AlloCiné
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La performance des acteurs est plutot correct (notamment Brad Pitt en père très autoritaire), mais il y a vraiment trop de longueur et beaucoup de plans inutiles pour ma part (filmer une flaque d'eau, sa va cinq minutes, mais quand on nous passe sa pendant une demi heure, sa commence à etre long!). Surpris en tout cas que ce film est eu la palme d'or, le président du jury 2011 (Robert De Niro) a vraiment du flasher dessus!
Comment conter ce film OVNI dont Cannes est friand au point de lui accorder la Palme d’or 2011 ? Jack grandit entre un père autoritaire et une mère aimante et deux petits frères avec qui il doit partager l’amour parental. Difficile pour lui de grandir dans cette cellule familiale où l’unité ne tient qu’à un fil. Ce fil va céder et le jeune garçon prendre une voie périlleuse pour lui et les siens.
Terrence Mallick pour son 5ème film en près de 35 ans de carrière pousse le cinéma au rang d’art moderne. Lunaire, son film est tout autant une expérience cinématographique pour le spectateur, qu’un conte philosophique ; l’ambiance et l’atmosphère sont au centre du film. Pour suivre une histoire construite, linéaire et lisible, choisissez un autre film. Ici, le montage est vif juxtaposant à la vitesse de l’éclair des moments décisifs. Poème mystique aux images magnifiques avec une voix off en attente de la grâce divine, Mallick offre une tambouille philosophico-religieuse troublante, enivrante mais parfois très agaçante. Dans ce numéro d’équilibriste entre le grand n’importe quoi et le grand chef d’œuvre, Mallick fait un « prechi-precha » biblique, remonte jusqu’au big bang pour parler de l’impact des origines, imbuvables. Par contre, il ouvre pleins de portes et posent pleins de questions philosophiques sur les origines, la foie, la génèse, la mort et l’impact de l’éducation sur la construction d’un être humain,… très intéressantes.
Mallick est un grand cinéaste… Mais ses produits ne sont pas à mettre entre toutes les mains…
Mais pensant ne pouvoir tenir qu’une heure max… j’ai été bluffé de rester jusqu’au bout des 2h15 quitte à me coucher tard… une expérience particulière.
Jack : « Ce que je veux faire, je ne peux pas le faire. Ce que je fais, je le hais ». Témoignage du mal être du jeune garçon : un des moments de grâce du film.
Terrence Mallick pour son 5ème film en près de 35 ans de carrière pousse le cinéma au rang d’art moderne. Lunaire, son film est tout autant une expérience cinématographique pour le spectateur, qu’un conte philosophique ; l’ambiance et l’atmosphère sont au centre du film. Pour suivre une histoire construite, linéaire et lisible, choisissez un autre film. Ici, le montage est vif juxtaposant à la vitesse de l’éclair des moments décisifs. Poème mystique aux images magnifiques avec une voix off en attente de la grâce divine, Mallick offre une tambouille philosophico-religieuse troublante, enivrante mais parfois très agaçante. Dans ce numéro d’équilibriste entre le grand n’importe quoi et le grand chef d’œuvre, Mallick fait un « prechi-precha » biblique, remonte jusqu’au big bang pour parler de l’impact des origines, imbuvables. Par contre, il ouvre pleins de portes et posent pleins de questions philosophiques sur les origines, la foie, la génèse, la mort et l’impact de l’éducation sur la construction d’un être humain,… très intéressantes.
Mallick est un grand cinéaste… Mais ses produits ne sont pas à mettre entre toutes les mains…
Mais pensant ne pouvoir tenir qu’une heure max… j’ai été bluffé de rester jusqu’au bout des 2h15 quitte à me coucher tard… une expérience particulière.
Jack : « Ce que je veux faire, je ne peux pas le faire. Ce que je fais, je le hais ». Témoignage du mal être du jeune garçon : un des moments de grâce du film.
De belles images mais je n'ai rien compris....
Ennuyeux pour moi... Trop décousu et sans action réelle... Mon dieu je n'ai rien compris c'est pathétique....
Ennuyeux pour moi... Trop décousu et sans action réelle... Mon dieu je n'ai rien compris c'est pathétique....
je crois que je ne me suis jamais autant ennuyé dans un film
un film comme un sermon sur la remise en question
une demi heure d'images certes très belles sur la création du monde avec des dinosaures
très peu de dialogues
j'ai trouvé ce film nul
désolé
les acteurs sont justes
un film comme un sermon sur la remise en question
une demi heure d'images certes très belles sur la création du monde avec des dinosaures
très peu de dialogues
j'ai trouvé ce film nul
désolé
les acteurs sont justes
Une infâme merde sans nom.J 'ai perdu mon temps et ma patience.Je veux qu'on interdise se réalisateur de continuer a tuer 2 heures de nos vies .Il s’était surement défoncé en écrivant ce projet .Messieurs les producteurs svp! veuillez ne plus produire ni distribuer ce " Terence Malik". J 'en suis encore traumatisé .Il m'etait arrivé qu 'une fois de voir un film aussi naze "the brave " avec Johnny deep" mais la celui la il est quand même bien au dessus .
Mais quelle drogue prends terence malick!! Perso je veux la même!! Un film qui déclenche des crises pour les autistes...je comprends pas mais absolument pas comme il a fait pour avoir une palme d' or!! Bref comment user de bande cinématographique pour rien!!
Ce film est magnifique mais il nécessite de ce laisser porter. Malick prouve qu'il a un talent unique. Brad Pitt et Jessica Chastain sont super.
Je n'ai vraiment pas aimé. Le film est long et ennuyant, il y a plein de moments sans intérêt, des grandes longueurs, et rien de captivant.
Comment dire....c'est super ennuyeux! Certes il y a de belles images mais bon on tourne en rond. Le film est très esthétiques certes mais il n'ai aucunement intéressant et ne mérite absolument pas une palme.
2 étoiles pour ce film que j'ai regardé pourtant deux fois en quelques mois, pour être sûre de ne pas être passée bêtement à côté. Malheureusement, le second visionnage n'a pas été plus convaincant. Au contraire. Je n'ai toujours pas compris ni l'enjeu du film, ni le point de vue de Terrence Malick. Il nous montre la vie, d'accord. La vie, de façon sensuelle. On peut effectivement se sentir humain et vivant (au sens biologique du terme surtout) parfois, lors de certaines scènes du film. Mais... quel est le point ? Honnêtement, j'ai pourtant l'impression de faire preuve de bonne volonté. Je suis réceptive aux métaphores dans le cinéma d'habitude, mais là j'avoue que je ne pige pas le rapport entre cette famille conservatrice difficilement crédible, et la véritable Ôde à la vie qui est faite durant les autres séquences. Cette famille perd un enfant (et c'est difficile à comprendre), d'accord. Donc c'est probablement une sorte d'omniscience qui nous est donnée à voir, une omniscience de la vie, du temps, de l'espace, comme un Dieu qui nous donne à voir la vie. Et même si j'ai du mal encore à exprimer ce que font ressentir ces plans, je comprends de façon inconsciente leurs buts, leurs causes, leurs conséquences. Je les accepte parce qu'ils m'ont touchée. La première partie du film est correcte : la corrélation entre les plans "nature" et les plans "famille humaine" est tout à fait acceptable. Naissance de l'enfant, Naissance de la vie. Arrêt de l'enfance, Arrêt de la vie, renouvellement. Ok. Mais la deuxième partie du film s'étire. Elle est longue. Et franchement inutile. On se fiche du sort de cette famille, de ces enfants, de ces adultes. ça devient plat, fade, même plus aussi "joli" à regarder. (et les deux étoiles ne sont là que pour la beauté des plans de départ, et pour l'idée de faire un film sur la vie. -même si certains passages rappellent honteusement Fantasia 1940.)
Mais c'est quoi cette fin ? La métaphore est ratée, et c'est consternant de voir qu'un film pareil a pu triompher face à "Melancholia". Rien que des moutons hystériques refoulés dans le jury probablement.
Mais c'est quoi cette fin ? La métaphore est ratée, et c'est consternant de voir qu'un film pareil a pu triompher face à "Melancholia". Rien que des moutons hystériques refoulés dans le jury probablement.
Un requiem fascinant, visuellement sublime avec des scènes d'une grâce folle, mais dont le récit s'égare parfois à des hauteurs un peu pompeuses.
Palme d'or à Cannes.
Palme d'or à Cannes.
Émerveillé, admiratif et à la fois un peu déçu. C’est clairement évident que cette succession de magnifiques photos est d’une beauté rare et que l’on ne peut que s’extasier devant un tel travail, une telle œuvre. La photographie et la bande son sont donc très bons et c’est ce qui nous pousse à finir le film. Mais alors qu’il est long… Pour au final, j’ai trouvé, pas grand-chose. Tout est beau à contempler, mais l’histoire du personnage de Jack est trop pauvre à mon goût. Malick a souhaité nous montré beaucoup de choses mais comme les différentes scènes s’enchainent parfois bizarrement, il est difficile de traduire les nombreuses métaphores du film. Ainsi on décroche peu à peu. On sent qu’il se passe quelque chose, que telle scène n’est pas là par hasard, mais il est quasi-impossible d’y trouver un sens à chaque fois. Peut-être trop compliqué donc, mais surtout peu évident à suivre : on se demande un peu où Malick souhaite nous emmener. Ce film est évidemment à voir pour l’exercice de style, mais disons que ce n’est pas ce que je préfère, bien que ce soit très beau, très propre, très soigné.
iceman7582
Mais qu'à fait le réalisateur? Pourquoi à t il été nous perdre dans un dédale de théorie religieuse métaphysique ou que sait je encore...? On se demande franchement ou se situe l'intérêt. La morale est bonne mais comme c'est lent... La première étoile est pour la musique, la deuxième est pour la qualité des images et des plans splendide. Mais pour le reste c'est vide et ça sonne creux. En fait on s'ennuie fermement.... et ça c'est jamais bon signe.
Le principal nous donne un malaise captivant, mais alors le coup des 20 minutes de grand n'importe quoi, quelle horreur... Quant au rôle de Sean Penn, c'est vraiment histoire de le foutre dedans, quoi.
La partie intimiste est sublime et tutoie la perfection. Par contre la première demi-heure de film ainsi que son dernier quart d'heure sont emprunts d'un mysticisme nébuleux qui confine au ridicule.
Ce film a suscité chez moi à la fois attraction et répulsion.
Ce film a suscité chez moi à la fois attraction et répulsion.
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