Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Les Caprices d'un fleuve" et de son tournage !

Une musique envoûtante

Les Caprices d'un fleuve bénéficie de la bande-son de René-Marc Bini. Pour donner plus de relief à sa musique, le compositeur a mélangé les instruments (clavecin, harpe, kora, flûte baroque, basse de viole, orgue...) afin de conférer à l'ensemble une plus grande gamme d'émotion.

Lieux de tournage

Les Caprices d'un fleuve a été tourné au Sénégal, plus précisément dans le Sine Saloum, le Fouta Toro et Saint-Louis.

Bernard Giraudeau à propos de son personnage

Pour nous éclairer sur son personnage, Bernard Giraudeau dit qu'Il "va vivre l'Afrique comme peu de blancs l'ont vécue à cette époque. Les déchirements, les doutes jalonneront le fleuve de sa vie africaine. Le maître et l'esclave. Le père et la fille. L'homme et la femme. Au temps de "notre" Révolution Française, le héros de cette histoire tente, sur une terre neuve mais déjà bafouée, de faire cet "Eloge de la différence" qu'Albert Jacquard n'écrira que deux siècles plus tard."

Un réalisateur devant et derrière la caméra

Les Caprices d'un fleuve marque la seconde réalisation de l'acteur Bernard Giraudeau après L'Autre. Dans ce film, il joue également le rôle d'un homme exilé par le roi vers l'Afrique de l'Ouest, peu avant la Révolution française.

Une oeuvre hybride

En adaptant librement le Journal du chevalier de Boufflers, Bernard Giraudeau a voulu faire une oeuvre qui soit à la fois un film d'amour déchiré par l'histoire et un film d'aventures dans le désert sur les fleuves et les côtes de la Sénégambie.

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