Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Elle
par Anne Diatkine
Cette exigence de suivi en documentaire est exceptionnelle (...). En s'attachant à la singularité, Marie Dumora ne noie jamais cette famille dans un bain sociologique plus vaste qu'elle.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout en ressuscitant un cinéma populaire un peu disparu, la cinéaste donne voix au chapitre à des catégories sociales délaissées.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Express
par Julien Welter
voir www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
La documentariste Marie Dumora a capté la soif de vivre et le désarroi de Sabrina, 16 ans (...) Elle réussit à filmer la notion d'impasse existentielle, en même temps qu'elle guette tout ce après quoi s'accroche son "héroïne".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Malgré des dysfonctionnements en cascade, ce qui prime, c'est un naturel, une crudité basique des personnages (avec leurs tatouages, leur accent, leur gouaille) dont la fiction française semble avoir perdu le secret.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pascal Binétruy
Sans doute aurait-il fallu un regard plus incisif pour dépasser la seule étude de cas.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Ce dispositif troublant nous interroge sur la lisière entre réalité et fiction, vérité brute et re-création.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
(...) La documentariste met en évidence, sans jouer d'une approche inquisitrice ni tomber dans le piège de la sociologie réductrice, les contradictions, l'instabilité et l'espoir de s'en sortir de la jeune fille. Une désabusée luttant contre sa nature empathique rêvant, sans y croire, à une existence délestée de tous sentiments.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
Le film joue sur la durée et sur des temps morts, parfois trop. Mais qu'elle cadre en très gros plan ou au contraire qu'elle prenne du champ, la réalisatrice reste à la bonne distance. Ce n'est pas si fréquent...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Un film au regard doux, profondément respectueux, en même temps qu'il manque d'une vraie rigueur formelle.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
Cette exigence de suivi en documentaire est exceptionnelle (...). En s'attachant à la singularité, Marie Dumora ne noie jamais cette famille dans un bain sociologique plus vaste qu'elle.
L'Humanité
Tout en ressuscitant un cinéma populaire un peu disparu, la cinéaste donne voix au chapitre à des catégories sociales délaissées.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
L'Express
voir www.lexpress.fr
Le Monde
La documentariste Marie Dumora a capté la soif de vivre et le désarroi de Sabrina, 16 ans (...) Elle réussit à filmer la notion d'impasse existentielle, en même temps qu'elle guette tout ce après quoi s'accroche son "héroïne".
Les Inrockuptibles
Malgré des dysfonctionnements en cascade, ce qui prime, c'est un naturel, une crudité basique des personnages (avec leurs tatouages, leur accent, leur gouaille) dont la fiction française semble avoir perdu le secret.
Positif
Sans doute aurait-il fallu un regard plus incisif pour dépasser la seule étude de cas.
Première
Ce dispositif troublant nous interroge sur la lisière entre réalité et fiction, vérité brute et re-création.
TéléCinéObs
(...) La documentariste met en évidence, sans jouer d'une approche inquisitrice ni tomber dans le piège de la sociologie réductrice, les contradictions, l'instabilité et l'espoir de s'en sortir de la jeune fille. Une désabusée luttant contre sa nature empathique rêvant, sans y croire, à une existence délestée de tous sentiments.
Télérama
Le film joue sur la durée et sur des temps morts, parfois trop. Mais qu'elle cadre en très gros plan ou au contraire qu'elle prenne du champ, la réalisatrice reste à la bonne distance. Ce n'est pas si fréquent...
Cahiers du Cinéma
Un film au regard doux, profondément respectueux, en même temps qu'il manque d'une vraie rigueur formelle.