AlloCiné
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Votre avis sur Limitless ?
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Thriller de bonne facture, "Limitless" s'appuie sur un scénario assez conventionnel. Emmené par un Bradley Cooper virevoltant et largement bonifié par la présence éclatante de Robert de Niro, le film se regarde avec grand plaisir. Les dialogues s'avèrent d'une qualité légèrement supérieure à la moyenne, ce qui ne gâche rien. La réalisation donne dans la dynamique, sans toutefois donner la gerbe. La BOF se limite certes au registre musique d'ambiance mais elle se veut efficace. Que manque-t-il au final ? Primo, tout un pan du scénario passe à la trappe. Ce qui s'avère être une fausse piste aurait mérité d'être creusé, ou du moins éclairé. Ensuite et surtout, "Limitless" manque d'originalité dans son final. Le happy ending semble sortir tout droit du parfait manuel du réalisateur américain, ce qui est frustrant au possible.
Pour une fois la drogue est presque déifiée ! Elle est prise à des fins intellectuelles, cérébrales. Grace à cette drogue, on peut parler toutes les langues, ingurgiter des statistiques, avaler des textes, un microprocesseur ! Une drogue au service de la connaissance, du savoir. Encore faut-il en avoir conscience ! C’est le cas d’Eddie Morra. Il l’utilise à « bon escient ». Le thème peut choquer : l’apologie de la drogue comme certains peuvent l’écrire. Justement, j’ai trouvé le point de vue du réalisateur intéressant et osé. Ce film est pervers et je comprends qu’il puisse déranger, mais au-delà d’un malaise compréhensible pour ce sujet, le malaise peut se situer ailleurs : cette drogue est séduisante car elle permet de nourrir des zones inexplorées du cerveau. Ce doit être un sacré trip ! Certes, à écouter les amateurs de drogues en tout genre, à regarder grand nombre de films sur ce sujet, la drogue vous transporterait dans le monde des éléphants roses ! Elle a pour fonction principale d’apaiser les maux, de fuir la réalité quand ce n’est pas pour décupler les muscles ! Là aussi elle remplit cette fonction mais pour qui sait s’en servir, elle offre des possibilités intellectuelles extraordinaires. Voilà pourquoi ce film est pervers car on se surprendrait de vouloir en prendre ! Elle damnerait un saint ! Peu importe, c’est de la science fiction. Et quoi de plus naturel de profiter de cette pilule pour gagner beaucoup d’argent en s’orientant vers la haute finance. « Limitless » s’inscrit dans l’actualité, dans ce monde de crise où le milieu de la bourse est un moyen de gagner de l’argent facile si on a dix longueurs d’avance sur les autres. Film intéressant à plus d’un titre. A voir en VO, évidemment...
Quelle horreur. Ce film est plus Shameless que Limitless. Un premier rôle tenu par un psychopathe aux lentilles fluorescente et sans aucun charisme évoluant dans un scénario qui n'a pas le moindre intérêt que d'être glauque au maximum. Que se passe-t-il dans le cinéma américain? Le but est de choqué? de faire plus choquant que le choquant? C'est absolument ridicule. Ce réalisateur n'a fait que 5 film dans la minable carrière dont un seul a un tant soi peu marché : L'Illusionniste. Alors, déçu de sa misérable existence il nous pond Limitless. Un film immonde. Apologie de la drogue qui vous permet d'aller "au delà de vous même", qui transforme tous les gens débiles de cette Terre en Einstein. Oui ok.. Mais what's the point? Il semble que notre Neil CheeseBurger ai pris plaisir à nous sortir des scène "fortes", "intenses" et "coup de poing"
spoiler:
comme les mains dans la boîte en carton ou encore notre psychopathe favori qui se délecte du sang d'un mafioso à deux sous qui est Russe donc très très méchant.
J'insiste aussi sur les énormités de ce film. Notre Bradley Cooper shooté à mort se propulse dans le bureau de sa copine, a deux doigts de l’infarctus et le "are you on drugs?" suffit à le calmer instantanément, il est tranquilou à lui raconté sa vie de A à Z... Mais n'était-il pas sur le point de crever? Allez savoir. Et sa porte blindée qui résisterais à une bombe nucléaire, woops, apparemment le petit cutter du méchant russe est trop puissant. Dommage. Et puis bien sûr c'est en poussant un mec avec un piano qu'il meurt hein. oui. Moi aussi quand je trébuche je meurs, c'est bien connu.
Comment conclure sur un film si pitoyable qui m'a écoeuré du cinéma américain pour un an au moins. On nous agresse avec une histoire morbide et sans intérêt tenu par un pseudo-sosie de Ralph Fiennes qui, comparé à l'original, est moche, sans talent et peu crédible mais mais mais, il a des yeux de braises coloriés au stabilo donc ça pardonne tout. On a envie de dire R.I.P Robert De Niro. Ta carrière est effectivement finie, je crois qu'après Mon Beau-Père et moi tu nous prouve qu'il est impossible de remonter la pente. On nous dépeint un monde superficiel et dégueulasse où, en définitive, tous le monde est d'intelligence égale, on parle tous les même langues, on connaît tout sur tout. Mais la vérité est que la lassitude suffit a détruire tout ce monde factice. Ah bah apparemment non, pas selon ce film en tout cas. On vit juste heureux pour toujours avec un boulot génial, du fric et une blonde. ça c'est la classe.
En définitive si je devais comparer ce navet à Dinoshark, je crois que l'évidence frappe aux yeux. J'ai apprécié un moment détente devant ce dernier alors que là c'était gerbos sur gerbos. Seul un cerveau atrophié et sous coke peut nous pondre un truc pareil. C'est un film totalement pervers où il n'y a même pas de morale. Ah si mea culpa : Shootez-vous, et tuez vous pour de la drogue. Ne faites plus confiance à vos capacités propre mais plutôt en des substances trafiquée. En gros si vous vous shootez, vous serez le meilleur. Fin de l'histoire.
Comment conclure sur un film si pitoyable qui m'a écoeuré du cinéma américain pour un an au moins. On nous agresse avec une histoire morbide et sans intérêt tenu par un pseudo-sosie de Ralph Fiennes qui, comparé à l'original, est moche, sans talent et peu crédible mais mais mais, il a des yeux de braises coloriés au stabilo donc ça pardonne tout. On a envie de dire R.I.P Robert De Niro. Ta carrière est effectivement finie, je crois qu'après Mon Beau-Père et moi tu nous prouve qu'il est impossible de remonter la pente. On nous dépeint un monde superficiel et dégueulasse où, en définitive, tous le monde est d'intelligence égale, on parle tous les même langues, on connaît tout sur tout. Mais la vérité est que la lassitude suffit a détruire tout ce monde factice. Ah bah apparemment non, pas selon ce film en tout cas. On vit juste heureux pour toujours avec un boulot génial, du fric et une blonde. ça c'est la classe.
En définitive si je devais comparer ce navet à Dinoshark, je crois que l'évidence frappe aux yeux. J'ai apprécié un moment détente devant ce dernier alors que là c'était gerbos sur gerbos. Seul un cerveau atrophié et sous coke peut nous pondre un truc pareil. C'est un film totalement pervers où il n'y a même pas de morale. Ah si mea culpa : Shootez-vous, et tuez vous pour de la drogue. Ne faites plus confiance à vos capacités propre mais plutôt en des substances trafiquée. En gros si vous vous shootez, vous serez le meilleur. Fin de l'histoire.
Bon moment assuré si on ne veut pas trop réfléchir et ne surtout pas sortir des sentiers battus. Pas révolutionnaire, mais efficace.
On peut regretter le message du film qui fait l'apologie du capitalisme et de la productivité qui va avec. Le personnage, qui nous est présenté au début du récit comme un auteur en panne d'inspiration, a sous la main le remède miracle qui lui permettra de pouvoir exploiter pleinement ses capacités cérébrales. Cependant, une fois ces "super pouvoirs" acquis, notre héros met ses envies créatrices au placard et ne songe qu'à trois choses : gagner beaucoup d'argent, devenir un puissant de ce monde (Il se lance dans une carrière politique avec en ligne de mire la Maison Blanche), et reconquérir celle qui l'a plaqué quelques années plus tôt - parce qu'il était un tocard. Les femmes sont-elles vénales selon Neil Berger ? Certainement, puisque la belle se "rend compte" que finalement son ex est un mec extra !
Un artiste obtenant ce don, ne se servirait-il pas de ses capacités afin de s'enivrer des plaisirs infinis de l'existence, de les communiquer par les arts ?
On pourrait citer un héros comme Grenouille (Le Parfum), qui grâce à son don s'émerveille des senteurs du monde et entreprend une oeuvre unique !
Dans Limitless ça devient juste une histoire de gros sous... le fantasme d'un trader et rien de plus.
Comme beaucoup de monde, je suis sorti du cinéma satisfait, heureux de ce que j'avais vu. Pourquoi ??? Tout simplement parce que je suis formaté, aspirant comme tout le monde à ça : aux "super pouvoirs" qui nous permettraient de tout maîtriser, à l'argent qui nous permettrait de posséder, au charisme magnétique qui nous permettrait de séduire tout le monde.
Ce film est donc dédié aux cancres comme moi qui ont toujours su ingérer ce qu'on leur présentait, sans trop réfléchir, et qui surtout ont toujours fait l'erreur de confondre leurs aspirations personnelles avec les idées de réussite et de bonheur diffusées dans les médias et au cinéma.
Dans un premier temps j'avais attribué une belle note à ce film, mais avec 15 jours de recul je le perçois bien autrement...
J'aime manger McDo, mais quelques heures plus tard j'ai souvent la gerbe... (Désolé pour le langage, mais c'est exactement ça !)
On peut regretter le message du film qui fait l'apologie du capitalisme et de la productivité qui va avec. Le personnage, qui nous est présenté au début du récit comme un auteur en panne d'inspiration, a sous la main le remède miracle qui lui permettra de pouvoir exploiter pleinement ses capacités cérébrales. Cependant, une fois ces "super pouvoirs" acquis, notre héros met ses envies créatrices au placard et ne songe qu'à trois choses : gagner beaucoup d'argent, devenir un puissant de ce monde (Il se lance dans une carrière politique avec en ligne de mire la Maison Blanche), et reconquérir celle qui l'a plaqué quelques années plus tôt - parce qu'il était un tocard. Les femmes sont-elles vénales selon Neil Berger ? Certainement, puisque la belle se "rend compte" que finalement son ex est un mec extra !
Un artiste obtenant ce don, ne se servirait-il pas de ses capacités afin de s'enivrer des plaisirs infinis de l'existence, de les communiquer par les arts ?
On pourrait citer un héros comme Grenouille (Le Parfum), qui grâce à son don s'émerveille des senteurs du monde et entreprend une oeuvre unique !
Dans Limitless ça devient juste une histoire de gros sous... le fantasme d'un trader et rien de plus.
Comme beaucoup de monde, je suis sorti du cinéma satisfait, heureux de ce que j'avais vu. Pourquoi ??? Tout simplement parce que je suis formaté, aspirant comme tout le monde à ça : aux "super pouvoirs" qui nous permettraient de tout maîtriser, à l'argent qui nous permettrait de posséder, au charisme magnétique qui nous permettrait de séduire tout le monde.
Ce film est donc dédié aux cancres comme moi qui ont toujours su ingérer ce qu'on leur présentait, sans trop réfléchir, et qui surtout ont toujours fait l'erreur de confondre leurs aspirations personnelles avec les idées de réussite et de bonheur diffusées dans les médias et au cinéma.
Dans un premier temps j'avais attribué une belle note à ce film, mais avec 15 jours de recul je le perçois bien autrement...
J'aime manger McDo, mais quelques heures plus tard j'ai souvent la gerbe... (Désolé pour le langage, mais c'est exactement ça !)
Si Bradley Cooper interprète assez bien son personnage, cela ne suffit pas à combler les lacunes de ce film abracadabrant. Le concept de base est assez séduisant, une petite pillule miracle, mais l'histoire manque cruellement de cohérence, et Robert de Niro nous a habitués à bien mieux. Dommage...
Même s’il fait preuve d’une réelle originalité, Limitless ne tient pas toutes ses promesses et s’avère un film artificiel et commercial qui atteint très vite ses propres limites. Ne parlons pas du piètre jeu d’acteur de Bradley Cooper et du grand Robert De Niro qui doit aujourd’hui payer ses factures. Seule la douce Abbie Cornish tire son épingle du jeu dans ce bon gros sandwich plutôt indigeste préparé à la sauce américaine par le bien nommé Burger.
Un peu à la manière de M.Hodges avec "The Terminal Man" (1974), Neil Burger renouvelle le genre et signe du même temps un bon polar d'anticipation bien ficelé mêlant réalisme et futur, dans lequel l'intrigue nous fait progresser à travers une machination diabolique, et parallèlement, une substance rendant le heros bien plus percutant que ses ennemis. Facile, un peu glauque, mais jouissif: Attention à la fin oblique.
Toute œuvre de fiction se base sur des éléments du réel que l'on transpose à souhait. Il est impossible de faire une fiction à partir de rien. Essayez d'imaginer par exemple une couleur inconnue, c'est impossible ! Eh bien imaginer le comportement d'un type qui utiliserait 100% de son cerveau, c'est également impossible, et c'est pour cela que cette histoire ne tient pas la route. (ce n'est donc pas une bonne idée de départ !) Paradoxalement le film se regarde volontiers (du moins le début) pour au moins trois raisons. Bradley Cooper y est comme un poisson dans l'eau et c'est un vrai plaisir de le regarder jouer, la réalisation est assez inventive et cerise sur le gâteau il y a Abbie Cornish. Passé la première demi-heure on a l'impression que le film ne sait pas où aller et fait du surplace en ouvrant des arc narratifs pas toujours très clair. Quant à la fin, je n'ose en parler. A ranger dans la catégorie, vite vu, vite oublié.
Je dois l'avouer le pitch me plaisait et puis j'ai vu cette purge honteuse. Développer les capacités du cerveau humain à son paroxysme, l'idée est séduisante. Naïvement, je me figurais que le héros non seulement écrirait un immense chef d’œuvre de la littérature mais encore qu'il percerait les grands mystères de la métaphysique voire qu'il serait capable de télépathie ou de télékinésie, tous les fantasmes étaient permis. Mais non, à la place il se sert de ses nouveaux dons pour draguer, jouer en bourse, gagner beaucoup d'argent et récupérer la femme qui l'avait plaqué dans sa période loose. Je pensais voir un film sur un surhomme, j'ai assisté atterré à l'apologie du super-connard, ah oui au passage les femmes sont forcément vénales.
Bref une purge honteuse. Courage, fuyez ...
Bref une purge honteuse. Courage, fuyez ...
Ce film se laisse regarder et distrait sans peine.
Mais le réalisateur choisit la facilité, la naïveté et le happy-end alors pourtant qu'il encre son histoire dans le réel ( même s'il est question d'une drogue aux propriétés hallucinogènes).
Le scénario perd donc toute crédibilité, mais la prestation de Bradley Cooper est très intéressante.
Mais le réalisateur choisit la facilité, la naïveté et le happy-end alors pourtant qu'il encre son histoire dans le réel ( même s'il est question d'une drogue aux propriétés hallucinogènes).
Le scénario perd donc toute crédibilité, mais la prestation de Bradley Cooper est très intéressante.
Un chef d'oeuvre tout simplement. Un film super bien réalisé, je ne m'attendais pas du tout à ce type de film. L'histoire est génialissime, belle brochette d'acteur et très crédible. A voir absolument ! Toutes les personnes au tour de moi ont adoré sans différences.
gimliamideselfes
Vous vous souvenez de 99 francs ? Où le film commençait avec le héros sur le point de sauter dans le vide ? voix off qui va retracer ce qui s'est passé ? le film commence pareil que le très mauvais film pour ado de Jan Kounen.
Ce film n'a qu'une qualité, autant le dire tout de suite : les yeux de Cooper, si vous n'êtes pas gay ou de sexe féminin autant quitter la salle tout de suite. Le film multiplie les effets visuels atroces, les numéros de cabotinages, le piètre Robert de Niro en tête, on croirait qu'il a fait un pari pour surjouer le plus possible dans chacun de ses nouveaux films. Exit le De Niro du Parrain II ou bien de Heat, welcome to the new Bobby, celui qui joue comme un pied, on se croirait devant un film de Michael Youn, aussi subtil qu'une blague de Cauet.
Enfin. Si Bobby était le seul soucis du film ça irait. Mais l'absence de mise en scène, la photo dégueulasse, les effets visuels à deux balles, on dirait qu'un gosse attardé s'amuse avec un kaléidoscope. Non seulement c'est moche, mais en plus ça ne sert à rien. En quoi foutre ces vues de merdes vont aider le spectateur à comprendre de manière intelligente qu'il est sous l'emprise de la drogue ? Ben c'est tout sauf intelligent ou subtil.
Ensuite le scénario est absolument atroce. Si on ose appeler ça un scénario. Je veux dire le mec est censé être sous drogue qui décuple l'intelligence, alors sans me vanter, je suis plus intelligent que lui, car j'arrive à prédire tout ce qui va se passer. (je savais que j'étais très intelligent, mais je n'imaginais pas à ce point, ou alors c'est juste le film qui est pourri).
Comment un film écrit sans doute par un incapable peut nous faire ressentir la notion d'intelligence à nous spectateur ? Il ne peut pas, pour ça faudrait que le héros arrive à se sortir d'une histoire alambiquée.
Enfin le pire étant la fin, on apprendre qu'en fait on peut se droguer sans conséquence néfaste ! Donc les enfants demandez tous à votre dealer de la drogue dur, si on est intelligent on s'en sortira toujours !
Non honnêtement c'est sacrément de la merde, et puis ça raconte tellement rien, c'est tellement vide et surtout tellement con…
Ce film n'a qu'une qualité, autant le dire tout de suite : les yeux de Cooper, si vous n'êtes pas gay ou de sexe féminin autant quitter la salle tout de suite. Le film multiplie les effets visuels atroces, les numéros de cabotinages, le piètre Robert de Niro en tête, on croirait qu'il a fait un pari pour surjouer le plus possible dans chacun de ses nouveaux films. Exit le De Niro du Parrain II ou bien de Heat, welcome to the new Bobby, celui qui joue comme un pied, on se croirait devant un film de Michael Youn, aussi subtil qu'une blague de Cauet.
Enfin. Si Bobby était le seul soucis du film ça irait. Mais l'absence de mise en scène, la photo dégueulasse, les effets visuels à deux balles, on dirait qu'un gosse attardé s'amuse avec un kaléidoscope. Non seulement c'est moche, mais en plus ça ne sert à rien. En quoi foutre ces vues de merdes vont aider le spectateur à comprendre de manière intelligente qu'il est sous l'emprise de la drogue ? Ben c'est tout sauf intelligent ou subtil.
Ensuite le scénario est absolument atroce. Si on ose appeler ça un scénario. Je veux dire le mec est censé être sous drogue qui décuple l'intelligence, alors sans me vanter, je suis plus intelligent que lui, car j'arrive à prédire tout ce qui va se passer. (je savais que j'étais très intelligent, mais je n'imaginais pas à ce point, ou alors c'est juste le film qui est pourri).
Comment un film écrit sans doute par un incapable peut nous faire ressentir la notion d'intelligence à nous spectateur ? Il ne peut pas, pour ça faudrait que le héros arrive à se sortir d'une histoire alambiquée.
Enfin le pire étant la fin, on apprendre qu'en fait on peut se droguer sans conséquence néfaste ! Donc les enfants demandez tous à votre dealer de la drogue dur, si on est intelligent on s'en sortira toujours !
Non honnêtement c'est sacrément de la merde, et puis ça raconte tellement rien, c'est tellement vide et surtout tellement con…
bsalvert
Un très bon moment de cinéma, on se laisse porter de situation en situation, c'est efficace et ça détend.
PLV : un bon scénario qui fait réver
PLV : un bon scénario qui fait réver
un bon scénario, mais des séquences trop plates et qui manquent d'entrain !!!! Robert de Niro se fait vieux !!!!
Neil Burger, révélé par "Interview with the assassin", se penche sur un film de science-fiction, un genre qu'il semble adopter.
"Limitless", c'est l'histoire d'un écrivain raté qui reçoit un médicament illicite qui le rend supra-intelligent. Devenant magnat de la finance et rentrant dans les hautes sphères de la bourse internationale, il va devoir affaire à des tueurs. Effets secondaires garantis !
Pour une rentrée en la matière, Bradley Cooper (tout juste sorti de "Very bad trip") s'en sort plutôt bien, et ce, grâce au rythme que met le réalisateur. Ici, pas de prise de tête, c'est la tête d'affiche qui semble noyé dans tous ces effets spéciaux un peu trop exagérés (malgré qu'ils soient soignés !) ainsi que par la vitesse d'action du film. Les personnages ne sont pas armés psychologiquement et l'on tombe un peu trop vite dans ce semblant de thriller où gunfight et autres corps-à-corps nous maintiennent sur le qui-vive.
Un chouette divertissement qui avait tout pour figurer dans la top-list de l'année. Hélas, Neil oublie un peu trop vite son scénario et se concentre davantage sur la tournure des événements : une adrénaline pure et dure. Vraiment dommage, car il y avait moyen d'avoir du lourd. De ce fait, De Niro marque "Limitless" comme un film de plus à son compteur. What else ?
Un film qui avait tout d'un grand mais qui manque d'acidité et de vigueur. "Limitless" se restreint ainsi sans limites.
Pour les fans de Neil Burger, assurément !
"Limitless", c'est l'histoire d'un écrivain raté qui reçoit un médicament illicite qui le rend supra-intelligent. Devenant magnat de la finance et rentrant dans les hautes sphères de la bourse internationale, il va devoir affaire à des tueurs. Effets secondaires garantis !
Pour une rentrée en la matière, Bradley Cooper (tout juste sorti de "Very bad trip") s'en sort plutôt bien, et ce, grâce au rythme que met le réalisateur. Ici, pas de prise de tête, c'est la tête d'affiche qui semble noyé dans tous ces effets spéciaux un peu trop exagérés (malgré qu'ils soient soignés !) ainsi que par la vitesse d'action du film. Les personnages ne sont pas armés psychologiquement et l'on tombe un peu trop vite dans ce semblant de thriller où gunfight et autres corps-à-corps nous maintiennent sur le qui-vive.
Un chouette divertissement qui avait tout pour figurer dans la top-list de l'année. Hélas, Neil oublie un peu trop vite son scénario et se concentre davantage sur la tournure des événements : une adrénaline pure et dure. Vraiment dommage, car il y avait moyen d'avoir du lourd. De ce fait, De Niro marque "Limitless" comme un film de plus à son compteur. What else ?
Un film qui avait tout d'un grand mais qui manque d'acidité et de vigueur. "Limitless" se restreint ainsi sans limites.
Pour les fans de Neil Burger, assurément !
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