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    Drive
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    4 720 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 novembre 2011
    Superbe réalisation. Malgré sa lenteur, l'athmosphere du scénario nous tient en haleine. La B.O est parfaite. Les scènes de violences sont soudaines et parfois innatendues (mais un peu trop hard, est-ce necesssaire?). Bref une histoire relativement convenue mais très bien mise en valeur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 novembre 2011
    Bon film, bien écrit, bien réalisé, bande son bien choisie. Peu de dialogue mais l'essentiel y est, pas besoin de plus. Un peu de violence gratuite portée à l'écran pour rien.
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    159 abonnés 1 204 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2011
    Quelle déception! On m'avait vendu un grand film, des critiques dithyrambiques avec un public quasiment à l'unisson et je me retrouve devant un opeuvre certe innovante dans son style mais au combien ordinaire sur le fond. Le scénario est éculé, le jeu des acteurs est pauvre et la bande son inégale : on est loin du chef d'oeuvre.
    On sent bien que le réalisateur a révisé ses classiques et veut nous vendre les plans lents de Gus Van San ou les explosions de violence de Johnnie To sauf qu'on sent le remaché et que la saveur en est d'autant plus fade. Et qu'on arrête de me seriner avec Ryan Gosling ce type a deux scènes à jouer dans le film et il en réussi une à moitié se contentant pour le reste de promener sa belle gueule en machant sans cure-dent sans piper un mot. Des situations sans aucun sens se succèdent ; première scène : son mentor qui le connait depuis 5ans lui demande s'il veut une clope alors qu'il n'a jamais fumé on enchaine : dans le parking il se barre en chaussant sa casquette incognito mais laissant ses clients encagoulés dans une voiture qui doit valoir un packet de pognon, le mari de Irène se fait tabasser (par des gosses qui avaient bu) et cela semble tout à fait plausible pour sa femme, en tout cas c'est comme ça qu'elle le joue (ou alors c'était trop fin pour moi), la scène finale est grotesque : le parain de la mafia se rend tout seul à son rdv avec un couteau pour se défendre. Ben voyons et que fait notre héros il laisse le fric sur le parking avant d'aller voir le lever du soleil dans sa voiture. Bref j'ai été déçu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 novembre 2011
    J'y suis allé grâce aux bons feed-back du bouche à oreille concernant ce film. J'ai aimé mais j'aurais aimé un peu plus de rythme. Grande fut ma surprise à l'arrivée des scènes gores, très réaliste. Mais globalement, bon film malgré le tout petit budget : comme quoi on peut faire du bon sans beaucoup de sous.
    Parkko
    Parkko

    161 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2011
    Drive est la preuve - s'il fallait encore le démontrer - que c'est bien la mise en scène qui fait quasiment tout dans un film. Car des films de ce genre on en a vu et c'était pas forcément des bons films, or, Drive sort du lot grâce à sa mise en scène soignée et ingénieuse.
    En tout cas c'est vraiment réussi en terme de mise en scène, c'est vraiment bien foutu tout ça, y a plein d'idées, y a rien à dire là dessus. Ryan Gosling assure également et dégage une sorte de charisme magnétique assez fou. Le scénario n'est pas inoubliable mais c'est aussi ça la force du film de Refn, prendre le film lamba de drivers des années 1970/1980 pour le transcender sans chercher à casser le code mais à lui donner une ampleur autre grâce à sa mise en scène.
    ShaolinCask_X
    ShaolinCask_X

    36 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2011
    Il y a beaucoup de choses bien dans le film comme la musique, le jeu d'acteur, l'histoire, mais le rythme lent, très lent, fait un peu baisser le niveau du film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 juin 2012
    Nicolas W. Refn, ce nom scandinave exécrable à la prononciation, n'évoquait jusque là au cinéphile insatiable et éclectique que je suis, que la trilogie époustouflante des films Pusher. Sorte de plongé ultra réaliste dans le quotidien de malfrats enlisés dans le monde du traffic de narcotique caractérisant les milieux mafieux implantés à Copenhague. Du grand art, une série de film coup de poing dont je pourrais gratifié tous lecteurs occasionnels de ce commentaire, d'une dithyrambiques critiques que je me garderais cependant d'écrire ici, à l'endroit même où il m'est demandé de parler de cet opus du cinéaste danois, pour l'occasion expatrié aux USA.

    Drive, en gros, c'est l'histoire d'un gars qui n'a pas de nom, sombrement, sobrement campé par l'excellent Ryan Gosling. Cascadeur sur des films hollywoodiens le jour, conducteur de cambrioleurs la nuit - des extras très lucratifs j'imagine - notre héros est un homme silencieux, réservé, ténébreux, calme qui va faire la rencontre de sa voisine et de son fils, vivant tous deux tant bien que mal l'incarcération du mari et père de famille tombé pour on ne sait trop quoi. Les choses s'en vont aindi que les voisins commenceront à tisser des liens jusqu'à ce que Mr Le Voyou chicanos sortent de taule et reconquiert son territoire. L'Homme-à-la-jacquette-avec-un-scorpion doré -dans-le-dos (puisqu'il faut bien lui trouver un nom) se retire donc après avoir servi de bouche trou, respectant ainsi l'autorité retrouvée du padre. Il reprend sa petite vie de chauffeur garagiste jusqu'à ce que le passé de son "rival amoureux" refasse surface et déteigne dangereusement sur l sa famille innocente. En effet, il se trouve que l'ex taulard doit du fric à des gars louches et que ces derniers sont prêts à faire tout ce qu'il y a de plus sordides et abjects ( à savoir tuer son gosse) pour remettre la main sur leur dû. Selon quoi, ils lui proposent un deal: réaliser une transaction pour eux et ils seront quitte. Le bonhomme accepte et demande l'aide du Driver (ce nom est plus simple). Celui ci accepte mais lors de la transaction, le père de famille s fait flinguer et il se retrouve dans la merde parce qu'il n'a plus de quoi les payer. Sachant son amie voisine veuve et son fils orphelin en danger de mort, Driver décide de faire le nécessaire pour neutraliser ceux qui menacent leur vie. Le film commence là. Bon. Drive est un film magistralement mis en scène, superbement filmé, qui a mérité son prix de la mise en scène à Cannes et qui aurait dû au moins être nominé aux oscars. Refn a su imposer un style et une patte visuelle à travers ce film qui en fait sa marque de fabrique et qui confère à l’œuvre une atmosphère particulière à la fois sombre et illuminées de couleurs kitsch par son emprunt notamment via la B.O d'élément cinématographique propre au cinéma ricains et à la culture pop des années 70 - 80. La bande son y est excellente, Ryan Gosling est charismatique, Carrey Muligan est plus en retrait mais toujours magnifique, seul le scénario, un brin trop classique, semble souffrir de quelques faiblesses. La tare y est tellement insignifiante en comparaison des qualités esthétiques du film qu'on en vient vite à l'oublier. Pour peu que l'on soit familiarisé ou suffisamment ouvert à la manière très européenne qu'à Refn de faire un film d'action. Car le cinéste prend son temps, pose des élément sans s'empresser et les quelques scènes d'actions jalonnant la pellicule, à défaut d' être extraordinairement longue et explosive, sont au moins brèves, violentes et mémorables. Les scènes de course poursuite en général et la scène de l’ascenseur en particulier me viennent évidemment à l'esprit. Un Drive que je conseil donc à toutes personnes souhaitant regarder un film d'action sortant, par sa forme, des sentiers battus et aux fans même de la première heure, de N.W.Refn ou du superbe Ryan Gosling.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 novembre 2011
    Film d'auteur : on aime ou on n'aime pas!!!!
    J'ai aimé la BO (devenue incontournable), la réalisation, mais c'est un univers de brutes et de violences gratuites...
    Heureusement les filles, il y a Ryan Gosling!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 novembre 2011
    Je m'attendais à plus d'action, plus de suspense, mais peu de tout ça. Cependant il dégage de ce film une ambiance particulière.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 novembre 2011
    J'ai revu "Drive" aujourd'hui et je ne le regrette pas. C'est décidément un film remarquable. Le choix des couleurs, les partis pris de champs caméra, les silences, les changements de rythmes, l'équilibre entre les scènes de violence extrême et l'humanité de l'ensemble des personnages (sauf 2). Enfin le jeu de Gosling... magnifiquement inclassable. Homme, femme ?? Doux, implacable ?? En résumé, un concentré de virtuosité cinématographique.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 novembre 2011
    En 3 mots comme en 300 :

    Générationnel, Convulsif, Envoûtant
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 novembre 2011
    Bon film, mais trop froid, manque de la folie, de la chaleur. Très typique aussi, je préfère Tarantino ou Scorsese!
    pichnette13
    pichnette13

    15 abonnés 218 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2012
    Un film qui a fait coulé pas mal d'encre et pourtant... On peine à déchiffrer la profondeur morale, ou psychologique du film tant les dialogues et l'histoire sont faibles. Bien sûr, on pourrait pousser à fond en tentant d'analyser le jeu des acteurs, ou le manque de dialogue justement au profit de l'image mais il ne faut pas abuser non plus. Je retiens surtout l'ambiance générale du film: la musique assez envoûtante, le jeu d'ombre et de lumière (notamment pour ce qui est du personnage principal filmé de façon à être toujours mi-ombre mi-lumière) et un très bon jeu de caméra. C'est surtout ce que l'on retiendra.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 novembre 2011
    Tout part assez cool, on plante le décor, place les personnages calmement, même si on se doute que Ryan Gosling tient le rôle d'une cocotte minute prête à siffler fort, au premier pet de travers.
    Lui, c'est un gentil au fond mais... faut surtout pas le faire chier sinon il ne répond plus de rien !

    Seulement voilà... Notre Driver a fait son Job, tout bien comme y faut, sauf qu'on essaie de le baiser, et lui comme beaucoup d'ailleurs, aime bien s'avoir pas qui ? Et surtout pourquoi ?

    Lorsque Ryan Gosling (Driver) prend son air renfrogné, ça sent assez vite le pneu brûlé, avec un vilain bruit de tôles froissées et surtout pas mal d’hémoglobine tout partout !

    Ce film me laisse un goût bizarre . . .
    J'ai le sentiment qu'avec très peu choses en plus et juste quelques traits en moins, Nicolas Winding Refn nous sortait une Perle Noire, un Film façon Scorsese (Taxi Driver et A Tombeau Ouvert), Tarantino (Reservoir Dogs mélangé au Boulevard de la Mort), Cronenberg (Les Promesses de l'Ombre avec Crash) et évidemment Michael Mann (Collateral - Miami Vice) ou encore "Tuez Charley Varrick!" de ce bon vieux Don Siegel et bien sûr que vous l'attendiez: le cultissime "Bullitt" de Peter Yates.

    Bande-Son pas trop Top alors que sur les blancs (l'est pas trop expansif notre Driver), toutes ces séquences de nuit, il y avait moyen de péter The Score ! (très bon thriller de Frank Oz)
    Et puis quelques scènes hyper violentes à mon sens pas vraiment indispensables...

    Sinon le Prix de la Mise en Scène reçu à Cannes dénote une vraie maestria dans l'art de cadrage, avec des plans superbes, une lumière & un éclairage entre chien et loup haut de gamme, une direction d'acteur serrée avec des seconds rôles aux p'tits oignons (Bryan Cranston - Ron Perlman - Albert Brooks - Oscar Isaac et Carey Mulligan dans un rôle de sucre d'orge), sans parler des scènes d'action pures qui risquent d'attirer bon nombre d'ados pré-pubères dans les salles noires, car ce film risque de cartonner fort, mais quoi de plus logique !

    Film qui déménage mais attention âme sensibles s'abstenir...
    pitch22
    pitch22

    170 abonnés 682 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2011
    Avec son thriller progressif et sensitif, qui évolue dans un univers de faux-semblants, Nicolas Winding Refn fait du beau neuf avec du vieux. Adoré, détesté, tout a été dit sur DRIVE: la maîtrise technique jusqu'à l'overdose, l'exercice de style, la mise en scène trop conceptuelle, l'esthétisme rare, le jeu des acteurs, etc. C'est avant tout un film 100% cinéma, extrêmement visuel (on aurait pu le faire sans dialogues, à la manière d'un VALHALLA RISING) et doté d'une bande originale subjuguante. Bien que différent, on peut l'inscrire sur la ligne de fond des deux précédents longs du réalisteur. NWR s'attache à exprimer la dualité du personnage/héros par le rapprochement des opposés: modernité et inspiration rétro, calme et nervosité, sensualité et brusquerie, fluidité et rupture tranchante... Déjà dans BRONSON, le héros, tête brûlée à l'allure de gros dur, manifestait un esprit sensible et rusé. Ici brille le portrait d'un jeune pilote quasi silencieux, travaillant en partie pour une mafia, et qui se fait justicier par l'entremise d'une rencontre. Concept. Le scorpion demande à la grenouille de lui faire passer la rivière sur son dos; d'abord la grenouille rechigne, mais elle finira par accepter face à l'insistance si affable du scorpion, qui se montre d'une infinie rassurance. Et le scorpion, abordant l'autre rive, piquera la grenouille de son dard mortel... Ainsi va le charmant Driver (sans nom), de sa timide voix, de son petit air mutin, une main d'acier dans un gant de cuir. Dans son apparente fragilité, Brian Gosling sied au rôle, sans faire preuve d'un magnétisme sensationnel. On peut lui trouver un air de Lucky Luke, de lonesome cow-boy, qui aurait troqué son cheval pour sa bagnole et sa veste cuir pour un blouson; un blouson blanc fétiche qui arbore, cousu au dos, un majestueux scorpion doré. D'une douceur trompeuse, l'homme a du ressort; il éclate comme un éclair soudain. Côté humour, on repassera: on n'en trouve ici pas l'ombre d'un soupçon, comme troqué contre l'effroi. Reste l'atmosphère, captivante, toute en ombres et lumières, mystères et tensions: NWR, talentueux magicien, sait happer le spectateur qui se laisse embarquer; les moins sensibles à cette ambiance ensorcelante s'ennuieront car le silence est d'or et la trame plutôt classique. Limite de la vituosité, on peut se retrouver à la fois emballé et agacé par le travail de la mise en scène, d'une conception excessivement marquée, qui alourdit certains plans: écho des lignes de fuite, cadrage, teintes rougeâtres (presque) omniprésentes. L'histoire, axée sur l'intersection d'une rencontre sentimentale et d'une affaire de réglement de comptes entre truands mafieux, ne possède ni grande originalité ni savante complexité. Pourtant l'attention se trouve soutenue par l'incertitude des relations et par le suspense généré par de l'imprévisilibité des irruptions violentes. Ponctuelle, l'action coup-de-poing trame le film d'un certain malaise, glaçant. Le choix des rôles secondaires fonctionne. Pour faire contraste, on nous baigne de calmes séquences qui oscillent entre sérénité légère et pesante inquiétude (comme avec la jolie Irene, interprétée par une Carey Mulligan au visage un peu trop gamin pour le rôle). Au milieu d'un tel rythme pour le moins rendu artificiel, le personnage central évolue comme un professionnel, impassible ou flippant, irrémédiablement distant, et, du coup, le spectateur qui voudrait s'y projeter risque de rester sur la touche, bousculé, un peu, passablement ébloui voire subjugué, mais jamais bouleversé ni profondément ému. Enfin, la chanson de College (Feat. Electric Youth) semble épouser l'âme du Driver, présenté comme un «vrai humain» et comme un «vrai héros»: or ce n'est qu'ironie du genre! Entre mutisme morbide, pétage de gueule et abandon sentimental, on a plus l'impression d'avoir à faire à la constitution d'un mythe (d'où l'absence de prénom) qu'à un modèle digne de cette appellation. Un film virtuose mais creux, aux accents durs et pénibles, dont le style impressionnant ne manque pas de séduire. Le très bon "Bride of Deluxe" Cliff Martinez clôt cet envoûtant thriller.
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