacante mais qui pour moi ne fait pas du tout le poids
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 juillet 2011
    Très bon film (et l'humour qui va avec) mais la scène finale est vraiment trop longue. J'ai adoré le début du film lors de l'explication de la présence des robots sur Terre avec de vrais images insérées dans le film.
    gizmo129
    gizmo129

    101 abonnés 1 533 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2018
    Transformers 3 conclut plutôt bien la trilogie... Oui depuis quelques années, cela n'en est plus une, mais à la base ce troisième épisode devait marquer la fin de la saga et ce film le fait de manière spectaculaire en nous offrant le meilleur épisode de la saga. Michael Bay a tenu compte de ses erreurs après le très mauvais deuxième épisode et redonne ici un peu plus de volume à ses personnages et rend l'émotion primordiale face à la débauche d'effets visuels. Alors rassurez vous tout de même, vous aurez votre quota d'explosions de féraille et de combats surréalistes mais cela de manière plus précise, plus belle et cette fois en accompagnement des aventures des humains et non pas en prédominance ! On regrettera toujours d'être un peu perdu entre les bons et les mauvais robots, le scénario reste toujours très basique dans sa conclusion, mais il faut avouer que l'idée de départ de se servir des grandes heures de l'espèce humaine pour créer un lien avec la mythologie robotique, est une idée excellente qui rend la première partie du film captivante.
    nestor13
    nestor13

    61 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juillet 2011
    Depuis 2007, tous les étés des années impaires, c'est le même cinéma : Michael Bay débarque avec ses impressionnants robots et son frêle Shia LaBeouf. 2011 n'échappe pas à la règle et voilà encore les Autobots et les Decepticons qui comme d'autres créatures étranges (suivez mon regard) prennent la Terre pour un champ de bataille. L'opus précédent m'était resté sur l'estomac avec une débauche de combats et d'effets spéciaux qui en avaient fait au final un gros pudding écoeurant. C'est pourquoi j'ai été agréablement surpris par cette troisième aventure qui est plus équilibrée. Il me semble en effet que son scénario est un peu plus recherché; par ailleurs certaines séquences sont beaucoup plus innovantes et palpitantes que lors des deux premiers segments. Toutefois, la nausée a quand même failli me reprendre lors des dernières scènes qui laissent paraître une nouvelle surenchère de combats, ce qui me pousse à croire que ce film est un tantinet trop long. Il y a en outre toujours un côté à la fois sirupeux et potache toujours assez agaçant mais qui de mémoire me semble bien moins prononcé qu'avant. Si tout n'est donc pas parfait, j'ai l'impression que le sémillant réalisateur a corrigé un peu les défauts qui auparavant m'avaient laissé perplexe. Alors Michael, on se revoit à l'été 2013 pour faire un nouveau point ?
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    290 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2012
    Michael Bay est un génie. Le premier Transformers était très bon (mais la deuxième vision ne passe pas bien), le deuxième un navet. Qu'allait faire cet auteur (n'en déplaise à certains) avec le troisième opus de cette série? Eh bien, Michael Bay montre que c'est le seul réalisateur à aujourd'hui à avoir compris l'utilisation de la 3D.

    En effet, la 3D y est parfaite et montre enfin des scènes beaucoup plus lisibles et beaucoup mieux réalisées que la plupart des autres films. La 3D complète le film, elle ne complète pas seulement la profondeur de champ, ni nous envoie des trucs dans la tête. Le film est passionnant, écrit par un habituellement moyen Ehren Kruger, si ce n'est un bon gros trou au milieu du film. La dernière heure est magistrale, avec des scènes plus cruelles que ce qu'on voit d'habitude chez Michael Bay. Quant au casting, comme d'habitude chez Bay, il est très fourni, avec bien sur le retour de l'excellent Kevin Dunn, qui doit se nourrir des miettes, partagées avec John Malkovich, Patrick Dempsey (excellent), Alan Tudyk (un des meilleurs seconds rôles du moment), Lester Speight, Ken Jeong (qui illumine le film comme d'habitude) et surtout les deux apparitions d'Andrew Daly... Michael Bay s'octroit même le petit plaisir de piller les frères Coen et utilise un duo John Turturro (le meilleur acteur de la trilogie) et Frances McDormand.

    Alors, bien sur, ça dure beaucoup trop longtemps et bien sur, c'est un peu bête par moment, et Rosie Huntington-Whiteley est une actrice exécrable, mais on ne peut pas bouder notre plaisir de voir les meilleures scènes d'action en 3D de l'année et même de tous les temps. Si Fast Five est le film 2D le plus spectaculaire de l'année, Transformers 3 remporte le titre de la 3D.
    S-Kayp
    S-Kayp

    155 abonnés 1 223 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2012
    Un film plein d'action avec de supers effets spéciaux et baucoup d'humour. C'est surtout la dernière partie du film qui est vraiment passionnante. Le scénario est bien trouvé. Par contre, la 3d ne sert à rien.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 juillet 2017
    Ce troisième volet qui est marqué par la présence de Shia Leboeuf qui sera son dernier film dans les Transformers et un événement qui a lieu sur la lune et doit éviter une guerre que même les Transformers pourrait ne pas la sauver mais sans compter le personnage joué par Shia Leboeuf qui va être très important pour les Autobots et que Optimus Prime qui est le commandant et il rencontre son père robots qui la crée et élevé qui sera le méchant et sera de mèche avec le personnage joué par Patrick Dempsey est très bien dans ce rôle même si il est pas habitué car c'est son rôle dans Grey Anatomy qui est un docteur qui l'a bien aidé pour décrocher le rôle et le personnage joué par la femme de Sam Whitwicky est tout simplement canon et le personnage joué per John Turturro aura aussi son importance pour éviter une guerre qui menace la destruction de la Terre
    Julien R.
    Julien R.

    17 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juin 2011
    Le scénario reste bien connu de Transformers mais le film contient plusieurs passages marrants ce qui est un avantage et l'image comme les effets sont magnifiques, je l'ai vu en IMAX 3D en avant première et je ne regrette pas le prix du billet, on en prend pleins les yeux !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 février 2012
    Youhou, On en prend plein dans la gueule, et surtout plein les yeux. Un peu moins nanare que les précèdents mais ça reste un film à grand spectacles.. spoiler: .J'ai juste eu très peur quand bumblebee a faillit mourir...
    Outburst
    Outburst

    129 abonnés 517 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2011
    Je me rappelle que lorsque j'avais vu Transformers 2 il y a deux ans j'étais ressortis de la salle enchanté et conquis. Maintenant après l'avoir revu deux ou trois fois et pris du recul j'ai réalisé le raté qu'il était réellement. Mais j'étais tout de même impatient de voir la suite. C'est là que les bonnes nouvelles ont commencé à s'enchaîner. Michael Bay s'excusant de la médiocrité du deux, l'annonce que le troisième sera le dernier et certainement le plus spectaculaire et enfin OUT Megan Fox la pouffe inutile et capricieuse. Et bien il l'a dit, il l'a fait. Malgré un début de film un peu longuet ce Transformers 3 est tout simplement l'un des films les plus réussis de l'année. Une 3D parfaite, agréable et divertissante qui nous plonge au cœur de l'action et qui n'a strictement rien à envier aux grenouilles de Pandora. L'histoire mise en place prenant enfin une tournure plus sombre et adulte dans un univers apocalyptique aux effets spéciaux dépassant les limites de ce que l'on a pu voir jusqu'à présent et offrant au spectateur ce qu'il a envie de voir. L'apparition du personnage de Carly interprété par Rosie Huntington-Whiteley beaucoup plus convaincante et moins vulgaire que Megan Fox rendant le personnage de Sam plus mûre et crédible. L'humour, toujours présent mais en très petite quantité qui ne décrédibilise pas le film comme le faisaient les jumeaux robots dans le volet précédent. Une soundtrack et un score magistrale et enfin, un final époustouflant et mémorable comme on en voit rarement dû à une réalisation maîtrisée et efficace nous offrant un grand moment de divertissement au cinéma. Michael Bay clôture donc la saga par ce film qui est pour moi le plus convaincant des trois et signe l'un de ses meilleurs films depuis l'excellent "The Island".
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 juillet 2011
    C'est un bon film d'action que l'ont va voir pour passer un bon moment de divertissement. Tout les ingrédients sont bons à part peut-être qu'ont imagine se qu'il va se passer avant que sa arrive , le problème des suites... Je le conseille quand même à tout le monde, c'est vraiment éblouissant. La 3D n'est pas utile ou prendre un doliprane avant!
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