Si vous voulez conduire mais que vous avez la flemme regarder le film "Drive". Drive est l'histoire d'un jeune homme solitaire à l'esprit brave et anonyme qui conduit le jour à Hollywood pour le cinéma en tant que cascadeur et la nuit pour des truands. Je trouve que le charisme et le professionnalisme du personnage est vraiment présent et important ce qui fait bien sûr parti du film dans la globalité de son comportement. Et pour finir parlons de ce début magnifique quand Driver conduit dans la pénombre de la nuit suivi de bien sûr la musique ! J'appelle ça de l'orgasme auditif tellement la musique fond dans l'oreille et franchement si vous regardez le film rien que pour la musique du début ça vaut vraiment le coup de le regarder !
Un bon film deja nightcall est super classe comme musique je trouve elle rentre bien dans la tete et on a envie de la reecouter par la suite tellement elle est belle.L'histoire est lente au debut ce que je critique souvent mais pour une fois la lenteur est bien exploitee pour nous presenter les personnages spoiler: on a le chauffeur sans nom dont on ne sais pas grand chose sur lui on a la voisine dont son mari est en prison et qui se fera tuer par la suite Puis par la suite le rythme est plus rapide et on passe dans l'action il y a une scene qui a retenu mon attention spoiler: la scene de l'ascenceur car elle marque bien le heros qui pour moi dans un premier temps 'fantasme" en effet pourquoi embrasser et tourner le dos alors qu'il avait compris que le tueur voulait le tuer et avait son arme sur lui puis on voit sa vraie personnalite (qui est aussi marquer par le scorpion qu'il porte sur sa veste) la voisine sort et la porte se referme ce qui marque les adieux entre eux.le heros sans nom m'a rappeler la trilogie du dollard avec le heros j'ai bien aimer spoiler: le fait qu'il ne parle que quand c'est necessaire apres je pourrai reprocher certaine choses au film spoiler: le fait que la voisine son personnage ne soit pas developper ce qui se comprend pour le heros (donc pour le heros pas de probleme) ou encore le fait que on ne sais pas comment il fait pour retrouver cook j'aurais bien aimer une petite scene qui nous le montre ce qui fait que je ne met que 4 etoile mais n'hesitez pas a le voir c'est un tres bon film. j'ai bien aimer aussi le retour aux annees 80.
Ce film est le film qui m’a fait aimé le cinéma, je l’ai vu très jeune et je me suis rendue compte de l’impact que le cinéma pouvait avoir sur sa façon de pensée, sur ses humeurs, sur ses hobbys. Ryan Gosling est très bon dans le rôle d’un homme solitaire, sans perspective de « bonheur à deux », il vit pour lui même et ne se compromet pas dans des crimes crasseux. L’ambiance est sombre et froide. J’aime beaucoup qu’il y ait aussi, finalement, quelques scènes de bonheur ou R.Gosling est comme un homme vivant une vie « normale ».
Cette perle est probablement devenue mon film préféré , mais je me dois d'emettre une critique objective , croyez bien que s'il ne tenait qu'a moi il aurait ses 5 étoiles , parce qu'a mon sens , il le merite largement !
Figurez vous qu'au premier visionnage , j'ai pas du tout aimé ce film .. Trop "mou" , pas assez de dialogue ... Mais sur quoi je suis tombé !
Il faut le revoir ou etre dans une ambiance parfaite pour en demmeler toutes les subtilités et rentrer dans ce film et une fois qu'on y est , on ne décroche plus ! Oui en commancant par les défauts , il est vrai que le dialogue tient probablement sur une feuille , mais chaque phrase de chaque protagonistes résonne parfaitement et avec cohérance , au diable le supperflue , oui notre héro Ryan Goslin est comme a son habitude totallement innexpressif , mais justement dans un tel film ca colle parfaitement ! L'histoire est originale on tombe dans une bien jolie histoire d'amour impossible entre une incroyable Carey Mulligan qui m'a fasciné dans le tout premier film que je découvre d'elle et qui me donne envie d'en connaitre plus ! Et notre mysterieux chauffeur , tout ne se passe pas comme prévu et cette bien jolie histoire s'entremelle avec des scenes d'une rare violence , on bascule en l'espace de quelques secondes , de passages reelement attendrissants , a des scenes relativement gores ... Certains plans sont d'une beauté exceptionnelle ! Le casting se retrouve constitué de talents peu connus ( excepté peu etre Ron Perlman ) mais emmené a devenir des grands ! Je pense par exemple que ce sont les performances d'Oscar Isaac ( Poe Dameron ) et Bryan Cranston ( Breaking Bad ) qui ont vraiment lancé/relancé leur carriere , la bande son du film est probablement la meilleure que j'ai entendue dans un film , de Nightcall de Kavinsky en passant par College , Electric Youth , Oh my love de Riz Ortolani exceptionnellement bien placé , Tick of the clock des Chromatics .... Cette soundtrack merite sa place sur un CD dans votre autoradio ! Incroyable !
Je concoit que la sauce n'a pas pris pour tout le monde , mais si comme moi votre collection de Blue Ray se limite a des films que vous considerez comme des classiques / futur classiques en devenir , croyez moi , il y a totallement sa place !
Il s'agit vraimant d'un film au sénario très bien ficelé et et au décor très bien fait. Ce film est vriamant très intéressant et je fut aussi captivé par le rôle sublîme de Ryan Costling.
Merveilleux film dans lequel on retrouve un Ryan Gosling froid et sans émotion mais à qui on ne veut pas qu'il arrive quelque chose de mal. Un scénario touchant et une distribution splendide. Bravo Nicolas Winding Refn !
Drive est un film mythique pourquoi ? Pour sa bande son parfaite avant tout ! J'ai beaucoup aimé le scénario, d'un homme passionné, amoureux de belles mécaniques et cette pincé de violence en fait un film presque parfait. Du grand Art !
Drive est un film vraiment artistique dans sa réalisation. Le fond du film, profondément poétique, est maquillé par une atmosphère urbaine qui colle parfaitement à l’histoire. Le film peut être considéré comme un classique en ce qui concerne l’esthétique minimaliste qui s’en dégage. Les dialogues sont utilisés à bon escient et le fait qu’il y en ait peu peut être vu comme l’atout majeur du film. Néanmoins cette sous exploitation peut créer des situations qui desservent le film. En effet, à vouloir s’approcher d’une esthétique parfaite, l’histoire peut parfois dérouter et verser dans un sentimentalisme un peu (je dis bien un tout petit peu mais genre rien) pompeux. Les acteurs sont bons et n’en font pas des tonnes. La mise en scène permet de faire ressortir le caractère de chacun des personnages en créant un environnement propre à leur personnalité. Les costumes sont formidablement bien assortis à leurs porteurs et le moindre détail est pensé bien au delà de ce qu’il est. On peut citer l’exemple subtil de la Patek « like » au poignet de Ryan Gosling, modèle de classicisme, à l’image de l’œuvre dans laquelle elle est incluse.
Oeuvre culte de la décennie 2010, *Drive* est aussi un objet filmique maîtrisé, dépoussiérant et initiateur de l’ère américaine de Nicolas Winding Refn ! Une sorte de nouvelle ère pour le cinéaste danois où la notion maîtresse est : l'esthétisation de la violence. On répète d'ailleurs souvent ce termes concernant Winding Refn. Mais en fin de compte, n'y a t'il pas meilleure logique pour qualifier ce cinéma si particulier et reconnaissable entre mille. *Drive* est un tout qui rend son expérience quasi inoubliable : les grands face aux petits, l'amour face à la haine.
En suivant une partie rêveuse et dangereuse de la vie de ce cascadeur taciturne (Ryan Gosling), Nicolas Winding Refn contemple un Los Angeles majoritairement nocturne où les lumières aveuglantes font briller les gangsters. Des malfrats donc, qui peuvent compter sur ce mystérieux cascadeur le jour, et chauffeur expérimenté pour leurs braquages la nuit. C'est une routine à double casquette qui rythme la vie de ce timide chauffeur qui apprend à mieux connaitre sa voisine et son jeune fils. Une romance calme, mais passionnel, qui va vite se voir finir lorsque le mari de cette ravissante voisine revient de prison. De ce retour, le mystérieux conducteur va tomber dans la spirale infernal du grand banditisme en aidant ce mari dont les mains s’avèrent toujours sales.
*Drive* est une immersion d'une violence inouïe dans les bas-fond d'un Los Angeles brillant certes, mais faux et profondément traître. Ce conducteur travaille dans ce dangereux milieu non-pas pour l'argent facile, mais bien pour un seul but : conduire ! Le mépris qu'il dégage à l'encontre des grands du milieu et des petits truands des rues expriment bien cette distance entre lui et ce monde dans lequel il a tant baigné. Typique des personnages de Winding Refn, le comportement zen et posé du chauffeur se rallie encore plus à cette contemplation de Los Angeles et des ''parrains'' qui le peuple. Mais de ce calme ambiant, il ne n'en reste pas grand chose lorsque l'hyper violence devient nécessaire. Au fond de ce serein personnage se cache un homme grandement sauvage assoiffé de sang.
C'est à travers cette facette illustrée de manière traumatisante dans *Drive* que Nicolas Winding Refn travaille sur cette notion conflictuelle entre les thématiques de son film qui s’avèrent finalement incompatibles. Ce début de romance entre le personnage de Gosling et celui de Mulligan ne peut se prolonger tant la réelle personnalité de ce conducteur était si bien caché. C'est un homme surement incapable d'aimer ou du moins incapable de pouvoir tenir une situation amoureuse dû à son job dont il est difficile d'en sortir. Mais cette question conflictuelle entre l'amour et la haine n'est pas la seule à être travaillée dans le film : la domination inévitable des boss face aux petits gangsters des rues capable d’accepter toutes propositions, est aussi illustrée. Comme dans un cauchemar d'où l'on ne peut sortir, les ''parrains'' du milieu finiront toujours par attraper l'être minuscule du grand circuit qui à fait foirer le casse. Mais lorsque cette être si minime est un scorpion, la tâche d'élimination du parasite va s'avouer bien plus difficile que prévu.
Comme dans une bonne introduction, Nicolas Winding Refn tente d'accrocher le mieux que possible son spectateur à travers une mise en scène à la fois très ouverte et en même temps comme une pure définition de son style post-2010. Un prix de la mise en scène à Cannes 2011 qui n'est absolument pas démérité et propulse indéniablement *Drive* au-delà du simple film de voiture, mais comme un véritable film noir moderne. Des néons, des lumières vives, des travellings stylisés, des scène de tuerie magnifiés et cet BO électro par Cliff Martinez sont les signes d'un cinéma qui n'appartient qu'à NWR et dont les aspects ne nous lacent encore pas.
*Drive* est une oeuvre sombre et magnifique. Nicolas Winding Refn réussi à marquer le spectateur autant grâce à sa mise en scène efficace, que grâce à son propos mixte mêlant violence, amour et contemplation. Un thriller à la sensation envoûtante et angoissante.
Une pure merveille de réalisation. Tout est beau dans ce film on en redemande même. l'histoire se perd légèrement sur la fin et on se dit "mouais ok" mais on a tellement été envoûté pendant tout le film que ca s'oublie. Un grand film, sous côté dans ses nominations aux oscars notamment mais Aujourd'hui culte !
Un choc de ces dernières années. NWR brille surtout par ses images très maîtrisées, avec des plans et des compositions magnifiques, un éclairage recherché. Côté scénario, l'inspiration est à rechercher du côté de Cronenberg et des frères Coen. Des personnages qui entrevoient la liberté et le bonheur, avant qu'un monde ultraviolent ne les happe !
J'adore ce film. Un excellent travaille de mise en scène, un excellent jeu d'acteur, une excellente histoire superbement bien raconté, une musique qui rentre dans la tête... Et la chanson Nightcall... Une merveille. Le film dévoile vers la moitié une violence assez dur mais tellement bien exploité. Il suffit de voir la scène de l'ascenseur pour le comprendre. Clairement un excellent film à voir.
Drive est un film , un thriller noire. Ryan Gosling montre dans ce film le talent de son d'acteur, à travers ses expressions de visage. Si par moment le film subit quelque lenteur, notamment dans la première demi-heure, il contient malgré tout des scènes de violences et d'action. La violence des combats est filmée d'une rare intensité et réalisme. Drive mêle également une histoire d'amour et de vengeance. Servi sur une bande son mythique, le monde de la nuit, Kavinski nightcall. Malgré les lenteurs, sur les plans de visage, le suspense domine et tient en haleine l'attention du spectateur. Un bon film noir.