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rogerwaters
142 abonnés
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2,0
Publiée le 10 septembre 2016
Le parfait exemple du spin-off qui ne sert strictement à rien, à part à faire de l’argent facile sur le dos des spectateurs. Tout d’abord le titre est mensonger puisque Matt Damon n’est présent qu’à travers deux photos et que son personnage ne sert vraiment que de prétexte pour prolonger une série de manière artificielle. Ensuite, le script n’apporte aucun élément nouveau susceptible d’intéresser les fans de la première heure. On a ainsi la désagréable impression d’assister à un spectacle inutile, d’autant que la plupart des scènes s’étirent sans raison. Seule la poursuite finale en moto est vraiment sympa, mais c’est un peu maigre sur un film de plus de deux heures. Beaucoup de bla-bla et de circonvolutions pour camoufler un script exsangue. Shakespeare aurait dit : beaucoup de bruit pour rien. Même Jeremy Renner semble s’apercevoir qu’il n’a aucun personnage à défendre.
Jason Bourne est de retour, on prend (presque) les mêmes, et on recommence. Montage haché, rythme effréné (enfin après une longue introduction bavarde), tour aux 4 coins du monde, course-poursuite haletante, le sur-homme intelligent, une jolie femme pas loin. T.Gilroy prend les mêmes ingrédients qui avaient fait le succès des précédents opus, et peut se gratifier de tirer la franchise vers le haut sans faire de l’ombre ni tâche d’huile pour autant. Thriller toujours intelligent, toujours invraisemblable par ses multiples péripéties, mais au final sans grande originalité, « L’Héritage » ne se démarque pas pour autant des précédents opus, n’apporte rien de neuf, et s’apparente plutôt qu’à une rente fortuite bénéficiant d’une bonne génétique à la naissance. J.Renner n’est peut-être pas M.Damon, mais Aaron Cross est Jason Bourne. Donc rien de perdu au change,comme rien de gagné pour autant. La succession se fait sans douleur, "L’Héritage" reste dans la famille. Jusqu’au prochain....?
Un opus de Jason Bourne sans Jason Bourne n'est pas vraiment un problème, puisque c'est un film qui évoque les "dommages collatéraux" de l'affaire Jason Bourne, donc sa présence n'était pas vraiment nécessaire. L'idée de départ n'est pas trop mauvaise mais le problème c'est que le film a du mal à démarrer, avec de l'action quasi inexistante les 3 premiers quart d'heure. Le film commence à s'enflammer à partir de la tuerie du labo où l'action se met en place, enfin, parce que j'ai bien failli décrocher... Le reste du film est donc bien meilleur, mais on reste sur notre faim, on a l'impression que le dénouement est un peu trop facile et que le film n'est pas terminé... Sentiment mitigé donc, et lorsque l'on voit un film qui pêche au commencement et au dénouement, ça ne laisse pas de souvenirs impérissables.
"Jason Bourne : l'héritage" est un film spécifique à plus d'un titre. Déjà, parce qu'il est le premier film de la saga qui ne soit pas centré sur Jason Bourne, Ensuite, parce qu'il signe le retour de Tony GILROY à la réalisation, lui qui fut le metteur en scène du premier film, "La vengeance dans la peau" chroniqué aussi sur mon blog.
De ce fait, il n'est pas étonnant de retrouver dans ce film les mêmes défauts qu'il y avait dans le premier film de la saga Bourne. Le manque d'intensité, de rythme et d'empathie. N'est pas Greengrass qui veut.
Pour autant, le film est il mauvais? Non loin s'en faut!
L'histoire, concomitante au troisième volet de la saga Bourne, est intéressante. Elle reprend un élément du premier film, à savoir que les espions sont dopés, pour développer une histoire intéressante et autonome sans être indépendante. En gros, ça suit sa ligne scénaristique sans empiéter sur la trilogie Bourne mais en gardant la filiation intacte.
En outre, la présentation des personnages est ultra-efficace. Le film frôle même l'excellence jusqu'à ce que les protagonistes se retrouvent. Cultivant le mystère dans son premier acte, le film devient hélas assez convenu par la suite. Traque des services secrets, course poursuite sur les toits et dans la circulation, combat avec un autre super-espion, on sent que Gilroy remplie un cahier des charges imposés.On sent immédiatement que le réalisateur n'est pas à l'aise. Preuve en est, il ne fait que recopier des passages entiers des précédents films. Le souci dès lors est qu'il devient compliqué de ne plus voir ce film comme un simple ersatz marketing, une volonté de capitaliser sur une franchise très appréciée du public.
Dommage donc mais pour autant, "Jason Bourne : l'héritage", avec ses défauts, n'en demeure pas moins un meilleur film d'espionnage que n'importe quel James Bond depuis 20 ans. En outre, il apporte de nouveaux éléments à l'intrigue de la trilogie, étoffe le background, enrichit la mythologie et ne peut pas être ignoré.
Pari risqué pour cette suite en parallèle de " La Vengeance dans la peau " , un pari difficile qui assure pleinement son contrat. Le résultat est réussi , moins efficace que la trilogie Jason Bourne et qui ne lésine pas que sur les scènes d'actions. Les interprètes sont bons , le scenario tiens la route et la mise en scène correct dans son ensemble. Jeremy Renner est Aaron Cross , un " Jason Bourne " en plus faible , lui aussi traqué par la C.I.A. et son histoire vaut tout de même le détour. Cette quatrième monture est un bon divertissement.
Excellent film avec de l'action comme dans les trois premiers épisodes. L'histoire se déroule en parallèle de l'intrigue des trois premiers épisodes et se révèle tout à fait vraissemblable.
" Jason Bourne , l'heritage " 4e opus de la saga " Jason Bourne " . Jason Bourne a mis en lumière le programme " Treadstone " . Mais ceci n'était qu'une partie d'une conspiration plus grande de la CIA mettant en jeu d'autres agences de renseignements , d'autres programmes militaires , d'autres laboratoires secrets . Pour empêcher que les journalistes et le grand public découvre le reste de cette comspiration et les autres projets qui en découlent la CIA décide de faire disparaître certains de ses projets dont un projet nommer " Outcome " qui sert à créer des super soldat capable d'assurer des missions à haut risques . Ils décident de liquider toutes les personnes participant à ce projet dont Aaron cross ( Jeremy Renner ) un des 6 agents participants à ce projet et destiné à devenir un super soldat de ce projet . Il va tenter d'echapper aux hommes qui veulent le tuer avec l'aide de Marta shearing ( Rachel Weisz ) biochimiste du projet elle même menacer de mort ... Bon que dire de ce 4e volet de la saga " Jason Bourne ? Paul greengrass le réalisateur des 3 premiers opus de la saga n' a bizarrement pas été reconduit pour mettre en scène ce 4e volet malgré l'enorme succès des 3 premiers films et en particulier du 3e . Matt Damon L'interprète de " Jason Bourne " le héros des 3 premiers film a alors décider de ne pas participer à ce 4e opus par solidarité avec son réalisateur . Les producteurs se sont donc retrouver devant un problème de taille comment faire un 4e opus de " Jason Bourne " sans le personnage de Jason Bourne qui est le héros principal de la franchise . Ils ont donc du remanier ce 4e volet et faire apparaitre un nouveau personnage à la place . Ce 4e opus est donc un épisode sans le personnage de Jason Bourne dont l'intrigue se situe au même moment que le 3e volet ( " la vengeance dans la peau " ) et qui suit en parallèle un nouveau personnage . Ce film est donc une suite / spin off centrer sur un autre personnage que Jason Bourne mais qui est directement lié aux évenements du 3e film . Suite aux évenements du 3e opus la cia est contrainte de faire disparaitre certains de ses projets et de liquider certaines personnes ayant participer à ses projets dont un agent et une biochimiste qui vont se retrouver traquer et qui vont tenter d'echapper à leurs poursuivants ce qui va donner lieu à son lot d'action et de suspense . L'intrigue ne fait pas trop dans l'originalité ( encore une course poursuite avec la cia qui traque l'un de ses agents ) mais c'est efficace . Même si le film met un peu de temps à demarrer l'intrigue s'avère efficace et prenante et nous tient en haleine jusqu'à la fin pour voir comment vont s'en sortir nos deux protagonistes traqués . Le film contient quelques bonnes scènes d'actions prenante et divertissantes comme la course poursuite en moto . Le casting est plutot pas mal . Jeremy Renner est plutot pas mal dans le rôle de l'agent Aaron cross . Bien évidemment il ne nous fera pas oublié le charismatique Jason Bourne le Heros des 3 premiers films mais il s'en sort pas mal et il est plutot crédible dans le rôle de cette agent traquer qui va tout faire pour échapper à ses poursuivants en compagnie d'une biochimiste nommer Marta shearing bien interpréter par la charmante Rachel weitz . La réalisation est forcément moins efficace vu que le réalisateur Paul greengrass n'est plus aux commandes mais sa reste très correct . Un 4e opus de " Jason Boune " sympa et divertissant .
Jason Bourne : L'Héritage, même s'il y a une escroquerie dans le titre. Jason Bourne n'apparaît pas une seule fois dans ce film. C'est à peine si son nom est mentionné. Les scènes d'action sont très intenses et on reste accroché à l'écran. Le scénario est pas mal du tout. Jeremy Renner est excellent. C'est vraiment un acteur à suivre. Rachel Weisz est une bonne actrice, quant à Edward Norton, lui aussi est un acteur plus que prometteur. Un bon film, peut-être un peu en-dessous de la trilogie originelle, mais un film de très bonne facture.
Un film oubliable mais très regardable. Ayant beaucoup aimé la trilogie Bourne, je m'attendais à une baisse de qualité pour ce spin-off. Mais le film n'en reste pas moins agréable et très divertissant. Commençons par les points négatifs : l'exposition est un peu trop longue, et se révèle être assez inutile car cet opus est clairement l'épisode de la saga qui joue le plus la carte du divertissement ; cela aurait pu raccourcir le film d'au moins 10 minutes. De plus, cette exposition nous présente le personnage d'Edward Norton qui ne se révèle pas comme l'antagoniste principal du film (j'aurai adoré une confrontation directe, ou au moins par téléphone entre lui et Aaron). Sinon à part ça, le film reste cool. Jeremy Renner est excellent dans le rôle principal, puissant et talentueux, et les scènes d'action sont assez impressionnantes (la fameuse course-poursuite en moto, la scène dans le laboratoire). De plus, dans la lignée des 3 précédents opus, ce film dénonce clairement le fait que des agences telles que la CIA utilisent des hommes comme des armes qu'elles n'hésitent pas à supprimer (ce qui fait que The Bourne Legacy ne rentre pas dans cette catégorie de blockbusters complètement cons). La réalisation est basique mais tout de même bonne, le montage et la photographie sont précis et travaillés, l'intrigue est plutôt agréable à suivre, et j'ai beaucoup aimé l'idée de mettre la musique "Extreme Ways" aux crédits. Il en ressort donc un film d'espionnage basique clairement en-dessous de ses 3 prédécesseurs mais tout de même efficace, et franchement on ne lui en demande pas plus.
Si les adaptations littéraires de Robert Ludlum sont achevées, la boucle n'est néanmoins pas bouclée vis-à-vis du mythe Bourne. En 2012, Paul Greengrass cède sa place derrière la caméra à Tony Gilroy, scénariste historique de la saga pour un spin-off, au carrefour des épisodes précédents. Comme Rocky Balboa quelques années plus tard, on dévoile ainsi "L'héritage de Jason Bourne". Mais si Tony Gilroy demeure un excellent scénariste, autant il se teinte de classicisme lorsqu'il passe derrière la caméra. Si bien que l'on peine à retrouver la nervosité insufflée par Greengrass, transformée en film d'espionnage quelconque. Si cet engouffrement dans les conventions s'avère efficace, on est tenté d'appliquer à l'avenir le principe de chacun et chaque chose à sa place.
Je ne vais pas faire durer le suspense inutilement : pour moi qui suis un fan absolu de la trilogie Jason Bourne avec Matt Damon, ce 4ème volet sans Matt Damon et sans Jason Bourne est vraiment bien en dessous en terme de qualité. Tout d’abord, cela se ressent en terme d’histoire – il n’y a pas derrière ce nouvel opus le romancier Robert Ludlum et cela se voit –, de mise en scène et de montage avec des passages inutiles spoiler: (les scènes à Séoul) , des histoires tarabiscotées spoiler: (les relations des 2 savants homme dont le film a été piraté et diffusé sur internet) ou trop longs (tout le début du film) et surtout 18 minutes de trop par rapport au plus long film de la trilogie : l’une des grandes qualités de cette trilogie était d’ailleurs son rythme et l’enchaînement des scènes sans temps mort, ce qui n’est pas le cas dans ce nouvel épisode. Il y a aussi un Jeremy Renner qui, bien que très crédible, souffre de la comparaison avec Matt Damon, un Edward Norton qui n’est pas du tout dans le rôle (au contraire du revenant Stacy Keach) et un méchant qui fait davantage penser au Terminator qu’à un humain. Alors, bien sûr, quand on est habitué à manger du saumon fumé sauvage tous les jours, la truite saumonée d’élevage vous paraît bien fade… Néanmoins, tout n’est pas à jeter dans ce film au contraire. Il y a l’ambiance si particulière des films d’espionnage précédents que l'on retrouve ici, quelques scènes brillantes, un personnage interprété par Rachel Weisz qui est vraiment à sa place dans l’histoire, des scènes de bagarre et de poursuite vraiment dans le ton des précédents volets et quelques stratagèmes bien sentis, dignes de l’intelligence déjà montrée à maintes reprises par les scénaristes de Jason Bourne. En plus, même si le film est trop long, on passe un très bon moment dans ses dernières 100 minutes. Ce qui est sûr, par contre, c’est que je reverrai volontiers encore la trilogie avec Matt Damon (déjà vue plusieurs fois sur chaque support - Cinéma, télévision, DVD et Blu-Ray - alors que je ne pense pas revoir ce dernier volet beaucoup plus classique et déséquilibré.
Je n'avais jamais vu la saga "Jason bourne" et j'ai agréablement été surprise par cet opus. Jeremy Renner toujours impeccable tant dans son jeu que dans ses cascades avec une justesse et une précision digne d'un joailler. En parlant de pierres précieuses, malgré une diminution des entrées par rapport aux autres films, celui-ci est un petit diamant. La lumière du film donne toute l'ambiance entre dureté et douceur. Le ton est donné, maintenant regardez !
Une injure à la trilogie. Qu'est ce que le nom de Jason Bourne fait là dedans ? On ne le voit même pas ! A part la poursuite vers la fin, c'est longueur, longueur et longueur.