Derniers Avis : Rambo: Last Blood - Page 29

Film qui est toujours aussi bien malgré il parle de sujet sensible spoiler: comme le trafic d'humains et de la prostitution

J’ai grandi avec la saga rambo rocky... étant une grande fan, j étais obligée d’aller voir ce film . J’appréhendais tout de même car Stallone n est plus tout jeune , donc j avais du mal à l imaginer dans l’action à plus de 70 ans. Mais je me suis trompée notre rambo a toujours la pêche, sans rentrer dans les détails , ce film est top, action émotion , je vais d’ailleurs le voir une deuxième fois.

Bjr rien à faire, je reste nostalgique du premier opus super bien fait. Avec celui ci on touche le fond sans même se marrer, passer le premier 1/4 d'heure on a droit à une purge nauséabonde au possible. Sans compter une ultra violence glauque et réaliste (pas style jeux vidéo comme J. Wick!) qui m'interroge sur l'interdiction au - de 12 ans (âge de mon fils qui a vu le film avec moi). R.a.s qu'une accumulation de violences plus gratinées les unes que les autres et le clou un relent de racisme assumé qui fait passer presque toute la population du Mexique pour des alcooliques, des drogués, des trafiquants de la pire espèce le tout dans des villes glauques et poisseuses....n'en jetez plus un film "Z" parfaitement évitable profitez sur Paris du premier qui repasse....

Merci Stallone de continuer même si les critiques de ciné n’aiment pas . Ils ne comprennent rien
C’est du grand cinéma, l’action se mêle aux sentiments
Et une fin digne de la saga de rambo

Un bon Rambo. Il fallait faire évoluer le personnage, lui donner un nouveau contexte, lui donner un but et ça a été fait. Quelques passages auraient mérité un traitement un peu plus long mais je ne suis pas déçu. A cet âge la Sly assuré toujours autant! Ça ne me dérangerait pas de le revoir dans des films à la Cliffhanger, daylight.... Ou allez une suite à Tango&Cash!

Pas du tout deçue de ce dernier volet. De l'action pratiquement constamment. Un Sly au top, il est toujours LE personnage malgré l'age. Certes certaines scènes sont un peu crues mais la caméra ne s'attarde pas car le but du film n'est pas le carnage mais la vengeance.... Celle-ci est complète et le film reussi!

Le dernier baroud d'honneur du légendaire Rambo , un cinquième et dernier épisode Efficace dans le style Taken , Stallone toujours a l'aise encore une fois reléve le défi.

Un film d'action bien masculin, simple, efficace où l'on se replonge dans l'univers d'un mythe de notre enfance.

Presque émouvant de voir ce mythe vieillissant courir constamment après l'impossible.

Un bon moment de passé.

Un superbe film pour clôturer une saga de légende sur Rambo qui ma ravi au plus haut point , la mise en place du film est fabuleuse (voir ce qu'est devenu Rambo après son retour chez lui ) Stallone nous livre une interprétation de très haut rang avec des scènes tonitruantes , la réalisation est magnifique les décors naturels aussi , la musique qui se marie a merveille avec ce que l'on nous montre à l'écran , du grand très grand film d'action comme seul Stallone a sus nous offrir tout au long de sa carrière, car ce film comporte de bonne scènes d'émotions comme je disais superbement interprété par l'immense Sly Stallone bien entouré d'acteurs bon et juste sans cabotinage , tout est une réussite dans ce film comme dans le précédent les Hold Scool comme moi ne peuvent que prendre un pied d'enfer devant ce magnifique Rambo , merci un grand merci a Mr Stallone pour ce film et tous les autres avec lequel j'ai grandis , Thanck Sly you are the Best ...

un film d'action made in USA sans aucune surprise
avec peu de temps mort et beaucoup d'hémoglobine
mais ça fait toujours plaisir de revoir Rambo
et on lui pardonne ses petits défauts.

Bon après un Ad Astra ennuyeux à mourir, j'avais besoin d'un bon gros film de baston pour me changer les idées. C'est clair que Rambo Last Blood, ça n'allait pas faire dans le détail et ça n'a pas manqué.
Rambo n'a plus 20 ans, mais il a toujours ses démons, son arc et son couteau. Voir ce héros brisé affronter son quotidien en domptant ses chevaux, lui même dompté par sa famille de coeur, était quelque chose que l'on attendait après le très bon Rambo IV (ou John Rambo). Le soldat est un vieux briscard, retiré dans un coin de l'Arizona et peu rompu à la société. Le scénario l'amène à nouveau dans une guerre qui, par force, devient la sienne.
Le film fait le job, mais il n'est pas exempt de défauts. A l'évidence, le scénario aurait pu être bien plus abouti, on demande pas du génie mais l'histoire est pour moi très, trop simpliste et sent le déjà vu à plein nez.
L'affrontement final est un peu vite expédié. Il aurait mérité plus d'étapes, plus de stratégie guerrière face à un ennemi qui n'est, au final, qu'un simple accessoire de boucherie pour notre héros. J'ai d'ailleurs eu une pensée pour une scène du film Austin Powers dans laquelle les 'hommes de main' se retrouvent à un bar pour trinquer en l'honneur de leur collègue John Smith, père de plusieurs enfants et qui doit se marier le lendemain, avant qu'ils n'apprennent que l'homme de main a été décapité par une carpe mutante. La plupart des mexicains pris dans cette guerre m'ont fait penser à ce John Smith: Les membres du commando sont ici totalement dispensables, utiles uniquement pour servir de rat de labo pour les pièges de Rambo. J'aurais aimé qu'on ressente de la peur chez l'adversaire, que la créativité de notre héros devienne leur frayeur, comme ça l'a été avec les policiers et les réservistes de l'armée dans First Blood. Mais l'adversaire n'a ici jamais été à la hauteur de l'ennemi qu'ils affrontent.
Un autre défaut du film est d'avoir concentré l'action finale dans un huis clos. On peut comprendre que Rambo n'a plus 20 ans et qu'il fallait trouver des astuces scénaristiques pour qu'il puisse exprimer tout son art, mais pour moi il y a trop d'attente pour déboucher sur une courte séquence d'action dans un lieu si restreint. Les dernières images sont quand même jouissives, le coté 'revenge' est parfaitement bien filmé (avec un excellent jeu de lumières). Dommage tout de même qu'Adrian Grunberg utilise un peu trop souvent la 'shaky cam', ce cache misère qui évite de voir les défauts dans les scènes d'action.
L'aspect gore du film n'est pas plus dérangeant que ça quand on se rappelle les films précédents, tout particulièrement le IV, John Rambo, avec les séquences de lancer de grenades sur les civils ou le tir à la mitrailleuse, façon stand de la foire du trône.
Un détail que j'ai apprécié, c'est la facilité avec laquelle le commando mexicain franchit le fameux mur. Si c'est pas un message pour montrer qu'investir des milliards dans ce mur ne sert strictement à rien face aux véritables criminels, je sais pas ce que c'est.
Point de vue musique, Brian Tyler fait bien le job, comme à son habitude. Une reprise de certains thèmes Rambo accompagné de son style collent parfaitement au film.
Au final, quand on voit le génie insufflé par Stallone dans les dernières interprétations de son autre personnage fétiche Rocky, son Rambo, même si il reste un perso taciturne et peu expressif, aurait tout de même mérité mieux comme épitaphe,

Du pur Rambo ! Merci Sly ! J'ai vu First blood a 18 ans avec les copains , j'ai vu last blood avec mon fils de 18 ans ! Toute une histoire ! Les critiques peuvent pas comprendre .

Rambo, les mauvaises raisons d’une critique positive |
J’aime ce film pour… de mauvaises raisons.
Il n'est pas très bon ni sur la forme : scénario prévisible, effets appuyés, réalisation convenue, personnages stéréotypés...
Ni sur le fond : il est une illustration parfaite de cette catégorie de films dits de « justicier » (l’archétype donné par la série initiée dans les années 70 par Charles Bronson aura une abondante descendance) où règne la loi du talion. Si tu tues, un vengeur se chargera de te tuer (et c’est bien fait pour toi). La justice se confond avec la vengeance, le justicier (la victime elle-même souvent) avec le juge et l’assassinat (punition fréquente) avec le verdict d’un tribunal. Le film de justicier renoue avec la tradition morale très libérale du western elle-même directement ancrée dans l’état de nature où le plus fort fait la loi. Bref, la figure du justicier sert de masque à la sauvagerie animale. Si le spectateur est sain d’esprit (laissons ouvert ce débat), il est capable évidemment de discernement, n’est pas dupe et ne tue pas à tort et à travers dès sa sortie de la salle. Ajoutons que dans le film de "justicier", les excès de la forme qui en sont les défauts, se transforment en qualités sur le fond pour mieux en digérer la dérive totalitaire. Par exemple, si dans Rambo, la victime est jeune, jolie, vierge, pure et intelligente avant de finir flétrie, amochée, violée, droguée et hébétée ( spoiler: morte aussi, bien sûr
), c’est pour justifier la sauvagerie des meurtres commis par le justicier, jusque là parfait humaniste engagé et exemplaire, sur des criminels n’ayant d’humain que la bestialité.
Mais zut alors : quelles sont donc ces mauvaises raisons qui me font aimer ce film malgré tout ? Il y en a deux.
Première mauvaise raison : comme tout film de « justicier » (et sans doute aussi, tout film de super-héros), c’est un film exutoire. Grâce à lui, j’expulse du fond de mon être cette boule douloureuse sur laquelle le marteau des injustices frappe ses coups quotidiens.
Au premier rang de ces injustices se tient une élite politique et économique corrompue, souvent mise en examen mais presque jamais en prison. Alors, une colère monte puis déferle, attisée par la nécessité de survivre parfois difficilement pour s'écraser contre l'écran infranchissable de l'impunité et l'immunité des puissants, du pouvoir absolu de l'argent et des discours aussi démagogiques qu’inefficients. Mais la colère est là désormais, malgré nous. Elle est en nous. Nous habite, nous possède. Elle s'installe avec nous sur notre siège de spectateur. Et, là que voit-elle ? A nouveau le spectacle de l'injustice. Ici, les cartels de la prostitution et de la drogue où le crime est un acte banal du quotidien. La colère, prête à tous les amalgames, tient son échappatoire. Elle peut se défouler. Mettre des poings dans la gueule. Donner des coups de couteau. Décapiter. Sentir le sang couler dans sa gueule de bête fauve. Échanger son impuissance contre les armes de la fiction. Alors, le temps d'un film, elle se donne les traits de Rambo et elle tue à la chaîne avec le même génie dans la cruauté qu'un virtuose dans son art.
Seconde mauvaise raison : Sylvester Stallone. Il prête au justicier son visage mythologique, vieux d’une éternelle jeunesse et sa carcasse de bête légendaire mue par mille vies. Le voir c’est contempler une montagne sculptée dans la chair du cinéma, un monument sacré sillonné par des héros entrés dans l’Histoire, un homme traumatisé qui fait avec sa colère une épopée sanguinaire vibrante d'humanité. (dernière mauvaise raison : le dédain critique de la presse par ailleurs scandaleusement prosternée devant Ad astra, détestable lui, pour de très bonnes raisons).

Vive Rambo, vive le cinéma !

Que c'est mauvais , que c'est d'un mauvais goût ! Et la fin, quelle catastrophe. Pourquoi mais pourquoi ? Lol

fan de sly et de rambo bien entendu je suis plus que surpris humain touchant le meilleur des rambo !