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    Visage
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    20 critiques spectateurs

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    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 480 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 septembre 2020
    Le film entier Visage est malheureusement une boîte noire qui nécessite touts les arrière plans appropriés pour fournir tout type de compréhension. Le genre de film où que tous critique de cinéma qui se respecte n'oserait jamais dire qu'il n'a pas compris les références et le symbolisme lui donnant ainsi un cachet intellectuel pour coller ensemble les scènes. Personnellement je me sentais perdu le message global restait une énigme non aidé par mon attention qui tombait constamment dans et hors du film. En tant que tel je peux parfaitement comprendre certaines personnes qui trouvent que le visionnage de ce film est un plaisir. Mais dans l'ensemble je suis fermement convaincu que les films devraient être stimulants, ils ne devraient pas obliger le public à s'efforcer de rester éveillé pendant le qu'on les regarde. En tant que médium cinématographique il doit être engageant et pas une corvée douloureuse. Car l'art pur et la compétence d'un réalisateur ne suffisent pas pour moi...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 décembre 2014
    Si vous vous plaisez dans une représentation cinématographique où l'aventure côtoie un érotisme à peine voilé, si votre cœur palpite au son d'une musique tonitruante dans une cavalcade d'actions au beau milieu des explosions d'un monde au main des aliénés, si une certaine romance dont les propos teintés de cet humour délicat et raffiné vous fait frémir, si il vous faut de ce cinéma politique et social qui alimentera votre verve et les fleurs de la compassion en fustigeant cet égoïsme qui ne connaît d'autre joie que jouir, ne courrez pas immédiatement voir "Visage", vous risqueriez de vous essouffler et de décevoir l'attente.

    Car sans courir ou en marchant vous serez à même de comprendre par le seul biais de la sagesse que cela fait beaucoup de si pour un seul individu signifiant. Avouez de par l'usage de la raison que pour un spectateur c'est un conditionnement un peu pesant autant de si réunis sur la table de dissection de nos goûts esthétiques.

    Mais en revanche et néanmoins sans passer par le si ni le sinon et dans une pirouette vertigineuse vous pourriez atteindre une surprise, une expérience cinématographique propre à déconditionner ces automatismes du corps et de l'esprit dont se gavent nos végétaux adorateurs de l'excitation lumineuse en couleur.

    Il est vrai que l'expérience est un terme bien neutre pour recouvrir tout un tas de bidouilles plus ou moins suspectes. Pour tant quel mot employer : cinéma expérimental, lucidité onirique, architecture intérieure ouverte ... Moins de mots et place à l'image.

    L'image est son propre miroir. Salomé se met en avant (pro stature) et vous l'aimez. Cet effeuillage technique, onirique, lucide et novateur contient quelques perles en pure lévitation dans une psyché ravie encore par l'amour. Il ou Elle est comme les traces verticales d'un code barre qui ondulerait devant des lecteurs optiques enchantés. Il est de ces plans d'une sur-réalité ancrée dans la réalité ordinaire, dans ce miracle classique de la vie quotidienne. Le modeste prix d'une place de cinéma pour voir un tableau de Magritte animé et vivant. L'image est assez grande pour une interaction très privée, impudique et révélatrice dans la conscience même de chaque spectateur. Une percée et des trouvailles qui demain seront copiées par nos premiers spectateurs, vous savez ceux des si nombreux si qui seront toujours en train de chercher à décrypter dans un système régénéré ce que peut bien être une matrice cinématographique signifiante.

    David
    kray
    kray

    49 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 octobre 2011
    Visage, film d'auteur des plus nul, distille un ennui assez époustouflant , entre son scénario totalement abscons pour ne pas dire incompréhensible avec ses nombreuses séquences semblant n'avoir aucun liens narratifs, et son tempo infernal ( je plaisante bien sur...) on ne sait plus ou donner de la tête. Véritable honte , ce genre de film discrédite totalement le film d'auteur .
    Didier Baillet
    Didier Baillet

    28 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 septembre 2011
    C'est long, c'est lent, c'est incompréhensible. Il y a certes de belles images mais cela ne donne pas plus d'intérêt à un film ésotérique. Déçu.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 avril 2011
    Ce film est dure a suivre avec ses changement soudain d'époque et d'endroit. Si je me fierais juste a ce film pour connaître l'histoire de Gengis khan, je dirais que c'est ¨un débile léger entouré d'une troupe de débile profonds¨.L'étoile que je lui donne est seulement pour les serieux ou le ridicule n'a vraiment aucune limite.
    thalidae77
    thalidae77

    42 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 décembre 2010
    Un film plus que pourri qui se veut psychotique et insaisissable et qui parvient finalement à dégouter! aucun dialogue pendant 45', des séquences archi confuses, bref une bonne grosse daube pour laquelle je me suis forcée à regarder 45 sur les 2h15!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 juillet 2010
    D'un niveau de nullissisme rarement obtenu.
    Pas d'histoire, pas de dialogue, que des plans interminable ou l'enchainnement est dificile à comprendre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 juillet 2010
    Film très bizarre ; je n'ai pas tout compris. En même temps, le cinéaste ne nous aide pas vraiment pour que l'on comprenne quoi que ce soit ; il ne donne pas d'indices, pas de pistes (ou alors minimes). Il n'y a pas d'histoire. Le film, s'il y a film, réside dans l'esthétique et l'hommage aux grands de cet art, le septième art : Truffaut Pasolini, Rossellini, Orson Welles, Mizoguchi, Carl Theodor Dreyer et on en passe … Pas de dialogues, pas d'histoire ; le vide. Un vide comblé par quelques "visages" tel Jean Pierre Léaud, Fanny Ardent, Jeanne Moreau, ou Nathalie Baye, quelques vestiges de la Nouvelle Vague. Mais une jeune actrice (Laetitia Casta) qui veut faire son film, malgré tout. Le film pousserait-il l'hommage jusqu'à dire que ces "visages" ont tout fait, qu'il n'y a plus rien à faire si ce n'est de les filmer, de les mettre face au miroir, face à leur gloire mise en abyme ? Ou bien pousserait-il la «leçon» des grands maitres à son apogée, c'est à dire, mettre le cinéma au plus près de la réalité du temps (sic), avec toujours ce côté poétique ? Peut-être les deux. En tout cas, le film fait son petit bonhomme de chemin, juste par la beauté de ses images silencieuses. Je n'ai pas tout compris, mais n'est-ce pas là l'objectif du cinéaste ? Comme Godard et son manifeste A bout de souffle innovait en son temps, il y a 50 ans, Tsai Ming-liang propose-t-il un nouveau chemin à explorer pour le cinéma de demain ? Le film serait passéiste (par l'hommage) et futuriste (par l'innovation) pour mieux faire l'éloge de la réalité du temps présent.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 juin 2010
    On ne peut que s'incliner devant la discipline (mantra, tantra, Kundalinî ?) de ceux qui ont été au bout du film.
    Maqroll
    Maqroll

    156 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2011
    Un film poétique, très difficile, parfois même totalement abscons, tourné en France et constituant une espèce d’hommage à Ttruffaut via notamment la présence de Jean-Pierre Léaud. La séquence finale avec l’élan est énigmatique et finit par dégager une force comique, comme pour soulager une tension trop longtemps contenue. Un film dont je suis sorti quelque peu perplexe en me demandant si le cinéaste s’était payé ma tête ou s’il était trop subtil pour ma compréhension… N’étant pas arrivé à trancher, même après mûre réflexion, je m’en tiens prudemment (et lâchement !) à une appréciation vague et à une note moyenne…
    Gagor
    Gagor

    26 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 novembre 2009
    Il faut être psychologiquement préparé, pour voir ces Visages... J'avais regardé la bande-annonce, qui nous présentait Laetitia Casta chantant dans une chorégraphie quelque peu intriguante. Fanny Ardant, Léaud, Baye, Moreau... Bref, un projet plutôt alléchant. Je n'avais sinon pas entendu parler de ce film (tu m'étonnes), je ne connaissais donc ni l'avis des spectateurs, ni de la presse. Comme on dit, j'y suis allé à l'aveuglette. Et je me suis emmerdé, mais alors... vous n'imaginez même pas. S'il y a un scénario (je l'ai cherché pendant 2h20), il est très très bien caché derrière 15 symboles incompréhensibles par minute. C'est une mise bout-à-bout d'images sans aucun sens, avec des scènes interminables (Fanny Ardant doit bien fumer un paquet de cigarettes en temps réel). Et au final deux heures complètement risibles, absolument endormantes, ou on apprend qu'un canari blessé est en fait un grand cinéaste... Bref, un ennui comme je n'en ai jamais connu au cinéma. Ah! Si! Le grand silence, en 2006, 3h à suivre la vie silencieuse de moines dans un monastère. Encore plus passionnant dans sa nullité que Visages. D'ailleurs, j'entendais à propos de Laetitia Casta et se beauté, que c'étaient les seuls atouts du film. Encore une fois, je vais m'opposer, mais franchement, qu'est-ce qu'elle a de beau, Laetitia Casta?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 novembre 2009
    2h20 de plans séquences et ou fixes interminables, qui permettent à Fanny Ardant de croquer des pommes pendant 10 minutes, et à Laetitia Casta se précipiter sur toutes les vitres avec son rouleau d'adhésif pour les obturer, ou tartiner son partenaire de sauce tomate c'est d'un ennui sans nom J'ai quand même tenu jusqu'à la fin du film alors que nombre de spectateurs ont quitté la salle. Malheureusement pour moi j'ai raté Jeanne Moreau et Nathalie Baye car j'avoue avoir piqué du nez pendant un petit moment. Que sont venus faire Ardant, Léaud, Amalric dans un tel naufrage !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 novembre 2009
    Ce film prend le prétexte d'une commande du Louvre pour se livrer à un puzzle sensé recomposer un une mise en scène picturale que l'on serait sensé voir au moins à la fin du film dans les galeries,seul intérêt à ne pas quitter la salle, hélas.
    Ainsi de nombreux tableaux plan séquences méthaphoriques d'une lenteur sans égal finissent par procurer un ennui phénoménal. Exercice stylistique vain et coûteux pour le Louvre
    Thierry M
    Thierry M

    158 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 novembre 2009
    2 h20 de conneries sans interets.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 novembre 2009
    L’érotisme glacial de l’irrésistible monstre Salomé, animale aux tentaculaires mains féminines effleurant le corps de Laetitia Casta aux sons de mugissements rauques et métalliques, fait perdre la tête à saint Jean Baptiste dans un baiser d’une extrême tendresse, face contre face sous un voile d’étoiles qui ne masque en rien la douleur de la jeune femme. A l’instar de Lewis Carroll, Tsai Ming-Liang plonge dans un rêve féerique en WonderLouvre sous terre plus proche de sa mère disparue. Entre Taipei inondé de chagrin et la demi-lune des Tuileries enneigées, Laetitia chante Historia de un Amor avec une sensualité sublimée jusque dans la voix. Tout n’est qu’illusion ! De l’autre côté du miroir, l’actrice obscurcit calligraphiquement le cadre avec le noir papier collant de ses névroses. La déchirure est irritante quand elle ne supporte plus son propre reflet jusqu’au moment où le clap d’un briquet ou d’une trappe secrète rallume l’amour, celui du cinéma de Truffaut.
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