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    Jusqu'en enfer
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    karimo1984
    karimo1984

    2 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2020
    Une petite pépite signée Raimi. Un film culte dans le genre horreur comique. J'ai complètement adhéré et je le revois souvent.
    mouh M.
    mouh M.

    5 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2020
    Les contes de la crypte, voilà a quoi ce film fait penser. Mais c'est du vrai cinéma, pas une série B. Raimi reprend les grandes ficelles du film horrifique avec des éléments surprenants et parfois drolesques. Un bon petit film qui vous garde dans son sillage tout du long.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 octobre 2019
    Film d'horreur jouissif digne de Sam Raimi et d'Evil Dead !!! De la folie, de la terreur et quelques rires bien placés !!
    Rebiahi Kev
    Rebiahi Kev

    5 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2019
    7 paroles prophétiques à propos de la fin des temps
    Ce monde peut être un endroit sombre. Il est parfois difficile d’entrevoir la lumière et l’espoir au milieu de toute la souffrance et la douleur qui nous entourent.

    Cette année a été le témoin d’actes terroristes, de catastrophes naturelles, de changements sociétaux… Les gros titres des journaux révèlent des luttes constantes, des souffrances et des conflits auxquels les gens sont confrontés partout à travers le monde. À cela s’ajoutent nos propres pertes et difficultés personnelles, qui nous rappellent que cette vie est loin d’être parfaite. Mais en tant que croyants, nous avons l’espérance de l’éternité. Les temps passés sur Terre ne sont qu’une étape.

    Plusieurs prophéties bibliques annoncent la fin des temps, non pas pour que nous vivions dans la peur et l’inquiétude. Dieu nous demande seulement d’être conscient, sage et vigilant, afin de discerner les signes et de demeurer ferme et fidèle.

    Quand vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres, ne soyez pas troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin.
    Marc 13:7

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    1. Les faux prophètes

    Si quelqu’un vous dit alors : Le Christ est ici, ou : Il est là, ne le croyez pas. Car il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes ; ils feront des prodiges et des miracles pour séduire les élus, s’il était possible.
    Marc 13:21-22

    2. Guerres, famines, tremblements de terre…

    Quand vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres, ne soyez pas troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s’élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume ; il y aura des tremblements de terre en divers lieux , il y aura des famines . Ce ne sera que le commencement des douleurs.
    Marc 13:7-8

    3. La persécution et l’Evangile annoncé à toutes les nations

    Prenez garde à vous-mêmes . On vous livrera aux tribunaux, et vous serez battus de verges dans les synagogues ; vous comparaîtrez devant des gouverneurs et devant des rois, à cause de moi, pour leur servir de témoignage. Il faut premièrement que la bonne nouvelle soit prêchée à toutes les nations. Quand on vous emmènera pour vous livrer, ne vous inquiétez pas d’avance de ce que vous aurez à dire, mais dites ce qui vous sera donné à l’heure même ; car ce n’est pas vous qui parlerez, mais l’Esprit-Saint. Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant ; les enfants se soulèveront contre leurs parents, et les feront mourir. Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom, mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé.
    Marc 13:9-13

    4. L’amour qui se refroidit

    Et, parce que l’iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé.
    Matthieu 24:12-13

    5. Des temps difficiles et pénibles pour tous

    Et que celui qui sera dans les champs ne retourne pas en arrière pour prendre son manteau.Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que ces choses n’arrivent pas en hiver.
    Marc 13:16-18

    6. Nul ne connaît le jour et l’heure

    Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul.
    Matthieu 24:36

    7. Les signes dans le ciel

    Il y aura des signes dans le soleil , dans la lune et dans les étoiles. Et sur la terre, il y aura de l’angoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots, les hommes rendant l’âme de terreur dans l’attente de ce qui surviendra pour la terre ; car les puissances des cieux seront ébranlées. Alors on verra le Fils de l’homme venant sur une nuée avec puissance et une grande gloire. Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche.
    Luc 21:25-28

    jusqu'au Paradis...
    Maryssa
    Maryssa

    4 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2019
    Si vous avez envie d'avoir peur, regardez ce film.
    L'horreur est présente dès le début, entre les passages gores, malsains, dégoûtants ou vraiment terrifiants.
    Ici, l'horreur n'est pas cachée. La menace que représente l'esprit est belle et bien présente.
    Avec un scénario intéressant, un film qui tend jusqu'au dénouement final, qui doit probablement etre un des meilleurs final du cinéma horrifique.
    Le film est très bon et assez effrayant. Je vous le recommande chaudement. (Attention toutefois si vous êtes facilement dégoûtés, le film l'est beaucoup (; ).
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 089 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 août 2019
    Si Jusqu’en Enfer constitue l’une des plus géniales réussites de son auteur, il doit également être reconnu comme un pilier du cinéma d’horreur contemporain. Point de jonction entre un artisanat où les prothèses, où les masques, où le gore à grand renfort de litre de faux sang jaillissent à foison, et un parcours dramatique bien connu des séries B et Z qui est, aujourd’hui encore, la base de toutes les productions du genre, le film de Sam Raimi se démarque pourtant de l’un par la virtuosité de ses effets et de l’autre par la radicalité du geste cinématographique. Nous suivons la jeune Christine Brown, interprétée par la ravissante Alison Lohman, dans un long et périlleux chemin de croix au terme duquel n’est couronnée nulle rédemption, seulement la fatalité d’une malédiction qui prend sa source dans l’humiliation. Le cadre de la banque sert au cinéaste de prétexte pour dénoncer le capitalisme d’une société qui n’hésite pas à renier l’humanité de son prochain pour accroître ses bénéfices. À ce contexte machinal se heurte le surnaturel, volonté de détruire les édifices bâtis sur des chiffres et de la spéculation, moyen pour Raimi de restaurer l’art au sein du microcosme figé de l’entreprise. La présence maléfique se manifeste par une série de sons – crachements, claquement des ongles sur le bureau, bourrasques – puis d’actions dont l’ampleur contraint Christine à sortir de ses gonds, à délaisser la bienséance nécessaire à la (sur)vie parmi les siens. Aux yeux des autres, elle paraît folle. Une exception, notable : son petit-ami, passerelle entre deux univers (la bourgeoisie mondaine d’un côté, la paysannerie de l’autre), qui atteste à chaque plan un amour sincère pour sa bienaimée, au grand dam de son milieu d’origine. C’est l’occasion pour le cinéaste d’insérer le second thème qu’il tisse en filigrane tout au long de son film : le danger du conformisme social par le biais d’un reniement de ses racines. Car la jeune femme n’a de cesse d’être désignée comme une paysanne : dans la bouche d’une marâtre aigrie ou par ses propres dires, elle ressent la difficulté d’assumer sa marginalité au sein d’un monde qui ne peut l’accepter et la méprise profondément. En ce sens, la malédiction s’apparente à un baptême, rituel religieux qui conduira Christine à renaître symboliquement dans les vêtements d’une autre, en guise de clausule. Quelques instants auparavant, nous la voyons refuser un gâteau proposé par une hôtesse de gare. Voilà sa nature intérieure exorcisée ! Pas de chance pour elle, adopter l’ombre de la caste dominante équivaut à la damnation éternelle. Elle a troqué le bouton de l’artisan pour la pièce de monnaie. Là brûle le feu contestataire de Sam Raimi qui a toujours revendiqué, dans son cinéma, le droit à la marginalité de corps et d’esprit : un homme-araignée sillonne les toits de New York, un magicien embarque pour le pays d’Oz, un scientifique revient du pays des morts, bien décidé à vivre malgré sa difformité physique. Pamphlet politique virulent, Jusqu’en Enfer prouve qu’il est possible et même souhaitable de faire du cinéma d’épouvante intelligent. Et si nous avons tu les qualités strictement horrifiques du métrage, c’est pour mieux éviter la cascade de superlatifs. Ajoutons enfin la partition signée Christopher Young, monument musical à part entière. Avec une telle œuvre, il est certain que nous suivrons Sam Raimi où qu’il puisse aller et, s’il le faut, jusqu’en enfer.
    Shonaoupabairy
    Shonaoupabairy

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 août 2019
    Ce film est un régale. Dans un premier temps j'aime beaucoup le fait qu'il met en avant quelque chose de vraie tel que la sorcellerie spoiler: Ganush jettant un sort a Cristine a partir d'un objet lui appartenant
    C'est quelque chose de courant mais pas tout le monde y croit. Alors je trouve que ça donne une touche d'originalité dans le film. Dans un second temps à première vue le scénario reste un peu le même que celui des films paranormaux. Un démon, un esprit malfaisant qui se manifeste dans la vie d'une personne ou d'une famille et qui vient la hanter et enlever le calme qu'il y avait avant dans la vie de celle ci. Mais ce qui donne du piquant au film, qui fait qu'il soit si angoissant c'est que l'on se demande sans arrêt comment va t'elle se débarrasser de cette esprit qui compte bien venir l'emmener en enfer après trois jours. Comment faire pour déjouer le sort. Et ces questions font qu'ont va regarder le film jusqu'a la fin afin d'avoir notre réponse et on va donc découvrir ce qui s'y passe dans ce film. Avec les scènes très angoissantes lorsque le Lamia commence a ce manifester. Accompagner de la petite touche de gore, spoiler: lorsque Cristine voit sans arrêt ganush celle ci lui bave dans la bouche, ou un liquide dégoûtant sort de la bouche de Ganush morte et entre dans celle de cristine, eurk!
    C'est vraiment dégoutant. Et ce côté répugnant, effrayant et angoissant fait que le film est géniale et appréciable. Les effets sonores spoiler: comme le bruit du portail
    ; ou encore les musiques en arrière plan lorsque les portes de l'enfer s'ouvre me donne des frissons. L'un de mes premiers films d'horreur préférer depuis que je suis toute petite.
    Jake S.
    Jake S.

    83 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    Petit bijou ou surenchère dans l’originalité ? Difficile de critiquer ce film tant il nous procure un grand nombre de sensations bien différentes les unes des autres. « Jusqu’en enfer » glace le sang à n’en plus finir et les effets horrifiques sont particulièrement efficaces. On retrouve un Sam Raimi bien en forme qui manie presque à la perfection les nouvelles évolutions du genre en les adaptant à son propre style de mise en scène et de « jumpscares » tous aussi effrayants les uns que les autres. On est embarqué dans un sinistre manège qui n’en finit pas ! Concernant l’histoire, il est plus difficile d’avoir un jugement tranché puisque l’on passe par le dégoût, l’angoisse, la peur et l’humour en très peu de temps. Et ce qui pose problème parfois, ce sont les passages un peu tirés par les cheveux comme spoiler: le démon qui danse
    ou spoiler: la scène finale du cercueil
    . Rien de tout cela n’est rédhibitoire dans l’avancement du film mais j’y vois tout de même une perte de dynamique et un côté « WTF » gênant. Vous me direz, les « Evil Dead » étaient bel et bien construit à partir d’horreur et d’humour donc on ne change pas les habitudes d’un réalisateur en quelques décennies.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    sam raimi réalise un film d´horreur de très haut niveau, flippant et propre. du raimi pur et dure. très très bon film.
    Benjamin P
    Benjamin P

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 novembre 2018
    On a cru voir un film d'horreur humoristique avec ma copine. Dès le départ, on a compris que l'on tombait dans un traquenard. Effets spéciaux étonnants et assez drôles, au point de se demander si c'est fait exprès. Jump Scares qui font sursauter uniquement parce qu'ils sont extrêmement bruyants et inattendus, mais etait-il nécessaire d'en mettre à tout va? Jeu d'acteur pas top, scénario prévisible... Nous n'avons pas accroché. C'est même un des pires films d'horreurs que nous avons regardé à ce jour.
    Mirobole Pancrate
    Mirobole Pancrate

    39 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    On retrouve non sans un certain plaisir le charme désuet des eighties et la folie douce de Sam Raimi, sorte de petit Tex Avery du cinéma horrifique. Sympa mais sans plus.
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    19 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 septembre 2018
    Quel panard de revoir Sam Raimi dans son registre de prédilection : le film d’horreur ! Avec Jusqu’en enfer, on retrouve les ingrédients qui ont fait le succès du cultissime Evil Dead : du frisson, du gore et des tonnes d’humour. Les scènes cultes s’enchainent (en fait à chaque fois que la vieille apparait…) et les spectateurs se marrent, tout en sursautant à certains moments.
    Avec le nombre de films d’horreur qui sont sortis ces derniers temps (dont très peu ont été réussis), ce film fait du bien au genre en revenant aux origines du gore et de l’horreur – humour. Un film diablement efficace donc qui fait mouche et qu’il faut aller voir pour se détendre et apprendre ce qu’est le Lamia (les anciens de la fac me comprendront) !
    Enfin, félicitations à Alison Lohman, excellente et qui rappelle Ash...et Bruce Campbell que j’espérais voir pour une petite apparition (dommage).
    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 septembre 2018
    Sam Raimi c’est un film tout les 10 ans « Evil Dead - Spiderman » et puis plus rien. (Certes il a fait d’autres films mais sans intérêt).
    Jusqu’en enfer, c’est un retour à la source pour le réalisateur, mais est-il réussi pour autant ?
    Et bien non. C’est très mauvais.
    Le film m’a fait plus rigoler que peur, il n’est pas du tout effrayant et certaines scènes sont vraiment ridicules.
    Ce qui est grotesque dans cette histoire c’est le budget de $30 000 000. Pourquoi ? Comment ?
    Je suis obligé de repenser à Evil Dead qui avec très peu de moyens m’avait régalé. C’était aussi une autre époque du cinéma.
    Sam Raimi n’est pas à la hauteur ici, à force de se disperser dans tout ses films (un coup fantastique un autre thriller où aventure..) il a perdu son talent et s’est égaré.
    Le scénario est du déjà vu, décidément on ne renouvelle plus le genre horreur, c’est décevant, les effets x sont nazes.
    Malgré tout « Jusqu’en enfer » reste distrayant, la B.O est très bonne, il se laisse regarder une fois mais personnellement pas 2, la fin est bien pour le reste c’est raté.
    Sam Raimi devrait se remater les Evil Dead pour se refaire la main.
    Je ne comprends pas sa note sur Allociné, c’est donc ça une référence d’horreur aujourd’hui ? La blague. Pathétique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 septembre 2018
    Nan mais vraiment ? C'est quoi ces notes, si ce film doit être jugé en tant que nanar alors il n'est pas assez assumé, je veux bien avoir du second degré sam raimi toussa, mais franchement la c'est juste nul, poussif, baclé.. et je parle même pas des effets "monstre en latex fixe" pendant 10s ... du plus bel effet...
    Clément P.
    Clément P.

    16 abonnés 233 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juin 2018
    Sam Raimi est un véritable maître en matière d'horreur. On retrouve dans ce "Drag me to Hell " ce qui fait la force de son oeuvre et notamment des Evil Dead . A savoir , des scènes choc parfaitement maîtrisées , tantôt burlesque , tantôt absurdes... mais d'une redoutable efficacité. Des le départ on sent qu'en terme de générosité on va être servie. Le rythme saccadé ne permet en aucuns cas au spectateur de savoir à quelle sauce il va être mangé . Et ca fait forcément du bien quand on constate qu' Aujourd'hui de nombreuses production on un rythme linéaire avec un final qui de laisse désiré . Même si le sce�nario n'est pas d'une grande originalité , la mise en scène de ce film de malédiction ultime rend le tout unique et vraiment effrayant par moment. Jusqu'au final juste parfait. Maquillage et bande son qui frise le chef d'oeuvre encore une fois et Casting dans le ton. Merci Sam Raimi de nous rappeler que le cinéma d'horreur peut parfaitement conjuguer éclats de rire et véritables sursauts.
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