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White Fingers
15 abonnés
1 237 critiques
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1,5
Publiée le 3 avril 2023
Le seul intérêt de ce film est la présence de Klaus Kinski qui, malheureusement, n’a qu’un rôle obscur de sombre manipulateur ayant des désirs de vengeance. « Black Killer » est un western spaghetti insipide et totalement caricatural. Prenez les méchants, les frères O’Hara (nom irlandais), qui ressemblent à des « hippies » mexicains : l’un habillé en combi rouge, l’autre en combi verte. Le réalisateur, Carlo Croccolo (alias Lucky Moore, un pseudo de star du porno) filme avec beaucoup de complaisance les corps dénudés des actrices (accessoirement violentées ou violées). Le film souffre également de problèmes de rythme, avec des scènes d'action qui s'étirent parfois trop longtemps, tandis que les autres parties du film manquent de tension dramatique. C’est creux, plat, indigent, pénible, ridicule… même pas de second degré. Carlo Croccolo réalise un film ennuyeux au possible. WHITE FINGERS, votre Marshal de l’Ouest. Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
4 618 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 28 avril 2021
Black Killer n'est pas vraiment un bon film. Ce que je préfère dans ce type de film, c'est leur valeur divertissante et c'est là qu'il échoue malheureusement. Il est susceptible d'être la cible de beaucoup de gens en raison du fait qu'il met en vedette Klaus Kinski mais il offre une mauvaise performance au milieu d'un film quelque peu ennuyeux. L'intrigue part dans tous les sens mais semble avoir un rapport avec le personnage d'avocat de Kinski (avec des livres dissimulant des armes) et une bande de Mexicains...
Autant le dire tout de suite ce n’est pas ce que le western spaghetti a produit de meilleur. Ce Black Killer est un pur film d’exploitation qui semble avoir été balancé en trois jours. Avec sa bande de mexicains qui ont plus l’air d avoir été baptisé dans la plaine Pô et qui change de couleur selon les scènes et l’humeur de la maquilleuse, son « Indienne » dont la finesse de l’acting n’égale pas la courbure de ses fesses. On a aussi un monteur qui devait faire plusieurs boulots en même temps et qui se mélange souvent les bobines, un scénario qui semble écrit au fur et à mesure que le film avance et un Klaus Kinski qui semble aussi concerné que Patrick Balkany quand il rempli sa feuille d’impôt. Il y a quelques bonnes idées de mise en scène ou d’ambiance (les livres de l’avocat, les bretelles couteaux d’un des bandits) mais pas de quoi sauver un film bâclé et assez méprisable car méprisant.
Ni Klaus Kinski ni la bande musicale ne parviennent à sauver ce navet. Certaines scènes sont franchement grotesques. On est bien loin des chefs d'oeuvre du western spaghetti de Sergio Leone et Corbucci. Tout est bâclé, les décors comme les costumes et la mise en scène.
Malgré peu de moyen comme beaucoup de westerns spaghetti, le film est original avec un très bon Klaus Kinski et une musique remarquable de Daniele Patucchi.
Très mauvais. Réalisation d'amateur, acteurs approximatifs, combats bâclés, maquillages de mardi gras, montage effectué à la va-vite... Kinski ne sauve pas le truc, il fait ce qu'il peut.
Le western spaghetti bien essoufflé. Les ingrédients, l’esprit du genre sont là, mais plombés par une réalisation maladroite et par le ridicule de certaines scènes. Il est presque superflu de signaler que la reconstitution de l’Ouest n’a pas une once de crédibilité. Il y a un mélange curieux de quasi-cucuteries (avec les « gentils » personnages) et de noirceurs (sadisme, cynisme…) propres au genre. Le plus intéressant reste le personnage joué par Klaus Kinski, intrigant, assez singulier, plutôt bien interprété (le cher Klaus n‘en fait pas trop). Sinon ça reste simplement une curiosité pour les mordus du spaghetti (j’en suis).
Un bon western spaghetti, des bonnes idées, Kinski est trés bien en manipulateur, y'a des maladresses quand même, à voir pour la fin...à vos lecteurs DVD...