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Estonius
3 335 abonnés
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4,0
Publiée le 14 septembre 2014
Le film étant à sketches, il est forcément inégal et si Le Front Unifié pour les Décédés ou le procès tombent plutôt à plat, d'autres sketches sont franchement désopilant : Lycéennes catholiques en chaleur (rien que le titre !), le touchorama, le couple qui regarde le J.T., l'oxyde de zinc, la blackette et le rabbin… Et puis il y a la longue séance de king fu, complètement barrée. On notera la présence en guest-star de Donald Sutherland ainsi que l'une des actrices fétiches de Russ Mayer (Ushi Digard).
Hamburger film sandwich, le film qui a influencé les nuls, ainsi qu'une poignée d'autres humoristes (Kad et O, les inconnus, pour ne citer qu'eux). Le film souffre du même défaut que tous les films à sketch, à savoir l'inégalité en terme de qualité et d'humour qui peut être aussi hilarant que lourd et grossier. Dans l'ensemble, le film reste plus que convenable et on passe un très bon moment à mater toute sortes de parodies toute plus burlesque les unes que les autres allant de la bande annonce d'un film de blaxploitation, à un erzatz d'opération dragon. Hamburger Film Sandwich c'est un peu la version grasse du Flying Circus des Monty Python. En tout cas, c'est presque aussi drôle...
Un patchwork de sketchs inégaux où les créateurs s'en sont donnés à cœur joie. Ça frôle constamment le bas de caisse et certains gags font vraiment datés. Mais n'empêche que l'on passe un bon moment, sans non plus s'éclaffer comme des dindes. A voir par curiosité.
sérieux une comédie dont je ne suis pas déçu. j'étais malade quand je l'ai vue et pile plongez dans le film je l'était plus et j'étais plier de rire. quant on met john landis dans la realisation et les ZAZ au scanario sa donne hamburger film sandwich. un film culte tres monty python. moi qui suis pas si fan que sa des ZAZ j'ai adoré . à voir il est même en VOD
Film complètement débile à sketches ayant comme fil conducteur les programmes diffusés sur une chaîne de télévision américaine où on apprend plein de choses intéressantes et essentielles comme le fait que les gorilles n'aiment pas qu'on évoque leur impuissance, qu'être gémeau est flèchement mortel ou encore que Détroit est une ville vraiment horrible... Bon bref, si certains sketches ne sont pas très réussis comme celui dans le tribunal, d'autres par contre sont hilarants comme la bande-annonce qui se fout de la gueule des films catastrophes, avec en prime les apparitions de George Lazenby et de Donald Sutherland, ou encore celui particulièrement atroce niveau humour noir "Le Front Unifié pour les Décédés". Mais le meilleur du meilleur est sans conteste la parodie des films avec Bruce Lee qui est franchement à pisser dans son froc de rire et que le final gros n'importe quoi magicien d'ozien vous achève totalement. Stupide dans le meilleur sens du terme.
John Landis nous a habitué à mieux, avec ses film suivants j'entend, surtout lorsqu'il comprend qu'il est temps de larguer la troupe des doubles Zucker et Abrahams.
Même dans sa bêtise, le film est inégal : soit l’idée est foireuse, soit c’est bassement scatologique. Une fesse ou un doigt dans le nez n’est pas synonyme de gag.
Lourd, très lourd et surtout incroyablement daté. A sauver malgré tout :spoiler: l'ultime séquence où une femme a besoin de la tv pour passer à l'acte, sous les yeux ébahis du présentateur du JT .
Une série de saynètes, sans queue ni tête, qui à la fin des années 70 faisait rire, paraît-il. Il reste deux ou trois morceaux d’anthologie, mais insuffisant pour donner un second souffle à ces images vraiment trop datées. Totalement inégales Pour en savoir plus
Suite de scènes déjantés sans queue ni tête relevant de l'humour absurde avec des noms du ciné U.S. assez connus encore aujourd'hui. Ça fonctionne plus ou moins bien, mais j'apprécie beaucoup ! Les doubleurs français ont du bien se marrer sur cette suite de sketches.
LE film qui a inspiré l'humour des 30 dernières années à base de parodies, de ton décalé et de connerie cosmique. En reprenant le programme d'une chaîne de télé avec journal télévisé, film, pub, émissions et autres pastilles, ceux qui allaient devenir les ZAZ ont révolutionné l'humour. Sous la caméra de J. Landis, lui aussi avant de réaliser les cartons "Blues brothers" et "Le loup-garou de Londres", et avec un budget ridicule, ils enchaînent les gags certes inégaux mais avec une fraîcheur et une inventivité qui forcent le respect. Sans parler des quelques caméos jubilatoires de D. Sutherland et G. Lazenby notamment. On rit de façon continuelle, c'est blindé d'idées et de rythme, c'est débile à souhait sans oublier de nous faire réfléchir, c'est outrancier, culotté et rempli de filles topless bref, c'est les 70's et c'est trop bon. Vous reconnaîtrez différents gags ou musique que reprendront les Nuls ou encore les Inconnus, pour qui ce film est une bible. D'autres critiques sur
Avec le titre, on savait qu'il serait une suite de courts métrages, mais quand même, l'ensemble fait assez décousu, il y aurait pu avoir une meilleure trame pour réunir le tout plutôt qu'un journal télé. Si ce film est sorti en DVD en 2006, comme l'indique Allociné, alors qu'il est sorti au cinéma en 1977, il en a mis du temps... Cela dit, malgré son année de production, l'humour est assez mordant et toujours agréable à suivre même de nos jours.
Contrairement au premier film des Monty Python qui n'eurent pas de liberté quant à la part créative, les frères Zucker ont réussi à créer un film purement zuckerien si ce n'est qu'il est réalisé par John Landis. Il se situe entre le sketch télévisuel des Monty Python et le parodique de Woody Allen ; nous avons tour à tour des détournements de journaux télévisés, de films d'exploitation, etc ... Le film n'a aucun sens à part présenter l'univers farfelu des Zucker. Les parodies sont hilarantes et mettent de bonne humeur. La mise en scène n'est pas écarté et participe au crescendo du scénario décalé et contribue à une réussite fusionnelle entre un trio de scénaristes célèbre et un réalisateur de comédies loufoques en devenir. Le trio se moque ainsi du domaine cinématographique et télévisuel des années 70, posant donc leur vision de la société et leur style comique.