Derniers Avis : Drive - Page 18

j'attendais impatiemment de le voir, finalement je suis tout à fait d'accord avec Paris Match: "a remporté le prix de la mise en scène à Cannes. On se demande bien pourquoi !"

Il y a de bonnes idées et une approche artistique presque, mais le héros n'arrive pas à prendre sa place, l'histoire de coeur est peu crédible et nian nian, la violence largement surexploité.

Un film qui vieillira mal. dessus.

Je n'ai pas accroché du tout. Ce n'est pas une question de manque d'action ou d'effets spéciaux ni de rythme lent. C'est juste que le film est très très artificiel et superficiel. Les ralentis permanents sur fond de musique plus ou moins guimauve ça ne fait pas un style. N'est pas Michael Mann qui veut. Reste quand même Ryan Gosling pour sauver un peu le film mais il a joué dans de meilleurs rôles (Danny Balint entre autres). Bref, ce n'est pas une daube, mais sûrement pas un chef d'oeuvre non plus.

Grosse déception que ce film. Bien que ce ne soit pas un navet, je m'attendais tout de même à beaucoup mieux étant données les critiques dithyrambiques dont il a bénéficié. Car il est de mon point de vue assez banal, notamment en ce qui concerne le scenario.

Estampillé "film de l’année" lors de sa présentation cannoise par une critique dithyrambique, "Drive" aurait dû être l’un des chocs de 2011, surtout avec un réalisateur aussi brutal que Nicolas Winding Refn aux commandes (voir la trilogie "Pusher" et "Bronson"). Au final, le film est pourtant d’une facture on ne peut plus classique et tente de compenser son intrigue convenue par une mise en scène travaillée. Car il faut admettre qu’entre le héros mutique qui mâchonne son cure-dent, le coup de foudre avec la voisine si attendrissante avec son regard mouillé et son gamin tout mignon, le coup du plan sans risque qui foire quand même ou encore l’éternelle rengaine du mec seul contre toute la mafia locale et qui s’en sort quand même, on ne peut pas dire qu’on voyage en terre inconnues. Il est d’ailleurs étonnant que la critique se soit affolée à ce point pour un scénario aussi prévisible et balisé. Est-ce la mise en scène atypique de Nicolas Winding Refn qui a su les séduire, en tranchant avec les autres films présentés à Cannes ? C’est possible car le réalisateur s’est visiblement davantage investi sur la mise en image de son histoire que sur l’histoire elle-même. Et "Drive" est clairement l’un des films les plus contemplatifs de l’année, que ce soit lors de plans de Los Angeles by night (très réussis et plutôt originaux) ou lors de la description de son héros, filmés au plus près, bénéficiant de ralentis très travaillées et de travelling en pagailles (qui ne sont pas sans rappelés un certain Kubrick). Un rythme posé qui permet de magnifier ce mystérieux Driver mais qui n’épargne pas au film quelques longueurs que le manque de suspense ne manque pas d’enfoncer. Le ton du film vire également, par moment, à la romance à l’eau-de-rose, avec des scènes, là encore, déjà vues (le héros qui passe du temps avec sa voisine et son fils, les regards complices malgré la présence du mari, la déclaration d’amour final…) et une BO atypique qui semble tout droit sorti des années 80. Heureusement, l’interprétation ne souffre pas de la moindre fausse note de Ryan Gosling, pourtant peu évident en machine à tuer potentiel et qui s’avère tout à fait convaincant, à la mimi Carey Mulligan en passant par l’excellent Bryan Cranston en complice, l’inattendu Albert Brooks en mafieux ou encore Oscar Isaac en mari taulard. Enfin, les scènes de confrontations viriles ne sont pas ridiculement voyeuristes (pas d’effusion de sang inutile et autres effets gores) et privilégient l’efficacité (la scène de l’ascenseur en est un parfait exemple). "Drive" est donc tout sauf un mauvais film mais son histoire attendue et sa réalisation stylée mais un brin prétentieuse m’empêchent clairement de participer au tressage de lauriers réservés par les critiques.

J'avais été tellement enthousiasmée par le bande annonce que je la revisionnais régulièrement pendant les mois qui suivirent en barrant les jours me séparant encore de la sortie de Drive; en sortant de la salle je déplorais surtout d'avoir fait aussi mauvais usage d'un si bon calendrier. Ce film c'est l'arnaque de l'année (2011), et si les 5 premières minutes sont fantastiques, c'est pour mieux nous décevoir par la suite. Alors qu'on pensait avoir un film de braquage/gangster avec des courses poursuites de l'action, de la tension et du suspense, on a finalement quelque chose d'incroyablement long (et chiant) dont une grande partie est consacrée à la romance gniangian entre Carey Mulligan et Ryan Gosling qui passent leur temps à se regarder avec des yeux de merlans frits en silence (parce que le silence c'est trop spirituel); et ce n'est pas plus mal en fait, parce que quand ils parlent ça envoie du lourd: une sorte de mélange bâtard de Twilight et de la "crème" du cinéma français (des dialogues cuculs et un débit de 3 mots/minute, la combinaison fatale). Et même quand ça se corse un petit peu, l'histoire est tellement ridicule et les méchants mafieux tellement caricaturaux que c'est dure d'y croire une seule seconde; et ce ne sont pas les acteurs qui vont changer la donne. Que dire de Gosling à part qu'il devrait s'estimer heureux que beaucoup de gens aient visiblement du mal à faire la différence entre "mystérieux" et "insipide" (ou entre beau gosse et bon acteur)? Carey Mulligan n'est pas transcendante non plus, mais on peu difficilement l'en blâmer tant son personnage est inintéressant et ennuyeux de toute façon. Le seul qui tire son épingle du jeu c'est Bryan Cranston, malheureusement trop peu présent. Enfin la multitude de scènes clichées supposées "cool" et profondes du style: Ryan Gosling regarde par la fenêtre, Ryan Gosling marche au ralenti dans un couloir l'air "menaçant" (c'est toujours un peu difficile à dire avec lui), gros plan sur la veste (moche) de Ryan Gosling (pour faire monter la tension, ou l'ennui c'est selon)... le tout dans une ambiance rétro-chic (ringarde) et sur fond de musique branchouille, rend ce film insupportablement prétentieux, ce qui pourrait être (éventuellement) acceptable si au moins il tenait la route (sans mauvais jeu de mot).

un film ou je me suis ennuyé profondément ou des scènes de violences sont proposées et il est tres long pour le peu de dialogues. Je n'ai pas aimé du tout

Film très très très lent.... Interminable... Et pourtant il avait tout ce qu'il fallait pour que j'aille le voir...: un pure beau gosse, une bande son Génialissime (un veritable coup de foudre) mais d'une lenteur....

Ayant vu les critiques avant d'allé le voir, et m'attendant du coup à un chef d’œuvre comme annoncé, j'ai été déçu ! Côté BO c'est impeccable, mais pour le reste. Des dialogues long et pesant, avec des trous de 10s entre chaque répliques, et où on est réveillé par de courtes scènes de violences exagérées. Côté voiture et courses poursuites, c'est juste dans le titre et sur l'affiche ou alors c'était pendant que je dormais.
6E la sieste, c'est cher...

Film a double tranchant. Soit on adhère au film, soit on n'adhère pas et le film perd son aspect dramatique pour se transformer en gag. Des dialogues de sourd peuplés de blanc monumental, un Ryan Gosling a la limite de l'autisme. Des scènes capable de mêler amour et violence extrême, a la limite du gore. Si on accroche ca va sinon on rigole comme moi et une partie de la salle.

Non mais c'est quoi ce film ?! Je ne comprends pas l'engouement qu'il y a autour. D'accord la mise en scène est super, la musique aussi, mais il n'y a pas de dialogue, le scénario aurait pu être terrible au lieu de ça il est fade. Il y a que 2/3 scènes d'actions et le reste c'est plat.

Heu...c'est décousu, des scénes qui traînent en longueur (forcément, le héros est taciturne alors des scènes où le voit juste réfléchir y en a un paquet et au bout de la 5ème ça gonfle), une bo jolie mais qui ne colle pas du tout aux scènes sur lesquelles elle est plaquée...bref, j'en avais lu que du bien, mais ça dépasse pas le 2/5.

"Drive", le film de l'année? Et Woody Allen basketteur pendant qu'on y est. Parlons de ce qui est positif: la bande-son est pas mal, c'est vrai. La première partie, où Nicolas Winding Refn essaie d'injecter de la tendresse à son film est pas mal c'est vrai. C'est bien réalisé, c'est vrai. Et voilà on a fait le tour. Déjà? Oui, car autrement, "Drive" n'est qu'une oeuvre qui accumule les effets esthétisants bien balourds et qui semble se complaire dans l'extrême violence qu'il accumule par paquets, tant elle est parfois gratuite et dispensable. "Drive" est un film grandiloquent, sans finesse, sans mesure. Qu'on ne vienne pas dire que c'est pour mieux caractériser le personnage principal. C'est déjà cette esbrouffe que je reprochais à "Bronson", et l'univers du réalisateur danois me répugne encore un peu plus. La note est plutôt sympathique par rapport à l'avis.

Je suis apparemment passé à côté du phénomène Drive. Pour moi, les 5 ou 10 premières minutes m'annonçaient un bon film mais malheureusement j'ai trouvé le reste que très moyen. La mise en scène est créative mais il y a trop de longueurs sans saveurs et l'histoire est assez téléphonée.

Mouais, quelques scènes très reussies, voire captivantes, puis l'ennui revient ça et là. Le film est mal rythmé, et malgré des personnages intéressants et de très bons acteurs, la mayonnaise ne prend pas....

un film spécial! une bande son extra mais les longueurs gachent un peu le film
je m'attendais à plus d'action et seulement qq scènes sont violentes
a voir quand même !