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    L'Homme qui tua Don Quichotte
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    162 critiques spectateurs

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    JJP
    JJP

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Surréaliste. Superbes images. Conte magnifique. Se laisser porter. Sublime « Angelica » Joana Ribeiro.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Un acteur principal excellent et une histoire folle qui petit à petit nous fait pénétrer l'univers décalé de Terry Gilliam.
    Le temps du film est parfait pour se laisser glisser dans ce scénario terriblement bien maitrisé....comment en serait-il autrement. Brazil est de retour.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 mai 2018
    film rocambolesque qui ne m'a pas attiré
    beaucoup d'erreurs de scénario dans le film
    l'histoire est mal racontée, beaucoup de vulgarité et humour raté.je ne le recommande pas.
    PaulGe G
    PaulGe G

    107 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2018
    malgré la débauche de décors et de costumes, le film ne décolle pas. la prestation d'Adam Driver est désolante, tous les personnages sont des caricatures de caricatures. mais ou est passé la verve et le non sens de Terry. c'est terriblement long et ennuyeux, pas de souffle, la parodie est presque inexistante, on se perd dans des allers et retours incompréhensibles, on se souviendra de ce film pour avoir été un somnifère a grand spectacle.
    FlorenceCsilla E
    FlorenceCsilla E

    3 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2018
    Des ressemblances avec les personnages des films de Kusturica et Indiana Jones.
    Quel bazar !
    L'obstination guide les pas de Terry Gillian et ceux de Don Quichotte.
    you talkin to me
    you talkin to me

    3 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 mai 2018
    Le Don Quichotte de Terry Gilliam est loin d'être un film parfait ou d'une grande originalité sur le plan esthétique, mais c'est justement sa retenue visuelle qui le sauve et rend faisable ce scénario que l'on croyait impossible et maudit. Un peu comme le "Poesia sin Fin" de Jodorowsky (autre grand nom des projets impossibles) l'année dernière, on assiste à un vocabulaire filmique très simple qui alterne des plans d'ensemble et des plans rapprochés d'une façon presque académique. En fait tout le génie est dans le montage. Très vite, l'intersection entre les souvenirs, les hallucinations, les rêves et la réalité rend le déroulement aussi confus qu'envoûtant et nous entraîne dans un récit informe, monstrueux, mais pourtant coulant organiquement comme une vague d'un plan à un autre grâce à des raccords d'une grande fluidité. Et c'est toujours sa simplicité qui le rend vraisemblable, qui nous embarque. L'incohérence apparente avec laquelle se suivent les événements devient lisse, plausible, et nous embarque dans une errance qui rend vraiment justice à la nature originelle du picaresque. Comparé au reste de la filmographie de Gilliam il faut souligner l'économie dont il fait preuve en terme d'effets visuels. Tout le malaise, le farcesque, l'inquiétante étrangeté repose ailleurs que sur les mouvements de caméra: dès le départ le personnage principal joué par Adam Driver est lâche, avide, stupide, profondément antipathique. Il y a un cynisme extrêmement sombre qui se diffuse dans ce film: producteurs corrompus, milliardaires graveleux, réalisateur lâche et vieil homme devenu fou par sa faute, immigrés généreux pourchassés par la police, jeune demoiselle humiliée et livrée à la prostitution. Et c'est par cette amertume, grâce à elle que tout l'idéalisme de l'histoire de Cervantés prend lieu, éclot et flamboie à merveille. C'est parce que le Don Quichotte n'est qu'un fou qui se prend pour Don Quichotte exploité par une petite vieille pour un carnaval miteux que l'aventure prend sens. Ce film est une ode à l'idéalisme dans un monde dévasté, corrompu par l'argent, où plus personne n'a le courage et la folie qu'il faut pour être quelqu'un de bien. Mais plein d'espoir Gilliam patiente vingt ans remonte la pente comme il peut pour dresser un pont vers l'imaginaire et nous inviter, en réalisant un projet impossible, à quitter la lâcheté, et à devenir aussi fou que son Quichotte, aussi fou que lui pour continuer à faire vivre un peu d'humanité dans ce monde de vautours.
    Christoblog
    Christoblog

    818 abonnés 1 666 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2018
    Les spectateurs de L'homme qui tua Don Quichotte peuvent se classer en deux catégories : les grincheux atrabilaires et les rêveurs indulgents.

    Je fais clairement partie du deuxième groupe, tant le film m'a paru facétieux (bien qu'inégal), stimulant intellectuellement et, par moment, impressionnant visuellement.

    Donc, pour résumer, ce n'est pas aussi brillant que La vie de Brian, pas aussi spectaculaire que L'imaginaire du docteur Parnassius, mais c'est diablement plaisant et rythmé.

    Le film propose une réflexion sur le vrai et l'imaginaire, le rêve et la réalité, et nous entraîne dans l'imagination débridée de son auteur. Il a cela d'intéressant qu'on pourra à la fois lui reprocher sa spontanéité et sa complexité, ses approximations (entre autre narratives) et son apparente simplicité, son esthétique glacée et ses facilités comiques.

    Mais au final, son aspect décidé et inabouti rend L'homme qui tua Don Quichotte profondément attachant.
    dominique P.
    dominique P.

    831 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2018
    Il y a des choses que j'ai bien apprécié dans cette histoire et d'autres que je n'ai pas du tout aimé.
    Mais globalement ce film ne m'a pas plu, c'était trop long, trop compliqué, trop kitsch, trop baroque par moments, trop foisonnant.
    Ce n'est pas mon style de films, même si quand même j'ai apprécié quelques éléments.
    Kiwi98
    Kiwi98

    260 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2018
    Outre son aspect fantasque et son allure de capharnaüm cinématographique, la filmographie de Terry Gilliam s’est toujours focalisée sur une thématique particulière, celle de la libération de l’homme par la voie de l’imaginaire. Créateur rocambolesque, l’ex-Monty Python n’a de cesse de filmer des personnages bousculant leurs esprits au-delà de leurs limites, disposant d’une certaine condescendance vis-à-vis de la folie. Et à ce titre, « L’Homme qui tua Don Quichotte » pouvait s’attendre comme son zénith, autant que la simple idée de le regarder nous procure une certaine peur. C’est un fait, on aurait adoré ici contempler l’œuvre ultime de Gilliam, tant l’histoire de ce film a fait de lui un véritable mythe de cinéma. Et cela pose une question : comment être à la hauteur de telles attentes ? Dans le cas de « L’Homme qui tua Don Quichotte », il est pratiquement impossible de regarder le film sereinement, tant il est hanté par vingt-cinq années de poisse et de méchef. Et c’est là que l’on pense au pire : le film peut être grandiose, comme il peut être médiocre, mais ça n’est qu’un film, qui quoi qu’il en soit ne peut égaler son propre mythe.

    Et finalement, on ne peut s’empêcher de ressentir une légère frustration rien qu’en se retrouvant face à ces images matérialisant cet ovni de cinéma. Mais on ne peut également s’empêcher de penser que Gilliam s’en sort, in fine, avec superbe. L’humilité du bougre n’a d’égale que la portée de son délire, à la fois halluciné et hallucinant. Plus que jamais, il fait ce qu’il veut de son spectateur. Il le manipule, lui montrant des choses qu’il ne pensait pas voir, lui laissant ressentir tout l’amour qu’il porte à ce mirage de cinéma. Quelque part, nous aimons « L’Homme qui tua Don Quichotte » parce qu’il s’agit là d’un film réalisé avec un amour incontestable. D’ailleurs, Gilliam n’hésite pas à s’incarner à travers le personnage de Toby, joué par Adam Driver, un jeune réalisateur ayant laissé ses rêves derrière lui pour désormais s’y replonger. À juste titre, le long-métrage se montre passionnant en nous montrant quelques séquences d’une adaptation de « Don Quichotte », que le personnage de Toby a réalisé pour ses études. Et autant le dire d’emblée, ce film à l’air sublime. On aimerait en voir plus tant ces rush tiennent du génie. Cependant, il n’en sera rien, et c’est ainsi que Terry Gilliam se plait à nous frustrer davantage, en nous montrant un film dans le film, ne cessant jamais vraiment de filmer l’invisible en créant le non-film de son mythe.

    Frénétique, « L’Homme qui tua Don Quichotte » est un film possédé par le désir du cinéma, traquant les rêves de son personnage principal, comme ceux de son réalisateur, laissant de coté la réalité. Forcément, Gilliam ne peut s’empêcher de flirter avec la caricature ainsi qu’à l’humour lourdaud et autres moments inégaux. Il met en scène un Don Quichotte immoral, et fait même de cette immoralité le principal propos de son film : la folie est le meilleur argument pour s’offrir la liberté d’importuner en toute impunité. Et c’est là que « L’Homme qui tua Don Quichotte » nous laisse savourer sa totale réussite. Le film n’est pas à la hauteur de son mythe. Il n’est pas benoitement grandiose, ni magistralement médiocre, mais simple, humble, et fidèle à l’esprit de son auteur. C’est un film sincère, laissant l’honneur couler dans ses veines, et la cruauté de sa réalité s’accrocher à ses rêves. Parce qu’aucun film n’égale un fantasme, « L’Homme qui tua Don Quichotte » n’est pas fait d’illusions, mais de chimères. Et d’idées aussi, beaucoup d’idées…
    lenny d
    lenny d

    42 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2018
    Un film trop décousu. Le ton décalé est la mais sans humour ni ligne directrice on se perd. Je regrette également le manque de musique malgré de belles images et un Adam Driver impliqué.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 mai 2018
    Une première partie assez géniale avec un mélange de réel et d imaginaire qui déstabilise et beaucoup d humour puis une seconde partie longue...comme brazil
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    75 abonnés 602 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2018
    Un film assez inégal, délirant, déjanté et totalement surréaliste. Le film maudit de Terry Gilliam enfin à l'écran. Inclassable.
    nessim2010
    nessim2010

    35 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2018
    L’homme qui tua Don Quichotte est connu pour être un film maudis. Entre le décès des acteurs, les catastrophes naturelles qui empêchent le tournage, le procès pour la diffusion du film, le soucis à Cannes et dernièrement l’avc de Terry Gilliam, il a fallu 25 ans pour que ce film sorte. Et rien que pour cette raison, c’est un bon point.
    Terry Gilliam s’est battu pour faire ce film et il n’a jamais abandonné le projet même si ça a du lui prendre 25 ans.

    L’homme qui tua Don Quichotte est au premier regard assez original. L’idée de base est originale (un réalisateur cherche un homme pour jouer Don Quixote et trouve un homme qui se prend pour Don Quixote).

    Puis au second regard, le film est drôle. Jonathan Pryce est très sympathique, et Adam Driver joue son rôle à fond est sera excellent tout au long du film (que ce soit en réalisateur maniaco-dépressif en passant par le blasé de tout, puis l’homme énervé et énervant, pour en gentilhomme pour finir en véritable dingue... il passe par tout les rôles et ne se plante jamais).

    Puis, au troisième regard, le film est compliqué. On ne sais plus vraiment si on n’est dans la fiction ou la réalité. On ne sais pas si on est dans un rêve ou dans un souvenir. Avec un vrai Don Quixote qui vit de vrais aventures avec de vrais situations et un Toby qui veut réaliser son film. Dans une scène, On se croit vraiment dans une comédie, une trentaine de personnages joue un film et c’est précisé et pourtant il n’y a pas une caméra, on a vraiment l’impression que c’est réel.

    Enfin, au quatrième regard, ce film est poétique. Je me suis rendu compte à la dernière partie (les dernières 45 minutes) que le film était beau. Que ce soit par rapport au décors (les décors sont vraiment magnifiques, un côté très moyen-âge mélangé a un peu de contemporain). Que ce soit par rapport aux acteurs. Jonathan Pryce est excellent pour un homme de son âge, je l’ai dit juste avant mais Adam Driver est très bon pour le rôle de Toby et de Sancho et Olga kurylenko se débrouille bien mais seulement vers la fin du film mais c’est aussi Joana Ribeiro (actrice encore inconnu mais plus pour longtemps) qui a du mal au début mais qui se débrouille de mieux en mieux tout au long du film. Ou que ce soit pour le mélange fiction-réalité et parfois les deux ensemble. Et la fin est tellement réussi, je ne vais pas aller dans les détails pour ne pas le gâcher aux autres mais c’est une très belle histoire.

    Il y a encore certaines choses que je n’ai pas comprise et j’ai besoin de le revoir dans quelques mois pour avoir un meilleur avis mais aujourd’hui je peux dire que l’homme qui tua Don Quichotte est très bon et ces 25 ans de travail sont mérités. Bravo !
    Matthieu W
    Matthieu W

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mai 2018
    Cela m'hérisse les poils de voir tant de mauvaises notes et de mauvaises critiques pour un film qui est absolument incroyable , une pièce de collection , une richesse d'idées, un puit d'émotions , et un génie de réalisation, c'est un oeuvre est inclassable et il y aura un avant et un après ce fillm : aller le voir !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 mai 2018
    C'est absolument magnifique! C'est un Terry Gilliam a 200%, on y retrouve toute l'essence de son style et de son humour Monty Pythonesque ! Ces 29 années de réalisation ont portés ses fruits ! La réalisation est aussi transcendente que celle de Brazil et de L'armée de douzes singes, Adam Driver est parfait, Jonathan Pryce est excellent.... Ce film est la définition même d'une bonne adaptation : loin du copier-coller et proche de l'idée même du livre. Ca me tue de voir que les salles ne se remplissent pas même avec un tel nom sur l'affiche ! C'est signé Terry Gilliam ! ALLEZ LE VOIR!!
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