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    Drive
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    4 717 critiques spectateurs

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    Spider cineman
    Spider cineman

    152 abonnés 2 019 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2021
    On est tout d abord pris par l ambiance avec une bande son superbe, puis il y a l action et c est le choc. Drive est un film d action, une révélation... très bon jeu de Rosling. C est un film qui se voit et se revoit.
    Paul Ph-Dy
    Paul Ph-Dy

    37 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 avril 2021
    A ce niveau cinglant de réussite formelle et thématique, on peut aisément parler de film instantanément culte. Mieux de film référence !
    stans007
    stans007

    23 abonnés 1 311 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mars 2021
    Mise en scène créative et d’excellente qualité au service d’un scénario minimaliste, improbable et de peu d'intérêt impliquant des bolides conduits avec maestria et des personnages d’une extrême violence à la psychologie sommaire. En filigrane on peut y trouver une belle histoire d’amour.
    Aldrium
    Aldrium

    12 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2021
    Avant de rédiger ma critique, autant vous prévenir , je ne suis pas fan des films d'action.... Mais là, même s'il y a quelques scènes d'humour qui mettent un peu de baume au milieu des scènes de combat, j'ai trouvé la trame même du film complétement idiote... spoiler: Franchement,film sans profondeur, rempli de pas mal d'incohérences qui ne sont en rien expliquées... Comment une personne peut sauter environ à 4 mètres sans AUCUN élan (c'est dans les 10 premières minutes), ou une "puce peut-il booster l'organisme par sa seule présence ou alors augmenter un métabolisme est-il ltrès indiqué quand il est en train de suffoquer (par exemple), ce qui devrait logiquement augmenter la consommation en oxygène, donc le tuer + vite ?

    Le seul truc vraiment bien est les enchainements qui sont vraiment au point, c'est les combats... Vraiment réglés comme des montres suisses. Alors à part pour ça, passe ton chemin... Le film n'en vaut pas la peine !
    Therm-bomber
    Therm-bomber

    13 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juillet 2021
    Un film à l'atmosphère si particulière dès sa scène d'introduction...Très peu de dialogues, la violence monte crescendo et Ryan Gosling est parfait dans son rôle. Au final, un excellent film 5/5
    Captainsupertramp
    Captainsupertramp

    6 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2021
    L'histoire en elle même, bien que atypique, n'est pas exceptionnelle.
    Le succès de ce film vient enfait de la réalisation, le producteur a su nous mettre dans une ambiance qu'on ne retrouve dans aucun autre film grâce à la quantité faible de dialogue et le choix des plans de la caméra.
    *Le film est interdit au moins de 12 ans mais je dirai qu'il est peu plus violent que ça et PEUT être dérangeant CHEZ CERTAINES PERSONNES.
    pixelmon 16
    pixelmon 16

    2 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2021
    Voir ce film a été une vraie claque, et j'ai très vite su que ce film serait l'un de mes préférés. J'expliquerai en fin de critique la principale raison, mais auparavant je tiens à analyser le film dans sa globalité. Drive est maîtrisé sur tout les plans. Esthétiquement, c'est parfait : chaque scène est faite méticuleusement, les décors certes, mais surtout la lumière. Elle est utilisé dans le film à la perfection, chaque plan est splendide, les scènes en voitures par exemple sont extraordinaires, chaque détail est mis en valeur, et les jeux de lumières créent une atmosphère unique et magnifique. Le rythme du film est lent et intense à la fois. On est pas submergé par des scènes d'actions au vacarme assourdissant ou aux violences inutiles, le film laisse place aux émotions. Pour ce qui est des dialogues, il y en a très peu, et pour cause ! Le film se passe de mots, les silences nous donnent des frissons, et sont plus évocateurs que n'importe quel dialogue imaginable. À cet image, les relations entre les personnages sont surtout dans l'attitude, le regard, et le silence. Le personnage principal est peu bavard, énigmatique et solitaire, on ne connaît même pas son nom. Son visage qui paraît impénétrable au début, cache en fait une sensibilité hors du commun, et sans que l'on connaisse son passé, on se rend compte qu'il a dû être rempli d'épreuves difficiles. Ce personnage se révèle en fait être courageux, et sa relation avec Irène et son fils est comme un rayon de soleil dans une vie sombre et solitaire, un rayon de soleil pour lui mais aussi pour Irène et son fils. La scène du baiser, tragique et sublime à la fois, est extrêmement marquante et significative, le personnage laisse comme une dernière image de lui, car il sait que quelques secondes après, il ne sera plus le même aux yeux d'Irène, que plus rien ne sera comme avant. Il y aurait tant à dire sur cette scène, et sur bien d'autres encore, mais je vous laisse voir le film pour avoir votre propre interprétation, la mienne sur ce film étant très personnelle. Ryan Gosling, qui interprète ce personnage bouleversant, est juste époustouflant, il joue le rôle à la perfection. Le reste du casting est excellent, notamment Carey Mulligan dans le rôle d'Irène et Bryan Cranston dans le rôle de Shannon, personage lui aussi tragique, ce qui encore une fois permet de remarquer à quel point chaque personnage du film est vraiment bien écrit. Pour ce qui est de la musique, elle est utilisé à la perfection et nous immerge totalement dans l'ambiance du film. Dès le générique de début j'ai été impressionné par la musique, qui a une place importante dans le film. Le dénouement, triste et magnifique à la fois, laisse le spectateur dans l'incertitude, mais c'est surtout un moyen de nous identifier encore plus à l'avenir incertain des personnages, même si on sait que rien ne sera comme avant, et que les personnages principaux seront sans doute éloigner à jamais. En résumé, le film est beau de par sa pureté, son esthétique et ses scènes poignantes. Drive est un film dramatique mais magnifique à la fois. Personnellement, j'y ai vu plus qu'une histoire magnifique, j'y ai vu un personnage principal parfaitement écrit, parfaitement joué et auquel je m'identifie énormément de par son côté fermé et solitaire qui cache une multitude d'émotions, enfouis, maîtrisés, mais qui n'attendent que d'exploser. Un personnage qui cherche avant tout à faire le bien, et est prêt à faire d'immenses sacrifices pour protéger ceux qu'ils aime. En résumé, un personnage simple et complexe à la fois, riche en sentiments, mais surtout un personnage déchiré et bouleversant.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2021
    Une véritable claque à chaque fois ! Drive fait partie de ses films qui peuvent marquer votre vie (c'est le cas pour moi). L'intro est parfaite et nous fait directement entrer dans le film. Super ambiance avec une photographie léchée et le meilleure de la synthwave en BO (rarement une BO a été aussi bonne!). L'intrigue est sans chichi, efficace et juste assez testeronee pour avoir action et émotion. Le film est très sombre mais la fin est émouvante sans être tragique non plus. De très bons acteurs aussi: Bryan Cranston qui était alors au sommet de sa carrière avec la série Breaking Bad, Carrey Mulligan touchante et qui forme un joli duo avec Ryan Gosling. Il incarne un cascadeur taiseux et insensible au premier abord, personnage qui lui va comme un gant (celui où il est le meilleur d'après moi). Immanquable Drive, un chef d'oeuvre du cinéma tout simplement !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 février 2021
    Une intensité incarnée par un Ryan Gosling froid mais bien vivant et sublimée par un casting fort.
    Ce film ne tombe pas dans les clichés que nous aurions pu imaginer en lisant le synopsis et son nom.
    Nicolas V
    Nicolas V

    53 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2021
    "The driver" est un homme solitaire qui gagne sa vie grâce à la conduite. Le jour, il est cascadeur, la nuit il travaille avec des malfaiteurs (les mains uniquement sur le volant). Il décide un jour de protéger une famille en réparant une injustice, les évènements vont se compliquer.

    "Drive" est le triomphe de la mise en scène et du choc visuel. Nicolas Wending Refn pilote avec brio un drame complexe et sombre à l'instar de ces précèdents films. Sans excès, ni facilité, l'intrigue se révèle pas à pas et à différentes vitesses. La félicité succède à la violence à un rythme effréné. Les contrastes sont brutaux et font planner sur le film un sentiment amer de déception et de désillusion. A l'image de cette course automobile qui ne se fera jamais.
    Daucyy1
    Daucyy1

    6 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2021
    Un Ryan Gosling taiseux, sombre, ayant un côté limite dérangé, bref comme on l'aime. Ce film est un beau petit chef d'œuvre avec une réalisation au top, une bande originale démentielle (a real hero, kavinsky) !
    Pas besoin d'en dire plus, foncez mais attention aux âmes sensibles quand même aha !
    FeuNek
    FeuNek

    54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2021
    Je veux bien entendre les arguments des fans du film, ventant la qualité de la mise en scène et le soin apporté au cadrage, à la lumière, aux couleurs, à la musique etc. Mais je trouve qu'un acteur un minimum convaincant (ou juste au moins vivant) est quand même essentiel à un film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2021
    Je n'ai jamais vu un film avec une aussi bonne mise en scène, les plans sont fabuleux, les acteurs tout autant et que dire des bandes sons qui sont tout simplement grandioses.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2021
    Drive est le premier film américain de Nicolas Winding Refn. Auréolé du prix de la mise en scène au festival de Cannes 2011, il s’agit du film le plus populaire du réalisateur de Bronson. Un comble pour un artiste qui s’échine pourtant à diviser son monde à chacune de ses œuvres. La suivante, Only god forgive en sera d’ailleurs une réponse plus que jamais clivante. Pourtant, Drive est de la trempe des films cultes instantanés. Pourtant le pari de réaliser un film de voiture esthétique et contemplatif avec une économie de scènes musclées n’était pas gagné d’avance. Drive a su toucher car il parle d’amour à contre sens, et il ne le fait pas n’importe comment.

    Au premier plan, la maîtrise de l’espace et du temps sont les maîtres mots. Le protagoniste surplombe la ville. Par un travelling, nous voyageons d’une carte de la ville à la ville réelle surplombée en passant par des informations sportives mises en image via un écran téléviseur. Cette compilation de données aura une importance par la suite. Harmonie de l’image et du son, la préparation et la réalisation du premier casse est accompagnée par le thème musical du groupe électronique Chromatics « Tick of the clock ». Sur le tableau de bord du véhicule, les jauges sont omniprésentes. Le conducteur, notre protagoniste, est impassible, il installe une montre sur le volant. Ainsi, il devient maître des domaines visuels et auditifs. Au cours de la fuite en guise de braquage introductif, il se faufile partout. Son calme à toute épreuve tranche avec la désorganisation apparente de ses complices. C’est un homme de l’ombre qui utilise sa voiture de la même manière, comme un prolongement du corps. La poursuite se termine au stade, un écho à la minutie du premier plan.

    En dehors de son travail légal et de ses extras illégaux, le conducteur écume les routes. Dans son appartement, il n’est jamais à sa place. L’intérieur est toujours vide. De plus, il peine à communiquer avec les autres habitants de son immeuble. Lors de ses activités de doublure au cinéma, il porte un masque sans expressivité, et cela semble le caractériser au quotidien. Souhaitant engager la conversation avec sa voisine, il n’y parvient pas, malgré la lenteur de l’ascenseur et le long couloir à remonter pour gagner les appartements respectifs. Seul le hasard d’une panne de véhicule va l’amener à porter assistance à sa voisine, Irène. Cependant, la conversation reste inexpressive. Hors du véhicule, le conducteur n’est jamais dans son élément. La présence d’Irène est le seul élément qui rend distrait le conducteur. Par exemple, il oublie de mettre les roues de son propre véhicule lors de l’arrivée inattendue d’Irène au garage. Dans l’appartement, il fait souvent preuve de maladresse verbale. C’est seulement à bord du véhicule que l’on peut remarquer un sourire éclairant son visage. Symbole de leur relation nouvelle, leur première sortie commune les mènent vers une oasis au bout de l’asphalte. Lors de leur seconde sortie nocturne, les mains sont jointes. La voiture semble être l’unique mode d’expression de notre conducteur.

    La narration de Drive met notre protagoniste aux prises avec la grande criminalité de la ville de Los Angeles. Dans le monde des gangsters, on se plaint facilement qu’il n’y a plus de cendrier dans la ville. Malgré les bonnes manières apparentes, un juron amène vite à un coup de poignard planté. Depuis le film noir, la ville américaine s’est modernisée, mais les loups sanguinaires ne résistent pas à l’appel de la nuit (le titre de la chanson phare du générique). Le bassin cassé du garagiste employeur de notre protagoniste témoigne de la manifestation de la violence au moindre écart de conduite. De la même manière, le mari d’Irène, après avoir passé un séjour en prison, rêve de se racheter, de disposer d’une seconde chance. Il n’en sera rien. Les dettes sont fréquentes dans le grand banditisme, le mari doit replonger pour les solder. Il provoquera par ricochet l’entrainement du conducteur dans une spirale infernale. Car, dans le monde criminel, il faut savoir rester à sa place, mais surtout disposer d’une bonne étoile. En quelques scènes avisées, Refn lève le voile sur une Amérique régie par la violence à tous les étages. Le respect gagné par une poignée de main tendue et quelques bons coups réussis ne vaut pas grand-chose face à la compromission d’une respectabilité issue des castes de la mafia.

    Notre conducteur devient vite l’homme de trop. Dans l’appartement de la fille, le conducteur voit son reflet dans le miroir, mais il n’est que le troisième homme derrière une photo dévoilant la présence du fils et du mari. Derrière Irène, le mur est systématiquement tapissé d’une couleur chaude, le rouge. En revanche, c’est une tapisserie froide, c’est-à-dire, un bleu pâle qui est toujours à l’arrière du conducteur. La rencontre entre ces deux couleurs, ses variations alimentent l’essentiel du langage cinématographique proposé par le film. La menace semble venir de la course fomentée par le garagiste et ses farouches liaisons, mais cela concerne le domaine de prédilection de notre conducteur, et ce, malgré les menaces explicites des mafieux. Non, c’est le domaine privé et le retour du mari après un séjour en prison qui amènent les complications.

    Malheureusement pour la nouvelle relation émergeante entre le conducteur et Irène, c’est par le sang que ce dernier accèdera à la couleur rouge, donc à Irène selon le rapport décrit précédemment. C’est d’abord le sang qui éclabousse son visage dans le motel, puis la forte lueur rougeoyante dans l’ascenseur. Il est notable de relever que le baiser longtemps attendu n’a pas lieu lors d’une ascension, mais lors d’une descente vers le parking sous-terrain. Leur amour ne pourra jamais décoller, même après la mort du mari. L’irradiation provoquée par la violence des coups portés à l’assaillant de l’ascenseur est trop forte pour Irène. Elle dévoile le véritable visage de son ange gardien. Irène reste plantée au milieu du parking tinté d’un gris froid. Par opposition, le conducteur reste quant à lui dans l’ascenseur irradié de lumière. Nous assistons à une inversion du spectre des couleurs, mais pas à un mélange qui serait synonyme d’union pour nos deux protagonistes.

    Comme dans l’histoire du scorpion et de la grenouille, peu importe la volonté, il est dans la nature de celui qui porte le blouson au scorpion de piquer. La relation entre ces deux espèces représentées par le conducteur et par Irène n’est pas viable. Au final, le conducteur redevient anonyme en reprenant le masque de cascadeur pour faire le ménage au volant, ce qu’il sait faire le mieux. Après les confrontations, il ne sera plus qu’une ombre comme le suggère le plan où les deux derniers adversaires s’affrontent à l’arme blanche. Cette ombre renvoi déjà notre héros à une présence spectrale. Nous ne saurons jamais l’identité de notre protagoniste. Il ne s’agira que d’une présence arpentant l’asphalte de la cité des anges et ancrée dans le cœur d’une Irène délaissée et définitivement peu chanceuse avec les hommes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 janvier 2021
    magnifique. tout est si bien pensé. le jeu d'acteur est simplement époustouflant. les dialogues et les dimanches sont à tomber. a voir, revoir et rerevoir.
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