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Boss Uniboulaire
2 abonnés
44 critiques
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3,0
Publiée le 27 avril 2022
De bonnes idées au niveau de la mise en scène. Les filles rencontrent les garçons pendant le générique d'ouverture. Cela donne bien l'impression que tout va trop vite. La différence entre l'ambiance de la journée, chaude et agréable avec des musiques toniques et l'atmosphère de nuit après le drame froide et lugubre avec des musiques angoissantes est bien vue. Le comportement des personnages donne une impression d'incohérence qui est tout à fait crédible dans cette situation. Pas du grand cinéma mais un petit DTV assez sympathique.
Un film aux idées vraiment intéressantes. Malheureusement le jeu d'acteur est vraiment médiocre, le déroulement de l'histoire est assez prenant mais il manque quelque chose pour que ce soit un bon film. Dommage, il avait du potentiel.
C'est vraiment un des pires films que j'ai vu , il devrait être interdit aux plus de 16 ans plutôt que l'inverse... On se croirait dans un sitcom genre premier baiser... A éviter absolument et à déconseiller à tous les fans d'horreur
Donkey Punch n'est pas mis en avant par son packaging français et c'est dommage. Une cover avec des filles en maillot de bain, un soleil qui tape, un bateau de luxe et de l'eau turquoise... Même les catchlines à l'arrière ne lui rendent absolument pas justice et font que le spectateur s'attend à un énième teen movie adolescent avec du sexe et des meurtres Ici pas de gore à outrance, de nanas les seins à l'air hurlant à s'en faire péter les poumons : on a droit à un thriller d'excellente facture où les personnages vont se révéler les uns après les autres dans ce qu'ils ont de plus horribles, se cherchant à chaque fois des excuses pour justifier leurs actes. On peut reprocher quand même pas mal de choses au film, notamment une photographie parfois trop sombre, mais le casting (composé d'illustres inconnus pour ma part, non, je ne regarde pas Pretty Little Liars) est tip top et la bande son extrêmement bien foutue. Une petite pépite passée inaperçue en France mais qui mérite d'être connue.
Cette série B met un certain temps à s'installer à tel point qu'on se demande si le réal ne se fiche pas du monde jusqu'à ce qu'il se lâche en nous offrant une scène de partouze plutôt réussie. Changement de ton qui en préfigure un autre puisque survient le drame et à ce moment là la tension va être continuelle jusqu'au dénouement. C'est interprété correctement, les situations sont plausibles (je ne dis pas logiques, mais la logique est rarement de la partie en de telles circonstances) ces messieurs quittent ce monde en de forts originales circonstances (que l'on regarde avec un plaisir coupable). Et puis, ces demoiselles sont charmantes. Bref on passe un bon moment n'en déplaise aux esprits chagrins.
Film très contradictoire puisque déjà les apparences sont multiples selon les affiches, les titres qu'ils soient en français en anglais, ou encore selon les bandes annonces. Bien déjà je sentais la complexité que j'allais rencontrer à analyser Donkey punch. Le film commençait mal, avec son aspect de porno raté, et de teen age movie. D'autant plus que c'était mal écrit et mal filmé, ensuite est arrivé l'élément perturbateur dont ignorait ses conséquences au moment il se produisait, c'est vrai que la dégénérescence est exceptionnelle, beaucoup de trahisons et de massacres vont se produire, alors qu'à la base tout le monde s'aimait bien et tout le monde s'eclatait. Ensuite vont arriver les clashs et les dilemmes, la confiance malgré les relations proches voires intimes. Après ça va aller très vite, et on va être accroché au film pendant une heure. Bonne œuvre. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
On ne s'ennuie pas dans ce film, c'est son plus gros atout. Pour le reste, j'ai trouvé pour ma part que le réalisateur ne rend aucun des protagonistes attachant, ce qui fait que l'on se fiche un peu de ce qui leur arrive, même si dès le début, on se doute de qui va s'en sortir finalement. Reste un film pop-corn pour une soirée divertissante, mais il ne restera pas dans les mémoires. Et sinon, je me demandais si cette histoire de Donkey Punch était crédible, physiologiquement parlant, ( non que je pensais essayer, mais je suis de nature curieuse, et je me suis renseignée sur Wikipédia ). En fait, c'est un fake, et c'est très dangereux, je disais ça au cas où le film en viendrait à inspirer des inconscients.
Des jeunes, du sexe, de la drogue et du sang ! Un cocktail explosif qui se place sous le signe de l'originalité sans être exempt de tout défaut. Ce qui commence comme une fiesta délurée et no limit finit en bain de sang dans lequel tout est bon pour s'en sortir et dégommer ses (ex) potes. Le scénario bien que simpliste sort du lot et maintient l'intérêt malgré des personnages stéréotypés et complètement débiles pour la plupart, ce survival inattendu se laisse voir et amuse surtout par la propension des personnages à utiliser tout et n'importe quoi pour se dessouder entre eux. Qui s'en sortira ou non, à vrai dire on s'en moque pas mal vu l'empathie relativement mesurée que dégage chacun des protagonistes mais on passe un bon moment et certaines mises à mort restent assez fun. À voir sans prise de tête.
Bien qu’il débute en ne proposant, pendant une bonne demi-heure, rien d’autre que les excès de sexe, drogue et alcool d’un groupe de jeunes nantis, au point de laisser penser les spectateurs ignorants tout de la suite qu’ils assistent à un spectacle voyeuriste et superflu, la mécanique scénaristique avec laquelle l’intrigue va ensuite s’embrailler, vers une conclusion certes prévisible, est bien huilée. C’est essentiellement parce que les six personnages sont davantage travaillés que ne le sont les vulgaires archétypes qui hantent généralement ce genre de films que leur confrontation, qu’elle soit verbale ou physique, parvient à devenir, d’abord convaincante, puis même franchement surprenante. Cette première réalisation d'Olly Blackburn (qui n’avait jusque-là à son actif que le scénario désastreux de Vinyan… une belle casserole donc) est un donc petit thriller destiné à un public adolescent qui, bien qu’il semble ressasser beaucoup des poncifs scénaristiques du cinéma de genre de ces dernières années, parvient malgré tout à maintenir un minimum de suspense et à garantir des scènes gores jamais gratuites car justifiés par des comportements névrotiques si crédibles qu’ils en deviennent l’élément le plus effrayant du film.
J'étais vraiment bien partie pour mettre une très mauvaise note notamment car le début est aussi creux qu'un divertissement de TF1; c'est pour vous dire mais au lieu de faire un humour dès plus grinçant; revenons sur ce petit film (à petit budget donc) qui semble de plus en plus s'épanouir aux fur et à mesure que le visionnage s'écoule ce qui est assez déroutant dans le sens où d'habitude, c'est tout l'inverse qui s'y produit. Ce film est réalisé avec les moyens du bord avec un nombre assez incalculable d'incohérences, de reflets et de manque d'inspiration dans les plans. La scène de cul où on nous explique le Donkey Punch est d'un ridicule sans nom tout comme le comportement des personnages. Mais là, où le film se révèle au fur et à mesure c'est lorsque l'accident sexuelle se transforme en un véritable massacre d'idioties jusqu'à en rigoler presque et ça mes amis, c'est une véritable prouesse. Trêve de plaisanterie, je retiendrais la bande sonore qui est dès plus correct.
Atmosphère malsaine tout au long du film On s’imagine le pire en se demandant où le réalisateur veut nous emmener ce qui fait l’originalité du film L’ambiance estivale et fêtarde pimente le drame
Un huis clos marin intéressant, sans originalité absolue, mais réalisé avec talent. Une des tares qui rabaisse souvent ces thrillers au niveau cinématographique moyen c'est qu'on y prend le spectateur pour plus bête qu'il n'est. Nous voulons bien que deux filles se défendent mais que les agresseurs et futures victimes se laissent faire avec complaisance, ça ne passe pas. Sans doute un effet pervers du féminisme... Un minimum de réalisme ne nuit point. En outre, le scénario ne va pas au bout des choses, et le bon jeu des acteurs ne suffit pas à placer cette oeuvre au dessus du panier. C'est dommage, il y avait du potentiel.