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Votre avis sur La Disparition d'Alice Creed ?
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Un film original présentant un kidnapping quasiment sous la forme d'un huis clos, qui pourrait vite tourner dans le vide sans les quelques bonnes trouvailles scénaristiques. La réalisation limpide et la caméra souvent en mouvement donnent un rythme plaisant au film avec régulièrement de très bons cadres, mais dans un film avec seulement 3 personnages et 2 ou 3 lieux différents, les acteurs sont plus que jamais essentiels et s'en sortent très bien. Une assez bonne surprise.
bon film, qui joue sur beaucoup coccours ded circonstaces
BeatJunky
Vraiment pas mal ce petit film presque totalement en huis clos. L'intrigue est assez passionnante et les rebondissements viennent à point nommés pour redonner de l'intérêt à l'histoire. Les acteurs sont tous très bons notamment Gemma Aterton. Le scénario n'est pas mal non plus, ça se suit vraiment bien.... Je le conseille...
Un polar très classique mais qui parvient sans grande difficulté à retenir l'attention grâce à un refus du spectaculaire facile et à des comédiens d'une belle implication.
Très bon huit clos, qui réserve son lot de surprises, la première étant de nous dévoiler la préparation de l'enlèvement, ce qui se fait peu au cinéma, il faut bien le dire. L'histoire utilise quelques bonnes idées, qu'on ne voit pas venir, car vu le sujet du film, on s'attend à un scénario classique. Il y a tout de même une sacrée "boulette" qui m'a un peu ruiné la fin (le "je réussis à disparaître alors que l'autre ne m'a pas quitté des yeux" dans la forêt est très moyen). En ce qui concerne le casting, les acteurs fonctionnent très bien ensemble, Gemma Artenton s'en sort très bien dans un rôle pas facile. C'est une actrice à suivre.
Parfois, on a d'excellentes surprises au cinéma. La Disparition d'Alice Creed en fait définitivement partie. C'est typiquement le genre de film qu'on se décide à voir presque uniquement parce qu'on apprécie les interprètes (Gemma Arterton, Eddie Marsan et Martin Compston) et parce que les réalisateurs anglais ont le chic pour nous pondre comme nuls autres un petit film, à petit budget, qui sort dans un petit nombre de salles mais qui s'avère être un quasi chef d'œuvre.
Le film commence de façon très brute par une scène d'introduction de 10 minutes sans aucun dialogue (seule une simple réplique sort de nulle part) mais qui paradoxalement est incroyablement riche en informations. On y voit les deux hommes (Eddie Marsan et Martin Compston) acheter du gros matériel de bricolage et s'attaquer à la transformation radicale d'un appartement en ce qui semble être... une cellule. Avec isolation phonique et quadruples verrous, évidemment. Puis une fois fin prêts, le deux kidnappeurs passent à l'action : l'enlèvement d'Alice Creed (Gemma Arterton). Là-encore, alors que l'on n'a toujours pas entendu le moindre dialogue, le réalisateur fait preuve d'une extrême originalité dans le montage : l'enlèvement, en soit, ne va durer que quelques secondes, composées de plans d'insert subtilement choisi pour revenir dans la chambre où les malfaiteurs prennent leur victime en photo pour demander une rançon.
Voilà, en quelques minutes, uniquement avec ces images, J Blakeson a réussi à vous posez clairement une situation complexe, où les rapports de force entre les différents protagonistes semble bien établis. Après quoi, le film suit son cours et nous, le plan des kidnappeurs.
Lire la suite sur http://bj-mat.blogs.allocine.fr/bj-mat-267601-critique_en_avant_premiere__la_disparition_dalice_creed__par_hyacinther.htm
Le film commence de façon très brute par une scène d'introduction de 10 minutes sans aucun dialogue (seule une simple réplique sort de nulle part) mais qui paradoxalement est incroyablement riche en informations. On y voit les deux hommes (Eddie Marsan et Martin Compston) acheter du gros matériel de bricolage et s'attaquer à la transformation radicale d'un appartement en ce qui semble être... une cellule. Avec isolation phonique et quadruples verrous, évidemment. Puis une fois fin prêts, le deux kidnappeurs passent à l'action : l'enlèvement d'Alice Creed (Gemma Arterton). Là-encore, alors que l'on n'a toujours pas entendu le moindre dialogue, le réalisateur fait preuve d'une extrême originalité dans le montage : l'enlèvement, en soit, ne va durer que quelques secondes, composées de plans d'insert subtilement choisi pour revenir dans la chambre où les malfaiteurs prennent leur victime en photo pour demander une rançon.
Voilà, en quelques minutes, uniquement avec ces images, J Blakeson a réussi à vous posez clairement une situation complexe, où les rapports de force entre les différents protagonistes semble bien établis. Après quoi, le film suit son cours et nous, le plan des kidnappeurs.
Lire la suite sur http://bj-mat.blogs.allocine.fr/bj-mat-267601-critique_en_avant_premiere__la_disparition_dalice_creed__par_hyacinther.htm
Des acteurs crédibles, mais un scénario très pauvre qui ne surpasse que très légèrement les téléfilms du dimanche après midi... Le film se déroule sans surprises, tout est extrêmement prévisible même si la fin est une petite exception.
Difficile de faire plus british dans ce film de kidnapping ou la victime fait preuve d'une rouerie réjouissante pour finalement blouser deux malfrats aussi bêtes que méchants. Par un savant mélange d'angoisse et d'humour au second degré, ce jeune réalisateur pétri de talent parvient à nous faire oublier le peu de moyens dont il disposait, et tire un parti formidable de comédiens plus que prometteurs. La bonne surprise de la semaine.
Un thriller qui sort un peu de l'ordinaire. Un peu trop épuré à mon gout, mais paradoxalement c'est aussi ce qui fait sa qualité (j'aurais aimé qu'il soit plus long, avec encore plus de rebondissements, et encore plus de bonnes idées). Casting très restreint (3 personnages dans tout le film), avec de bons acteurs (principalement Martin Compston, qui me fait penser à un mélange entre Edward Norton et Ethan Hawke). Le scénario est bien ficelé dans sa grande majorité, mais il reste quelques petits clichés (ou plutôt manque d’originalité). La réalisation est très (trop ?) clean. Très bon film !
Superbe !... je m'attendais à du lourd, et je n'ai pas été déçu. Ce qui m'intrigue le plus, c'est de savoir que cette jeune actrice de 24 ans s'arrêtera ??? Elle est absolument partout, dans les gros blockbusters, les grands festivals et les meilleurs films indépendants. Gemma Arterton... Chapeau !...
Sudhir
La prestation de la magnétique Arterton ajoute à ce huit clos du charme...Une petite bouffée d'indépendance dans les productions USA qui mérite notre kidnapping.
TTNOUGAT
Attention :âmes sensibles, s’abstenir. Ce film vous prend à la gorge et ne vous lâche plus. C’est le cinéma coup de poing permanent. De ce coté, il mériterait sans doute une note maximale mais le cinéma ,le grand , c’est autre chose et on ne peut donner 4 * sous prétexte que on en a eu pour le double ou le triple de son argent. Ce thriller ,on ne peut l’appeler qu’ainsi ,est l’exemple même du huit clos à trois parfois insupportable à vivre pour certaines spectatrices ,il pourrait d’ailleurs se jouer dans un théâtre
si l’héroïne était capable de tenir son rôle chaque soir. ;;ce qui me semble improbable. C’est sur elle en tous cas que repose toute notre attention, elle est excellente et plus que méritante pour accepter d’être traitée ainsi devant les caméras. Je n’avais jamais vu cela. C’est pourtant sur elle que les limites du film apparaissent car nous sommes au bord du fantastique malgré toutes les précautions prises par le réalisateur. Entre le réalisme crédible et l’imaginaire la limite est faible et il saute parfois aux yeux que le personnage d’Alice est parois irrecevable intellectuellement …Il y a plusieurs femmes en elle. On n’est pas dans le sujet des « trois visages d’Eve » de Nunally Johnson qui lui joue cartes sur tables. Ce fait m’a énormément gêné avec aussi la présence permanente du mal et le remplacement absolu d’amour par le désir…La mise en scène elle, étant parfaitement adaptée au sujet traité, je mettrais bien 3 * mais ne voulant pas cautionner un tel spectacle je reste dans l’indécision ;
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si l’héroïne était capable de tenir son rôle chaque soir. ;;ce qui me semble improbable. C’est sur elle en tous cas que repose toute notre attention, elle est excellente et plus que méritante pour accepter d’être traitée ainsi devant les caméras. Je n’avais jamais vu cela. C’est pourtant sur elle que les limites du film apparaissent car nous sommes au bord du fantastique malgré toutes les précautions prises par le réalisateur. Entre le réalisme crédible et l’imaginaire la limite est faible et il saute parfois aux yeux que le personnage d’Alice est parois irrecevable intellectuellement …Il y a plusieurs femmes en elle. On n’est pas dans le sujet des « trois visages d’Eve » de Nunally Johnson qui lui joue cartes sur tables. Ce fait m’a énormément gêné avec aussi la présence permanente du mal et le remplacement absolu d’amour par le désir…La mise en scène elle, étant parfaitement adaptée au sujet traité, je mettrais bien 3 * mais ne voulant pas cautionner un tel spectacle je reste dans l’indécision ;
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Un bon petit thriller qui se laisse suivre. Je trouve que le suspens n'est pas assez présent et que la tension qu'essaye de dégager le film frôle le niveau 0. Cependant, il faut quand même souligner les performances de ces 3 acteurs (Arterton, Marsan et Compston), vraiment trés bonnes. Pour le reste, la réalisation est correcte mais vraiment, que c'est dommage que la tension du film soit si basse.
framboise32
un thriller incongru qui nous tient en haleine tout au long du film ... des rebondissements imprévisibles... la jeune actrice est parfaite
Je pige pas pourquoi ce film à d'aussi bonne critique spectateurs!!! C'est pas une daube mais pas loin quand même... Le point fort est le casting, le problème du film c'est qu'il est à la fois très drôle alors que la stuation du personnage ne l'est pas la faute au dialogue, ça fonctionne pour certrains film ce mélange mais là non!!!
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