Stallone se fait vieux. Il a du accepter ce rôle parce que le cachet devait être bon. Totalement improbable. Certes, il y a de l'action, du sang, des balles qui sifflent et du gros calibre. Mais c'est du show à l'américaine, genre, du grand n'importe quoi.
Le gore et le sadisme comme seuls supports à ce dernier opus de Rambo. Scénario minimaliste, mise en scène aux abonnés absents , manichéisme des situations et des personnages et même pas foutu d’utiliser des décors naturels ou urbains avec talent. Un gros ratage .
Un bon film d'action en deux temps : l'offense puis la vengeance. La première partie est un peu longue spoiler: et le grand Rambo qui manque de se faire tuer par le cartel sans se défendre c'est pas très crédible . La deuxième partie est top.
Excellent film, nous avions hésité à aller le voir à cause des nombreuses critiques négatives mais, à mon goût, ce film était entièrement réussi... Il contient des scènes marquantes, je pense particulièrement à la dernière du film et ne m'as pas du tout déçu et ne m'a donné qu'une envie : Acheter la saga en DVD et tous me les revoir...
Près de 40 ans après "Rambo : the first blood" (1982) de Ted Kotcheff, Sylvester Stallone s'embarque pour un cinquième opus de la saga censé comme l'exprime clairement son titre, voir l'ancien GI inadapté au monde civilisé depuis son retour du Vietnam, verser enfin le dernier sang. Le projet est dans les tuyaux depuis 2009 et le succès de "John Rambo" (2008). Sylvester Stallone n'ayant sans doute plus l'âge d'assumer simultanément la réalisation et le rôle principal a fini par laisser la place à Adrian Grunberg qui avait déjà signé en 2012 , un film d'action ultra vitaminé et sanglant ("Kill the gringo") qui avait permis à Mel Gibson de démontrer qu'il en avait encore sous la semelle après une décennie chaotique. L'exercice étant presque similaire, le réalisateur plutôt spécialisé dans la direction de secondes équipes est en territoire connu, tout comme Stallone et les fidèles spectateurs. Tout s'annonce donc pour le mieux. John Rambo est rangé des voitures depuis une dizaine d'années, ayant trouvé refuge au Texas dans l'ancien ranch de son père où il vit avec Maria (Adriana Barraza), une vieille amie qui élève seule sa fille (Vega Paz) depuis que son mari les a abandonnées pour retourner vivre au Mexique. spoiler: John Rambo qui a élevé la jeune fille, passe son temps avec ses chevaux et le soir venu descend tranquillement dormir dans sa chambre située dans le réseau sous-terrain qu'il a creusé sous la plaine qui entoure le ranch. Il vaut mieux être prudent et parer à toute attaque, on ne se refait pas ! On comprend vite que cette galerie aura son utilité. La jeune fille promise à de brillantes études a la fâcheuse idée d'aller voir son père à la frontière mexicaine. Les ennuis commencent . Les fans ont beau être immédiatement renseignés sur la suite des opérations, trouver Stallone de plus en plus marmoréen et sans aucun doute un peu fatigué pour le rôle, ils éprouvent toujours le même plaisir à le suivre poignard et mitraillette à la main avec ses éternels grognements et ses roulements de pupilles bovins comme seul moyen d'expression. Stallone est un guerrier du cinéma et c'est les armes à la main qu'il renoncera à interpréter les deux rôles majeurs de sa carrière (est-ce la peine ce citer le second?). Il a annoncé que ce cinquième Rambo serait le dernier. Mais après la sévère pâtée qu'il a administrée au cartel mexicain qui a eu la malencontreuse idée d'enlever sa protégée, on se dit que le GI fatigué et hanté par ses rêves à peut-être encore un bout de chemin à faire sur la pellicule. A propos de cette indulgence immodérée pour des films plutôt insignifiants certains plus sévères diront "décérébrés", il faut s'interroger sur la sympathie que dégagent certains acteurs comme Sylvester Stallone, Arnold Schwarzenegger ou Nicolas Cage dont le jeu n'est pas marqué par la quantité de nuances qu'ils apportent à leurs personnages et dont les films de leur dernière partie de carrière peuvent être considérés comme une simple copie et même une caricature de leurs succès d'antan. Par quel mystère certains spectateurs n'arrivent pas à les abandonner alors que leur déclin est visiblement amorcé ? Peut-être par nostalgie d'une jeunesse désormais à revivre sur albums photos ? Mais peut-être aussi par cette volonté de continuer vaille que vaille avec une conviction touchante qui selon ceux qui les approchent sur les plateaux témoigne d'un professionnalisme jamais pris en défaut. Phénomène assez difficile à expliquer qui crée avec le temps une sorte de pacte indicible et presque impossible à rompre, chaque aficionado ayant l'impression que s'il fait défaut, l'acteur sombrera dans un oubli qui lui sera fatal. La réalité est sans doute plus prosaïque et mercantile vu de l'autre côté de la barrière mais le cinéma est un art à vocations multiples dont celle incomparable de permettre au spectateur de s'inventer un parcours commun avec les héros de sa jeunesse.
Rambo dérouille des mexicains. Une fois le film résumé, on fera remarquer qu'il est bien réalisé et photographié, et joué. Les 20 dernières minutes, où les méchants se prennent beignes sur beignes, sont convenues, mais efficaces.
La mise en scène est à la ramasse, le scénario est mal amené et est mal exécuté en plus d'être entaché de facilités, d'invraisemblance et d'une vision du Mexique très binaire très too much. C'est mollement interprété et il faut attendre 1h pour avoir de l'action et quant il y en a la mise en scène immonde entache le plaisir. Et puis tout ce build up scénaristique juste pour placer la séquence du ranch piégé c'est tellement faiblard... Perso je trouve que c'est assez honteux de faire passer ce film pour la conclusion de la saga mythique qu'est Rambo.
Après avoir renouvelé plutôt avec succès son personnages récurent de Rocky, Sylvester Stallone au crépuscule de sa carrière retrouve un autre de ses personnage culte, le vétéran du Viêt Nam John Rambo. Une franchise qui jusque là avait été très disparate. Il y a eu le formidable premier volet, un film d’action excellent doublé d’une évocation du rejet qu’on ressenti les vétérans du Viêt Nam à leur retour au pays. Le deuxième ou Rambo était devenu un héros Reaganien qui partait refaire le Viêt Nam à lui tout seul. Le numéro 3 dont la stupidité en a fait pour moi une de mes comédies involontaires préférées. Et enfin un numéro 4 à la violence incroyable qui le faisait presque rentrer dans la case des films gores. Vient donc ce cinquième film dix ans après qui pour le coup est un véritable condensé des quatre premiers. Il veut (un tout petit peu) se rapprocher du premier en nous montrant un homme toujours hanté par les traumatismes et les fantômes de ses guerres. Cet aspect est malheureusement trop vite expédié et n’offre donc pas à Stallone une dernière occasion de remontrer encore une fois qu’il pouvait faire autre chose que le Mr Muscle. Le film a aussi son côté bas du front et réactionnaire avec cette histoire de vengeance contre un cartel mexicain, assez stupide et même assez limite avec ses multiples plans sur le mur qui marque la frontière dont je vais laisser le bénéfice du doute sur le fait qu’ils représentent quelque chose ou non. Et enfin une violence une nouvelle fois délirante, presque anachronique dans un film d’action moderne et dont le final s’apparente quasiment à du Torture Porn. Au final ce Last Blood n’est pas un navet comme pouvait l’être le trois mais par manque d’ambition et de volonté de raconter quelque chose de plus profond il rate l’occasion de faire un très bon film.
Pour, moi, cette série de film mithyque ne pouvait pas mieux se terminer, dans ce volet de la saga "rambo", le héros du même nom , oncle d'une jeune femme qui voulait tout faire pour aller rencontrer son père, qui lui avait était séparé a cause de son manque de responsabilité, malheureusement pour elle, son père ne ressent aucun sentiment envers sa fille, la laissant, déprimée dans un quartier sensible du mexique, ce qui devait arriver arriva, et, son oncle john Rambo se du d'aller l'arracher des griffes d'une société mafieuse mexicaine, ce film, contient des scènes marquantes, je pense notamment au moment où john Rambospoiler: arrache le cœur du chef du réseau mafieux, dans sa maison, en pleine campagne . ..
Juste parfait aucunes critique sur se film car a cette heures si personnes ne peut égalé se jore de film je dit bien aucuns ! La seul chose qui est regrettable c'est que malheureusement Rambo c'est terminé dommage mes bon comme ont dit chaque chose a t'une fin un grand merci a Sylvester Stallone de nous avoir fait autant rêvé :).
Le Rambo de trop. Une histoire sans aucun sens. Un caprice d’ado qui tourne au cauchemar. Un vieux Stallone qui peine à donner du punch au téléfilm. Une scène de pure violence. Et c’est tout.
Ce film clôture la saga de ce vétéran . Pour moi ce film est aussi bon que le premier opus. On retrouve Rambo plus humain dans un contexte familial, enfin apaisé. spoiler: Un final explosif
Même si l'on accepte de passer outre quelques incohérences (comment un type supposé être une ombre intouchable peut-il se faire stupidement encercler par un cartel mexicain ?), ce film démarre comme un sous Taken un peu mou avant de se terminer dans une orgie de violence vengeresse gratuite. Rambo méritait mieux.
On se demande ce que font les critiques..... C est du pur Stallone , sympa , bien filmé ,et avec un acteur qui pour 75 ans n est pas si mal.. J ai beaucoup aimé même si c est très violent a la fin mais ça nous fait plaisir...... Rambo , reste pour moi le top dans rambo1.... Extra