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tomPSGcinema
772 abonnés
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3,5
Publiée le 2 janvier 2017
Dans cet excellent western italien, Yul Brynner campe avec talent le célèbre Sabata ( en fait Indio Black en VO), un homme recruté par un chef révolutionnaire mexicain afin de s'emparer d'une cargaison d'or. La réalisation que l'on doit à Gianfranco Parolini est ici particulièrement inspirée (notamment sur les scènes de fusillades), la belle BO de Bruno Nicolai qui n'a rien à envier à Ennio Morricone et l'histoire est assez palpitante à suivre. "Adios Sabata" mérite donc clairement le coup-d'oeil d'autant qu'il possède de très beaux décors naturels puisqu'il à été tourné à Almeria.
Après Lee Van Cleef dans la peau de Sabata voici Yul Brynner en chasseur de prime, très bon western spaghetti Adios Sabata est assez âpre, poussièrieux et cynique de plus ça flingue bien, pas mal de cadavres. La musique est belle en plus.
A scénario moyen, western moyen malgré la présence de Yul Brynner qui ne relève pas le niveau du film. Ca se regarde mais ce film ne laissera pas un souvenir impérissable. On nage en plein spaghetti commercial. Finalement, Lee Van Cleef s'en tire mieux dans la série des Sabata.
A Yul Brynner de jouer le rôle de Sabata, Lee Van Cleef est passer avant lui. J'ai adoré les personnages, surtout le prénommé Septembre, il à toujours avec lui 3 billes en fer et il en dépose une sur sa chaussure puis la balance sur les ennemis, tant qu'à Yul que dire, et bien égal à lui-même, avec un flingue de l'autre monde. Adios Sabata manque pas de panache bien au contraire c'est un véritable plaisir de fun tout le long, des morts, des explosions, à tout va.
14 081 abonnés
12 483 critiques
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2,5
Publiée le 18 février 2016
Vive le Mexique libre, vive la rèvolution! Avec Sabata, on meurt sans laisser de traces! Surtout quand il est incarnè par Yul Brynner! spoiler: Mexique, XIXe siècle! L'impopularitè du gouvernement instaurè par Maximilien d'Autriche crèe un climat propice aux exactions! Sabata, chasseur de primes et redresseur de torts à ses heures, dècide de s'emparer d'un convoi de sacs d'or escortè par l'armèe! Ce western du dèbut des 70's est prètexte aux grosses ficelles du genre! Gianfranco Parolini n'est pas Sergio Leone et use parfois un peu trop d'effets de camèra en nous donnant le tournis! Reste que Brynner fait le job et que ça tire de partout dans le final! Avec pour dècor une citadelle à dèfendre entre mitrailleuse et nitroglycèrine! Musique de Bruno Nicolai, dans le style d'un Morricone! On entend même dans le film le superbe « Fantasia in F Minor D. 940 (Op. 103) » au piano de Schubert! il est fort dommage qu'on ne l'entend que quelques secondes! Pour les inconditionnels du western spaghetti...
Il a eu à son actif d'autres prestations bien plus inoubliables mais, dans un costume taillé à sa mesure, Yul Brynner fait le travail dans un récit des plus classiques, avec ce personnage déjà campé par l'impeccable Lee Van Cleef (autre figure légendaire). Adios Sabata est un spectacle picaresque, très conventionnel dans la forme mais divertissant.
J'étais un peu perplexe avant de regarder le troisième volet réalisé toujours par Gianfranco Parolini vu que je n'avais pas aimé "Le retour de Sabata" et qu'il n 'y avait plus Lee Van Cleef remplacé curieusement par Yul Brynner, j'ai eté bien surpris au contraire par "Adios Sabata". Le film lorgne comme le premier volet du coté de Sergio Léone à ses débuts avec des gadgets loufoques, une musique virobolante digne des westerns spaghettis de cette époque, une réalisation inspirée, un Yul Brynner qui apporte plus de charisme au personnage de Sabata et des roles secondaires épatants, notamment celui qui joue et jongle avec des billes qui font mal (rire). Un final de "Sabata" plutot réussit.
J'ai complètement adoré ce film aux saveurs cinématographiques léoniennes et musicales morriconiennes. Yul Brynner n'a rien à envier à Clint Eastwood en traqueur solitaire avec son arme-harmonica comme porte étandard de ses frasques sanglantes. Les plans sont soignés avec de bons cadres, la musique superbe et les répliques toutes bien trouvées, c'est un hommage plus que réussi aux films de Sergio Leone au point qu'on pourrait penser que c'est le Monsieur qui l'a réalisé. Bien sur il faut prendre le film au second degré comme une BD.
Cette fausse suite de " Sabata" ( merci les distributeurs de l époque qui veulent surfer sur le succès d un film ..) est en fait , un western Zapata assez sympathique , sec , violent , sérieux et moins loufoque que son " prédécesseur" ... Yul Brynner remplace Lee Van Cleef , l humour bon enfant n est plus présent et Sabata n a pu de gadgets , juste une Winchester . Un ton très sérieux et un Sabata dur et froid , maniaque de la gâchette ! Il y a beaucoup d action et un final explosif ou Sabata et ses comparses emploient des mitrailleuses et un canon contre un régiment de soldats . Niveau action , c'est efficace .. Niveau musique aussi , composée par Bruno Nicolai , une jolie bande originale . bref , " adios Sabata " est un assez bon western spaghetti poussiéreux et violent .. Yul Brynner sauve le film .
Une histoire un peu facile, des gadgets un peu too much et un héro un peu trop héro. Je n'a ipas trop aimé, le genre devient une routine pour le réalisateur
Un bon petit western du début des seventies comme on les aime avec en tête d'affiche, le talentueux Yul Brynner (qui remplace Lee Van Cleef présent dans le premier film de la trilogie) qui partage l'affiche avec Ignazio Spalla et Dean Reed en vedettes principales.
L'histoire d'un coffre d'or volé au Mexique qui se déroule sans accro, même si certaines scènes sont maladroites et peu soignées : la réalisation est loin d'être de la patte d'un Sergio Leone mais on apprécie les musiques qui s'apparentent à celles d'Ennio Morricone tout au long des 1h45 du film et l'intensité de l'action qui ne faiblit jamais.
Soyons francs : sans la présence de Yul Brynner, Adios Sabata perdrait beaucoup de son intérêt car son charisme joue une place importante à l'écran.