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P. Verhoeven a l’habitude de faire du racolage et d’en jouer en même temps, pour dénuder ce qui s’occulte derrière. Avec Showgirls, on attend vraiment le dernier moment pour y arriver, avec la révélation du sadisme d ‘une vedette de charme, du passé de l’héroïne. Auparavant on se sera vu infliger complaisamment de l’arrivisme sans vergogne, du sex-business bien trash et aussi, quand même des shows dansés très bien mis en scène et fort agréables à regarder. Un Verhoeven où il démontre toujours son talent et son intelligence, mais quand même un tant soit peu nauséeux…
Le pire film de Paul Verhoeven,pourquoi?:
Parce que l'histoire est basique et manque totalement de peps.On a juste quelques bon moment grace à la très belle Elizabeth Berkley.
Parce que l'histoire est basique et manque totalement de peps.On a juste quelques bon moment grace à la très belle Elizabeth Berkley.
Elevé au statut de film culte par certains, détesté par d'autres, Showgirls a fait couler beaucoup d'encre. Malgré un scénario assez bancal, ce film a une atmosphère unique: sexy, étincelant, provocant, sordide par moments, on se surprend à le regarder sans voir le temps passer.
Paul Verhoeven est un réalisateur étonnant, que je soupçonne même d'être un peu perché. Enfin bref, Showgirls avait fait parler de lui car il était provocant, moi je pense surtout que c'est un film érotique sans histoire qui tourne au vulgaire et blindé de cliché. Mais il est peut-être digne d'interet, ne serait-ce parce qu'il serait parait-il le plus digne représentant du genre sexploitation. Basic Instinct est pas mal dans le genre aussi (tient c'est de Verhoeven aussi décidément).
Un film décevant qui aborde pourtant des sujets intéressants, tels que la femme marchandise et le monde de la danse et des paillettes. Le souci c'est surtout le scénario pas terrible, parfois confus. Du nichon toutes les deux scènes, n'a pas toujours fait un bon film, la preuve. Les chorégraphies sont intéressantes, mais assez mal interprétées par l'héroïne principale. Elle est trop mécanique, rigide, sans grace, et a les fesses terrblement plates et creuses sur les cotés pour une "danseuse". G.Gershon en revanche c'est tout autre chose, niveau danse et surtout plastique et charme. Film raté, peu crédible, rempli de clichés.
Ennuyeux au possible, tout fait faux, et c'est surjoué. Le seul côté sympathique, c'est la dance et encore faut vraiment en vouloir...
Considéré comme un des pires films de l'histoire du cinéma (z'ont pas du en voir beaucoup, les cocos !), "Showgirls" fut taxé, à sa sortie, d'outrancier, de vulgaire, de kitsch, de déprimant, de monument du mauvais goût... Je ne vais pas vous mentir, le film est tout cela et bien plus encore. Mais pour le coup, Paul Verhoeven est ici en adéquation totale avec son sujet, Las Vegas n'étant pas surnommée la cité du vice pour rien. Tournée comme un porno de l'époque (esthétique rococo, latex, tout y passe), cette version ultra-sexuelle et perverse des "Chaussons rouges" risque de coller de sérieuses crises d'urticaire à la majorité des spectateurs et je le comprend tout à fait, le film étant de plus bien inférieur aux autres métrages de Verhoeven (quoique cela vaut bien "Hollow Man"). Mais il ne mérite aucunement sa désastreuse réputation, ne serais-ce que pour l'abandon total de son actrice principale, pour le jusqu'au-boutisme du créateur de "Robocop" et pour la relation sadomasochiste de ses deux héroïnes.
Rien que la scène de lap dance, ça vaut le coup d'oeil ; )
Film qui tend vers l'erotico pornographie car on doit l'avouer on ne regarde pa ce film pour l'histoire mais plutot pour les plastiques de reves des actrices. Pour faire simples bcp de nu une histoire sur le carrierisme et les sales coup ds se metier qu'est le spectacles, pour etre en haut de l'affiche. Bref un bon film qui est bien tournée et bien interpreter, a voir.
Un excellent Verhoeven de plus, film tout à fait compris de travers malheureusement, l'actrice principale est incroyable.
Showgirls est quelque chose comme un "bon mauvais film". Caricatural, simpliste, trivial, voyeur, putassier, jusqu'au ridicule. Et pourtant, on mate. Oui, c'est le mot.
Après avoir réalisé Basic Instinct quatre ans plus tôt, Paul Verhoeven ne quitte pas l'élément qui a fait le succès de son oeuvre la plus célèbre, c'est-à-dire la provocation de filmer le sexe dans une posture purement formelle, quitte à ce qu'elle paraisse vulgaire, sale et malsaine. Showgirls a deux facettes bien distinctes. La première, probablement la plus simple, observe le spectacle comme un produit qui renvoie directement à son image superficielle, comme l'éloge de la jouissance et du plaisir charnel, sans complexe, dénué de toute contrainte morale. Ainsi, il frôle la scandaleuse réputation de montrer l'inutilité. Pourtant, appronfondir sa vision est essentielle, surtout si l'on reconnaît les talents immenses du cinéaste. Assurément, l'auteur souhaite déclencher chez son public un désir d'excitation pour le remettre radicalement en question. Le début de la projection s'ouvre sur une route menant à Las Vegas. Dans ce désert humain, une femme débarque, au nom de Nomi Malone, dont la performance d'Elizabeth Berkley est à souligner, et décide de vivre une nouvelle vie dans cette ville. Déjà, le film utilise l'allégorie rabâchée du "rêve américain". Paul Verhoeven l'examine avec son cynisme mordant, mais un pessimisme bien moins courant. Le dernier adjectif s'exprime dans le personnage principal de son histoire. Au fur et à mesure de son périple, Nomi Malone découvre que le monde dans lequel elle vit est manipulateur. Sans en prendre elle-même conscience, elle change, malgré les conseils de sa meilleure amie qui pense comprendre la perversité de ce milieu. Mais le pessimisme cynique du réalisateur s'exprime dans la séquence où celle-ci rencontre la star qu'elle a toujours souhaité rencontrer, mais se fait horriblement violer. On pourrait même en rire. Dans cet univers artificiel qu'est Las Vegas, que ce soit sa population ou ses loisirs, c'est un endroit qui personnifie la solitude et la perdition des êtres. C'est, dans un certain sens, l'humanité de Showgirls.
La petite de "sauvée par le gong" dans un thriller érotique. Elle s'en sort bien, meme si ce film n'a pas été un tremplin pour sa carrière. Moi j'aime, sexe, violence et paillettes, le tout dans le mythique Las Vegas. Bon, le scénario est un peu maigre, mais c'est pas pour le scénario qu'on va voir ce film, non?
Nomi arrive à Vegas pour devenir danseuse. Elle débute dans une boîte de strip-tease, et son talent associé à son manque de pudeur en font rapidement une star dans ce domaine. Plongée au coeur des grands shows, enivrée par sa soif de gloire, elle gravit les échelons un par un. Pourra-elle réussir sans y perdre son identité ?
Très bon film signé paul verhoeven!
Très bon film signé paul verhoeven!
De jolies scènes, mais limite racoleur par moment alors que ce n'est pas forcément justifié.
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