Agréable surprise de la part du premier long-métrage d'Olly Blackburn. Sortie technique pour Donkey Punch (2008) qui, ne vous fiez pas à son scénario simpliste, va vous réserver bon nombre de surprises. Trois charmantes demoiselles font la connaissance d'une bande d'amis, matelots sur un yacht de luxe. Invités à y venir passer le reste de la soirée, ce qui aurait du être une banale soirée arrosée, va se transformer en un véritable bain de sang. Cadre idyllique, mer turquoise, bikinis et alcool à volonté, psychotropes et sexe sont au programme de cette folle ballade en bateau, qui petit à petit, devient de plus en plus sanglante. Tension palpable, multiple rebondissements et acteurs dénués de stéréotypes (pour une fois !), Olly Blackburn séduit sans grand mal avec cette Série B horrifique efficace !
Un film qui mets pas mal de temps à démarrer, le réalisateur nous présente les protagonistes pendant une bonne demi heure. S'en suit une scène de sexe plutôt chaude mais qui malheureusement ne préfigure pas de la suite du long métrage qui retombe dans le classique jeu de massacre. Un film qui ne se démarque pas de la tonne de production du genre, ça se laisse regarder mais sans plus.
Trois anglaises en vacances dans un croisière qui tourne mal. Pitch ultra usé mais vraie tension. Si cela met du temps à démarrer (la scène de sexe est trop longue), la suite s'avère plus passionnante à défaut d'être originale. Les personnages se révèlent au fur-et-à-mesure des coups sanglants (comme d'hab') mais on se prend volontiers au jeu. Efficace, et c'est déjà pas mal.
(...) En bref, Donkey Punch n’est pas un mauvais film en soi, il s’agit plus d’un film de genre (un de plus !) ne reposant que sur les acquis de ses ainés. En découle un métrage que l’on a l’impression de connaître par cœur au bout de cinq minutes à peine, un métrage qui ne nous fera ni chaud, ni froid. Pour un thriller horrifique c’est bien dommage. Après visionnage, l’on comprend mieux pourquoi un film datant de 2007 a mis autant de temps à sortir sur nos écrans. Lire la suite: http://www.leblogducinema.com/2010/08/17/critique-donkey-punch/
Hum, un film inégal, mais que j'ai plutôt apprécié. On a un début d'histoire à la Hostel (des jeunes femmes invitées par des mecs sympas sur un mini-yacht luxueux. Puis a lieu LA scéance de cuissage du film, dépassant allègrement tout les quotas de nudité qu'on a l'habitude de voir dans ce genre de prod. En découle alors un engrenage infernal qui poussera les occupants à s'entretuer. Un pitch sympa, mais des actions un peu trop mécaniques pour paraître spontanées. N'empêche que la musique de Chanfrault déchire, comme d'habitude. Un p'tit film sympa, quoi.
L'idée était de faire un de ces films où une bande de jeunes s'amusent jusqu'à ce qu'un incident transforme l'équipée en drame sanglant. Le problème ici, c'est que l'incident met des plombes à se produire, que les personnages sont un peu fades et qu'on se fiche un peu de qui va mourir et qui va s'en sortir.