Avis sur Transformers 3 - La Face cachée de la Lune

Les "Transformers" de Michael Bay reviennent une troisième fois dans les salles obscures pour un cocktail d'action et de pyrotechnie! Ce Blockbuster estival est proposè cette fois dans une version 3D inèdite pour une totale immersion avec les Autobots et les Decepticons qui reviennent tout casser sur Terre! Du côtè de la distribution, Shia LaBoeuf alias Sam Witwicky aura encore fort à faire pour vaincre les Decepticons! Megan Fox est remplacèe ici par une autre bimbo du nom de Rosie Huntington-Whiteley (la première scène à l'ècran de Rosie n'est ni plus ni moins qu'une partie de son anatomie "ses fesses" que Bay filme en contre plongèe) qui apporte un peu de douceur au milieu du chaos! Ce nouvel opus introduit ègalement John Malkovich qui cabotine plein pot et d'un certain Patrick Dempsey qui assume un contre emploi amusant en conspirateur! Raconter ce qui se passe dan le scènario de "Transformers 3" paraît simpliste mais que demander de plus à une superproduction pyrotechnique qui enchaînent scènes d'action hyper spectaculaires jusqu'à culminer dans un long final hallucinant au milieu des gratte-ciel dèvastès de Chicago! 2h35, c'est peut-être long mais on ne s'ennuie pas une seule seconde malgrè une première partie un peu lente dans des bavardages parfois inutiles! A voir absolument sur grand ècran pour une nouvelle mission des Transformers encore plus immersive que les deux autres opus puisque il est rèalisè avec des camèras 3D dèveloppèes par Cameron! Attention tout de même à Michael Bay de ne pas cèder aux stocks-shots! Jouissif...

Ce 3e opus de la trilogie est très bon il est meilleur que le 2 voir que le 1 ou du moins du même niveau. L'histoire est bonne et prenante qui de plus est ancrée dans l'histoire avec des images d'archives même si durant la 2e partie du film on oublie tout pour laisser place à de l'action non stop qui est toujours de très bonne qualité avec des scènes à couper le souffle vraiment très impressionnantes et des effets spéciaux au top. Au casting on retrouve toujours la même équipe hormis Rosie Huntington qui je trouve s'en est bien sortie et même vite fait oublier Megan Fox.

Michael Bay continu de faire ce qu'il sait faire de mieux, à savoir des blockbusters écervelés aux effets pyrotechniques à faire pâlir n'importe quel épileptique. Un film d'action qui vous en met plein la vue durant près de 60 minutes (sur plus de 150 minutes, autant vous dire que l'on a largement le temps de s'ennuyer, de se retourner dans son fauteuil, de contempler sa montre, bref prenez votre mal en patience !). D'autant plus qu'une fois n'est pas coutume, si le film est impressionnant grâce à son avalanche d'SFX (le tout, agrémenté d'une 3D relief qui peut être efficace par moment), cela se fait au détriment du scénario et surtout des dialogues insipides (on atteint le summum de la connerie). C'est d'autant plus regrettable que les quinze premières minutes du film sont plutôt réussies, en effet les scénaristes sont parvenus à façonner à leur manière la "course à la Lune" qui opposait les russes et les américains dans les années 60, puisqu'il s'agit cette fois-ci d'un OVNI qui se serait crasher sur la Lune, cette découverte est alors le prétexte aux deux grandes puissances à vouloir y jeter un oeil. Après deux opus (2007 & 2009) qui rapportèrent plus de 1,5 milliard de dollars (alors que les budgets respectifs étaient de 150 & 200 millions de dollars), il est donc normal que la Columbia & Michael Bay persistent une troisième fois et comme on ne change pas une recette qui marche, on retrouve pour la énième fois la fameuse "guéguerre" entre les robots Autobots (les gentils) et les Decepticons (les méchants), ajoutez à cela, les mêmes acteurs Shia LaBeouf, John Turturro & Josh Duhamel ainsi que quelques nouvelles têtes avec Patrick Dempsey, Frances McDormand, John Malkovich, Ken Jeong & la ravissante Rosie Huntington-Whiteley (l'égérie de la célèbre marque de lingerie Victoria's Secret remplace Megan Fox, cette dernière ayant été virée par Steven Spielberg, le producteur, pour avoir comparé Michael Bay, le réalisateur, à Hitler).
Un divertissement dans la grande lignée de ce qu'à toujours su faire le réalisateur, dénué d'une quelconque saveur, un film pop-corn qui satisfera n'importe quel spectateur venu se vider l'esprit tout en s'abrutissant.

Mouais... Du Michael Bay pur jus... D'abord il prouve qu'il sait aussi bien filmer les scènes d'action que les courbes d'une femme (ah la jolie scène d'ouverture !) ; si l'égérie de Victoria's secret est canon (et accessoirement copine de Jason Statham) il n'en demeure pas moins qu'elle est encore plus inutile que Megan Fox dans un rôle encore moins étoffé. La pauvre est uassi un cheveu sur la soupe lorsque Bay imagine 2-3 mini-scénettes qui casse le rythme des scènes d'action dans des déclarations mielleuses dont tout le monde se fout ! On reste scotché par les effets spéciaux et leurs minuties (les détails jusqu'aux boulons restent incroyables). Le scénario semble avoir été travaillé, en tous cas un poil plus que le 2ème opus mais reste primaire. En tous cas il est plus réussile précédent et aussi efficace que le premier. Une grande récréation donc, sans surprise notable mais diablement efficace.

Alors autant j’apprécie Michael Bay quand il prend le temps de mesurer ses effets et son rythme, autant il me gonfle vite dès qu’il s’amuse tout seul avec ses jouets, nous laissant sur le bord du trottoir à devoir le regarder. Déjà pour le deuxième opus, Bay s’était égaré dans un final interminable et dans la multiplication de personnages vides qui étaient souvent de simples prétextes à gags basiques. Avec cette « face cachée de la Lune » le maigre fil qui faisait que je m’amusais encore comme un gosse à voir ces voitures rouler comme des bolides et se transformer de-ci de-là s’est malheureusement très rapidement rompu. Le film se la joue très vite gros sabots, en fait des tonnes et tombe trop facilement dans le grotesque pour s’y vautrer en permanence. Contrairement au premier opus, l’effet de découverte n’est ici jamais entretenu, et le souffle mythologique qui avait su en compenser l’absence dans le 2 est malheureusement lui aussi absent du 3. Faute d’imagination, reste donc à Bay à faire du Bay, mais en deux fois plus ! Ainsi on se retrouve avec deux fois plus de robots (voire trois fois plus vu qu’on est déjà au troisième épisode de la saga !), trois fois plus de destructions, de carambolages, de plans sur des nanas à la plastique de pouffe californienne (qui visiblement sont d’ailleurs interchangeables, puisque qu’Exit Megan Fox !), et surtout trois fois plus de révélations scénaristiques lourdingues. Et voilà comment on sombre dans presque trois heures de spectacle défouloir qui ont perdu toute subtilité et toute imagination, et qu’on peut d’ailleurs légitiment percevoir comme un vulgaire matraquage de placements de produits. Autant dire qu’il y aura de quoi regarder la montre face à ce « Transformers 3 », surtout que, là encore, le calvaire final se compte presque en plusieurs quarts d’heures, symbole d’un gars qui n’a plus rien à raconter ou à inventer à l’écran. Dommage donc ! Dommage que l’ami Bay – une fois de plus – gâche son talent de faiseur de blockbusters défouloirs à cause d’un appétit de l’argent un peu trop aiguisé…

Des robots, des boulons et de la mécanique, troisième partie... Michael Bay re re largue avec toujours de frénésie et déchainement sa virtualité visuel. Trois fois plus matraquant, trois fois plus explosif, Bay montre bien son acharnement de dompter ses robots comme s'il pouvait toucher la carrosserie. Un volet pour ma part un boulon mieux travailler, il y à pas trop de lourdeur au niveau des textes humours. Pour la troisième fois, malgré que Megan Fox ne fait plus partie de ce cirque métallique, Shia est accompagner cette fois par le mannequin Rosie Huntington-Whiteley. Et ça marche aussi !

Hollywood c'est neverland, on a des gens qui restent coincé à l'adolescence comme Zack Snyder qui a toujours 14 ans, et des gros tâcherons comme Bay qui restent coincé à la période scato. Au moins Snyder a atteint un âge où on a envie de voir du sang et des nibards pour de vrai, pas juste des petites culottes et ne fais pas que dans le PG13. Contrairement à Bay qui lui veut voir la culotte des filles et prend ses gros camions qui se transforme et BOOOUUUMMMMMM *bruits d'explosions avec la bouche*
En fait l'histoire est vraiment raconté par un gosse, rien n'est raccordé au reste, on est dans le délire d'un môme, il n'y a pas d'autre explication. Il y a de nombreuses scènes où tout simplement il manque des morceaux pour que ça soit cohérent. Exemple à un moment la voiture jaune (la flemme d'aller chercher son nom débile) sauve le héros, et 30s plus tard elle est prisonnière, comme ça, sans raccord entre les deux. Les persos se séparent se rejoignent comme s'il n'y avait aucune notion de distance dans ce Chicago dévasté (numériquement). Et il n'y a aucune notion du temps non plus, c'est d'une débilité rare.
Le premier transformers est l'un des films devant lequel je me suis le plus fait chier, c'est innommable, le second est un nanar au même titre qu'un Bad Boys II, et ce troisième opus fait bailler gentillement les gens n'ayant pas perdu leur cerveau durant les deux premiers volets.
D'ailleurs le film passait en VO 3D (je reviendrai sur la 3D plus tard), pourquoi le passer en VO ? la salle était loin d'être pleine, et les gens qui savent lire ne veulent pas voir ce genre de film et les cinéphiles encore moins. Reste les gens qui comme moi espérant de voir un nanar XXL à la hauteur du second opus. Mais c'est bien raté, à part un ou deux sourires nerveux devant la débilité d'une situation, un cliché, c'est plutôt chiant.
Le film commence par un flash back débile qui mêle reconstitution historique et images d'archives, sauf que c'est super laid, la caméra bouge tout le temps, pour qu'on ne voit pas que ce n'est pas le vrai Kennedy qui parle. D'ailleurs en un mois ça fait le second blockbuster qui cite Kennedy, et les deux sont des beaux échecs artistiques, mais Transformers bien plus que X-Men 5 (oui oui c'est déjà le 5° volet de la saga).
Bon on est pas encore à 5 volets de Transbideur, mais bon, on s'en approche quand même, et d'habitude au moins le premier volet est intéressant, comme pour Saw par exemple, mais là non, on continue de violer le public (c'est du viol hein, j'ai l'impression qu'on m'a fait voir des choses que je n'aurai jamais voulu voir) sans même avoir une autre base solide que de voir Bay dans ses délires de gamin riche qui peut tout faire exploser.
Donc après l'introduction bien nulle on a le magnifique logo du film qui s'enchaîne sur le cul de la remplacente de Fox. Ok. Il a pas changé ce vicelard de Bay. Non mais je veux bien qu'on film un beau cul, je suis même pour qu'on filme des culs, mais là c'est juste vulgaire, gratuit, et pour exciter les puceaux de 13 ans qui vont voir le film entre potes avant d'aller bouffer au macdo.
Sinon question mise en scène on aurait pu espérer que Bay se calme sur le montage, sur l'illisibilité des scènes d'actions à cause de la 3D qui souffre de changements de plans trop rapides, alors la durée moyenne du plan à doublé ou est presque passé au dessus de la seconde, c'est pas mal. On a des ralentis bien laid, qui n'apportent aucun fun, des gens qui explosent sans une goutte de sang. Bref génial.
Il y a des plans tellement laid que n'importe quelle personne avec un QI supérieur à celui de la moule aurait viré. D'ailleurs je pense que soit Bay est un idiot fini, et il oublié d'écrire/filmer certaines scènes (ce qui explique les morceaux manquants), ou bien tout simplement ils étaient trop laid pour pouvoir être utilisés.
Il y a des plans où tu te demandes, mais bordel ça sert à quoi de filmer ça ? et surtout pourquoi tu le filmes comme ça ?
Sinon des incohérences dans le scénario il y en a des centaines, mais c'est juste ignoble, c'est prévisible à mort, c'est d'une connerie rare. Tout n'est que prétexte débile à de la démolition (mal filmée qui plus est). Je me demande comment Spielberg peut cautionner ça. Comme il peut voir son nom associé à cet étron. Ou alors il se fout de la gueule de Bay.
Sinon on assiste à un défilé de seconds rôles tenu par des acteurs connus qui se ridiculisent tous. Je me demande ce que vient faire McDormand ou bien Malkovitch dans cette galère. Il en dit quoi Joël Coen ? "Chérie c'est bien tu rapportes de la thune en te prostituant chez Bay ?"
La 3D qu'on disait "wééé tr00 bi1 lol elle déchir" est quasiment absente du film, même durant les scènes de combat on peut presque retirer les lunettes. (Ben oui j'ai essayé, il faut bien s'amuser comme on peut).
La fameuse scène de saut en parachute est d'une platitude rare, effet relief ou pas. (et il ne me reste pas assez de caractères pour continuer, mais on a compris l'idée je pense)

Ce qui est bien avec Michael Bay,c'est qu'on sait toujours à quoi s'attendre.Un jeu vidéo grandeur nature.Des effets spéciaux invraisemblables.De l'action non-stop.Des acteurs réduits à l'état de marionnettes.Et une psychologie sommaire parsemée de répliques crétines.Le pire,c'est que ce cocktail peut passer à condition d'oublier que l'on a un cerveau,et à tout prendre au 36ème degré."Transformers 3" surpasse aisément ses 2 prédecesseurs en terme de spectaculaire.La 3D apporte réellement un plus.Le niveau de modélisation des robots est ultra-détaillé,avec des bruitages touours aussi métalliques.Mais ce film de SF bien bourrin est harassant.Il s'agit juste de voir des robots géants se fritter,détruire des villes au passage,avec une morale bien manichéenne et patriotique.Les personnages humains,eux,ne sont là que pour assurer la partie comique,involontairement drôle d'ailleurs ou pour être incarnés par de grands acteurs en flagrant délit de cachetonnage(Frances McDormand,John Malkovich).Shia LaBeouf ne propose rien de plus que sa cool attitude de post-ado et Rosie Huntington,à part être mannequin chez Victoria's Secret,est une potiche de plus.Une manière extrême de voir le cinéma comme un défouloir sans queue ni tête.

Rien de bien nouveau chez les "Transformers" pour ce troisième volet encore plus explosif et encore plus impressionnant que les autres. La lutte entre les Autobots et les Decepticons fait encore rage, forçant une fois de plus le jeune Sam Witwicky à se retrouver au milieu d'événements qui le dépassent. Michael Bay poursuit l'adage qui impose que chaque suite doit être plus forte que la précédente en multipliant les robots, les explosions et les destructions d'immeubles. Si ça ne rend pas plus intelligent, il faut avouer que le réalisateur sait s'y prendre pour ce genre de choses. Le spectacle est donc total, qu'importe si le scénario n'est pas plus travaillé que ça. Dans le rôle principal, Shia LaBeouf s'en sort bien face à des Patrick Dempsey, John Turturro et John Malkovich qui prennent un malin plaisir à cabotiner. On regrettera cependant l'absence de Megan Fox, Rosie Huntington-Whiteley étant beaucoup plus fade même s'il faut bien avouer que le rôle de la copine du héros est dans cette franchise, totalement inutile.

Transformers 3 est un très bon film d’action et de divertissement, qui certes ne vole pas haut, mais comme souvent chez Michael Bay, est généreux, et disposent de qualités techniques indéniables, qui font plaisir face à un budget assez faramineux.
Au niveau acteur Shia LaBeouf reprend avec efficacité son rôle tenu dans les deux premiers. Son personnage évolue bien, il a une place moins importante que dans les deux volets antérieurs mais tire quand même son épingle du jeu au milieu de tous ces robots. Disons qu’il n’est pas le noyau dur du film mais que grâce à son personnage solide il reste un élément important. A ses cotés Rosie Huntington-Whiteley est, en tant qu’actrice, un cran en dessous de Megan Fox. Son personnage aussi manque du relief que pouvait proposer celui de Fox. Pour autant elle est indéniablement photogénique, et étant donné qu’elle n’a pas une place déterminante dans le film, ca passe bien. Dempsey de son coté n’est pas forcément utilisé aussi efficacement que prévu, et sert surtout à animer la première partie. Enfin de nombreux acteurs reprennent leurs rôles. Karl Urban, toujours sympathique, Tyrese Gibson sous-exploité, John Turturro, au personnage assez agaçant car clairement trop léger. En revanche excellente Frances McDormand, face à un John Malkovich légèrement en roue libre.
Le scénario est globalement très convaincant. Alors l’histoire en elle-même est assez caricaturale, et se disperse parfois un peu dans les limbes, préférant évacuer moult questions pour lesquelles il n’y a pas de réponses rationnelles, plutôt que de chercher justement à les expliquer. Toutefois l’intrigue ne manque pas de quelques rebondissements peu prévisibles, ce qui est assez agréable, et surtout le rythme est redoutable. Bay est un pro du divertissement grandiloquent, et ici il en déroge pas à la règle, avec 2 heures 30 de film qui passent très vite, avec de l’action, des péripéties constantes, et un mélange humour potache (voir parfois assez ridicule)-action qui a une certaine saveur. Par ailleurs la gradation jusqu’au point final culminant est brillante.
Niveau réalisation, là encore rien à redire. Michael Bay est au summum de son style. Scènes d’action impressionnantes et pourtant très lisibles, dynamisme de la caméra et fluidité de celle-ci impeccable, talent pour donner un caractère épique aux séquences qui s’y prêtent, indéniablement Bay est à l’aise dans ce registre, et il livre un spectacle très réussi. La photographie est par ailleurs tout à fait plaisante. Elle est moins clinquante que dans le deuxième film, et même s’il y a quelques exagérations sur les effets de reflets lumineux, quelques bidouillages numériques pas toujours heureux, l’ensemble reste très luxueux et raffiné. Pour autant c’est surtout sur les décors que Transformers 3 est une réussite. Il y a vraiment de ce coté là des choses remarquables, je pense notamment à l’immeuble de Patrick Dempsey avec sa collection de voiture, mais sur la dernière demi-heure il y a vraiment des choses grandioses. Bien évidemment dur de ne pas mentionner les effets spéciaux. Très très réussis aussi, ils sont d’un nombre incalculable ici, mais il n’y a pas un loupé. Vraiment de l’incrustation, au design, à l’animation, tout est impeccable, avec une attention particulière portée à la physique des corps qui est très agréable à voir. Ces-derniers sont mit au service de scènes d’action décoiffantes. Elles sont superbes, et raviront l’amateur du genre sans problème. Enfin la bande son ne manque pas d’allure, bien que les évolutions par rapport aux précédents épisodes ne soient pas évidentes.
En conclusion Transformers 3 est une grosse machine certes, mais qui s’en tire bien. Très généreux, donnant au spectateur ce qu’il est venu voir, il a un gros budget certes, mais cela se voit à l’écran. Techniquement il y a vraiment très peu de choses à redire. Comme les acteurs (en dehors de quelques seconds rôles) tiennent bien la route dans l’ensemble, et comme le rythme, bien présent, est au service d’une histoire pas trop instable, et bien je lui accorde 4. Je ne monterai pas au dessus du fait de quelques rôles convenus et d’acteurs moyens, d’une histoire qui évite quand même soigneusement de se mouiller, et de tout petits loupés sur la photographie et la bande son qui peine à se renouveler.

Beaucoup de frime. Le début était pourtant bien mais Sam avec un Top modèle… C'est une blague, surtout avec un tel caractère. Le couple est extrêmement mal assortie. Et Shia Labeouf insupportable. Ils ont vu trop grand, trop orgueilleux, trop frime. L'humour et l'action restent bien, mais la surenchère fatigue car elle est peu justifiée :(

Un peu mieux que le deuxième volet mais cela reste très peu. S'il est amusant, au début, de découvrir cette relecture de l'histoire spatiale américaine, tout cela aboutit comme d'habitude à un énième combat final entre Autobots et Decepticons. Et l'humour est lourd, très lourd, qu'il est triste de voir John Malkovich cabotiner ainsi. Patrick Dempsey est ridicule en méchant de service et Megan fox manque terriblement, sa remplaçante est transparente. Heureusement, les effets spéciaux sont toujours aussi impressionnants.

Vu mercredi en avant-première, "Transformers 3 - La Face cachée de la Lune" est un blockbuster qui offre un vrai divertissement ! Les effets-spéciaux sont hallucinants (surtout à la fin), ils frisent la perfection. De plus, visuellement le long-métrage est agréable et offre une des meilleures 3D de l'année. Je recommande ce film à tout les fans de gros blockbusters ! Sinon, c'est vrai que cette suite possède quelques défauts comme un scénario beaucoup trop léger; mais d'un côté c'est un "Transformers, on y va pas pour son histoire ! Et certains acteurs sont pas trop convaincants (par contre, Rosie Huntington-Whiteley est meilleure actrice que Megan Fox, il y a aucun doute !!).

Après la déception de l'épisode 2, Michael Bay réalise le retour de la saga culte Transformers, qui aura tant fait parler de lui. Il reprend ce qui a fait le succès du premier épisode et le retranscrit à la puissance dix. L'absence de Megan Fox marque un véritable vide dans le le long-métrage. Tout est ici spectaculaire, explosif et, bien entendu, le scénario n'est pas brillant. Extrêmement divertissant.

Comme dans la majorité des films de Michael Bay où il dépense plusieurs millions pour le simple plaisir de se rincer l’œil, on a affaire ici à un film bonbon bien sucré ! D'accord, la qualité scénaristique est une fois de plus décevante. D'accord, le film est (très) long. Mais ces aspects sont-ils véritablement ceux qui nous poussent à se déplacer pour assister à un film de la lucrative franchise gouvernée par Michael Bay ? Non, évidemment. Le divertissement est beaucoup plus qu'à la hauteur. La trame sonore est incroyable, elle donne des frissons, et les thèmes musicaux sont prenants, riches et entraînants. Une fois de plus, le réalisateur nous ébahit grâce à des effets spéciaux à couper le souffle. Ça saute, il y a des coups de feu, des voitures à faire rêver roulant à vive allure et la remplaçante de Fox qui n'est pas désagréable à regarder !! Festins explosifs à prévoir pour les adeptes de films d'actions tandis que le 3D fait admirablement bien le travail. Personnellement, la face cachée de la lune s'avère le long-métrage avec la qualité visuelle la plus impressionnante des dernières années. Le troisième opus de la franchise est de loin le plus délectable, et soyez assurés qu'en terme de divertissement de haute-voltige, vous serez servis ! Attendons voir le 4e volet de la saga avec Mark Walhberg.