Avis : Rambo: Last Blood - Page 9

Un bon Rambo comme on les aime . Violent , puissant , sanglant avec une bonne moral. spoiler: Faut toujours écouter les anciens^^

Génial !
Pour une fois Rambo se venge d'une manière assez réaliste, presque possible, l'exagération n'est pas au rendez vous que ce soit pour les prouesses physiques, des émotions et du scénario
Simple, efficace et très puissant finalement
L'émotion est de la partie alors que je ne m'y attendais absolument pas, on a de l'affection pour ce héros qui est montré comme étant faible par moment (physiquement et mentalement) et cela permet d'avoir de l'affection pour lui.
Stallone dit adieu à sont vétéran du Vietnam de la plus belle des manières.

J ai adoré vraiment grand fan de stallone, j ai apprécié les 4 autres film. Je trouve que se film fait un très bon happy end

Tout simplement fabuleux.
La victoire du bien sur le mal absolu.
Un grand Rambo, des paysages et des trucages inouïs.
Des acteurs d'une réalité totale, bref, il faut y aller, mais pas les enfants.

Un Rambo à part, injustement critiqué. Le seul reproche que j'ai à lui faire c'est que je reste sur ma faim à la fin du film. J'aimerai bien un dernier tour pour notre ami Johnny

Jamais vu un film aussi nul...
Les premiers episodes étaient top pourtant, mais ce dernier opus est catastrophique.

Encore une belle arnaque qui arrive encore à sortir au cinéma comme ces innombrables suites de Rocky et autres Fast and Furious. Des escrocs qui ne prennent même plus le temps de créer de vrai scénario et de trouver une idée originale étant donné la facilité à vendre leurs films...

Bien mieux que les derniers Rocky...... une réussite................................. 4 étoiles!!!!!

Rambo, les mauvaises raisons d’une critique positive |
J’aime ce film pour… de mauvaises raisons.
Il n'est pas très bon ni sur la forme : scénario prévisible, effets appuyés, réalisation convenue, personnages stéréotypés...
Ni sur le fond : il est une illustration parfaite de cette catégorie de films dits de « justicier » (l’archétype donné par la série initiée dans les années 70 par Charles Bronson aura une abondante descendance) où règne la loi du talion. Si tu tues, un vengeur se chargera de te tuer (et c’est bien fait pour toi). La justice se confond avec la vengeance, le justicier (la victime elle-même souvent) avec le juge et l’assassinat (punition fréquente) avec le verdict d’un tribunal. Le film de justicier renoue avec la tradition morale très libérale du western elle-même directement ancrée dans l’état de nature où le plus fort fait la loi. Bref, la figure du justicier sert de masque à la sauvagerie animale. Si le spectateur est sain d’esprit (laissons ouvert ce débat), il est capable évidemment de discernement, n’est pas dupe et ne tue pas à tort et à travers dès sa sortie de la salle. Ajoutons que dans le film de "justicier", les excès de la forme qui en sont les défauts, se transforment en qualités sur le fond pour mieux en digérer la dérive totalitaire. Par exemple, si dans Rambo, la victime est jeune, jolie, vierge, pure et intelligente avant de finir flétrie, amochée, violée, droguée et hébétée ( spoiler: morte aussi, bien sûr
), c’est pour justifier la sauvagerie des meurtres commis par le justicier, jusque là parfait humaniste engagé et exemplaire, sur des criminels n’ayant d’humain que la bestialité.
Mais zut alors : quelles sont donc ces mauvaises raisons qui me font aimer ce film malgré tout ? Il y en a deux.
Première mauvaise raison : comme tout film de « justicier » (et sans doute aussi, tout film de super-héros), c’est un film exutoire. Grâce à lui, j’expulse du fond de mon être cette boule douloureuse sur laquelle le marteau des injustices frappe ses coups quotidiens.
Au premier rang de ces injustices se tient une élite politique et économique corrompue, souvent mise en examen mais presque jamais en prison. Alors, une colère monte puis déferle, attisée par la nécessité de survivre parfois difficilement pour s'écraser contre l'écran infranchissable de l'impunité et l'immunité des puissants, du pouvoir absolu de l'argent et des discours aussi démagogiques qu’inefficients. Mais la colère est là désormais, malgré nous. Elle est en nous. Nous habite, nous possède. Elle s'installe avec nous sur notre siège de spectateur. Et, là que voit-elle ? A nouveau le spectacle de l'injustice. Ici, les cartels de la prostitution et de la drogue où le crime est un acte banal du quotidien. La colère, prête à tous les amalgames, tient son échappatoire. Elle peut se défouler. Mettre des poings dans la gueule. Donner des coups de couteau. Décapiter. Sentir le sang couler dans sa gueule de bête fauve. Échanger son impuissance contre les armes de la fiction. Alors, le temps d'un film, elle se donne les traits de Rambo et elle tue à la chaîne avec le même génie dans la cruauté qu'un virtuose dans son art.
Seconde mauvaise raison : Sylvester Stallone. Il prête au justicier son visage mythologique, vieux d’une éternelle jeunesse et sa carcasse de bête légendaire mue par mille vies. Le voir c’est contempler une montagne sculptée dans la chair du cinéma, un monument sacré sillonné par des héros entrés dans l’Histoire, un homme traumatisé qui fait avec sa colère une épopée sanguinaire vibrante d'humanité. (dernière mauvaise raison : le dédain critique de la presse par ailleurs scandaleusement prosternée devant Ad astra, détestable lui, pour de très bonnes raisons).

Vive Rambo, vive le cinéma !

Heureusement le film est court. Beaucoup de pathos préfabriqué pour un aboutissement improbable avec une violence sauvage dans le dernier quart d'heure. Aucune réflexion à avoir, et pas d'intérêt non plus dans les scènes d'action.

Quelle daube ! Autant le premier Rambo était génial, et les suivants plaisants dans le genre Bd portée à l'écran, autant celui-là est effrayant de nullité : originalité zéro, scénario rédigé par le dernier de la classe, mélo à deux balles, gore commercial de film d'épouvante à budget limité... Le bouquet presque final, l'arrachage du cœur du méchant, est consternant d'amateurisme tant le cœur ressemble à tout sauf à un cœur organique fraîchement retiré. Il y a plus d'un chirurgien qui a dû éclater de rire dans la salle. Comment peut-il y avoir tant de 5 étoiles pour un pareil navet ?! Avec les moyens dont dispose Stallone et le nombre de propositions de scénarios chiadés qu'il a dû recevoir... Vivement le prochain Clint Eastwood.

Le 25 septembre 2019, Sylvester Stallone crèe l'èvènement chez les seniors comme peu de stars ont ètè capables de le faire avant lui. "Rambo : Last Blood" va continuer dans cette voie, en ressuscitant une nouvelle fois une lègende du cinèma d'action des 80's qui doit affronter un cartel mexicain! Un titre qui fait ècho au premier volet de la saga, "First Blood". Suite aux èvènements de "John Rambo", on se doutait qu'il y aurait quelque chose même si la fin laissait supposer un retour au pays pour l'ancien bèret vert! Celui d'un homme isolè dans un ranch de l'Arizona, vivant des jours paisibles avec une amie mexicaine à lui et une jeune fille qu'il a èlevè pendant dix ans! Ce cinquième opus, c'est du dopage naturel! Même s'il apprend à aimer, Sly va droit au but en y montrant toute sa puissance! Plus impitoyable que jamais, l'acteur fait èvoluer la psychologie de son hèros et fait revivre le culte de Rambo sous le feu de l'action et de l'ultra-violence! Le final pètri de vengeance est un bon dèfouloir qui se mèrite! Adrian Grunberg prend le temps de mettre en place le rècit et fait de Rambo un homme sur le crèpuscule de sa vie qui restera ancrè dans la mèmoire collective malgrè quelques facilitès scènaristiques! Car, c'est bien connu, les lègendes ne meurent jamais! A 73 ans, Stallone montre en tout cas qu'il en a encore dans le froc en prèparant une vengeance à hauteur de la furie qui l'anime! La conclusion quasi parfaite d'une franchise mythique! Et un ultime plan à la grue beau à chialer, spoiler: d'un homme blessè sur un rocking-chair qui n'a pas ètè èpargnè par les souffrances et les douleurs de la vie...

C'est toujours délicat de relancer un personnage de nombreuses années après. L'acteur a forcément pris de l'âge et le danger est de lui faire des cascades comme s'il avait 30 ans de moins. Heureusement ce n'est pas le cas. Papy Stallone est bien dans son rôle. Le film se découpe en 3 parties : le tableau du héros déconnecté et qui vit une vie paisible avec les siens. Ensuite le dérapage de la jeune fille emprisonnée par un cartel mexicain de la prostitution. Enfin la vengeance du guerrier. Le film est assez violent surtout dans la 3è partie. On y retrouve le héros des précédents films. Sauf qu'ici plus de nature sauvage mais sa ferme ses sous-terrains. Globalement un bon dernier film de la série qui parvient à divertir grâce à pas mal de suspens et d'action.

Alors si je dois le comparé aux autres opus je dirais que c'est le moins abouti mais il n'en reste pas moins une très bonne suite, très violente !! J'ai aimé l'histoire même si elle met un peu de temps à démarrer !! Stallone joue une nouvelle fois à merveille, un Rambo vieillissant en pleine rédemption, plein d'émotion mais qui reste d'une redoutable férocité et efficacité !! Il n'y a qu'à voir le final, d'une extrême violence, avec des corps charcutés , trucidés par dizaine !! A noter également une BO une nouvelle fois de Bryan Tyler qui accompagne bien les moments d'émotions et d'actions !! Ce qui manque juste à mon goût c'est ce décor de forêt, de jungle, qui donne toute sa puissance à Rambo !! Ici c'est place au quartier mexicain et au ranch aux alentours désertiques !!Pour ce " dernier sang " , Stallone nous gratifie d'une bonne conclusion mais inférieur à celle qu'était la fin du 4ème volet, plus intense avec ce retour à la maison !!

Une première moitié de film assez inégale ou l'on essaie de présenter les personnages mais sans trop d'ambition ni de réelles émotions
La seconde partie se positionne clairement en film d'action pur et dur avec une dernière demi heure excellente pour les fans d'action