Derniers Avis sur Carnage chez les Puppets

Franchement quelle déception....nul nul nul....et pourtant j'adore le casting. C'est cru, ça ne parle que de ça...et c'est même pas drôle et pourtant j'ai beaucoup de second degré et humour noir.
je n'ai même pas pu aller au bout du film.

Un duo de flic plutôt hors du commun et pour le coup, c'est réussi.
C'est marrant, l'intrigue est bonne et les marionnettistes implacables

Ça fait bien longtemps que je n'avais pas autant déliré !! C'est sur qu'il faut avoir un minimum de second degré pour pouvoir apprécier ce film.
En lisant les commentaires des sois disant experts du cinéma, je me rends compte qu'il vaut mieux éviter de lire leurs réactions !! Ils doivent avoir une vie bien morne...
Bref si tu as envie de rire dans un monde complètement loufoque peuplé de marionnettes à base de chaussettes ! Ce film est fait pour toi !

Franchement, je comprends pas ce florilège de critique négative, le film est juste pour un genre cible de publique. Si vous voulez passer un bon moment, prenez quelques bières, de la pizza, une bonne bande de potes qui aime l'humour peu subtile et tout comme moi, vous passerez un bon moment.

Une comédie loufoque, décalée et surtout très drôle. Certes l’humour est gras mais ça fait mouche! Rare sont les gags qui tombent à plats!

Ce film avait tout pour me...déplaire...une actrice que j'apprécie guère et , au vu de la bande-annonce, des dialogues ras les pâquerettes...mais je sais pas mon état a fais que je me suis dis allez tentons peu que être surpris...
Alors oui c'est vulgaire dans l'ensemble mais autant que je le pensais, cela vanne pas mal entre les 2 "acteurs" et puis bon hormis 1-2 scènes "spéciales" cha va vu bien plus gore et vulgaire que cela. C'est pas non plus LE film du mois mais comme j'ai dis je m'attendais tellement à rien que c'est passé!^^
NOTE: 5/10

Bien fait et rigolo, ça m'a fait penser aux feebles, en plus politiquement correct. Voix off du détective façon Mike Hammer, sexe, drogue et deconnade, tout ça dans du coton, ou dans des chaussettes... franchement je n'ai pas compris les critiques. Je n'en espérais pas mieux... autant je ne m'attendais ni aux muppets, ni à du Shakespeare.

Ce film est réservé aux adultes vu son humour en dessous de la ceinture et vulgaire. Le film est très drôle et l'histoire policière est réussie. Le duo Melissa McCarthy et la puppet fonctionne parfaitement.

Tout le positif du film est à chercher dans les brides de thriller du film avec un puppet enquêteur un peu à l'ancienne. L'histoire de meurtre est assez banale, mais elle aurait pu tenir debout si le film avait moins tourner à la comédie. Là est tout le négatif, un bordel dans tous les sens du terme. L'humour grossier et graveleux est celui d'un ado rebelle biberonné au pire du rap. Comment en rire ?

franchement, j'ai adoré. Ce monde parallèle dans lequel l'être humain et la marionnette vive ensembles est bien trouvé. Aucune retenues, on lâche tout, tout est permis. Une sorte de Jackass mais avec des marionnettes. Gros mots, scènes pornographiques entre marionnettes ... le tout bien tourné. Bon scénario, bon acteur, bonne réplique. Non franchement, j'ai adoré et si une suite est envisageable, alors oui.

ENFIN un film dont on se souvient longtemps après, pour une raison simple : il est unique dans sa catégorie ! Planté quelque part entre Roger Rabbit, Sin City et Les cadavres ne portent pas de costard, il raconte les avatars d'un ancien flic devenu détective privé contraint de refaire équipe avec son ancienne collègue.
Avec une petite particularité : le flic en question est une marionnette ! Et fait donc partie d'une minorité foulée aux pieds par des humains racistes et violents. Ce monde est celui de l'apartheid imposé par les humains aux marionnettes ! Du délire de bout en bout !
Pour couronner le tout, ces marionnettes adorent les gros mots, les parties de jambes en l'air, la drogue et tout ce qui permet de déconseiller ce film aux enfants. Ne faites pas attention aux mauvaises notes de certaines critiques, elles sont rédigées par des tristes sires qui ne savent pas passer la vitesse du second degré !

Carnage chez les Puppets aborde la marionnette comme un avatar de ces populations contraintes de vivre en marge de la société, des pauvres aux immigrés, populations qui subissent de plein fouet la précarité de leur condition à grands coups de violences policières, de drogues et autres activités illégales ou amorales. Car derrière la parodie bouffonne et vulgaire – parodie du buddy movie policier, parodie des films de Muppets – se cache un propos politique toujours d’actualité ; et le décalage parodique permet de représenter au sein de la comédie toute une galerie de personnages caricaturaux et caricaturés qui sont des types, qu’il s’agisse des prostituées ou des camés, des agents de l’ordre violents et idiots ou des vedettes de la télévision. Le choix de la marionnette produit un effet contradictoire : il s’empare d’un support réservé aux enfants pour mettre en scène la débauche – comme le faisait Ted, par exemple –, il incarne la débauche pour accentuer le caractère enfantin de ces êtres délurés mais fragiles, une simple attaque de chiens suffisant à démembrer un corps, à vider son contenu. La couleur de leur frimousse équivaut à la couleur des cristaux qu’ils absorbent et qui leur rongent le cerveau. Le film de Brian Henson se saisit donc d’un personnel de nature éducatif pour mettre en scène la corruption, de même que nous quittons les étoiles de Los Angeles pour tomber dans ses bas-fonds, des marchands de pornographie sordides aux ruelles mal famées. Le couple de protagonistes principaux fonctionne sur cette logique de dégradation : Phil Philips est rejeté par le siens et doit subir les humiliations perpétrées par les humains, Connie Edwards, parce qu’admise dans une clinique réservée aux Puppets, a perdu la considération de ses pairs ; ensemble, ils forment une brigade-fantôme contrainte, pour survivre, de démêler des affaires sordides, entre deux punchlines. Car le film, assez drôle, n’y va pas avec le dos de la cuillère. Son humour est sale, viscéral, exploite tout ce qui, d’ordinaire, est exclu : certaines séquences risquent de perturber le spectateur par leur mauvais goût – une scène dans un vidéoclub, une autre dans le bureau du détective privé, obscènes ! – mais participent à cette représentation du bas, à cette esthétique du dévoiement de l’innocence. Malgré une réalisation passe-partout qui échoue à imposer à l’ensemble une véritable patte, Carnage chez les Puppets reste une curiosité audacieuse et détonante, portée par une Melissa McCarthy en grande forme (comme d’habitude !).

Ça n’est vraiment pas bon, cependant j’avais lu tellement de mal de cette comédie que je m’attendais à pire. Après on sent qu’il y a un travail qui a été plus que bâclé. Ce qui dès les premiers instants m’a le plus marqué, est la mauvaise animation des puppets. J’avais l’impression d’être dans une espèce de film amateur bas budgets qui se débrouillait comme il pouvait pour faire bouger les marionnettes. Leur déplacement est plus que laborieux et surtout, il n’y a strictement aucune émotion qui s’en dégage. A l’air du numérique, nous proposer des objets bougeant n’est pas normal. Un petit extra en images de synthèses discrètes aurait donné du caché. Les mauvaises prestations devant la caméra ne sont pas le monopole des puppets, les acteurs humains ne sont vraiment pas bons. Melissa McCarthy en fait des tonnes, c’est épuisant. A aucun moment elle n’est fine, c’est tout en vulgarité. Elle n’est pas drôle du tout et elle contribue en grande partie à plomber le film. J’ai tout de même été content de revoir Joel McHale que j’avais laissé dans la série COMMUNITY. La seule chose qui m’a satisfait était le personnage de Phil Philips. Donner les traits d’un flic à l’ancienne à cette puppets était une bonne idée. Le fait qu’esthétiquement ça soit horrible, empêche de le faire dégager une aura, mais son style oral vient compenser ça. On le sens fatigué tout en étant sans pitié dans ses répliques. Il m’a fait passer quelques bons moments. Ce n’est tout de même pas suffisant pour mettre cette comédie au-dessus de la moyenne.

une certaine originalité ! des bonnes idées, des blagues. bravo pour les designers des "chaussettes" et les marionnettistes.

Film moyen.
Ce que j'ai bien aimé dans ce film c'est le faite que le réalisateur est décidé de mettre dans sont film des peluches pour y construire sa propre histoire.
C'est con mais sympa et pas lourd à regarder.
Ça risque de ne pas plaire à tout le monde, et ce film mérite pas des notes plus élevées.