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Alexarod
Je voulais voir ce que ça donnait car Uma Thurman dans le rôle d’une femme au foyer banale ça faisait trop bizarre. Le problème c’est que la réalisatrice n’en est pas une.
En fait elle ne sait pas raconter une histoire, monter un film et enchaîner des scènes qui donnent un ensemble cohérent. En gros on se tape une mauvaise journée d’une maman à New York, passionnant hein ? Bien sûr que non, c’est pas quelque chose qui donne envie d’aller au cinéma. En plus, le parallèle avec Sex and the City est trop flagrant, l’héroïne écrit, elle est un peu paumée dans sa relation avec son Jules et elle s’épanche sur tout et n’importe quoi, pensant que c’est intéressant. Ah et oui ça parle de « sexe » entre copines, évidemment, et devant tout le monde dans un magasin, très réaliste. A ce niveau, le planning surchargé de la maman c’est énorme, mais ce qui l’est encore davantage c’est qu’elle ait tant le temps de faire autre chose si elle n’a déjà pas la possibilité de réaliser tout le reste. Rappelons qu’elle « fugue », qu’elle va faire du shopping, qu’elle se prend la tête avec sa voiture (sans trop qu’on pige pourquoi) ainsi qu’avec l’équipe de tournage, et qu’elle danse avec son livreur inconnu (là encore la raison et le côté vrai m’échappent). Là tu te demandes si c’est bien une femme qui a réalisé ça, et tu te désoles devant la réponse.
Si encore c’était bien joué mais non, on a même du mal à croire qu’Uma Thurman soit réellement maman dans la vie tant elle ne rend que l’aspect pénible et fatigant de sa journée, quant aux autres c’est plus que navrant. Je passe les dialogues et la vf, c’était abominable, la dernière fois que j’ai entendu une voix avoir un ton c’était avant ce « film ». La signification du mot comédie a tout autant été oublié par la réalisatrice que l’aspect réaliste, sauf si vous accordez de l’importance aux clichés, donc ne vous attendez même pas à un sourire. En fait c’était vraiment lourd, lent, sans rythme, trop décousu, un long métrage très plombant fait qu’avec des longueurs, un modèle du genre gros pâté avec du gros rouge qui tâche. Sans faire d’efforts pour construire l’ensemble, diriger les acteurs, ou même avoir un semblant de récit c’était une catastrophe annoncée.
Je pense que c’est le pire film d’Uma Thurman, elle n’est pas la principale cause, et je ne suis même pas certain qu’elle ait été choisie pour faire venir du public grâce à son nom, mais c’est surtout que ce « Motherhood » n’a pas de sens. Mal fait de bout en bout, nul, affreux, sans intérêt, trop long et vide de sens, ça donne envie hein ? Et là je ne comprends pas pourquoi « La Mariée » est venue, pourquoi Katherine Dieckmann a fait ça, comment on peut créer un « récit » pareil et trouver de quoi le financer, ou encore sortir le tout quand même après un visionnage, on est sûr de couler…
En fait elle ne sait pas raconter une histoire, monter un film et enchaîner des scènes qui donnent un ensemble cohérent. En gros on se tape une mauvaise journée d’une maman à New York, passionnant hein ? Bien sûr que non, c’est pas quelque chose qui donne envie d’aller au cinéma. En plus, le parallèle avec Sex and the City est trop flagrant, l’héroïne écrit, elle est un peu paumée dans sa relation avec son Jules et elle s’épanche sur tout et n’importe quoi, pensant que c’est intéressant. Ah et oui ça parle de « sexe » entre copines, évidemment, et devant tout le monde dans un magasin, très réaliste. A ce niveau, le planning surchargé de la maman c’est énorme, mais ce qui l’est encore davantage c’est qu’elle ait tant le temps de faire autre chose si elle n’a déjà pas la possibilité de réaliser tout le reste. Rappelons qu’elle « fugue », qu’elle va faire du shopping, qu’elle se prend la tête avec sa voiture (sans trop qu’on pige pourquoi) ainsi qu’avec l’équipe de tournage, et qu’elle danse avec son livreur inconnu (là encore la raison et le côté vrai m’échappent). Là tu te demandes si c’est bien une femme qui a réalisé ça, et tu te désoles devant la réponse.
Si encore c’était bien joué mais non, on a même du mal à croire qu’Uma Thurman soit réellement maman dans la vie tant elle ne rend que l’aspect pénible et fatigant de sa journée, quant aux autres c’est plus que navrant. Je passe les dialogues et la vf, c’était abominable, la dernière fois que j’ai entendu une voix avoir un ton c’était avant ce « film ». La signification du mot comédie a tout autant été oublié par la réalisatrice que l’aspect réaliste, sauf si vous accordez de l’importance aux clichés, donc ne vous attendez même pas à un sourire. En fait c’était vraiment lourd, lent, sans rythme, trop décousu, un long métrage très plombant fait qu’avec des longueurs, un modèle du genre gros pâté avec du gros rouge qui tâche. Sans faire d’efforts pour construire l’ensemble, diriger les acteurs, ou même avoir un semblant de récit c’était une catastrophe annoncée.
Je pense que c’est le pire film d’Uma Thurman, elle n’est pas la principale cause, et je ne suis même pas certain qu’elle ait été choisie pour faire venir du public grâce à son nom, mais c’est surtout que ce « Motherhood » n’a pas de sens. Mal fait de bout en bout, nul, affreux, sans intérêt, trop long et vide de sens, ça donne envie hein ? Et là je ne comprends pas pourquoi « La Mariée » est venue, pourquoi Katherine Dieckmann a fait ça, comment on peut créer un « récit » pareil et trouver de quoi le financer, ou encore sortir le tout quand même après un visionnage, on est sûr de couler…
Une comédie indée pratiquement dépourvue d'intérêt malgré l'énergie d'Uma Thurman.
NammJones
Une comédie sympathique dans laquelle Uma Thurman est assez marrante.
Un scénario qui manque un peu d'originalité mais avec lequel on se divertit agréablement.
Un scénario qui manque un peu d'originalité mais avec lequel on se divertit agréablement.
Trouvé dans la catégorie "Comédie", Maman mode d'emploi ne remplit absolument pas son rôle de faire rire. Le film offre un semblant de réflexion sur la difficulté d'être une mère moderne mais il n'y a absolument aucun gag ou alors aucun qui ne prête à rire. Uma Thurman débauche une énergie folle (trop?) pour faire le vivre le film mais cela ne suffit pas.
🎬 RENGER 📼
Vendu dans à peine cinq pays dans le monde et sorti en France dans l’indifférence totale et en sortie technique, ceux qui n’auront pas pu voir Maman mode d'emploi (2009) auront bien de la chance tant ce film est dénué d’intérêt.
Une histoire à mourir d’ennui, une mise en scène des plus plates et une distribution franchement pas intéressante (Uma Thurman & Anthony Edwards), bref, quel était l’utilité de réaliser un pareil film ?
Une histoire à mourir d’ennui, une mise en scène des plus plates et une distribution franchement pas intéressante (Uma Thurman & Anthony Edwards), bref, quel était l’utilité de réaliser un pareil film ?
BeatJunky
Tristesse! Quelle ennui ce film et dès les premières minutes en plus! Je n'ai pas l'habitude de ne pas finir mes films alors j'ai tenu jusqu'au bout et pour un film d'1h30, cela m'a parut une éternité! Tout est caricatural, absolument rien de drôle, un scénario niais et sans intérêt, une mie en scène déplorable également, interprétation très en dessous de mes espérances.... On a l'impression qu'Uma Thurman découvre son rôle de Maman ce jour là! Toutes les femmes ont ses journées de folles et gèrent bien mieux la crise que cette pauvre Dame qu'on a l'impression de sentir au bord du Burn Out! Ah oui, c'était une comédie à la base.... J'ai pas décroché un sourire! Un comble pour une comédie!
La comédie de base où on ne rit pas,c'est trop lisse,peu de scènes. Bref un échec cuisant. Mais Uma Thurman est géniale,quelle actrice!
Un film mal construite déjà vu long les actions sont plats un navet je me suis ennuyer j ai pas apprécié
Etre maman ce n’est pas une sinécure, alors certaines cherches de l’aide sur internet grâce aux expériences de maman/bloggeuses qui postent des conseils pour toutes celles qui se sentent dépassées par la situation. Eliza Welsh est l’une d’entre elles, cette écrivaine est contrainte de se concentrer sur ses enfants et ainsi abonner l’écriture de son prochain roman car son mari est tout simplement incapable de l’aider dans quelque tâche que ce soit. "Maman mode d’emploi" peut se targuer d’être l’un des rares films à traiter en détail des joies de la maternité mais une fois cette bonne surprise passée, on se rend très vite compte que ce thème primordial est tourné en ridicule dans une comédie bas de plafond. Les situations poussives où Uma Thurman se retrouve confrontée à une armée de maman hystériques sont légions et s’enchainent de façon déconcertante, à croire que tout le monde se doit de donner son avis complètement erroné à chaque fois qu’il rencontre une jeune maman. Ajoutez à cela des seconds rôles au talent discutable, des péripéties manquant d’originalité et un dénouement très mal amené et vous obtiendrez ce "Maman mode d’emploi", une comédie américaine à l'intérêt tout à fait discutable.
Que ce film est fade. Pas l'ombre d'un éclat de rire, à peine un sourire, pour une comédie, c'est pas terrible. Uma Thurman ne fait que parler, les situations sont absurdes, je n'ai d'ailleurs pas pu arriver jusqu'au bout tellement c'était mauvais (1h), à éviter absolument.
Eliza, quadragénaire, mère et femme au foyer, est en train de perdre pied dans un quotidien exposé au moindre imprévu, et une vie de famille qui part en roue libre. Aujourd’hui n’est pas son jour : entre les imprévus familiaux, les imprévus citadins, les copines et les dernières démarques de soldes, Eliza doit trouver le temps de placer dans son programme deux priorités : l’organisation du sixième anniversaire de sa fillette et la rédaction d’un essai sur la maternité pour un concours qui lui permettrait d’obtenir le boulot auquel elle a longtemps aspiré…
Surfant sur la vague de « catharsis maternelle » d’une génération de « desperate housewives » quadragénaires, MAMAN MODE D’EMPLOI expose dans ses moindres détails le quotidien de la maman overbookée, tiraillée entre les tâches ménagères et familiales, les derniers jours de déstockage de fringues, et ses aspirations créatives.
Si la première partie, portée par une Uma Thurman speedée et au bord de la crise de nerfs, plonge efficacement dans « l’enfer » typiquement new-yorkais de la mère en question, il pèche malheureusement par un scénario trop bavard, et des situations qui en pâtissent, en perdant de leur crédibilité. La seconde partie est à l’image de l’état d’esprit du personnage : plus épanouissante. Le récit, plus aéré, mieux réparti, donne au personnage d’Eliza un peu plus d’épaisseur et de crédibilité, relançant efficacement les enjeux du scénario.
Uma Thurman, qui semble s’être spécialisée dernièrement dans la comédie new-yorkaise – grand bien lui en fasse, car on a récemment pu retenir quelques éclats remarquables (« Petites confidences (à ma psy) », « Un Mari de trop »), a pourtant l’air de saturer un peu, écrasée par un personnage maladroit dans son excentricité... Heureusement, la belle tire son épingle du jeu, sa présence suffisant à apporter à cette comédie discrète et anecdotique la fraîcheur et le divertissement d’une sitcom. Au final, pourquoi pas ?
Surfant sur la vague de « catharsis maternelle » d’une génération de « desperate housewives » quadragénaires, MAMAN MODE D’EMPLOI expose dans ses moindres détails le quotidien de la maman overbookée, tiraillée entre les tâches ménagères et familiales, les derniers jours de déstockage de fringues, et ses aspirations créatives.
Si la première partie, portée par une Uma Thurman speedée et au bord de la crise de nerfs, plonge efficacement dans « l’enfer » typiquement new-yorkais de la mère en question, il pèche malheureusement par un scénario trop bavard, et des situations qui en pâtissent, en perdant de leur crédibilité. La seconde partie est à l’image de l’état d’esprit du personnage : plus épanouissante. Le récit, plus aéré, mieux réparti, donne au personnage d’Eliza un peu plus d’épaisseur et de crédibilité, relançant efficacement les enjeux du scénario.
Uma Thurman, qui semble s’être spécialisée dernièrement dans la comédie new-yorkaise – grand bien lui en fasse, car on a récemment pu retenir quelques éclats remarquables (« Petites confidences (à ma psy) », « Un Mari de trop »), a pourtant l’air de saturer un peu, écrasée par un personnage maladroit dans son excentricité... Heureusement, la belle tire son épingle du jeu, sa présence suffisant à apporter à cette comédie discrète et anecdotique la fraîcheur et le divertissement d’une sitcom. Au final, pourquoi pas ?
legere comedie tout de meme bien interpreter.
Maman mode d'emploi est un film sur une mère qui doit tout faire. Elle essaie d'être une bonne mère elle essaie de faire des courses elle essaie de relancer une carrière moribonde elle essaie de prendre soin de son voisin âgé et surtout elle essaie de trouver la paix de l'esprit et la justice dans un monde apparemment inadapté aux mères comme elle. Si cela ne vous semble pas original à ce stade c'est probablement parce que ça ne l'est pas. En ce qui concerne sa personnalité il n'y en a pas vraiment. Le jeu d'actrice de Thurman est étonnamment mauvais et ennuyeux elle s'engage dans plus qu'elle ne peut faire juste pour se plaindre lorsqu'elle soumet ses problèmes sur son blog. Elle demande constamment au monde pourquoi une mère ne peut pas rester une personne et pourquoi elle doit subir une lobotomie partielle et consacrer sa vie entière à faire en sorte qu'un autre enfant arrive. Si vous pensez que vous allez regarder le film et le découvrir ne vous donnez pas la peine aucune question ne trouve de réponse. Il n'y a pas de devise il n'y a pas de fin significative autre que bon sang j'ai vraiment réagi de façon excessive dans ce magasin aujourd'hui. Je vais me lever le matin et être une meilleure mère pour mes enfants. Je crois que la réponse pourrait être ne soyez pas fâchée Thurman mais personne ne vous a forcée à avoir un enfant...
Une comédie totalement ratée. Le scénario est inexistant, la vie d'une mère au foyer n'est pas véritablement dépeinte. Le réalisateur fait mine de proposer un certain soutien aux mères de famille qui regarderaient son film. Malheureusement, sa mise en scène est beaucoup trop maladroite pour atteindre l'effet escompté. De plus, le rôle de maman ne colle pas du tout ou alors très peu à la personne d'Uma THURMAN. C'est dommage, il y avait la place pour faire quelque chose de plus intéressant.
Le film est relativement plat, mais Uma relève le niveau
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