Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Junk H.
8 abonnés
95 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 26 janvier 2024
Les 4 films d animation sont clairement sous cotés. L esprit et l univers sont fideles au jeu, on retrouve tous les ingredient de Resident Evil dans un film d animation qui aujourd'hui encore est agreable a regarder.
chef d'oeuvre absolue. respecte totalement l'histoire de resident evil. ont suit l'histoire de claire redfeld qui revient après la catastrophe de racoon city, la politique et de nombreux pays sont en ébulition après ce qu'il c'est passé et enssuite il ce passe les évènement abituels: une personne est infecté cela amène a propager le virus de zombie......de l'action de l'adrénaline tel que l'on connait dans les jeux, une qualité de dessin absolument sublime en bluray remaster 1080p, un leon badas des resident evil 4 et 6(les jeux) arrive pour leurs prêter mains forte, le film est énnormément scénarisé pour pouvoir mieux raconter l'histoire, de l'action, de l'adrénaline, un boss de fin incroyable.
Premier volet animer de la saga zombiesque, ce dernier m'à d'abord surpris par sa qualité visuelle honnêtement décevante, peut être que son année de sortie 2008, en est la cause. Sur le plan large, le récit reste simple du démarrage à son milieu car comme toujours, lorsque les révélations s'enchaînent d'une seule traite, traiter et trier les infos est parfois compliquer. Mais la recette des zombies envahissants un aéroport puis une ville entière reste "basique", ici on est plus sur un 8 clos gigantesque avec 2 décors principaux ou nos personnages évoluent à vitesse modérée. La direction en animation, je serais incapable de la jugée tant ce registre cinématographique est uniquement fait par ordinateur, les actrices et acteurs de motion-capture ne peuvent pas pour moi être correctement juger tant la technologie fut à ses début cette année-là, leur détails comportementaux sont donc approximatifs en quelques sorte. Si l'action large reste efficace, le final explosif et typique des "Resident", ce premier volet est bon mais visuellement, pas encore la prouesse, reste la suite des évènements.
Techniquement vieillissant et ce n'est pas un préjudice en soit, après plus de 10 ans, l'épisode Degeneration reste cinématographiquement très enjoué. Les derniers épisodes animés de cette saga nous rappelle à ses origines et on en oublierait à quelle point elle a toujours soigné ses apparitions. L'histoire en elle même n'est pas folichonne mais on plonge facilement dans cette zombiesque aparté.
La première partie est bien , le huis clos dans l'aéroport rappelle les belles heures de la franchise et ses premiers opus , orientés survival horror. Je regrette que la suite ne soit pas du même acabit, avec comme d'habitude une histoire peu subtil à base de méchants et de virus, et un partie pris plus action dans la lignée du quatre. Néanmoins en tant que fan de RE c'est un plaisir de voir Léon et Claire , d'autant plus que ça étoffe le lore de la série , contrairement aux films de Anderson. Le niveau d'animation est correct , même si je trouve le design de Léon un peu bizarre. Degeneration est donc inégal mais pas dénué d'intérêt et il est appréciable que Capcom s'occupe de sa franchise au lieu de la déléguer. Dernière chose : en le renvoyant je pense que ça aurait pu être un bon jeu , car il applique la recette classique et efficace à base de d'environnements fermés et de boss entre autres. Manque un peu de bestiaire , mais la base est là.
Certainement l'épisode le plus fidèle à l'univers de la saga, ce Resident Evil manque toutefois d'horreur et de dynamisme. Peut-être plaira t-il aux fans du jeu ?
Le film est assez bon avec malheureusement pas de Tirans en effet Léon et claire font face au virus G en mutation les scènes de combat sont réussi les ost aussi.leon toujours aussi charismatique qui pense avec ça tête et claire toujours aussi forte et habile j'ai hâte de regarder les autres.
Un excellent film de grande qualité avec de l'action de l'émotion et du suspens. La réalisation est de qualité et le script également. De très bon acteurs et une ambiance incroyable. Je valide totalement cette œuvre narrative.
Nous sommes en 2008, en marge de la saga cinématographique initiée par Paul W.S. Anderson l’éditeur Capcom lance ce premier film d’animation mêlant images de synthèse et Motion Capture. En ayant recours à cette technologie, il était inévitable que les graphismes prennent un coup de vieux et certaines cinématiques de nos jeux actuels sont bien meilleures que ce que l’on voit à l’écran. L’histoire reprend les éléments du célèbre jeu vidéo ce qui permet également aux spectateurs de retrouver des personnages bien connus comme Claire Redfield ou Leon S. Kennedy. Le scénario est somme toute très basique et côté action, on ne peut que constater une grosse baisse de rythme entre l’aéroport et les laboratoires Wilpharma. Resident Evil : Degeneration c’est surtout l’occasion pour les fans purs et durs de prolonger le plaisir !
Ce n'est pas de l'horreur mais un mixage de politique fiction, film d'action avec des héros, de guerre, des zombies assez classiques style walking dead et un monstre original. Les plus gros monstres étant des personnages malsains pendant que le trio de héros de ce film est soigné à tout point de vue. Pas tellement intéressant juste un genre d'histoire apocalyptique bien sinistre qui se gausse d'une vue à l'échelle mondiale. Un point commun à ce genre est : le virus fabriqué par qui et qui a l'antidote ? c'est bien en même temps une actualité du XXI ème siècle et un bien gros cliché.
[Spoilers] Resident Evil : Degeneration est un film très sympathique, qui respect assez l'univers des jeux Resident Evil et qui vient se positionner entre Resident Evil 4 et 5, 7 ans après les évènements de Racoon City. Comme le réalisateur l'explique, il voulait permettre aux fans des jeux d'avoir une attente moins longue entre la sortie du 4 et celle du 5, il était donc de mise de bien s'inspirer de l'ambiance de cette saga, qui se démarque de jeux de zombies "normaux" par le fait de monstres mutants qui créent une ambiance additionnelle d'horreur, de suspense et d'action à la saga. Dès le début, les traits de caractères de Leon S. Kennedy montrent que le jeune agent de police de Raccoon City a bien sûr évolué de jeu en jeu et developpé une grande expérience, une prestance et un sang-froid exemplaire depuis 1998, et surtout avec cette dernière expérience de l'Europe de l'Est. L'équipe creatrice du film souhaitait aussi que le film ait une portée realiste tout en ne s'éloignant pas du jeu, raison pour laquelle les images semblent très realistes par moments pour les plans d'ensemble, mais "un peu moins" pour les traits des personnages. L'autre chose qui fonctionne dans ce propos c'est les mouvements des personnages qui ont été captés en studio par des acteurs hollywoodiens, car le realisateur savait que des acteurs japonais n'auraient pas la même chorégraphie, la même façon de bouger que des acteurs américains, ce qui fonctionne plutôt bien. Même si quelques petites choses restent un peu prévisibles, l'histoire est plutôt bien ficelé et propose de remettre en question à la fois les bonnes personnes et à la fois les moins bonnes. Une autre chose intéressant étant le fait de vouloir rendre les personnages créés autour sentimentaux avec des des envies de sauvetages, lorsqu'ils pénètrent dans l'aéroport ; le realisateur voulait des personnages humains qui ne comprennent pas la situation, mais qui apprennent via Leon et Claire. Dernière chose, le petit clin d'oeil des retrouvailles de Claire et Leon à l'identique des Resident Evil 2 fut très appréciable. Bref, un bon film, un divertissement respectueux du travail des jeux.
Produite à la source par les studios Capcom, cette version synthèse de Resident Evil bénéficie sans conteste d’une certaine authenticité. On retrouve ce côté immersif et l’atmosphère pesante qui fit la réputation de la très estimée saga vidéoludique. On constate également qu’une version animée s’y prête aussi bien qu’une version ciné live. C’est assez comparable à une longue cinématique d’1h30, retraçant dans les grandes lignes certains éléments du jeu, notamment l’apparition des premiers sujets infectés par le virus T, et le titanesque complot politique qu’il y a derrière. Mais que serait une bonne intrigue Resident Evil sans les bons protagonistes ?! Leon S. Kennedy et Claire Redfield sont évidemment de la partie pour une bonne dose d’action, de terreur et de fusillades. C’est exactement l’esprit action horrifique de la saga, pour le plus grand plaisir des fans. Malgré le côté synthétique, l’animation est extrêmement fluide, assez similaire aux cinématiques du quatrième volet sur ps3. Si l’on retrouve certaines défaillances identiques à l’œuvre de Paul W.S. Anderson, on y retrouve également le même plaisir. Plaisir que partageront au même titre les puristes comme les néophytes, cela va de soi. 4/5
Un mois avant la sortie du très attendu Resident Evil 5, Capcom donne une leçon de cinéma à Paul W. Anderson en sortant le premier film d’animation de la série. Intitulé Resident Evil Degeneration, il se situe entre les événements des épisodes 4 et 5 et remet à l’honneur le duo Léon Claire, après une absence de plusieurs années pour cette dernière, Resident Evil Code Veronica étant sa dernière apparition. Si on retrouve un Léon endurci fidèle à lui-même, c’est un véritable plaisir de revoir Claire en si grande forme, avec le rose qui lui va si bien, un visage éclatant et encore plus de professionnalisme depuis qu’elle travaille pour TerraSave, une ONG qui lutte pacifiquement contre le bioterrorisme. Le scénario prend place à l’aéroport d’Harvardville alors que les zombies se multiplient après une fuite du virus-T. Claire parvient à s’isoler avec une petite fille (clin d’œil évident à Sherry Birkin de Resident Evil 2) et le sénateur Ron Davis, véritable archétype du ripou désagréable jusqu’aux plis sur sa figure et son costume à rayures véreuses, très mal perçu par le public à cause d’événements liés à la situation concernant WillPharma, autre société qui mènerait des expériences douteuses. Léon est alors envoyé pour les sauver avec deux agents du gouvernement : Greg Glenn le gros dur qui veut tirer sur tout ce qui bouge, et Angela Miller, moins expérimentée mais plus réfléchie. Son frère Curtis ayant perdu sa femme et sa fille à Raccoon City, il tombe dans la folie par ses actions et spoiler: devient le principal antagoniste du scénario, devant une monstruosité en s’injectant le dernier échantillon existant du virus-G, ressemblant alors à un croisement entre William Birkin et un ANMC de Parasite Eve II.
Techniquement, les images de synthèses sont magnifiques pour l’époque, l’animation de grande qualité et les voix françaises très convaincantes, une première dans la série qui avait habitué les joueurs à des doublages anglais. Parfaitement intégré dans la chronologie de Resident Evil, le film est également fidèle à l’esprit de la série, alternant scènes d’action et passages calmes, sans oublier quelques moments de suspense dans la pénombre. Mieux encore, il nous fait revivre certains moments-clés de Resident Evil 2 dans des scènes éblouissantes comme Léon et Claire qui courent dans les rues et la première rencontre avec William Birkin métamorphosé ; on trouve même un clin d’œil à la première rencontre des deux héros lorsque Léon demande à Claire de se baisser pour tuer un zombie, et à Resident Evil 4 lorsque Léon communique avec Ingrid Hunnigan. Bien que classique, le scénario est très soutenu dans sa narration et ne manque pas de surprendre par son intrigue, Frederic Downing spoiler: faisant preuve d’une trahison remarquable . Un premier essai transformé avec succès !!
J'ai trouver ce film un peu long, je me suis ennuyer assez souvent pendant le film, mais bon sa reste un bon film d'action en image de synthèse ( qui sont vraiment pas mal )